[News] Des sources laser ultrarapides

Message par **Adrien** » 26/09/2014 - 17:00:01

Une nouvelle génération de fibres optiques pour l’amplification d’impulsions ultracourtes. Les sources laser ultrarapides émettant des impulsions ultracourtes sont utilisées dans de nombreux domaines comme la chirurgie laser, la photo-inscription, le micro-usinage à froid ou encore la production de rayonnements ultraviolets cohérents. Elles sont également d’une importance primordiale pour l’étude des processus moléculaires fondamentaux ultra-rapides intervenant dans les syst...

cisou9 · Message par **cisou9** » 26/09/2014 - 17:33:37

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J'aimerais connaitre les applications de ce procédé ? ____

QJ · Message par QJ » 01/10/2014 - 11:26:44

cisou9 a écrit :______________
J'aimerais connaitre les applications de ce procédé ? ____

Je connais une technique de la restauration des monuments, souillés par la pollution.
Le nettoyage au laser :
L'énergie produite par le laser est dirigée par un câble en fibre sur les surfaces à nettoyer. Cette surface étant sombre, absorbe l'énergie et la pierre originale étant claire, reflète l'énergie. Les souillures sont ainsi pulvérisées tout en ne corrodant pas la pierre. Cette technique convient parfaitement pour le nettoyage de fines sculptures, tels que statues, bas-reliefs, baldaquins, corbeaux, gargouilles, etc.

En règle générale, une impulsion laser, certes ultra-courte, mais hautement énergétique, permet de pulvériser
un matériaux. Les applications les plus "lourdes" permettant même de créer un plasma.

Donc cela peut servir à la gravure (numéro de série microscopique dans un matériau, etc) mais surtout à créer plus facilement des plasmas. Et dans l'industrie, maitriser la génération d'un plasma, c'est un avantage en terme de précision.

Par exemple, voir sur Google : +torche +plasma

Endrio · Message par **Endrio** » 15/12/2014 - 7:37:39

Le passage de la lumière à la matière, via la téléportation du photon au cristal, démontre qu’en physique quantique, ce n’est pas la composition d’une particule qui importe, mais bien son état, puisque ce dernier peut perdurer au-delà de différences aussi aiguës que celles qui distinguent la lumière de la matière. Ces résultats obtenus par Félix Bussières et ses collègues font l’objet d’une publication dans la dernière édition de Nature Photonics.