L'Univers Electrique

La physique de l'Univers...

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petrus
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Message par petrus » 27/06/2006 - 15:01:37


La supernova que personne n’a vue

Image
Credit: O. Krause (Steward Obs.) et al., SSC, JPL, Caltech, NASA


Le 12 avril 2006



Les caractéristiques énigmatiques de la plus forte source radio du ciel extra-solaire, ont été complètement voilées par les tentatives ad hoc des astronomes pour sauver les théories préconçues. Mais ce sont des manifestations claires de l'activité électrique dans l'espace.

Cassiopeia A, image ci-dessus dans un composé de rayons X, optiques et infrarouges, est l'un des premiers objets observés par les radiotélescopes. C'est aussi la source radio extra-solaire la plus forte du ciel. Elle n'a pas été identifiée avec un objectif optique jusqu'en 1954, quand Walter Baade et Rudolph Minkowski l'ont faite correspondre à l’une des « plus remarquables » nébuleuses. Leur article dans le journal astrophysique (Vol. 119, pp. 206-214) commentait : « Plaque rouge sensible… montre… des morceaux de nébulosité discontinus… Certains sont allongés…, d'autres ont une apparence presque stellaire…. Pas un cas simple… s'enregistre sur les plaques sensibles au bleu…. C’est la première fois que nous rencontrons le type de nébulosité que nous avons décrit. » L’émission des nébuleuses est d’habitude bleuâtre.

Les plaques de Baade et de Minkowski reflètent seulement quelques parties de la nébuleuse dans son secteur nord. Ce qu'ils ont appelé « l'arc nordique », en gros la zone montrée ici vers le haut en jaune et blanc, semble avoir « des mouvements marqués » -- autour de 2000 kilomètres par seconde -- « et l’intensité change…. En revanche, les mouvements perceptibles les morceaux discontinus rouges… ne montrent pas non plus de déplacement perceptible » -- tout au plus, autour 50 kilomètres par seconde -- « ni de changements d'intensité ». Comme une explosion d’étoile – une supernova – est censée se débarrasser d’une enveloppe de matière en expansion à vitesse uniforme et luminosité uniforme, ils ont conclu, « La nébulosité n'est pas une enveloppe de ce type ».

Plus tard les astronomes ont décidé que c'était « une enveloppe de supernova » et ont recalculé l'expansion de l’enveloppe pour une explosion qui aurait été vue en 1667. Cependant, une recherche dans les documents historiques de cette époque n’en trouve aucune mention. Bien qu'elle soit la plus jeune et l’une des nébuleuses les plus proches qui sont considérées comme des restes de supernovas, personne n’a vu l'explosion. Peut-être se souvenant de la mise en garde que le « manque d'évidence n'est pas l’évidence du manque », ces astronomes ont déclaré plus tard que l'explosion « avait été fortement obscurcie » par la poussière.

De nos jours le télescope spatial Spitzer a mesuré « des mouvements marqués » en lumière infrarouge et les a trouvé beaucoup trop rapides, même pour une explosion de supernova. La nouvelle explication est « un écho léger » (bien que « écho de la chaleur » serait plus précis) : La naine blanche de la supernova émet des éruptions de rayonnement qui réchauffent les vrilles de poussière du voisinage. Les « points chauds », où le front du rayonnement rencontre la poussière, semblent se déplacer « à des vitesses énormes », mais la poussière ne se déplace pas. Personne n'a abordé la question de savoir si l'explication « d'écho léger » ébranlait les hypothèses sur lesquelles le retro-calcul est basé.

En plus des mouvements anormaux, la nébuleuse montre une mystérieuse « augmentation d'éléments ». Quelques parties sont enrichies en fer, d'autres en silicium, d’autres encore en calcium ou en soufre. Ces observations sont devenues habituelles avec les nébuleuses, provoquant des exclamations au sujet des caractéristiques « inattendues » qui ne sont « pas bien comprises ». Dans l'image ci-dessus, le bord externe gauche est enrichi avec du fer. Selon la théorie admise de la structure stellaire, le fer se trouvait au cœur de l’étoile avant qu'elle éclate. L'explosion a « renversé » d’une façon ou d'une autre les couches de l'étoile, jetant l'extérieur à intérieur et laissant l'extérieur à l'intérieur.

Mais un autre point de vue est possible. En assortissant les éléments et la matière se déplaçant à diverses vitesses à ce que fait l'électricité dans l'espace. L’électricité organise aussi la matière en filaments. Et ces filaments montrent souvent des vrilles et des tresses et des noeuds dans des cordes de « perles » que montre l'image ci-dessus. Les forts champs électriques dans les « doubles couches » ou dans les murs isolants des cellules et des filaments environnants accélèrent les ions et les électrons en rayons X et même aux énergies des rayonnements cosmiques. Ils produisent aussi les abondantes ondes radio qui ont en premier attiré l’attention sur cette nébuleuse. Le point de vue de l’Univers Electrique suggère que cette production énergétique de Cassiopeia A, comme de tous les vestiges de nébuleuses planétaires et de supernovas, sont le résultats d'un « pincement » dans un courant de plasma. Le courant local fait partie d'un plus grand circuit galactique, et les effets de décharge de ce courant sont révélés par les « jets » qui émergent de la nébuleuse à gauche et à droite.

Dans les vues du modèle électrique, une supernova n'est pas tant une explosion mécanique qu’une décharge électrique : Un coup de foudre stellaire. La nébulosité qui l’accompagne peut ou non venir de l’étoile centrale ; dans l'un ou l'autre cas, elle aura été répartie, condensée, raréfiée, accélérée, ralentie, et changée autrement de son état précédent par la force électrique. Le rétro-calcul n'est pas un guide fiable pour dater l'éruption du rayonnement. Personne n'a vu la flambée soudaine de Cassiopeia A en 1667 parce que, très probablement, elle ne s’est pas déclenchée à cette époque.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 28/06/2006 - 18:02:47


Le débat sur le « Soleil de Fer (3) »
qui détruit le mythe de l’implosion de supernova


Image
Credit: NASA/STScI/CfA/P Challis

Légende : L'événement de la supernova 1987A, le plus proche depuis l'invention du télescope.



Le 24 janvier 2006


Quand une étoile appelée « SK -69 202 » éclata le 24 février 1987, devenant la « supernova 1987A », l’impact sur la théorie conventionnelle fut aussi grand que le prodige visible dans les cieux. L'événement « ne conforta pas la théorie », mais sembla plutôt impliquer une décharge électrique catastrophique.


Avant la supernova 1987A, les astronomes supposaient qu'une supernova signalait l'agonie d'une étoile super géante rouge. Mais l’étoile qui éclata -- SK -69 202 -- était une super géante bleue, peut-être 20 fois plus petite qu'une super géante rouge et d'une catégorie d’étoile très différente.

Les astronomes supposaient depuis longtemps que les supernovæ arrivent par « épuisement du carburant nucléaire » d’une étoile, entraînant un effondrement, ou une implosion, suivi d'un violent effet de « rebond » quand les couches externes de l’étoile frappent son cœur. Le souffle résultant, disent-ils, éjecte une enveloppe sphérique de matériaux dans l'espace interstellaire où elle heurte son propre vent stellaire se déplaçant plus lentement, générant dans ses débuts des phases plus stables.

Mais la supernova 1987A raconte une histoire différente.

Ci-dessus sont représentées les modifications d’apparence de la supernova 1987A sur une période de 27 mois, illustrées par le télescope spatial Hubble. La photographie montre trois anneaux alignés sur leur axe. L'anneau intérieur lumineux a un diamètre d’environ 1,3 année-lumière. La théorie conventionnelle des supernovæ n'a pas prévu, ou anticipé de quelque façon, la structure bipolaire caractéristique de la supernova 1987A, semblable à celle de beaucoup de nébuleuses aujourd’hui documentées. La théorie n’a rien à dire non plus au sujet des « perles » lumineuses.

Puisqu'il y a une habitude enracinée aujourd'hui d’interpréter à nouveau les surprises de l'âge de l'espace comme si elles n'étaient pas vraiment des surprises, les lecteurs feraient bien de se rappeler la déclaration originale du Dr. Chris Burrows de l'Agence Européenne Spatiale et de l'Institut de la Science du Télescope Spatial de Baltimore au Maryland, quand la supernova 1987A a été découverte la première fois. « C'est un objet sans précédent et bizarre. Nous n'avons jamais vu quelque chose se comporter ainsi avant ». Ainsi, « le tableau astronomique du jour », du 5 juillet 1996, expose sans tergiversation que « les origines de ces anneaux restent toujours un mystère ».

Néanmoins, l'inertie de la théorie antérieure est assez forte pour que les astronomes continuent à identifier les anneaux comme des « enveloppes » de gaz heurtées par le « choc frontal » de grande énergie de la supernova -- pourtant il suffit de regarder les images pour voir que les anneaux ne sont pas des enveloppes. Ce sont des tores (anneaux) autour d'un centre dynamique occupant l’axe commun – une structure caractéristique observée dans les expériences de décharges de plasma à grande énergie. Mais l’aspect décisif de SN 1987A est dans les perles lumineuses.

Le nombre et la position des perles se conforment aux filaments de courant de Birkeland dans une puissante décharge de plasma connue sous le nom de « z-pinch » [auto-constriction du plasma parcouru par de forts courants électriques]. Le théoricien du modèle électrique Wallace Thornhill a prévu que, « … l'anneau ne se développera pas comme c’est attendu d’une onde de choc. Quelques taches lumineuses peuvent être vues tournant l’une autour de l'autre et fusionnant. C'est une occasion… d’être capable de vérifier la nature de décharge électrique d'une supernova. »

Il y a plus de cinquante ans un scientifique britannique, le Dr. Charles E.R. Bruce (1902-1979), arguait que la forme bipolaire, les températures et les champs magnétiques « des nébuleuses planétaires », pouvaient s’expliquer comme une décharge électrique. Etant ingénieur électrique, versé dans le comportement de la foudre à haute énergie et camarade de la Société Astronomique Royale, Bruce avait une position idéale pour faire cette découverte. Il a été ignoré.

Depuis cette époque, la structure et la dynamique de la décharge électrique à haute énergie dans le plasma a bien été recherchée -- d'une manière plus importante, dans les travaux de Hannes Alfvén, lauréat du Nobel, et sur les deux décennies passées ou plus, par Anthony Peratt, un proche collègue d'Alfvén.

Le travail des électriciens cosmiques porte directement sur le débat du « Soleil de Fer ». Quand Oliver Manuel commença la formulation de son modèle de Soleil [Le lien original est cassé], les idées à propos des supernovæ reposaient au cœur de sa pensée. A partir d'une étude de la composition isotopique peu commune des météorites, Manuel conclut qu’ils étaient formés des restes d'une supernova. En cela, il suivit un principe de l'astronomie conventionnelle, arguant que les éléments plus lourds que le fer et le nickel du Système Solaire sont créés par des supernovæ éloignées sur des milliards d'années. Sauf que Manuel conclut que la supernova créant le fer et autres éléments lourds abondants dans les météorites était le précurseur de notre Soleil.

Bien que le modèle du Soleil de Fer porte en lui-même une critique perspicace du modèle standard de la fusion nucléaire solaire, Manuel n’a pas brisé ses liens avec le vieux concept gravitationnel sur la nature des supernovæ ; mais il a ajouté un nouvel aspect, suggérant que le Soleil cache en son sein une étoile à neutrons qui accumula une enveloppe de fer après l'explosion de la supernova du Soleil.

Comme les théoriciens du modèle électriques le voient, l'erreur de suivre un mythe conventionnel plaça constamment Manuel sur une voie limitée par la mort. Le modèle électrique du Soleil, revendiqué par ses théoriciens, peut expliquer tous les phénomènes étranges que montre le Soleil et son environnement. Et les explications n’ont pas besoin de deviner ce qui est à l'intérieur du Soleil ou d’avancer des événements peu probables menant à la naissance du Soleil.

En ce qui concerne la naissance des étoiles, le modèle du Soleil Electrique embrasse la nouvelle science de la cosmologie du plasma. La cosmologie du plasma peut démontrer les principes des naissances d’étoiles dans le « z-pinch » du plasma ; et ils obtiennent leurs résultats en laboratoire et avec des simulations sur ordinateurs géants. En revanche, la vieille notion de nuages moléculaires s'effondrant par gravité, qui débuta comme une hypothèse théorique, n’a jamais trouvé le soutien exigé de l'observation. Il n’a jamais non plus été montré comment les planètes peuvent se former à partir d'un anneau de poussière autour d'une étoile, une exigence cruciale.

Les explosions stellaires furent toujours un problème pour la théorie gravitationnelle classique. Qu'est-ce qui peut déclencher le dégagement soudain d'une aussi prodigieuse énergie ? L'implosion soudaine d’une étoile par gravité est une idée ingénieuse pour le déclenchement, mais fortement invraisemblable car elle exige une symétrie sphérique à l’immense échelle d'une étoile. Les éjections observées des restes de supernova prouvent que le processus est symétrique à son axe. Cependant, si une étoile est le centre d'une décharge électrique galactique de concert avec la stratification de charge interne, elle peut naturellement subir une expulsion « d’éclair de foudre » stellaire pour soulager la tension électrique. Une étoile électrique a de l'énergie électromagnétique stockée dans un anneau de courant équatorial, tel que le tore autour de notre Soleil (visible en lumière UV, image ci-dessous). Comme déclaré par le théoricien du modèle électrique Wallace Thornhill, « La matière est éjectée sur des basses latitudes par les décharges entre l'anneau de courant et l’étoile. Le Soleil fait cela régulièrement à petite échelle. Toutefois, quand l'énergie stockée atteint une certaine valeur critique elle peut se libérer sous la forme d’une décharge bipolaire axiale, c’est-à-dire, sous la forme d’une éjection de matière le long de l'axe de rotation du Soleil. »



Image
L’anneau équatorial du Soleil – Vue polaire en lumière UV



La création de métaux lourds, selon Thornhill, n’a nul besoin d’une supernova. Dans le modèle de l’étoile électrique, l’énergie électrique produit des éléments lourds près de la surface de toute étoile -- une prétention soutenue en plus maintenant par les propres résultats d’Oliver Manuel.

Mais le modèle du Soleil de Fer fait la déclaration curieuse que l'énergie des neutrons, soi-disant repoussés du cœur de l’étoile à neutrons, fournit la majeure partie de l'énergie radiante du Soleil, et les protons le vent solaire. Le modèle du Soleil Electrique dit, entre autres, que cette énergie électrique externe, fournie par la galaxie, est responsable de produire la puissance radiante du Soleil, du vent solaire et de la plupart des éléments lourds vus dans le spectre solaire. La production des atomes de fer exige une absorption d'énergie. Ainsi, toute étoile participe à la synthèse des éléments lourds. (C'est une théorie bien plus satisfaisante que celle qui compte sur les rares supernovæ, qui dispersent ensuite leurs éléments lourds dans les profondeurs de l'espace). Le vent solaire est simplement une nappe de courant équatoriale [galactique] faisant partie du circuit qui « contrôles » le Soleil. Le champ magnétique du Soleil est généré par un puissant courant continu variable entrant dans le Soleil. On doit donc seulement s’attendre à ce que les variations de puissance observées se reflètent dans le cycle des taches solaires et dans les changements de l'intensité des rayons X et du champ magnétique du Soleil. Aucune mystérieuse « dynamo » à l'intérieur du Soleil ne peut expliquer ces combinaisons synchrones.

Le modèle du Soleil Electrique prévoit la construction des noyaux atomiques les plus lourds et des protons et des neutrons aux pieds des éruptions solaires. Mais il s'attend aussi à ce que la plupart des réactions nucléaires se produisent dans les décharges en tornades qui forment des granulation solaires (là où la cuisine nucléaire est en pleine vue). En particulier, la dernière prévision s’accorde avec l'anti-corrélation observée entre le compte de neutrino et le nombre de tache solaire. Plus il y a de taches solaires, moins il y a de granulations et de neutrinos solaires. Cette corrélation unique ne s’accorde avec aucun modèle proposant une source d'énergie intérieure au Soleil, sans rapport avec les taches solaires.

Pour un Soleil Electrique, ce qui se produit au cœur du Soleil est de peu de conséquence. Nous devrions nous attendre à un cœur solide ou liquide incompressible composé d'éléments lourds rassemblés lors du z-pinch primordial et plus tard synthétisés par la continuelle décharge stellaire. Mais puisque la sphère rougeoyante que nous appelons Soleil est une puissante décharge électrique dans son atmosphère, nous devons naturellement nous attendre à ce que l'élément le plus léger, l’hydrogène, prédomine comme médium du plasma pour la décharge. Il n'y a nul besoin de postuler une source d'énergie interne pour entretenir la photosphère puisque (comme l'observation directe le confirme) la photosphère et les phénomènes au-dessus de la photosphère, tels que les éruptions et les proéminences, ne sont pas régis par la gravitation.

L'énergie qui alimente en combustible le Soleil peut être transférée sur des distances cosmiques via les lignes de transmission des courants de Birkeland. Cette énergie peut être libérée graduellement ou stockée dans un circuit stellaire et déchaînée de façon catastrophique. Les circuits cosmiques maintenant révélés, se faufilant le long des bras de la Voie Lactée, et non pas les étoiles, sont la source d'énergie pour l'explosion des supernovæ. Seule une source d'énergie externe peut expliquer pourquoi la production continue d'énergie de certaines nébuleuses, telles que Eta Carina, peut surpasser ce qui est disponible dans l’étoile centrale.

Une supernova ne signale pas l'agonie d'une étoile. Rien ne « meurt » à l’intérieur d’une étoile. Elle n’annonce pas non plus la naissance d'une étoile à neutrons.



A suivre le 26 janvier 06 : Météorites et mythe moderne de la genèse du Système Solaire.


Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 29/06/2006 - 14:47:13


Les restes de la supernova de Kepler

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Credit: Kepler's SNR from Chandra, Hubble, and Spitzer, R. Sankrit and W. Blair (JHU) et al., ESA, NASA


Le 3 novembre 2004



Il y a quatre cents ans, avant l'invention du télescope, les astronomes furent stupéfiés par l'aspect d'une nouvelle étoile. Elle s’est rapidement estompée jusqu’à devenir invisible, mais ils ont noté sa position dans le ciel. Ultérieurement, les astronomes aidés de télescopes, ont retrouvée à l'endroit de la nouvelle étoile un nuage nébuleux de gaz rougeoyant (image ci-dessus). La théorie en développement du fonctionnement nucléaire des étoiles les a menées à croire que le nuage était une enveloppe sphérique de gaz soufflée au loin par l’éclatement de l’étoile.

Avec la découverte que de tels nuages rougeoyants et leur étoile centrale étaient entièrement composé de plasma, quelques astronomes se rendirent compte que les forces électriques devaient être prises en considération. L'invention des télescopes plus puissants (le jaune est la lumière visible dans l’image) et de télescopes qui pouvaient « voir » les rayons X (en vert et bleu) et la lumière infrarouge (en rouge) confirmèrent la nature électrique de ces nuages.

On attendrait de l’éclatement d’une étoile isolée la génération d’un nuage de gaz sphérique. A la place, le nuage est du plasma, et il révèle l’aspect caractéristique du plasma à s'organiser en réseau de filaments de courant électrique (signalés en particulier par les zones jaunes et vertes). En outre, le nuage n'est pas sphérique mais il affecte distinctement une forme bipolaire, rappelant un peu la forme d'un cerveau vu d'en haut. Cet axe à travers la nébuleuse et l’étoile centrale est le chemin des courants de Birkeland qui fournissent la puissance activant le système.

Et cette énergie est dépensée dans plus que la lumière visible qui révèle les filaments : Autour de la périphérie du nuage, à la surface de l’enveloppe de plasma qui sert de médiateur entre les champs électriques interne et externe, peuvent être vus les points brillants de l'émission des rayons X (bleu). C'est là que les courants de l’enveloppe s’écoulent entre des différentiels à haute tension et, comme dans la machine à rayons X d'un dentiste, les particules porteuses de courants sont accélérées pour transformer l’énergie en rayons X. Nous voyons ces taches de rayons X essentiellement au bord de l’enveloppe parce que c'est là que nous voyons les courants, qui transmettent les rayons X dans notre direction.

Au lieu du résultat d'une explosion mécanique, la nébuleuse est le résultat de l’augmentation soudaine du courant qui actionne l’étoile centrale, une subite surtension électrique stellaire. L’enveloppe (qui entoure chaque étoile et qui est en général invisible) a été poussée à l'état d’un « rayonnement » de décharge ; l’accroissement de courant étire la matière de l’étoile et de l'espace environnant en filaments qui composent ce courant ; et tout cela est chauffé électriquement. Une telle surtension subite aurait eu un début soudain et un déclin exponentiel -- juste comme un coup de foudre. La nouvelle étoile que les astronomes du 17ème ont vu éclater dans leur ciel était un coup de foudre stellaire. Ce que nous voyons sont les suites de son déclin.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 01/07/2006 - 13:48:46


L’étoile de Tycho de la théorie à la pratique

Image
Credit: NASA/CXC/Rutgers/J.Warren & J.Hughes et al.


Le 30 septembre 2005



Une supernova vue en 1572 fut depuis lors interprétée de plusieurs manières. Les dernières observations des rayons X invitent encore à une autre manière de la concevoir.


Une théorie n'explique pas juste ce que vous voyez. Elle indique aussi quoi rechercher et comment le voir. Cette interdépendance de fait et de théorie, de perception et de conception, permet aux êtres humains d'adapter leur compréhension limitée aux changements d’expériences. Puisque les expériences souvent ne changent pas de manière franche et cumulative, la fabrication des théories se prolonge au delà des explications actuellement admises pour demander « Qu’est-ce que cela pourrait être d’autre ? »

Cette image de Chandra X-ray de l’étoile Tycho est un récent changement d’expérience. En 1572, Tycho Brahe, le célèbre astronome danois, a vu une « nouvelle étoile », ce que nous appelons maintenant une supernova. Quand plus tard les astronomes tournèrent leurs télescopes sur le faible reliquat de la supernova de Tycho, ils virent un nuage lumineux circulaire autour d’elle. La théorie de l'évolution stellaire explique les supernovae comme de massives étoiles qui par la suite éclatent en rejetant hors d’elles une enveloppe de gaz. Les astronomes recherchèrent des enveloppes de gaz, et dans ces nuages lumineux circulaires ils virent des enveloppes de gaz.

Mais comme ils regardaient plus attentivement et regardaient plus de supernovae, les nuages lumineux circulaires commencèrent à sembler différents -- et parfois très différents -- de ce que la théorie disait qu’ils devaient regarder. Alors les astronomes ajustèrent la théorie et ils interprétèrent à nouveau comment sont les nuages à voir jusqu'à ce que le à regarder et le vu soient d'accords.

Maintenant Chandra modifie encore l'expérience des supernovae. La théorie conventionnelle compte toujours voir des enveloppes de gaz, mais les enveloppes sont des ondes chocs qui compriment et chauffent les gaz à des millions de degrés. La majeure partie des débris de l’explosion de l’étoile devraient être à la traîne derrière l'onde de choc.

Dans cette image, la supernova de Tycho a deux ondes chocs (les filaments de haute énergie, montrés en bleu), et le nuage de débris (les rayons X de basse énergie, montrés en vert et rouge) ne traîne pas derrière. Les mesures indiquent que les rayons X bleus sont « non thermiques », ce qui signifie qu'ils ne viennent pas de « gaz chauds ». (La température de million de degrés n'est pas une mesure directe mais elle est calculée selon la façon dont un gaz chaud doit émettre des rayons X avec l'énergie observée.)

Les astronomes conventionnels pensent qu'ils peuvent ajuster la théorie pour faire que l'onde de choc extérieure accélère les noyaux d’atomes aux énergies des rayons cosmiques. Alors s'ils voient des filaments bleus et des débris suivant de près en résultat de cette accélération, le à regarder et le vu peuvent encore s’harmoniser.

Mais qu’est-ce que cela pourrait être d’autre ? La théorie du plasma explique les supernovae comme des étoiles qui développent des instabilités dans les courants galactiques de Birkeland qui les actionnent. De la même manière qu'une double couche instable (DL) explose sur le Soleil dans une éruption, une DL entourant une étoile explose en supernova. L'énergie est libérée dans l'accélération des ions, principalement le long de l'axe du courant, et dans l'émission de rayonnement non thermique, particulièrement le rayonnement radio et X.

[En aparté, il est amusant de noter que la théorie conventionnelle considère que quelque chose à une température de millions de degrés est un plasma (bien qu'elle ignore les propriétés électriques). A cette température, tous les atomes sont entièrement ionisés et leurs noyaux sont correctement appelés des ions. Mais les ions sont accélérés par les champs électriques. Les « noyaux » exigent des ondes de chocs extrêmes pour obtenir d’être déplacés rapidement. Ainsi la théorie dicte non seulement quoi rechercher et comment le voir, mais aussi quels mots utiliser pour le décrire.]

Les astronomes du plasma ne voient dans cette image qu'une décharge en forme de sablier vue du bas de l'axe du courant. L'anneau bleu est l'extérieur du courant tubulaire de Birkeland conduisant la décharge. Ils notent qu'il se compose de filaments se développants en spirales et de taches lumineuses plus ou moins également espacées, le comportement qui est observé dans des expériences de laboratoire et des simulations sur ordinateur de la décharge dans le plasma. Ils notent que les débris verts et rouges sont groupés en masse compacte dans des bulles ou des cellules, un autre comportement typique du plasma. Ceci produit « comme un chou-fleur » à la surface de la décharge. Si elle était vue de côté, la supernova de Tycho ressemblerait sans doute beaucoup à Eta Carinae.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 05/07/2006 - 10:32:21


Taches solaires et tremblements de terre

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Picture Credit: http://history.library.ucsf.edu/imagelib/ Chart: New scientist


Le 4 avril 2006



L'intérêt pour la civilisation de prévoir le lieu et le moment des tremblements de terre préjudiciables est évident. Les possibles dévastations de biens, qui autrement pourrait être sécurisés, et les pertes de vies, qui autrement pourraient être empêchées, sont de puissantes raisons pour découvrir des facteurs prédictifs.


Certains scientifiques ont pris conscience d'une corrélation entre les taches solaires et les tremblements de terre, et ils veulent utiliser les données solaires pour aider à les prévoir. La théorie veut qu'une intensification du champ magnétique puisse causer des transformations dans le globe terrestre. La NASA et l'Union Européenne des Géo-sciences ont déjà mis leur tampon d'approbation sur l'hypothèse des taches solaires, suggérant que des changements environnementaux Soleil-Terre affectant le champ magnétique terrestre, peuvent déclencher des tremblements de terre dans les zones prédisposées. Comment ce déclenchement pourrait se faire n’est pas clair.

Dans le Journal of Scientific Exploration, vol. 17, n° 1, pp. 37-71, 2003, se trouve un excellent rapport abordant les plus réalistes problèmes se posant aux géophysiciens essayant de comprendre les tremblements de terre. Le papier est intitulé, Roches qui crépitent et étincellent et rayonnent : Phénomènes étranges précurseurs de tremblements de terre, par le Dr. Friedemann T. Freund, un professeur du Département de la Physique, de l'Université d'Etat de San Jose (Californie), et d'un chercheur supérieur du Centre de Recherches Ames de la NASA. Le Dr. Freund écrit, « Beaucoup de phénomènes étranges précèdent les grands tremblements de terre. Certains d'entre eux ont été rapportés pendant des siècles, et même des millénaires. La liste est longue et variée : Renflement de la surface terrestre ; changement des niveaux d'eau dans les puits ; brouillard rasant le sol ; émission de basse fréquence électromagnétique ; tremblement de terre illuminant les arêtes et les sommets des montagnes ; anomalies du champ magnétique jusqu'à 0,5% du champ du dipôle terrestre ; anomalies de températures de plusieurs degrés dans de larges zones, comme vu dans les images satellites ; changements de densité du plasma ionosphérique ; et comportement étrange des animaux. Comme il semble presque impossible d'imaginer que d’aussi divers phénomènes puissent avoir une cause physique commune, il y a une grande confusion et une encore plus grande polémique. »

Freund esquisse le problème de base : « Sur la base de relevés de résultats de mesures électriques de laboratoires, il semblait n’exister aucun mécanisme pouvant expliquer la génération de ces grands courants dans la croûte terrestre, qui sont nécessaires pour expliquer les forts signaux électromagnétiques et les anomalies magnétiques qui ont été documentés avant quelques tremblements de terre. Malheureusement, quand un ensemble d'observations ne peut s’expliquer dans le cadre des connaissances existante, la tendance est de récuser l'observation. Par conséquent, un malaise général s’enracine dans la communauté géophysique quand il arrive à de nombreux phénomènes non sismiques et non géodésiques d’être signalés comme précurseurs des tremblements de terre… Il ne semble y avoir aucun véritable processus physique par lequel des courants électriques de grandeur suffisante pourraient être produits dans les roches de la croûte. »

Freund fait une excellente tentative pour expliquer tous les phénomènes en termes de roches agissant comme un type de matériau semi-conducteur une fois placé sous tension. Par exemple, l'émission d’ions positifs par la surface de la Terre peut agir comme catalyseur des brouillards rasant la Terre, qui se produisent parfois avant l'activité d’un tremblement de terre. Et, bien que le potentiel extérieur puisse être dans la gamme des 1 à 2 Volt seulement, le champ électrique associé peut atteindre des centaines de milliers de volts au centimètre, assez pour causer des effluves électriques, ou des « lumières de tremblements de terre ». Les anomalies thermiques vues de l'espace avant un tremblement de terre peuvent être dues à l'émission de lumière infrarouge où la charge des semi-conducteurs se recombine à la surface. Le comportement dérangé des animaux peut être dû à la présence d’ions positifs dans l’air.

Comme le dit Freund, cette théorie place l’explication dans le domaine de la physique des semi-conducteurs, ce qui signifie que les géo-scientifiques ne sont pas les meilleures personnes pour la juger. Cela explique pourquoi le papier apparaît dans un journal spéculatif. Freund déplore que, « Le système d'examen par les pairs met souvent des obstacles quasi insurmontables contre les publications de données qui semblent contraires aux anciennes croyances ». Freund a identifié une source de charge dans les roches sous tension qu’il n'était pas possible de croire. Il dit, « … une fois entièrement énoncée et comprise, l'histoire des p-trous [? p-holes ?] est foncièrement si simple que beaucoup de géo-scientifiques classiques se sont étonnés du pourquoi leur découverte a pris tant de temps. S'ils sont aussi omniprésents qu'ils semblent l’être, pourquoi les p-trous sont-ils passés inaperçus pendant plus de cent ans ? Confrontés à cette question, par une distorsion de logique, beaucoup de « classiques » succombent à l'impulsion de rejeter hors de toute réflexion le concept du p-trou.

Les difficultés rencontrées à propos des p-trous sont semblables à d'autres qui ont ponctué l'histoire des sciences. La découverte des p-trous comme porteurs de puissantes charges encore latentes dans la croûte terrestre exige un nouveau paradigme pour la recherche sur les tremblements de terre et au-delà. Le plus souvent, tout appel à un nouveau paradigme provoque l'opposition. Par conséquent, je conclus avec une citation du philosophe Arthur Schopenhauer, qui s’aventura à dire : « Toute vérité passe par trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle reçoit une violente opposition. Puis, on l'accepte comme évidente en soi ». »

Si Freund a eu un problème avec une idée admise aussi simple, quelles seront les difficultés pour obtenir des astronomes et des géo-scientifiques qu’ils acceptent que la Terre est un corps chargé dans un Univers Electrique ?

Le lien manquant entre les taches solaires et les tremblements de terre est le fait que les décharges électriques sur le Soleil, causant des taches solaires, affectent aussi l'ionosphère de la Terre. L'ionosphère constitue l’une des « armatures » d’un condensateur, tandis que la Terre constitue l'autre. Les changements de la tension sur une armature induiront un mouvement de la charge sur l'autre. Mais à la différence d'un condensateur, la charge terrestre est distribuée sous la surface. Et si la roche souterraine est devenue semi-conductrice à cause de la tension, il existe une chance pour qu’une rupture électrique soudaine se produise à travers cette roche. Le mystère du comment est généré le courant est résolu et le lien avec les taches solaires est établi. La foudre sous la surface de Terre cause des tremblements de terre ! Les ondes sismiques sont l'équivalent du grondement de tonnerre. L'énergie libérée peut être équivalente à l’explosion de nombreuses bombes atomiques, mais seulement une petite proportion doit venir de la libération des contraintes dans les roches. La majeure partie vient de l'énergie électrique interne stockée dans la Terre.

La dernière publication du journal Spectrum de l'IEEE, met en manchette un article basés sur le travail de Freund, qui examine les façons de prévoir les tremblements de terre. Une fois encore, il semble que la science progresse beaucoup mieux aujourd'hui dans les mains des ingénieurs électriques.



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petrus
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Message par petrus » 14/07/2006 - 9:20:27


Eclairs géants dans l’espace

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Credit: Agence Spatiale Européenne


Le 22 mars 2006



Que pouvons-nous penser au sujet des illuminations géantes de foudre spatiale ? Pouvons-nous penser que l'espace est neutre ou vide face à ces spectaculaires décharges ?


Les pilotes qui les ont vues ne parleront pas d’elles par crainte du ridicule ou pire. Les pilotes dont les avions ont été frappés par elles n’en parleront pas parce qu'ils sont morts. Au début des années 90, les investigateurs commencèrent à prendre au sérieux les rumeurs et à rechercher les preuves de la foudre au-dessus des nuages.

Ils trouvèrent tout de suite des images dans les photos satellites archivées, et ils enregistrèrent des centaines de flashs au-dessus des orages éloignées. Comme des halos de lumières de néon géantes apparaissant à 85 kilomètres au dessus des orages. Les lueurs se propagent vers le bas pour former les globes rouges de filaments entrelacés. Les courants sont pressés en canaux de 30 mètres de large dispersées sur des zones de centaines de kilomètres carrés et disparaissent dans les nuages. Les lueurs sont si diffuses qu'elles ne semblent guère un danger pour les avions. Les chercheurs les appellent des « farfadets » [sprites].

Les chercheurs ont bientôt découvert une autre forme de foudre au-dessus des nuages. Le « jet bleu » jaillissant du haut des orages aussi loin que 15 kilomètres vers l'espace. Plusieurs jets géants se projettent jusqu'à 80 kilomètres. Les jets sont plus compacts que les farfadets.

Et sous les nuages les chercheurs ont documenté d’extraordinaires frappes de foudre « positive ». Ces coups de foudre sont six fois plus puissants que la foudre « négative » ordinaire, et ils durent dix fois plus longtemps. Là où la foudre ordinaire peut percer un trou minuscule dans une aile, la foudre positive peut brûler et déchirer des pièces distantes à travers les piliers et les fils. Ces coups de foudre portent des forces plusieurs fois supérieures à la résistance conçue pour les avions. Lors d’une catastrophe, les rivets ont fondu. Dans un autre, une conduite a été écrasée et tordue. Les spécialistes en accident ont suspecté que ces avions avaient été abattus par des frappes de foudre positive.

Les chercheurs ont finalement été capables de corréler leurs observations. Ils ont réalisé que chaque fois qu'il y avait un farfadet au-dessus des nuages il y avait un coup de foudre positif sous les nuages. Le farfadet et le coup de foudre positif faisaient partie d'une seule décharge s’étendant de l'espace à la surface de la Terre.

Les farfadets, les jets et les coups de foudre positifs sont banals. Maintenant que les scientifiques ont cessé de croire que de tels phénomènes sont impossibles, ils les trouvent dans de vieilles photographies. Les pilotes disent voir des farfadets depuis qu’ils ont commencé à voler. Il y a certainement un préjugé culturel : Les gens tendent ne pas croire tout ce qui est peu familier. Et il y a probablement un préjugé sensorielle : Les humains n'ont aucun organe sensoriel pour détecter les forces électriques et magnétiques, et ils tendent à croire que s’ils ne sentent rien, il n’y a rien.

Il y a aussi un préjugé théorique : Sans théorie permettant de comprendre une observation, nous ne tendons même pas la percevoir. La croyance à une théorie qui explique déjà un phénomène détournera votre attention des décalages et des anomalies associés à ce phénomène.

La reconnaissance que les méga-éclairs sont une connexion entre la Terre et l'espace ouvre l’étude d'autres possibilités. Peut-être que le courant entre la Terre et l'espace fait partie d'un plus grand circuit. Peut-être que les orages ne produisent pas la foudre mais que la foudre produit les orages. Venus, après tout, a une foudre considérable, une foudre plus puissante que sur Terre, et elle a une atmosphère de smog : La foudre dans le smog contredit la théorie de la génération de la foudre par les orages.

Peut-être que la foudre entraîne aussi le vent. Neptune a les vents les plus forts de toutes les planète du Système Solaire, pourtant elle est la plus éloignée du Soleil et de sa chaleur : Les rafales froides contredisent le modèle thermique des mouvements de l'air. Peut-être que les ouragans et les tornades et même les diables de poussière sont des vortex électriques. Seulement récemment les chercheurs ont pensé rechercher les champs électriques dans les diables de poussière -- et en ont trouvé quelques uns vraiment forts.

Les astronomes tentent d'expliquer les rayons, les vagues et les mouvements des anneaux de Saturne avec la théorie familière de la pesanteur, mais même s’ils réussissent ils auront ignoré l'influence omniprésente des courants électriques dans le Système Solaire. Les explications seront simplement instrumentales, expliquant les dehors familiers mais oublieux du terreau d’où ils émanent.

Une théorie aussi instrumentale peut être une chose dangereuse quand elle a plusieurs applications pratiques : Les expériences de satellites reliés, ignorant l'électricité dans l'espace, ont probablement eu comme conséquence l'étincellement et l’incendie au travers de l’attache. Le programme d'ascenseur de l'espace abattra le plein voltage de cet oubli sur la Terre. Et n'oublions pas l'image de la navette Columbia, lors de sa dernière rentrée poursuivie en bas par un tire-bouchon rouge bleuâtre de ce qui peut avoir été un coup de méga-foudre détruisant une nef.



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petrus
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Message par petrus » 23/07/2006 - 14:25:21


Les « étoiles à neutrons » réfutent leur propre existence

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Vue des vestiges de la supernova RCW 103 du XMM-Newton



Le 21 juillet 2006



Encore des difficultés pour la théorie standard sur les supernovae et les « étoiles à neutrons » -- un mauvais comportement d’un « vestige de supernova ».


Dans les dernières décennies de l'exploration spatiale, nous nous sommes de plus en plus accoutumés à voir certains mots et expressions dans les communiqués de presse scientifique. Il sera difficile ou impossible d'énumérer tous les exemples de découvertes spatiales ayant provoqué le choc et la perplexité des chercheurs traditionnels. « C'est une surprise complète »… « Ceci ne devrait pas être »… « Nous ne sommes pas sûrs »… Etant donné l’assurance avec laquelle le grand tableau cosmologique est présenté dans des médias scientifiques, on penserait que de tels rapports sont rares, mais en fait, pratiquement aucun des résultats des événements importants de l'âge spatial n'a été prévu.

Récemment, les astronomes ont annoncé la découverte d'un « mystérieux objet » qui, selon la sagesse conventionnelle, devrait être une très « jeune » étoile à neutrons, se comportant cependant comme si elle avait plusieurs million d'années. Selon le rapport de Space.com, « Imbriquée au cœur des restes d’une supernova éloignés de 10.000 années-lumière se trouve un objet stellaire comme les astronomes n'en ont jamais vu avant dans notre galaxie. A première vue, l'objet ressemble à un dense corps stellaire compact connu sous le nom d’étoile à neutrons entouré par une bulle de matériaux stellaires éjectés, exactement ce qui est prévu suite à une explosion de supernova. »

Mais les astronomes, qui ont observé l’étoile pendant guère plus de 24 heures avec le satellite à rayon X MMX Newton de l'Agence Spatiale Européenne, ont été assommés par ce qu'ils ont vu. Ses cycles d'émission étaient des dizaines de milliers de fois plus longs que la théorie le postulait pour « une étoile à neutrons fraîchement créée ».

« Le comportement que nous voyons embarrasse particulièrement en raison de son jeune âge, moins de 2.000 ans », dit Andrea De Luca, le directeur d'étude de l'Instituto Nazionale di Astrofisica (INAF) de Milan. « Pendant des années nous avons eu le sentiment que l'objet était différent, mais nous n'avons jamais vu pareilles différences jusqu'ici », dit De Luca.

Les étoiles à neutrons sont déclarées être les restes d’étoiles massives -- les super-géantes rouges boursouflées -- qui se sont effondrés après expiration de leur « four nucléaire », engendrant une supernova. Cet événement est dit expliquer les pulsars vestiges de supernovae. Les pulsars produisent des jaillissements de rayonnements jusqu'à des milliers de fois par seconde. Pour expliquer cela, les astronomes ont imaginé un objet stellaire super-affaissé, tournoyant plus rapidement du fait de son effondrement -- comme un patineur rentrant ses bras --, émettant un faisceau rotatif de rayons X tournant comme le faisceau d'un phare jusqu'à des milliers de fois par seconde.

La théorie conventionnelle voudrait dire que « l’étoile à neutrons » dans ce cas-ci tourne beaucoup trop lentement pour son âge imaginé à un couple de milliers d’années. Selon les partisans de l’Univers Electriques, ce genre de contradiction est inévitable dans la recherche sur les « étoiles à neutrons », parce qu'elles n'existent pas. Elles étaient une invention théorique basée sur une interprétation fondamentale fausse de la nature des étoiles, et par conséquent des supernovae.

Du point de vue de l’Univers Electrique, les étoiles sont formées dans un plasma « pincé », l’une des caractéristiques les plus communes observées dans le comportement des courants électriques dans le plasma. De grands champs magnétiques sont détectés dans les galaxies, et ces champs indiquent que des courants électriques énormes entrent dans les circuits à travers les galaxies. En fait, ces mêmes courants électriques donnent naissance aux étoiles et les font fonctionner. Les étoiles se comportent comme des électrodes dans une décharge de rayonnement galactique.

L'hypothèse de l'UE est que les supernovae ne sont pas causées quand une étoile perd son « four nucléaire » et s’effondre, mais plutôt qu’elles sont dues à un événement galactique catastrophique de décharge électrique concentré sur une malheureuse étoile. Et ces dernières années l'observation a apporté son soutien à seulement ce modèle. Par exemple, dans n'importe quelle galaxie donnée les supernovae arrivent avec une périodicité qui souligne leur connectivité par l'intermédiaire des circuits galactiques. Les étoiles ne contiennent pas leur propre source d'énergie.

La supernova 1987A fut l'événement de supernova le plus proche depuis l'invention du télescope. Elle fut doublement particulière parce que le précurseur avait été examiné avant l'explosion. Les théoriciens du modèle électriques disent que ce n'est pas une coïncidence si ce « meilleur exemple » a violé toutes « règles ». Le précurseur n'était pas l’étoile super-géante rouge prévue, mais un super-géante BLEU, peut-être 20 fois plus petite qu'une rouge super-géante. D'ailleurs, la structure de la supernova 1987A, avec trois anneaux alignés sur leur axe et un chapelet lumineux formant l'anneau équatorial, n'a aucune place dans le modèle standard des supernovae. Cependant, tout à propos de ces étoiles qui éclatent, a des correspondances directes dans les expériences de décharges à haute énergie dans le plasma en laboratoire. Et, en utilisant la théorie des circuits électriques, les théoriciens du plasma ont expliqué toutes les caractéristiques complexes du rayonnement pulsant des restes de supernovae sans besoin d’hypothétiques « objets super-denses » comme une étoile à neutron.

Maintenant la question est : Les astronomes vont-ils continuer à inventer des exceptions plus ad hoc à une théorie déjà trop compliquée d’exceptions, ou vont-ils faire une pause suffisante pour se demander si une nouvelle perspective est possible sur le zoo en expansion des types de supernovae et de bizarres « étoiles à neutrons » ?



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petrus
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Message par petrus » 24/07/2006 - 14:02:30


Le mythe du raccordement magnétique

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Credit: M. Aschwanden et al. (LMSAL), TRACE, NASA



Le 11 juillet 2006



Les ingénieurs électriciens et les théoricien du plasma cosmique vous diront que le raccordement magnétique est l'une des idées les plus contradictoires que les astronomes ont jamais dérivée de la croyance erronée qu'il n'y a aucun courant électrique dans l'espace.


Les astronomes aujourd'hui prennent sur le Soleil des images de quelque chose qu'ils appellent « le raccordement magnétique », et les sondes spatiales mesurent autre chose dans la magnétosphère de la Terre qui a été aussi reçu le même nom. Si vous interrogez un théoricien du plasma cosmique au sujet de ces derniers, il vous dira que les astronomes ne savent pas ce dont ils parlent. Ils regardent des phénomènes bien compris de plasma, de doubles couches explosant et de décharge électrique, pas de raccordement magnétique.

Quel côté triomphera ? Voici comment cela prend tournure. Maintenant que les astronomes regardent les vrais phénomènes plutôt que les élégantes équations, ils se rendent compte que celles-ci ne sont pas aussi prédictives qu'ils l’espéraient. Les équations de raccordement magnétiques servent pour les lentes décharges d’énergie durant des années, mais le soleil décharge en minutes des éruptions avec beaucoup plus d'énergie que prévu. Mais les astronomes ont aussi noté que toutes les fois que le raccordement magnétique se produit, il semble qu’il y ait reliées à elles des régions de l'espace appauvries en électrons [les théoriciens du plasma cosmique les appellent des courants électriques]. Les atomes appauvris en électrons voyagent à des vitesses allant jusqu'à 1000 km/sec [que les théoriciens du plasma cosmique reconnaissent comme l’une « des vélocités caractéristiques » du plasma en laboratoire]. Et les astronomes constatent que pendant le procédé de raccordement magnétique, se créé un flux de deux couche des particules qui se hâte de libérer l'énergie [les théoriciens du plasma cosmique les appellent des doubles couches].

Le seul problème que les astronomes ont toujours besoin de résoudre est pourquoi tellement plus d'énergie qu'ils ne le prévoyaient est produite par le processus. Hannés Alfvén a pu les aider ici : Dans le milieu des années 60, il lui a été demandé par la Swedish Power Company de résoudre un problème semblable à une échelle plus terre à terre. La compagnie utilisait de grands redresseurs pour convertir le courant électrique alternatif en courant continu pour l’emmener plus facilement au sud depuis les générateurs au nord des villes. Mais à un moment dans chacun le plasma dans le redresseur éclatait en causant des dommages considérable. Le problème s'est avéré être l’éclatement de doubles couches, comme celles trouvées dans « le raccordement magnétique » sur le Soleil. Les explosions dépensaient plus d'énergie que n’en contenait le plasma dans le redresseur parce que l'énergie du tronçon entier du circuit refluait dans la coupure. En Suède, c'était plus de 960 Km de fils électriques. Sur le Soleil -- bon, nous ne connaissons pas encore la longueur de ces circuits.

Les astronomes veulent sans aucun doute résoudre le problème du trop d'énergie libérée par le raccordement magnétique, et la réponse va sans aucun doute dépendre des dimensions « des régions appauvries en électrons ». Mais la question pour les historiens est celle-ci : Qui se souviendra ? Est-ce que cela s'appellera toujours le raccordement magnétique (bien que ne ressemblant plus guère à la théorie originale) ? Sa découverte sera-t-elle créditée aux premiers astronomes du 21ème siècle ? Ou l'histoire se rappellera-t-elle que les chercheurs du plasma comme Jacobson et Carlqvist expliquaient les éruptions solaires comme des explosions de doubles couches il y a 50 ans ?



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 26/07/2006 - 9:45:43


Archives des catastrophes planétaires

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Légende : Les emplacements des centres glaciaires (Ice core sites)
et l'évidence des brusques changements (evidence of abrupt change) de climat
il y a approximativement 5.000 ans sont dépeints ci-dessus,
avec les zones de retraits glaciaires (Retreat) à grande échelle.
Crédit : Lonnie Thompson, Université de l'Etat de l'Ohio



Le 7 juillet 2006



De nombreuses personnalités du groupe Thunderbolts soutiennent que le ciel de notre planète paraissait autrefois extrêmement différent de ce qu’il est aujourd'hui. La terre se déplaçait dans un environnement électrique plus dynamique en étroite interaction avec d'autres corps célestes, dont nos planètes voisines.


Si les événements célestes suggérés dans ces pages se produisaient, ils laisseraient en effet des empreintes physiques indéniables.

En fait, l’empreinte des événements est évidente dans beaucoup de données des couches géologiques. De pôle à pôle sur Terre (et sur chaque corps rocheux de l'espace), nous voyons les cicatrices laissées par des décharges électriques qui les creusent -- un effet d’arc électrique quand les corps chargés interagissent. Nous voyons des surfaces déchirées par des canaux qui affrontent chaque épreuve de décharge électrique et défient toute interprétation orthodoxe. Nous voyons des cratères circulaires géants avec des terrasses disposées en couches, des anneaux concentriques et des fonds plats peu profonds, les traits communs aux surfaces excavées électriquement, mais non typiques du creusement par impacts. Nous voyons des concrétions -- des masses sphéroïdales se produisant habituellement dans les strates sédimentaires -- comprenant des balles de Moqui, des géodes, des œufs de tonnerre, même de grandes concrétions ayant jusqu’à trois mètres de diamètre. Ces formations sphériques sont quelque part entre « difficile » et « impossible » en termes d’explications géologiques conventionnelles (« coulées minérales » étant actuellement le plus à la mode), mais beaucoup de caractéristiques seraient attendues de décharges électriques. Comme détaillé plusieurs fois dans ces pages, l’exposition et ses nombreuses variations dans les expériences de laboratoire produisent des sphérules. Le physicien du plasma CJ Ransom a reproduit les petites sphérules ou « myrtilles » vues sur Mars avec une simple expérience de décharge électrique.

Nous avons aussi la preuve qu’il y a juste quelques milliers d’années, il y eut une variation soudaine et dramatique du climat global de la Terre.

Une récente étude publiée dans le dernier numéro du journal Proceedings of the National Academy of Science mit en évidence un changement brusque de climat sur Terre il y a environ 5.000 ans -- la plupart des preuves dramatiques étant la découverte de plantes de marécage non fossilisées autour des bords de la calotte de glace Quelccaya. Cette même étude trouva les indices d'un changement vers un climat plus chaud dans les 50 dernières années. Tandis que la plupart des médias rapportèrent cette histoire dans le seul contexte du réchauffement global elle concerne, pour les partisans du Catastrophisme et ceux de l'Univers Electrique, un autre morceau du puzzle de l'histoire catastrophique récente de la Terre (et du Système Solaire).

Ce n'est pas la première fois que les scientifiques trouvent l'évidence d'un changement dramatique et récent du climat terrestre. En été 2004, le North Greenland Ice Core Project fora entièrement la glace (plus de 3000 mètres de profondeur) et remonta un échantillon du sol de la surface du Groenland. Un peu « de matière organique » décrite comme « matière végétale » était incorporée dans un échantillon de « fumier » du Groenland de dix centimètres de diamètre. Le communiqué de presse sur le projet déclara, « La présence de matière végétale sous la glace indique que la couche de glace du Groenland s’est formée relativement vite, car un glacier à croissance lente aurait chassé ou poussé ces légères particules ».

Les scientifiques ont construit l’histoire des changements climatiques du Groenland sur les 40.000 dernières années. Selon un texte de géologie, les Centre Glaciaire indiquent que « Le modèle normal du changement implique de nombreuses fluctuations rapides de température -- pendant les périodes glaciaires aussi bien que tout au long des périodes interglaciaires. Le climat chaud stable de la période interglaciaire actuelle est indéniablement anormal. »

Un partisan du Catastrophisme planétaire pourrait déclarer cela autrement : « Le stable climat chaud d'aujourd'hui reflète la stabilité actuelle du Système Solaire. Ce sont les violentes fluctuations du passé qui sont manifestement anormales. »

En allant juste un peu plus loin en arrière (géologiquement parlant), les centres glaciaires « s'épuisent ». Il n'y a plus de glace. La glace antarctique est un peu plus épaisse que la glace du Groenland, mais elle « s'épuise » trop. Avant cela, il n'y a aucune évidence de glaciers où que ce soit sur Terre. La théorie standard des périodes glaciaires place leur origine il y a environ deux millions d'années (jusqu'ici, les forages dans les noyaux de glace ont traversé 123 mille couches au Groenland ; 174 mille couches en Antarctique). Et les livres de géologie précisent que le glaciation fut un événement rare dans l'histoire de la Terre. Le dernier épisode (avant nos périodes glaciaires très récentes) se produisit avant la naissance des premiers dinosaures. Plus de 200 millions d'années de la préhistoire de la Terre se passa sans glacier.

Les centres glaciaires du Groenland soulignent ce que nous apprenons dans d'autres domaines de la géologie : Le passé très récent n'est pas une histoire de changements progressifs. La calotte glaciaire est née soudainement, peut-être en engloutissant une forêt tempérée prospère et tous ses habitants. Ses couches les plus profondes ont enregistré de grandes fluctuations de température soudaines, certaines beaucoup plus froides qu'aujourd'hui, d'autres beaucoup plus chaudes. Puis, environ dix mille avant le présent, quelque chose qui a stabilisé le climat s’est produit. Que pourrait avoir été ce quelque chose ?

Le « conte énigmatique » du récent passé catastrophique de la Terre n'est pas un tel mystère, étant donné l'abondance d'indices. Les données sont à strates multiples et interdisciplinaires. Même le témoignage humain révèle les détails essentiels, parce que les êtres humains ont méticuleusement enregistré dans leurs mythes et folklores les impressionnants événements qui ont changé le monde et altéré les cieux. Ces histoires viennent de cultures largement disjointes, pourtant elles sont remarquablement semblables : Héros luttant contre des dragons, dieux et déesses projetant feu et pierres, un grand déluge d'eau et de flammes du ciel. Des événements de décharge de plasma dans le ciel furent enregistrés dans les antiques peintures artistiques sur les rochers et dans les cavernes des différents continents du monde. Les humains antiques parlent de la guerre céleste et de cataclysmes mondiaux. Et mois après mois les détails communs dans leurs histoires trouvent de nouveaux appuis dans les découvertes scientifiques sur Terre et dans les cieux.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 28/07/2006 - 8:27:43


Lentille gravitationnelle ou mort d’une théorie ?

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Crédit : NICMOS, HSR, NASA



Le 25 juillet 2006



La théorie des lentilles gravitationnelles donne un sens aux images des quasars éloignés autour des galaxies voisines… jusqu'à ce que des esprits curieux commencent à douter d’elle.


Cette image du Télescope Spatial Hubble montre cinq taches lumineuses. Les esprits curieux veulent savoir : C’est quoi ça ? Sans théorie, l'image montre seulement des taches lumineuses. D’aussi curieux esprits réalisent (dans le sens de la racine grecque « poiein », dont dérive « poésie ») une théorie…. (Voir l'essai « Ce que sont les faits en réalité »)

L'analyse de la lumière des quatre taches lumineuses extérieures montre un redshift élevé (désigné par « z ») de 1,73. La lumière de la tache lumineuse intérieure montre un z de seulement 0,31. Dans la grande théorie du Big Bang, z est une mesure de distance, ainsi les quatre taches lumineuses extérieures doivent être (astronomiquement parlant) lointaines et la tache lumineuse intérieure doit être proche. L'alignement est une coïncidence. Cependant, une configuration si rapprochée de quatre objets à des distances les plus lointaines de l'univers s’alignant incidemment autour d'un objet proche est improbable.

Une autre théorie fournit une autre possibilité : En Relativité Général, la lumière passant près d'un objet massif sera courbée, comme la lumière se courbe en traversant une lentille. L'effet a même été appelé « Lentille gravitationnelle ». Si l'objet proche étaient assez massif et l’objet lointain aligné directement derrière, le long de notre ligne de vision, la pesanteur de l'objet proche pourrait courber la lumière de l'objet lointain en quatre images virtuelles encadrant l'objet proche.

Avec des nombres appropriés insérés aux endroits vides des équations, les maths résolvent, et les esprits curieux réalisent (toujours dans le sens de la racine grecque « poiein ») le sens des cinq taches lumineuses : Une massive galaxie à bas z au premier plan agit comme une lentille pour courber la lumière d'un quasar à haut z placé directement derrière elle, donnant l'apparence de quatre quasars encerclant la galaxie. L'image montre même autour de la galaxie un anneau de faible luminosité reliant les quasars, exactement comme on l’attendrait d’une lentille.

C’est simple. Trop simple.

D’autres considérations soulèvent des doutes. Les doutes soulèvent davantage de questions. Les esprits curieux veulent savoir : Qu’est-ce que ça pourrait bien être ?
    Item : Si la distribution de la masse correspond à la distribution de la luminosité dans la galaxie (elle est plus ou moins sphérique et symétrique), la lentille devrait produire un anneau estompé à l’extérieur, non quatre images prononcées [images bien nettes].

    Item : Quand le z du quasar est soustrait de la référence de la galaxie (1,73 – 0,31 = 1,42), on tombe sur une « valeur préférée » de z. (dans le Big Bang, les « valeurs préférées » de z peuvent seulement signifier que les galaxies et les quasars sont distribués en enveloppes centrées sur la Terre, quelque chose de bien plus improbable que la coïncidence de l’alignement de quatre quasars et d'une galaxie).

    Item : L'anneau de faible luminosité reliant les images des quasars est associé à des rayons de faible luminosité reliant l’image des quasars à la galaxie.

    Item : La lentille gravitationnelle est seulement un phénomène de la masse, mais les galaxies sont faites de plasma. La première qualité du plasma est la charge -- électrique -- et les effets de l'électricité éclipsent les effets de la masse de 99 à 1. Les phénomènes énergiques qui exigent pour fonctionner avec la masse 96% de matière sombre, de l'énergie sombre et des trous noirs, requièrent uniquement 4% de plasma -- en fait, la quantité observée.
Halton Arp -- un moderne Galilée -- peut être entendu soupirer : « Il y a des centaines de ces choses dans le ciel. Les quasars et les galaxies sont reliés. »

Dans les institutions établies de l'astronomie, pas un n'entend, pas un ne voit. Si les galaxies et les quasars sont reliés, z ne peut être une mesure de distance et le Big Bang est faux.
Des manuels seront récrits. Des bourses seront perdues. Des carrières seront ébranlées. Des professeurs seront virés. Le travail d'un siècle sera passé en vain.

Mais tandis que les astronomes se bouchent les oreilles et clignent des yeux, ils continuent à rassembler des preuves qui témoignent contre leur théorie favorite.


A suivre

Contribution de Don Scott


Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 31/07/2006 - 14:15:17


« Bulles gazeuses » ou couches de plasma ?

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Dans cette illustration artistique de l'Agence Européenne Spatiale (ESA), nous voyons, en bleu, la Terre baignée dans la magnétosphère et entourée par le vent solaire.
Le rectangle blanc en haut à gauche identifie la zone où le Groupe de l'ESA et les satellites de Double Star China/ESA ont découvert des « trous de densité ».
Les points marrons représentent le vent et les ions solaires « coulant en arrière contre le flux du vent solaire », le long des lignes de champ magnétique interplanétaires (en noir).
Crédit : ESA



Le 4 juillet 2006



La preuve que l'activité électrique règne dans l'espace entourant la Terre continue à grandir. Là où les astronomes traditionnels voient des « gaz super-chauds » qui « pètent » et « pétillent », les partisans de l'Univers Electrique voient des doubles couches de plasma faire ce qu'elles font dans les expériences avec le plasma.


L'ESA a récemment observé d’anormales « bulles » qui semblaient se développer et éclater autour de la terre. Selon le rapport de Space.com, « Les astronomes ont découvert l'activité en haut du lieu de rencontre du champ magnétique de la Terre avec le flux constant de particules s’écoulant hors du soleil ».

Les chercheurs annoncent la découverte de raies de « gaz super-chauds » associés aux « bulles ». Ils ont envisagé un « impact arqué » formé en résultat du vent solaire heurtant le champ magnétique de la Terre. La « température » dans les bulles de gaz est 10.000.000 de °C, cent fois plus chaude que la température « des gaz chauds » environnants.

Les chercheurs, suivant la seule ligne du raisonnement permise par leur formation, débattent du « gaz » de l'espace dans le langage de la mécanique du comportement du vent et de l'eau. Leur cadre théorique exclut la possibilité de toute interaction électrique entre la Terre et les circuits du Système Solaire. Les astrophysiciens travaillent avec une forme de théorie du plasma appelée magnétohydrodynamique, qui fut d'abord proposé -- et plus tard désavouée par -- Hannes Alfven, qui étudia le comportement réel du plasma dans les montages de laboratoire et dans l'espace. Il passa la dernière partie sa vie à alerter les astrophysiciens sur l’inadmissibilité de leurs hypothèses dans l'espace. Si les hypothèses sont incorrectes, alors le langage utilisée pour décrire les phénomènes est faux et trompeur. Alors que la plupart des astronomes pensent au plasma spatial seulement comme à un « gaz », le plasma entourant la Terre montre fréquemment une nature chargée électriquement.

Depuis les années 60, les sondes spatiales révèlent que les aurores [polaires] de la Terre sont provoquées par les courants électriques s’écoulant du Soleil -- une réalisation de la prévision de Christian Birkeland, le pionnier du plasma. La « bulle » de la magnétosphère terrestre est en fait une enveloppe de Langmuir qui est électriquement couplée aux courants s’écoulant dans l’enveloppe de l’héliosphère solaire. Les enveloppes se composent de doubles couches de plasma électriquement chargées, dans lesquelles les couches de charges opposées se développent très près l'une de l'autre avec un fort champ électrique entre elles. Ces doubles couches accélèrent les ions à des vitesses élevées qui, une fois interprétés comme des températures, semblent être très « chaudes ».

Deux régions de plasma dissemblables formeront une enveloppe de Langmuir entre elles, d’où peut résulter une formation de « bulles ». Les théoriciens du modèle électriques tels que Wallace Thornhill suggèrent que les soi-disant « bulles gazeuses » sont plus probablement des enveloppes de cellules de plasma. Elles sont plus qu'un effet magnétique dans le gaz : Elles produiront le différentiel de charge, l'accélération des ions, et une large bande de rayonnements, radio aux rayons X -- tout suggère une ligne de recherche très différente que ce qui est impliqué par l'histoire des « bulles gazeuses » dans l'espace.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 09/08/2006 - 8:50:37


La perception extrasensorielle technologique

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Crédit: NASA/JPL -- Caltech



Le 5 novembre 2004


Les êtres humains sont des enfants de la Terre, une planète humide et rocheuse. Nos sens sont adaptés au vent, à l'eau, et à la pierre. Quand nous essayons de comprendre le reste de l'univers, nous rapportons naturellement nos observations à ce que nous savons déjà des gaz, des liquides, et des solides.

Nos théories des gaz, des liquides, et des solides, nous ont permis de construire des machines qui prolongent nos sens : Nous pouvons « voir » les rayons X ; nous pouvons « percevoir » les différences de tension ; nous pouvons « sentir » les éléments ; nous pouvons « toucher » l'intérieur de la Terre ; et nous pouvons « entendre » les bruissements radio des planètes. Nous pouvons propulser nos machines dans l'espace, pour renifler le vent solaire, pour goûter les roches martiennes, et pour scruter sous le voile de l'atmosphère de Titan.

La photo ci-dessus de la sonde de Cassini illustre comment des sens humains et plus qu’humains ont été envoyés dans l'espace pour en savoir plus au sujet de Saturne, de ses anneaux, de ses lunes, et de son environnement.

Nos nouveaux sens ont découvert dans la nature un autre composant qui surgit de l'électricité. Puisque nos sens ordinaires ne réagissent pas directement à l'électricité, nous n'avons ni compris l'importance de cet autre composant dans le cosmos, ni tenu compte de lui dans nos théories.

Mais maintenant nous avons découvert qu'il compose 99 pour cent de l'univers visible.

Ce composant est le plasma.

Le plasma est un mélange de particules chargées et neutres. Cela fait de lui un excellent conducteur de l'électricité. Les particules chargées en mouvement sont des courants électriques, et les courants électriques produisent des forces magnétiques. Ces forces pincent les courants en filaments. Les filaments portent le courant électrique le long de circuits qui peuvent englober de grands volumes de l'espace.

Les déplacements de particules chargées se resserrent aussi en « doubles couches », comme des condensateurs. Ces doubles couches concentrent les champs électriques, cloisonnant l'espace en cellules, et émettent des micro-ondes et des rayons X.

Les sondes spatiales telles que Cassini perçoivent ces activités du plasma : Aurores [polaires] de Saturne, changements de formes des orages, disparitions de rayons [black-out], ondulations en anneau, ceintures de rayonnement dans les anneaux, atmosphère de Titan étirée et accélérée autour de son orbite.

Mais nous manquons de théories pour comprendre et utiliser le plasma. Nos familières métaphores mathématiques dérivées du vent, de l'eau, et de la pierre, sont inadéquates. Nous devons nous familiariser avec les explications négligées sur le plasma de Birkeland, de Langmuir, d'Alfven, et de leurs collègues. Nous devons développer ces explications naissantes en théories quantitatives basées sur d'autres observations et expériences.

Exactement comme les empiriques théories des gaz, des liquides, et des solides, nous ont permis de construire les machines qui ont étendu nos sens aux planètes, les nouvelles théories du plasma peuvent nous permettre de construire les machines qui amèneront nos nouveaux sens aux étoiles.



Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 21/08/2006 - 9:18:50


Halton Arp : Un Galilée des temps modernes

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Le 1er novembre 2004



Halton arp est au 21ème siècle ce que Galilée fut au 17ème. Tous deux étaient des scientifiques respectés, de populaires leaders dans leur domaine. Tous deux ont fait des observations qui contredisaient les théories admises. Le dix-septième siècle académique s’est senti menacé par les observations de Galilée et ainsi, soutenu par l’autorité ecclésiastique, ils lui ont ordonné de cesser d’observer. Les astronomes du vingtième siècle se sont senti menacés par les observations de Arp, et ainsi, soutenu par l’autorité institutionnelle, ils lui ont ordonné d’arrêter de regarder.

Tous deux furent écartés. Les deux travaux publiés s’adaptèrent au non spécialiste tandis que les spécialistes ne prenaient plus note. L’ouvrage de Galilée, « Dialogue sur les deux grands systèmes du monde », favorisait le modèle héliocentrique du Système Solaire et minait le modèle géocentrique admis. Les livres de Arp, « Quasars, Redshift et controverses », « Voyant rouge », et « Catalogue des associations aux redshifts discordants », favorisent un modèle d'univers à l’état stable et minent le modèle accepté du Big Bang.

L'église répondit en plaçant Galilée en maison d’arrêt : Ses pairs ne regarderont pas même à travers son télescope et l'église jugea ses livres hérétiques. La communauté astronomique moderne répondit de même à Arp. Les responsables des observatoire annulèrent ses heures de télescope et les journaux astronomiques refusèrent de publier ses recherches.

Comment ces hommes ont-ils créé une tel tumulte ?

Galilée présenta un nouveau concept simple qui changea l'univers tel qu'on le connaissait alors. Arp présenta un nouveau concept simple qui changera l'univers tel que nous le connaissons maintenant.

Les éducateurs du dix-septième siècle enseignaient que la Terre était le centre de l'univers. Le Soleil, la Lune, les planètes et les étoiles tournaient autour d’elle. Galilée confronta ses contemporains à un univers centré sur le Soleil. Si vous aviez vécu à l’époque de Galilée, auriez-vous été disposé à examiner son travail ?

Les éducateurs d'aujourd'hui enseignent que l'univers commença à partir du Big Bang il y a 15 milliards d'années et qu'il est en expansion depuis lors. Des galaxies et les quasars sont éparpillés selon leur redshift. Arp nous confronte à un univers de familles galactiques éjectées. Vous vivez à l’époque de Arp : Etes-vous disposé à examiner son travail ?

En savoir plus au sujet de l'univers de Arp

Le DVD à propos de la controverse cosmologique


[ Voir la vidéo de la conférence de Arp, « Redshift intrinsèque », pour plus de détails sur ce nouveau tableau de l'univers. ]
Disponible chez Mikamar Edition


Source : http://www.thunderbolts.info

petrus
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Message par petrus » 13/03/2007 - 16:44:38


Dinosaures impossibles

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Thunderbolts, le 23 juin 2005



Les dinosaures géants sont fascinants. Comment sont-ils devenus si grands ? Pourquoi n'y en a-t-il aucun vivant aujourd'hui ? Leurs rivaux en taille que sont les baleines modernes ne peuvent pas survivre sans la portance de l'eau. Très tôt, les paléontologistes ont postulé que les plus grands dinosaures devaient passer le maximum de leurs vies à patauger dans les mers peu profondes de l'ère mésozoïque.

Ensuite, des empreintes de pas de dinosaures ont été découvertes. Pas juste quelques unes, mais des milliers d'empreintes de pas. De façon ou autre, même les plus grands des dinosaures marchaient autour de la terre en ne traînant même pas leurs énormes queues derrière eux. Ainsi, le pataugeage dans les mers peu profondes a été remplacé par le pâturage en troupeaux, et la raison originale du pataugeage -- selon laquelle un dinosaure sur la terre aurait été une baleine échouée -- a été oubliée.

Le catastrophiste Ted Holden a ressuscité la polémique en examinant la relation entre taille, poids, et force des animaux. (Son analyse servait de base à un documentaire télévisé au Japon en février 2004. Voir la photo ci-dessus.) La force du tissu musculaire est passablement constante chez toutes les espèces. La force est proportionnelle à la [surface de la] section transverse du muscle : Si un muscle a deux fois le diamètre d'un autre, le premier sera quatre plus fort (le carré de deux). Mais le poids augmente avec le volume : Un muscle deux fois plus gros sera huit fois plus lourd (le cube de deux).

Holden a calculé le rapport poids / force d'un haltérophile humain bien entraîné agrandi à la taille d'un dinosaure. L'haltérophile devient aussitôt trop gros [lourd] pour soulever son propre poids. La force, dans son rapport avec le poids, impose une limite à la taille. Les calculs de Holden indiquent que les éléphants les plus lourds d'aujourd'hui approchent cette limite.

Les plus grands dinosaures ont plusieurs fois la taille d'un éléphant. Et les squelettes de dinosaures ne sont pas aussi bien conçus que les squelettes d'éléphants pour porter du poids. Les dinosaures sont incroyablement grands pour la planète Terre, mais leurs os sont la preuve qu'ils doivent avoir existé. Comment cela peut-il être ? La limite de la taille dépend du poids, et le poids dépend de la force de la pesanteur. La plupart des théories conventionnelles supposent que la pesanteur dans tout l'univers a toujours été et sera toujours une propriété constante de la matière. Mais c'est seulement une hypothèse, et elle doit être vérifier empiriquement.

La théorie de l'Univers Électrique propose un point de vue différent. La pesanteur ne serait pas une constante. Ce serait une variable dépendant du plasma dans l'environnement. Ainsi, à l'ère mésozoïque la Terre aurait pu avoir une pesanteur moindre qu'aujourd'hui. Holden calcule que, afin que les plus grands dinosaures puissent vivre la pesanteur devait être au moins 1/3 (et peut-être même 1/4) de ce qu'elle est aujourd'hui. Il postule aussi que la pesanteur aurait augmenté soudainement à la fin de l'âge des dinosaures mais pas à la valeur actuelle. Une pesanteur plus basse que l'actuelle aurait perduré dans les âges suivants des mammifères géants et peut-être même aux jours des premiers humains construisant des monuments géants comme Stonehenge.



Source : http://www.thunderbolts.info/tpod/2005/arch05/050623impossible-dinosaur.htm

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cyrille
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Message par cyrille » 13/03/2007 - 19:38:29

sympa de faire un copier collez d un su=ite, autant mettre un lien ca fait plus court

je n ai lu que le début, je pensais pas qu on pouvait expliquer l univers en 4 pages mais manifestement je me trompe. Mon probleme c est qu ayant un vernis de connaissance scientifique ( me suis tapé la tete sur les pupitres de prépa pendant 2 ans), je trouve que l 'article est peremptoire, aucune demontration , bref c est tout sauf scientifique. Franchement ca valait pas le coup de fare un copiez collez pour un théorie fumeuse

sonic
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Message par sonic » 13/03/2007 - 20:25:14

bah moi, il me plait ce topic. j'ai pas tout lu, mais je vais en apprendre, c'est sur.

Illuminatus
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Message par Illuminatus » 19/03/2007 - 21:29:26

Ce qui me rend discret c'est qu'il n'existe qu'une seule source dans cet article.
Vous connaissez Orion? si c'est non...c'est fort dommage pour vous

petrus
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Message par petrus » 28/04/2007 - 15:11:31


Réchauffement global dans un climat d'ignorance



Nous vivons avec la fable du Système Solaire mécanique de Newton... Aujourd'hui, la science assume inconsciemment les responsabilités incombant à la religion... donnant confiance en un univers incertain.



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Holoscience.com, le 15 février 2007




« Quant au contrôle de la nature promis, c'est la déroute devant son déchaînement. » -- Jacques Barzun, Science : The glorious entertainment

« Maintenant nous en venons à une question que tout le monde, scientifique comme non scientifique, doit avoir posée à un moment donné. Quelle est la place de l'homme dans l'Univers ? » -- Fred Hoyle, The nature of the Universe




Le réchauffement global est considéré comme un fait. Pourtant, la vérité gênante est qu'il n'est pas dû aux humains. Al Gore a donné de piètres conseils. Tout comme la théorie de l'évolution de Darwin et le Big Bang de la cosmologie, le réchauffement global par émissions de gaz à effet de serre a subi ce curieux processus social par lequel une théorie scientifique est promulguée en mythe profane. Alors qu'en fait, la science est dans l'ignorance de la source de chaleur : le Soleil.

La vérité vraiment gênante est que nous ne pouvons contrôler la nature. Mais nous pouvons commencer à apprendre notre vrai place dans l'univers et décider comment faire face rationnellement au changement inévitable. La réduction de la pollution atmosphérique est manifestement un excellent but en soi. Mais nous ne devons pas être induits en erreur en pensant affecter le climat de manière significative. Le lien entre le réchauffement et la pollution atmosphérique est plus prétendu que démontré, alors que son lien avec les variations solaires a été démontré.



Le Soleil subit une poussée d'énergie


Depuis la fin des années 70, trois satellites d'observation du Soleil ont enregistré d'étonnants changements de chaleur, rayonnement ultraviolet, et vent solaire. Le Dr. Sam Solanski, directeur du renommé Institut Max Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, a dit, « Le Soleil a été plus intense au cours des 60 dernières années et il peut maintenant être en train d'affecter les températures globales. » « Le Soleil est dans un état altéré. Il est plus lumineux qu'il était.... » Le Dr. Solanski a admis ne pas savoir ce qui rendait le Soleil plus lumineux. L'une des principaux expert, Eugene N. Parker, ajoute, « ... nous ne comprenons vraiment pas correctement la physique de la luminosité variable du Soleil. » Cela souligne le problème fondamental avec le verdict du réchauffement global des experts en matière de climat. On se base sur la profonde ignorance de la manière dont le Soleil est réellement « stimulé » et de quelles formes d'énergie alimentent le climat d'une planète. Les astrophysiciens sont blâmables pour cela.

Bien que les archives historiques climatiques recoupent les variations du rendement solaire, celles-ci sont considérées trop petite pour avoir beaucoup d'effet sur le réchauffement global. Comme John Gribbin l'a écrit dans New Scientist, « La preuve statistique relie les changements du climat aux modifications de l'activité solaire. Mais personne n'a jamais proposé d'explication convainquante de la façon dont opère le lien. » « L'énigme est que l'éclat global du Soleil varie de moins de 0,1 pour cent durant le cycle des 11 ans, trop peu pour expliquer les changements climatiques observés. » Lentement, le consensus a dévié politiquement en faveur de cette opinion.

Un récent rapport concède qu'il pourrait y avoir des effets plus influents sur le climat, comme les rayonnements cosmiques provoquant la couverture nuageuse, ou les radiations ultraviolettes affectant la couche d'ozone. Ces facteurs changent plus nettement [que les variations solaires] durant le cycle solaire. Mais ceux-ci ne seraient-ils que plus d'effets secondaires de la variabilité solaire plutôt que la vraie cause ?

Quant au réchauffement causé par l'humanité produisant les soi-disant « gaz à effet de serre, » le professeur Nils-Axel Mörner a écrit dans une thèse sur le réchauffement global pour le parlement britannique, « L'idée conductrice est qu'il y a un rapport linéaire entre l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère et la température globale. Pourtant, le fait est que la température est constamment montée et descendue. De 1850 à 1970, nous voyons une relation presque linéaire à la variabilité solaire ; pas au CO2. Pendant les 30 dernières années, nos jeux de données ont été si corrompus par les interprétations personnelles et les choix personnels qu'il est presque impossible de faire le tri pour recenser dans le désordre les données fiables et douteuses. »




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Le croque-mitaine de l'effet de serre global est sous-jacent à la croyance que quelque chose a mal tourné sur notre planète sœur, Vénus, et « qu'un emballement de l'effet de serre » s'y est produit, la transformant en four assez chaud pour fondre quelques métaux. Il y a un autre mythe profane de notre âge. Dans Vénus n'est pas notre jumelle !, j'ai écrit, « La comparaison avec la Terre ne mènera nulle part. Rien ' n'a mal tourné ' sur Vénus ou ' ne s'est bien goupillé ' sur Terre. Les deux planètes n'ont pas le même âge et elles n'ont qu'une parenté éloignée. Il n'y a pas de message pour nous dans l'étude de Vénus pour une évolution du climat de la Terre imaginée dans une ' serre chaude '. »



« C'est ma croyance ferme que les sept dernières décennies du vingtième siècle seront caractérisées dans l'histoire comme les âges sombres de la physique théorique. » -- Carver Mead, Collective Electrodynamics




Qu'avons-nous besoin de savoir pour qu'un jugement compétent puisse sortir du débat sur le réchauffement global ? Quels sont les mythes de la science qui nous entravent ?

Il est crucial que nous sachions ce qui se passe réellement dans l'espace -- et en particulier comment marche vraiment le Soleil. Par hasard historique, la théorie de ce qui fait briller le Soleil fut développée à l'époque de la découverte de l'énergie nucléaire, alors que la physique des plasmas était dans son enfance. Le Soleil, au lieu d'être un feu de camp indigène dans le ciel avec du combustible limité, est devenu « un feu de camp thermonucléaire » avec du combustible quasiment sans limite. Pas un si grand progrès sur la pensée de l'Âge de Pierre !

Ça semble très satisfaisant et sécurisant. Nous n'avons pas besoin de mettre des pièces de monnaie dans le compteur pour le garder ardent. Cependant, les réactions pensées générer la chaleur dans le cœur du Soleil sont très susceptibles aux variations de températures, et les mécanismes pour les contrôler sont difficiles à imaginer. En raison de cela, la régularité du rendement solaire est un casse-tête. D'ailleurs, si les réactions thermonucléaires généraient toute l'énergie du Soleil, un certain nombre de particules subatomiques appelées neutrinos électroniques seraient produites. Et en critique : le nombre de neutrinos électroniques venant du Soleil est terriblement insuffisant.

Les astronomes ont demandé aux physiciens des particules de les aider à rafistoler les choses. Les physiciens des particules ont répondu par un subterfuge ingénieux, disant que tout est bien si vous additionnez aux différents neutrinos des « saveurs » et proposez que certains étaient des neutrinos électroniques ayant changé de saveurs en cours de route vers les détecteurs sur la Terre. Les astrophysiciens ont saisi cette planche de salut comme des hommes et des femmes se noyant. Du jour au lendemain, c'est devenu la « preuve » de leur modèle du « feu de camp thermonucléaire ». Malheureusement, il ne peut être prouvé sans détecteur de neutrinos près du Soleil. Le rasoir d'Occam recommande que nous prenions les données sur les neutrinos à leur valeur nominale et réexaminions les hypothèses à propos du Soleil.

Dans l'intervalle, les astronomes ont découvert que le Soleil est un corps magnétique étonnamment complexe -- alors que des feux de camp ne se remarquent pas pour leur magnétisme. Alors, d'héroïques tentatives furent faites pour créer une « dynamo » à l'intérieur du Soleil pour ça corresponde avec son étrange comportement magnétique. Évidemment, toutes les tentatives ont échoué. Il est tout simplement supposé qu'il devait y avoir une dynamo cachée parce que les champs magnétiques sont là et que personne ne pense qu'ils pourraient provenir de l'extérieur du Soleil. Les champs magnétiques mystérieusement générés sont invoqués pour expliquer la plupart des observations embarrassantes au sujet du Soleil. Ils s'accordent à la maxime des astrophysiciens, « Quand nous ne comprenons pas quelque chose, nous en rendons responsable le magnétisme. » Ils démontrent alors leur ignorance du magnétisme en décrivant les phénomènes de décharges électriques en termes de « cassement » et de « raccordement » des lignes de champ imaginaires. Le père de la physique des plasmas, Hannes Alfvén, a écrit concernant le mauvais traitement du magnétisme par les astrophysiciens, « La physique magnétosphérique et la physique du vent solaire sont sans aucun doute aujourd'hui dans un état chaotique, et une importante raison en est qu'une partie des écrits publiés sont de la science et de la pseudo-science, peut-être même avec une majorité dans le dernier groupe. » L'idée d'un Soleil isolé, autosuffisant, se faisant hara-kiri, magnétique, est la principale bizarrerie et l'écueil d'un Soleil feu de camp.


Mais le besoin de réfutation de cette théorie nous frappe de front. Rien dans la perception du Soleil ne se conforme au modèle du « feu de camp » !


Mais il y a une manière de comprendre le Soleil, si seulement nous pouvons sortir de l'hypothèse astrophysique traditionnelle que seule la pesanteur opère dans l'espace. La génération et la transmission de l'énergie pour les lumières électriques impliquent le magnétisme. Et à la différence d'un feu de camp, le Soleil manifeste une profusion de phénomènes magnétiques. Ces phénomènes suggèrent que le Soleil est un corps électrique. Le champ magnétique du vent solaire prouve que les courants électriques circulent dans le Système Solaire. La température d'un million de degrés de la couronne solaire indique une source d'énergie externe au Soleil.



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Le plumet polaire et le tore équatorial de plasma prouvent que tout le Soleil, comme toutes les étoiles, sont le centre des courants galactiques « pincés » naturellement en forme de sablier avec une nappe de courant équatorial. [Les deux vues ci-dessus du Soleil sont dans l'infrarouge ; à gauche, une vue latérale montre en haut et en bas les protubérances des aigrettes électriques aux pôles et le tore équatorial devant ; à droite, le Soleil vu d'au-dessus de l'un de ses pôles montre nettement le tore équatorial. NDT.]



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Légende : Aigrettes polaires. Noter qu'elles ne sont pas radiales ! Le corps du Soleil forme « l'étranglement » d'un profil « pincé » de sablier

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La forme de sablier est visible dans beaucoup de belles nébuleuses planétaires.



Comment les nébuleuses planétaires acquièrent leurs formes complexes et symétriques est une énigme de longue date, puisque les étoiles et le gaz ou les nuages de poussière les entourant sont la plupart du temps sphériques. La Nébuleuse du Sablier [image ci-dessus], est une jeune nébuleuse planétaire située à environ 8.000 années-lumières. Comme [le Télescope Spatial] Hubble l'a révélé, elle ne remplit pas quelques attentes théoriques cruciales. Mais exactement comme un tube au néon est uniformément allumé d'une extrémité à l'autre, les restes de la nébuleuse se sont allumés de façon égale à grandes distances de l'étoile centrale. (Crédit : R. Sahai & J. Trauger (JPL), the WFPC2 Science Team & NASA.)

Les étoiles sont des éléments dans les circuits galactiques. Elles suivent les lignes électriques comme des réverbères le long des bras de Voie Lactée. Le cycle magnétique et les tache solaires sont dus à l'alimentation quasi périodique en courant électrique continu entrant dans le Soleil. Cette variabilité de l'énergie arrivant dans le Soleil peut être distinctement vue dans les rayons X et la lumière UV. Voir « Le Soleil - notre étoile variable. »



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Ci-dessus, un montage d'images des rayons X du Soleil capturées à 4 mois d'intervalle entre 1991 et 1995 par le satellite Yohkoh. La commutation cyclique du champ magnétique solaire est induite par la variation dans l'arrivée du courant continu galactique.



Il a été démontré que la constance de la chaleur et de lumière dégagées par le Soleil est due à une action de transistor naturelle des gaines de plasma formant la photosphère et la chromosphère du Soleil. Une très petite tension entre le corps du Soleil et le dessous de la photosphère commande l'énorme courant qui allume le Soleil. La nature, comme nous nous y attendions, a trouvé une méthode admirablement simple pour stabiliser le flux lumineux de la principale séquence des étoiles.

Une étoile est le centre d'une « décharge de rayonnement » galactique. L'énergie électrique qui court à travers le Système Solaire et actionne le Soleil est une forme subtile d'énergie que toutes les planètes interceptent à un certain degré. L'orbite des planètes passant dans cette décharge, elles interceptent une partie de l'énergie électrique. Les planètes sont des « électrodes » mineures dans une enveloppe de décharge stellaire. L'énergie électrique est fournie à l'étoile et aux planètes comme à un simple moteur de Faraday.



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L'effet du moteur de Faraday sur une planète (ou étoile).



La puissance électromotrice est déposée la plupart du temps dans l'atmosphère supérieure des latitudes moyennes aux basses, provoquant les vents supérieurs rapides de l'atmosphère et même la « super rotation. » C'est-à-dire, le vent file autour de la planète plus vire que celle-ci tourne. C'est un phénomène observé sur Vénus et Titan qui reste inexpliqué par la physique atmosphérique, qui compte sur le chauffage solaire. C'est la cause des vents extraordinaires sur les planètes gazeuses géantes dans le Système Solaire externe, où le chauffage solaire est faible. Ils ont des implications sur les jets streams aussi bien que sur les tendances climatiques de la Terre. Notamment, les courants de flux polaires prennent la forme de filaments jumeaux de courants de Birkeland, qui provoquent les « doubles vortex » énigmatiques vus aux pôles de Vénus. Il est manifeste que l'énergie électrique spatiale ne fait pas qu'allumer les aurores [boréales ou australes]. Il a une influence profonde sur les vents supérieurs de l'atmosphère et les orages. Un expert en dynamique atmosphérique planétaire, F.W. Taylor, a admis, « L'absence de théorie viable pouvant être contrôlée, ou dans ce cas-ci (vortex polaire de Vénus) aucune théorie du tout, nous laisse désagréablement dans le doute sur notre capacité élémentaire à comprendre même les caractéristiques grossières de la circulation atmosphérique planétaire. » En attendant, l'énergie électrique ne figure nulle part dans aucun modèle climatique.



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Autour de 1900, le célèbre scientifique norvégien, Kristian Birkeland, a réalisé des expériences (image gauche) avec une « terrella » électromagnétique (une sphère en métal magnétisé) comme l'une des électrodes d'un dispositif de décharges [électriques] dans les gaz. Il a créé une aurore artificielle autour des pôles de la terrella, reproduisant les effets du vent solaire sur la Terre magnétique. Il a aussi reproduit d'autres phénomènes cosmiques, comme la couronne du Soleil, les taches solaires, et les anneaux de Saturne, en utilisant d'autres petites sphères en métal. Notez que ces expériences utilisent un courant électrique externe ! L'ère donne une mesure de la distance que nous devons refaire en arrière pour remettre l'astrophysique en accord avec la réalité, hors de l'actuelle impasse.



Le modèle électrique, du Soleil et de son environnement, répond à la question de la manière dont le cycle solaire peut avoir un effet plus grand sur la météo que ce à quoi on peut s'attendre du seul réchauffement du Soleil. Puisque les planètes sont des électrodes mineures dans le circuit du Soleil, elles sont sujettes à la pleine variation de l'arrivée électrique galactique. Ça explique le réchauffement simultané d'autres planètes et les changements dans leur atmosphère. Même l'éloigné Pluton a dérouté les astronomes en continuant à se réchauffer dix-huit ans après que son orbite ait commencé à l'entraîner plus loin du Soleil. L'énergie électrique peut constituer une source d'énergie majeure pour les planètes extérieures. Et, bien entendu, sur Mars il n'y a ni voiture ni vache lâchant des pets (sic) pour expliquer son réchauffement.



Et l'oscillation australe de El Niño ?


L'oscillation australe d'El Niño (ENSO) est un jeu d'interaction entre les parties d'un système global simple : Les fluctuations climatiques associées à l'océan et à l'atmosphère sont sensées provenir de la circulation océanique et atmosphérique. ENSO est la source connue la plus frappante de la variabilité entre années du temps et du climat autour du monde (cycle d'environ 3 à 8 ans), bien que toutes les régions ne soient pas affectés. ENSO marque son empreinte dans les océans Pacifiques, Atlantiques et Indiens. Les scientifiques ne peuvent pas expliquer ces caractéristiques globales du temps et du climat.



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À l'état normal, dans les conditions sans EL Niño (caisson supérieur du diagramme), les échanges de vents soufflent vers l'ouest dans le Pacifique tropical. Ces vents amoncellent l'eau chaude de surface dans l'ouest du Pacifique, de sorte que la surface de la mer est environ un demi mètre plus haute en Indonésie qu'en Equateur.



Pendant EL Niño (caisson inférieur du diagramme), les échanges de vents se calment dans l'ouest et au centre du Pacifique menant une dépression de la thermocline dans l'est du Pacifique, et une élévation de la thermocline dans l'ouest. Le fléchissement des échanges de vents qui viennent de l'est pendant EL Niño est aussi évident dans cette figure. Les précipitations suivent l'eau chaude vers l'est, avec l'inondation associée au Pérou et la sécheresse en Indonésie et en Australie. Le déplacement vers l'est de la source de chaleur atmosphérique au-dessus de l'eau la plus chaude a comme conséquence de grands changements dans la circulation atmosphérique globale, ce qui force des changements de temps dans des régions très éloignées du Pacifique tropical.


Qu'est-ce que le modèle électrique du lien Soleil-Terre propose pour notre pleine compréhension de ENSO ?

Les climatologues basent leurs prévisions sur les Modèles de la Circulation Générale Couplée. Ce sont des modèles informatiques qui tentent d'imiter les interactions entre l'atmosphère et l'océan avec l'énergie venant du Soleil. Les résultats contradictoires ont incité le Président de la Conférence sur le Climat Mondial en 2003, le Pr. Yuri Izrael, à demander, « Que se passe-t-il sur cette planète -- réchauffement ou refroidissement ? »

Maintenant quelques géologues commencent à jeter un plus large coup d'œil aux pilotes du climat, à partir de la perspective des quatre éléments d'Aristote : la terre, l'eau, air, et le feu. En d'autres termes, il semble que ce qui se passe à l'intérieur de la Terre affecte également le climat.

La possibilité que quelque chose d'interne à la Terre affecte le climat a d'abord été soulevée par Daniel Walker en 1988 puis à nouveau en 1995 et 1999. Il a signalé que l'augmentation de l'activité tectonique (séismicité, remontée de magma et évacuation hydrothermale) le long des parties de l'East Pacific Rise (EPR), précède (de jusqu'à six mois) chaque événement d'EL Niño étudié depuis 1964. L'association était si significative que Walker a appelé l'augmentation de la séismicité le long de l'EPR, « Facteurs prédictifs d'EL Niño. »

Le géophysicien Bruce Leybourne a trouvé un lien entre les oscillations globales du climat et de petits changements dans la pesanteur de la Terre, qui altèrent le tracé des orages et affecte le niveau de la mer. « L'évidence jusqu'ici disponible indique que des événements tectoniques précèdent les changements océaniques et atmosphériques. L'évidence vient d'études de mesures de la pesanteur... Ces études indiquent des corrélations ou des ' téléconnextions ' entre les changement de pression barométrique et la force de gravité... Cela établit un lien marqué entre les fluctuations gravifiques et la dynamique océan-atmosphère. »

Il serait préférable de trouver une cause qui ne se fonde pas sur la tectonique -- la science de l'hypothétique activité dans la Terre. J'ai déjà établi la relation entre les tremblements de terre et l'activité solaire. Le lien manquant entre taches solaires et tremblements de terre est le fait que les décharges électriques sur le Soleil qui causent les taches solaires peuvent aussi affecter l'ionosphère de la Terre. L'ionosphère forme l'une des plaques d'un condensateur, alors que la Terre forme l'autre. Les changements de tension sur une plaque induiront la circulation d'une charge dans l'autre. Mais à la différence d'un condensateur, la Terre a aussi sa charge distribuée dans la roche sous la surface. Et si la roche à fleur de terre est devenue semi-conductrice à cause de contraintes, c'est l'occasion pour qu'un court-circuit électrique soudain se produise à travers cette roche.

Nous devrions nous attendre à ce que des processus similaires se produisent sous terre comme ils sont créés dans les éclairs de foudre atmosphérique. ... dans un grand tremblement de terre, le circuit entier peut être impliqué, depuis sous la Terre, à travers l'atmosphère, jusqu'à l'ionosphère. Cela expliquerait l'énorme perturbation de l'ionosphère sur une grande région accompagnant un tremblement de terre important. La foudre souterraine cause des tremblements de terre ! Les vagues sismiques sont le grondement de tonnerre souterrain. Le ' temps ' au-dessous de la terre est lié au temps au-dessus. Alors quel est le lien avec les fluctuations de pesanteur ?

Ceci nous amène à l'un des mythes les plus intransigeants du 20ème siècle : qu'Einstein nous a donné uns vraie compréhension de la pesanteur. Il ne l'a pas fait. Il a été le physicien le plus important pour entremêler physique et métaphysique. Sa description imaginaire de la pesanteur en termes de matière courbant l'espace, dans une certaine dimension supplémentaire non-physique, n'explique rien. Comment pouvez-vous courber rien ?

Newton avait prouvé que la pesanteur est directement liée à la masse. Mais quelles causes importent pour produire la masse demeurent un mystère fondamental. En outre, la pesanteur de newton opère instantanément (le temps n'apparaît pas dans son équation de la gravité). Pourtant Einstein nous ferait croire que la Terre n'a aucune information sur où le Soleil a lieu jusqu'à 8 minutes ensuite. Il nous a légué un univers discontinu et incohérent qui ne peut tout simplement pas marcher ni engendrer la vie. C'est pourquoi la cosmologie se lit comme de la science-fiction. Cette ignorance de la vraie nature de la pesanteur peut avoir de l'importance par rapport au climat.

Einstein a publié sa théorie de la gravitation, ou théorie générale de la relativité, en 1916. Et ainsi un nouveau paradigme, ou ensemble de croyances, a été établi. Ce n'est pas avant 1930 que Fritz London a expliqué la faible, force attractive dipolaire de la liaison électrique (nommée « force de dispersion de Van der Waals » ou « force de London ») qui fait condenser les molécules de gaz et former des liquides et de solides. Comme la pesanteur, la force de London est toujours attractive et elle opère sur les molécules électriquement neutres. Et cette propriété précise a été la plus bizarre distinction entre la pesanteur et les puissantes forces électromagnétiques, qui peuvent repousser comme attirer.

Ainsi il apparaît que l'indication sur la véritable nature de la pesanteur a été accessible aux chimistes -- qui ne sont pas intéressés par elle -- et inaccessible aux physiciens -- qui ne sont pas intéressés par la chimie physique (et observent le monde à travers les lunettes déformantes d'Einstein). Regardez n'importe quel manuel général moyen de physique et vous ne trouverez aucune référence à Van der Waals ou aux forces de London. Quelle histoire différente aurait pu être racontée si la perspicacité de London était arrivée quelques décennies plus tôt ? À ce jour, la physique aurait pu progresser d'un siècle au lieu d'être enlisée dans un bourbier métaphysique.

La force de London provient des fluctuations des dipöles électriques provoquées par de légères distorsions électriquement neutres d'atomes et de molécules. De minuscules dipöles électriques surgissent parce que les électrons orbitaux, à aucun instant donné, ne peuvent protéger la charge positive du noyau de manière égale dans toutes les directions. Le résultat, dans un groupe d'atomes ou de molécules semblables est que les dipöles électriques tendent à résonner et à s'aligner de sorte qu'ils s'attirent. Une excellente leçon illustrée sur la force de London, ou force de dispersion de Van der Waals peut être trouvée ici..

Manifestement, la pesanteur est distincte de la force de London. Elle est beaucoup, beaucoup plus faible. Ce devrait être un indice. Et si nous considérions que la pesanteur est due à un effet électrostatique semblable de distorsion dans les constituants bien plus petits de chaque atome, dans les électrons, les protons et les neutrons ? Naturellement, c'est hérésie parce que l'électron est censé être une particule fondamentale, sans particules constituantes plus petites. Cependant, il y a des expériences qui remettent en question cette croyance.

Si la pesanteur est une force dipolaire électrique, nous pouvons comprendre pourquoi la soi-disant « constante d'universelle de gravitation » est aussi diablement inconstante. Il n'y a aucune raison de supposer qu'elle est universelle. Les changements dans la distribution des charges [électriques] dans la terre contribuent le plus à la variabilité de la pesanteur. Et les changements brusques dans la distribution des charges dans la Terre provoquent les tremblements de terre et les événements thermiques et volcaniques. Ils se produiront le plus souvent dans les régions ayant des propriétés électriques particulières. Le fil commun peut maintenant être vu. Le rendement du rayonnement du Soleil demeure assez régulier tandis que le courant électrique dans son circuit galactique a un « bourdonnement » superposé cyclique. La Terre reçoit le bourdonnement plus la charge statique des éruptions de la chromosphère, qui ajoute simplement du « bruit » à l'activité de notre climat moyen et des tremblement de terre.



Image



Un dernier mot sur notre place dans l'univers. Nous vivons avec la fable du Système Solaire mécanique de Newton et de la constance du Soleil depuis des éternités. Les scientifiques établissent le graphique du climat passé et assignent allègrement des périodicités aux divers épisodes de réchauffement et de refroidissement s'étendant sur des millions d'années dans le passé. Tous les nombres et les diagrammes donnent l'impression de contrôler les faits. Mais ce n'est qu'un rêve. Ici, la science assume inconsciemment les responsabilités incombant à la religion -- donnant confiance en un univers incertain.





D'où vient cette grande poussée pour une conviction ? Une peur est sous-jacente au débat sur le réchauffement global -- une irrationnelle peur subconsciente de la FIN DU MONDE. Il y a quelques décennies, les experts en climat prévenaient que nous faisions face à une autre âge glaciaire. Maintenant on nous raconte que nous sommes face à une catastrophe de réchauffement global. À tout moment, il y a un chœur de scientifiques exaltant à l'unisson notre peur innée d'un impact cométaire apocalyptique. Toutes ces inquiétudes sont irrationnelles. Nous n'en avons pas d'expérience moderne.

Mais il semble y avoir une mémoire archétypale du jour du jugement dernier. Les strates fossiles en archivent plusieurs. Les mythes et les légendes antiques en décrivent un ou plusieurs à l'aube de la civilisation. Les sciences de la Terre resteront bloquées aussi longtemps que l'on ne comprendra pas que nous vivons dans un univers électrique et que le Système Solaire que nous voyons n'est pas aujourd'hui aussi vieux que la race humaine. En attendant, le comportement humain continuera à être irrationnel jusqu'à ce que nous comprenions notre véritable histoire et la placions dans un univers électrique parfois catastrophique.



Original : http://www.holoscience.com/news.php?article=8gfbewe7

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bongo1981
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Message par bongo1981 » 28/04/2007 - 16:10:29

petrus a écrit :Depuis la fin des années 70, trois satellites d'observation du Soleil ont enregistré d'étonnants changements de chaleur, rayonnement ultraviolet, et vent solaire. Le Dr. Sam Solanski, directeur du renommé Institut Max Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, a dit, « Le Soleil a été plus intense au cours des 60 dernières années et il peut maintenant être en train d'affecter les températures globales. » « Le Soleil est dans un état altéré. Il est plus lumineux qu'il était.... »
C'est bizarre, il existe pas ce monsieur :
http://www.google.fr/search?hl=fr&clien ... DcountryFR

Toute personne ayant fait une thèse, ou travaillant dans un laboratoire, a des articles publiés sur internet, ou dans des revues, et forcément ses articles sont cités par d'autre article etc...

Par ailleurs il doit être possible de trouver son email et prendre contact pour notamment discuter de travaux, ou d'expériences que l'on a réussi ou non à reproduire...

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Message par petrus » 28/04/2007 - 17:22:28

bongo1981 a écrit :
petrus a écrit :Depuis la fin des années 70, trois satellites d'observation du Soleil ont enregistré d'étonnants changements de chaleur, rayonnement ultraviolet, et vent solaire. Le Dr. Sam Solanski, directeur du renommé Institut Max Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, a dit, « Le Soleil a été plus intense au cours des 60 dernières années et il peut maintenant être en train d'affecter les températures globales. » « Le Soleil est dans un état altéré. Il est plus lumineux qu'il était.... »
C'est bizarre, il existe pas ce monsieur :
http://www.google.fr/search?hl=fr&clien ... DcountryFR

Toute personne ayant fait une thèse, ou travaillant dans un laboratoire, a des articles publiés sur internet, ou dans des revues, et forcément ses articles sont cités par d'autre article etc...

Par ailleurs il doit être possible de trouver son email et prendre contact pour notamment discuter de travaux, ou d'expériences que l'on a réussi ou non à reproduire...


En effet il y a une erreur dans le nom.

La bonne orthographe du nom est Sami Solanki.

Il est cité ici : http://en.wikipedia.org/wiki/Sami_Solanki

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bongo1981
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Message par bongo1981 » 29/04/2007 - 0:34:01

J'ai pas trop compris l'objet de tous les messages... donner un rôle mineur à la gravitation ? et tout expliquer à partir de la force électromagnétique ?

Dans ce cas... j'ai lu une partie rapide sur les lentilles gravitationnelles... et une chose me chiffonne :

La lentille gravitationnelle est seulement un phénomène de la masse, mais les galaxies sont faites de plasma. La première qualité du plasma est la charge -- électrique -- et les effets de l'électricité éclipsent les effets de la masse de 99 à 1. Les phénomènes énergiques qui exigent pour fonctionner avec la masse 96% de matière sombre, de l'énergie sombre et des trous noirs, requièrent uniquement 4% de plasma -- en fait, la quantité observée.


Si c'est la force électrique qui dévie les rayons lumineux, comment cette force agit sur une particule de charge neutre ? (et surtout comment des quantités de charge énorme peuvent rester comme ça sans se neutraliser...).

La matière est globalement neutre... du coup la force électrique ne joue pas un rôle majeur dans les processus à grand échelle (pour la force magnétique j'en serai moins sûr), mais c'est bien la gravitation qui régit les règles à ces échelles.

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Message par fredd » 29/04/2007 - 9:54:33

bongo1981 a écrit :J'ai pas trop compris l'objet de tous les messages... donner un rôle mineur à la gravitation ? et tout expliquer à partir de la force électromagnétique ?

Dans ce cas... j'ai lu une partie rapide sur les lentilles gravitationnelles... et une chose me chiffonne :

La lentille gravitationnelle est seulement un phénomène de la masse, mais les galaxies sont faites de plasma. La première qualité du plasma est la charge -- électrique -- et les effets de l'électricité éclipsent les effets de la masse de 99 à 1. Les phénomènes énergiques qui exigent pour fonctionner avec la masse 96% de matière sombre, de l'énergie sombre et des trous noirs, requièrent uniquement 4% de plasma -- en fait, la quantité observée.


Si c'est la force électrique qui dévie les rayons lumineux, comment cette force agit sur une particule de charge neutre ? (et surtout comment des quantités de charge énorme peuvent rester comme ça sans se neutraliser...).

La matière est globalement neutre... du coup la force électrique ne joue pas un rôle majeur dans les processus à grand échelle (pour la force magnétique j'en serai moins sûr), mais c'est bien la gravitation qui régit les règles à ces échelles.



Non mais c'est une blague ce post ?
Ca fait plus d'un siècle que TESLA le dit !!!!!!!

Seulement comme la science et le reste est gentillement orienté pour le bien être (monnétaire) et le contrôle des USA sur l'énergie.
Le pétrole était probablement le choix le plus intelligent.

Ben vi, désolé mais le monde avance selon des choix...
Choix qui n'ont qu'un simple avantage, financier.

...

Bon ben c'est pas grave...puisqu'on avance....-

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Message par bongo1981 » 29/04/2007 - 10:38:57

fredd a écrit :Non mais c'est une blague ce post ?
Rien de plus sérieux
fredd a écrit :Ca fait plus d'un siècle que TESLA le dit !!!!!!!

Seulement comme la science et le reste est gentillement orienté pour le bien être (monnétaire) et le contrôle des USA sur l'énergie.
Le pétrole était probablement le choix le plus intelligent.

Ben vi, désolé mais le monde avance selon des choix...
Choix qui n'ont qu'un simple avantage, financier.

...

Bon ben c'est pas grave...puisqu'on avance....-
C'est pas bientôt fini ces thèses complottistes ?

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Message par PourNotreMonde » 29/04/2007 - 11:36:00

Fredd n'a pas tort.... pour tout ce qui ressort de la science, de nos connaissances, ça se rattache à l'économie, alors faire un débat sur les énergie je ne crois pas que ce soit le bon topic mais après tout tout le monde en pense ce qu'il veut
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Message par bongo1981 » 29/04/2007 - 12:22:49

De là à occulter toutes les connaissances pour préserver le pétrole...

Je posais juste une question sur le topic, sur l'explication des lentilles gravitationnelles par des effets purement électriques, et non gravitationnels, à aucun moment je n'ai invoqué les thèses complottistes sur le pétrole qui n'a aucun rapport avec le sujet...

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