L'Univers Electrique

La physique de l'Univers...

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PourNotreMonde
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Message par PourNotreMonde » 29/04/2007 - 12:38:10

Je ne t'accuse pas mais fredd d'un côté n'a pas tort de faire un lien entre les deux, mais c'est vraiment pas le bon topic
On ne choisit pas de naître, on ne choisit qu'une autre manière d'affronter la fin...

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fredd
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Message par fredd » 29/04/2007 - 22:24:29

PourNotreMonde a écrit :Je ne t'accuse pas mais fredd d'un côté n'a pas tort de faire un lien entre les deux, mais c'est vraiment pas le bon topic


Vi, vi ne t'inquiète pas. :-)
Le sujet était une perche tendue pour moi, car des choses, des choix me paraissent bien illogiques dans ce monde quand au bien être de l'humanité (puisque c'est le but premier)

Désolé ;-)

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bongo1981
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Message par bongo1981 » 30/04/2007 - 19:12:51

Si on recadrait sur le sujet ? comme quoi tout l'univers s'expliquerait par les forces électromagnétiques et non gravitationnelles (c'est ce que semble dire le topic), ben c'est complètement faux.

lambda0
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Message par lambda0 » 01/05/2007 - 17:44:08

petrus a écrit :[b][size=16]Exploration de l’Univers Electrique --

blablabla...

Avec cette hypothèse, il créa le fondement de la théorie maintenant admise des étoiles fonctionnant grâce à la fusion dans leurs noyaux. Cette théorie fut développée au cours des 80 dernières années en modèle englobant toute l'évolution stellaire et elle est considérée être l'explication prouvée de ce qui fait briller les étoiles. Mais beaucoup de nouvelles données et beaucoup de nouvelles idées sont venues concerner ce fondement depuis 1920, et un certain nombre de scientifiques pensent qu'une base plus solide et plus large est nécessaire.

Le modèle de l’Univers Electrique, d’après Bruce et Ralph Jeurgens du C.E.R., propose une nouvelle théorie qui tient compte de tout ce qui est renseigné sur le comportement du plasma en laboratoire et dans l'espace. Nous posons à nouveau la question d'Eddington : La puissance qui fait briller les étoiles vient-elle des étoiles, ou vient-elle d’ailleurs ? Et la réponse que nous choisissons est que les étoiles brillent parce qu'elles sont reliées aux circuits électriques de la galaxie.

blablabla...



Euh... je rêve où l'auteur de cet article est en train d'expliquer que l'énergie des étoiles ne provient pas de la fusion nucléaire ?
Et les neutrinos, ça vient d'où alors ? Et pour la nucléosynthèse, comment on fait ?

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bongo1981
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Message par bongo1981 » 01/05/2007 - 17:47:24

lambda0 a écrit :
petrus a écrit :[size=16]Exploration de l’Univers Electrique --

blablabla...

Avec cette hypothèse, il créa le fondement de la théorie maintenant admise des étoiles fonctionnant grâce à la fusion dans leurs noyaux. Cette théorie fut développée au cours des 80 dernières années en modèle englobant toute l'évolution stellaire et elle est considérée être l'explication prouvée de ce qui fait briller les étoiles. Mais beaucoup de nouvelles données et beaucoup de nouvelles idées sont venues concerner ce fondement depuis 1920, et un certain nombre de scientifiques pensent qu'une base plus solide et plus large est nécessaire.

Le modèle de l’Univers Electrique, d’après Bruce et Ralph Jeurgens du C.E.R., propose une nouvelle théorie qui tient compte de tout ce qui est renseigné sur le comportement du plasma en laboratoire et dans l'espace. Nous posons à nouveau la question d'Eddington : La puissance qui fait briller les étoiles vient-elle des étoiles, ou vient-elle d’ailleurs ? Et la réponse que nous choisissons est que les étoiles brillent parce qu'elles sont reliées aux circuits électriques de la galaxie.

blablabla...



Euh... je rêve où l'auteur de cet article est en train d'expliquer que l'énergie des étoiles ne provient pas de la fusion nucléaire ?
Et les neutrinos, ça vient d'où alors ? Et pour la nucléosynthèse, comment on fait ?
Ben les étoiles brillent parce qu'elles sont reliées à des circuits électriques de la galaxie :o
Tu ne vois pas les fils invisibles ? Les condensateurs ? et les ampoules ? :o

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Maulus
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Message par Maulus » 02/05/2007 - 11:11:04

I'd say LoOoL
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

http://www.cieletespaceradio.fr

petrus
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Message par petrus » 22/05/2007 - 11:16:53


Les trous noirs mettent la logique en pièces

Holoscience.com, 7 mars 2004



« Il semble que chaque praticien en physique a dû se demander à un moment pourquoi les mathématiques et la physique en sont arrivés à être aussi étroitement imbriquées. Les opinions sur la réponse varient. …Bertrand Russell a reconnu... '' La physique est mathématique non pas parce que nous en savons beaucoup sur le monde physique, mais parce que nous en savons très peu. '' …Les mathématiques peuvent être indispensables à la physique, mais elles ne constituent évidemment pas la physique. » -- Etienne Klein & Marc Lachièze-Rey, The Quest For Unity - The adventure of the physics.



Les nouvelles sur les trous noirs semblent tomber au rythme d'une par semaine environ. Ces déclarations sont habituellement aussi extravagantes que le concept du trou noir lui-même. Pourtant, des astronomes croient qu'un trou noir super-massif règne au centre de chaque galaxie de l'univers. Une nouvelle de la BBC, commentée plus loin, met en vedette un « énorme trou noir mettant en pièces une étoile. » Un autre rapport juste sorti prétend que les trous noirs sont des « amas floconneux. »

Ce n'est pas une étoile mais le bon sens qui est mis en pièces. Les trous noirs ne sont pas « fibreux » ou « floconneux. » Ce sont une fiction mathématique. Ils n'existent pas. Il n'y aurait pas eu besoin de les inventer si la nature électrique de la matière et de l'univers avait été considérée. Le concept du « trou noir » est un exemple classique du malaise affligeant la physique moderne. Les mathématiciens dominent la discipline. Et c'est une erreur banale de supposer qu'être très intelligent en mathématiques implique être d'une manière ou d'une autre un génie de façon générale. Autrefois, un expert en Relativité Spéciale adoptait une position très différente :

    « On considère habituellement qu'il est admis que les processus des mathématiques sont identiques à ceux du raisonnement, alors qu'ils sont vraiment différents. Le mathématicien est plus apparenté à une araignée qu'à un ingénieur, à un joueur d'échecs qu'à quelqu'un doté d'un pouvoir critique exceptionnel. La faculté par laquelle un maître d'échecs voit intuitivement les possibilités liées à une configuration particulière des pièces sur l'échiquier est mise en parallèle avec les possibilités latentes beaucoup plus générales que montre un tableau de symboles au mathématicien. Il procède automatiquement et impeccablement pour les mettre en évidence, mais la corrélation subséquente entre ces symboles et les faits de l'expérience, qui n'a rien à faire avec son don particulier, est tout sauf irréprochable, étant trop souvent seulement de la même nature que la corrélation entre les pièces de Lewis Carroll et le Chevalier Rouge et la Reine Blanche -- avec la différence que Dodgson reconnaissait que les produits de son imagination sont tout à fait chimériques, tandis que le mathématicien moderne imagine, et persuade les autres, qu'il découvre les secrets de la nature. » -- Professeur Herbert Dingle, Science at the Crossroads (1972).
L'astrophysicien, Dingle, savait de quoi il parlait. Il a écrit l'article sur la Relativité Spéciale pour l'Encyclopædia Britannica quelques années avant de réaliser que la logique était défectueuse. Ses nombreuses tentatives pour trouver un expert qui puisse répondre à sa question élémentaire sans recourir à la métaphysique ou répondre à une autre question moins gênante l'ont convaincu du danger auquel nous faisons face si nous continuons à permettre aux théoriciens mathématiciens de dominer la physique -- d'où le titre de son livre (La science à la croisée des chemins). Mais le poids lourd de la science fonçait à travers le carrefour, sans tenir compte des feux rouges.

Des problèmes fondamentaux sont face aux physiciens. En premier, le monde réel est un lieu compliqué, il faut donc simplifier les hypothèses en choisissant le modèle mathématique. Ce choix est crucial pour les étapes suivantes. Deuxièmement, les règles mathématiques sont appliquées aux symboles comme un outil pouvant fournir des aperçus sur le phénomène physique étudié. Troisièmement, les résultats doivent être à nouveau traduits en langage ordinaire.

Dans les étapes un et trois, les physiciens sont généralement loin de la perfection. Dans la première étape, « quand tout ce que vous avez est un marteau, tout ce qui tend à ressembler à un clou » est un piège. Par exemple, Eddington appliquait à l'intérieur des étoiles le modèle inapproprié du comportement des gaz, ce qui lui a permis d'écarter les effets électriques. Dans la deuxième étape les mathématiques en astrophysique ont tendance à foncer dans les infinis. Un processus appelé par euphémisme « renormalisation » sert à traiter ce problème. Mais comme tout étudiant de lycée le sait, rien n'est naturel à propos de l'infini. L'introduction de l'infini dans une équation, en fait en divisant par zéro, vous permet de « prouver » que 1 = 2.

Rencontrer les infinis dans un modèle mathématique devrait entraîner la remise en cause de la justesse et des limites d'applicabilité du modèle. Pourtant, les astrophysiciens branchent [?] simplement le résultat mesuré et poursuivent. Mais c'est la dernière étape qui expose les physiciens au pire. Ici, ils utilisent des mots ou des expressions, qui ont un sens véritable, d'une manière farfelue ou négligente quand ils veulent dire une chose énigmatique mathématiquement. Par exemple, utiliser le mot « dimensionner » en se référant à plus de trois dimensions spatiales, comme si une règle pouvait aussi servir à mesurer des dimensions supplémentaires. Cela donne lieu à des expressions comme « espace déformé » quadridimensionnel et « espace-temps, » ou parfois à cette mystérieuse étoffe, le « tissu de l'espace-temps. » Nous avons aussi le logiquement indéfendable « univers parallèle. » Aucun n'a de sens physique ou logique.

Le trou noir est un exemple de choix où chacune des trois étapes a échoué. Dans la première étape, la pesanteur est le seul outil considéré. Par exemple, d'un manuel de troisième cycle sur l'astrophysique * : « Aucune force physique connue ne peut arrêter le self-engloutissement de la masse que fait un trou noir. » C'est un modèle dépendant d'une proclamation. La force de la pesanteur est en réalité zéro comparée à la force électrique. Si vous tenez compte de la structure électrique de la matière, la différence de presque 2.000 fois entre la masse de l'électron et du proton assurera que dans un fort champ gravitationnel la [force de] séparation des charges [électriques] travaillera pour empêcher la compression [de la matière]. La séparation des charges empêche l'effondrement des étoiles. Les objets exotiques théoriques comme les étoiles à neutrons et les trous noirs sont impossibles. Même le feu nucléaire interne est inutile pour maintenir une étoile. Le modèle standard des étoile fait fiasco quand un mauvais outil, la pesanteur, est utilisé exclusivement.

Dans la deuxième étape, un infini sert à en contrer un autre. Les infinis abondent dans la littérature sur les trous noirs. La force infiniment faible de la pesanteur est équilibrée en postulant un objet presque infiniment dense : le trou noir. Jouer ainsi avec les infinis peut vous donner tous les résultats que vous désirez. Ça esquive le fait que nous ne comprenons pas la vraie nature de la pesanteur, ou la relation entre la masse et la matière, ou la réponse électrique de la matière à la pesanteur, ou la nature électrique de l'univers. Ça fait beaucoup d'ignorance à engloutir, même pour un hypothétique trou noir !

La troisième étape implique le langage décrivant les trous noirs. Chacun des quatre exemples donnés ci-dessus sert à se référer aux trous noirs. Par exemple, le manuel * continue : « Un trou noir est une région de l'espace-temps dans laquelle la pesanteur est si forte que rien, même la lumière, ne peut lui échapper. » L'expression, « région de l'espace-temps » est physiquement vide de sens, résultant de l'usage confus du mot « temps » et de la notion absurde que la pesanteur serait une propriété de l'espace vide au lieu de la matière.

Mais plus préjudiciable, la formation circonscrite des astrophysiciens ne leur permet pas de « voir » les effets des puissantes décharges électriques aux centres des galaxies. Les rayons X, les rayons gamma, les jets et les lobes radio nécessitent un modèle électrique. En invoquant simplement la force électrique, incommensurablement plus fortes que la pesanteur, nous pouvons revenir au royaume des objets normaux, de la physique normale, et de du bon sens de l'ingénierie électrique. Le modèle gravitationnel du trou noir est fictif et sans valeur.



*****



Sans les vérifications et les mises en balance de l'expérience et de l'observation directe des trous noirs, il y a longtemps que les astrophysiciens se sont détachés [de la réalité]. Comme pièce à conviction, cette récente histoire de BBC News [texte en retrait] :






    Les astronomes déclarent avoir observé un trou noir super-massif mettant en pièces une étoile et en consommant une partie.


Image
Les résultats sont encore la meilleure preuve de la théorie, disent les astronomes



Commentaire : Il est absolument impossible que les astronomes puissent prétendre « avoir observé un trou noir super-massif mettant en pièces une étoile et en consommant une partie. » Comme nous le verrons, tout ce qu'ils ont observé est une explosion de rayons X depuis le centre d'une galaxie.

    Les scientifiques pensent que l'étoile condamnée, dérivant trop près du trou géant, est tombée petit à petit sous l'influence de son énorme pesanteur. Les forces de marée du trou noir ont attiré l'étoile, l'étirant jusqu'à ce qu'elle se morcelle. Le trou noir a ensuite avalé la matière arrachée, provoquant le flamboiement de rayons X qui a été détecté sur Terre.
Commentaire : Ce récit fabriqué dépend du modèles que les astronomes ont choisi au départ. Si ce choix est mauvais, toutes les conjectures basées sur ce modèle seront sans valeur. Si autre chose provoque l'explosion de rayons X, tout l'édifice théorique en vient à s'effondrer.

    Le phénomène a été prévu depuis longtemps par la théorie et des pointes semblables de rayons X ont été vues avant.
Commentaire : Dans ce cas-ci, la prévision antérieure n'aide pas à prouver si ce modèle théorique particulier est correct parce qu'aucune alternative n'a été considérée comme moyen de prouver la fausseté de la théorie établie. L'inexactitude de nombreux modèles en astrophysique ne peut pratiquement pas être prouvée, ils sont donc sans valeur, parce qu'ils sont capables d'être adaptés pour s'accorder avec chaque nouvelle découverte « étonnante ».

    « Brillant flamboiement »

    Mais les astronomes prétendent que les nouvelles données, de l'observatoire MMX-Newton de l'Agence Spatiale Européenne et de l'observatoire Chandra X-ray de la NASA, sont encore la meilleure preuve que ces événements se produisent.
Commentaire : Pareille preuve serait invalide dans un tribunal parce qu'aucune limite n'est mise dans le modèle du trou noir comme source d'énergie gravitationnelle. C'est comme un ressort théorique qui peut être étiré à l'infini sans se rompre. Une théorie qui peut ne tenir compte d'aucune limite pratique est fondamentalement défectueuse.

    L'éruption de rayons X, l'une des plus extrêmes jamais détectées, a été provoquée par le gaz chauffé à des millions de degrés de l'étoile détruite.
Commentaire : C'est une déclaration confiante du fait qu'elle dépend entièrement du modèle. L'utilisation de la pesanteur pour réchauffer le gaz est la méthode imaginable la plus improbable pour produire des rayons X. Pour le faire, nous utilisons l'énergie électrique quasi infiniment plus efficace. Et la nature n'est pas connue pour être inefficace.

    Le trou noir est estimé se trouver au centre d'une galaxie connue sous le nom de RX J1242-11 et avoir une masse d'environ 100 millions de fois celle du Soleil. RX J1242-11 est éloignée d'environ 700 millions d'années-lumière de la Terre. « Cette malheureuse étoile traînait simplement dans de mauvais parages, » a dit la Dr Stefanie Komossa, de l'Institut Max Planck en Allemagne.
Commentaire : C'est là que les théoriciens dépassent les bornes en transférant leur modèle théorique sur de vrais objets (l'un d'entre eux 100 millions de fois plus massif que le Soleil !! Ça étire vraiment le ressort !!) et en discutant d'événements imaginaires comme s'ils se déroulaient réellement.

    « Le centre de la galaxie s'est brusquement enflammé dans une brillante explosion de rayons X des milliers de fois plus lumineuse que les milliards d'étoiles prises toutes ensemble de cette galaxie. »
Commentaire : C'est le seul énoncé factuel de la nouvelle de presse entière.

    La Dr Komossa a dit que la grande étendue de l'émission d'énergie était caractéristique de la matière très proche d'un trou noir.
Commentaire : Ce langage est trompeur. Il donne l'impression que de la « matière très proche d'un trou noir » a été observée directement ou qu'il n'y aurait pas d'autre façon de réaliser la propagation de l'énergie des rayons X. La « caractéristique » d'un truc est « l'ensemble des qualités qui distinguent ce truc des autres. » Mais aucun « autre » [modèle] n'a été considéré. Une information plus importante serait que d'autres qualités de l'émission ne s'adaptent vraiment pas au modèle. Les scientifiques sont enclins à ignorer les preuves qui infirment [leur modèle] ou, si la preuve ne peut être ignorée, à tripoter sans cesse le modèle plutôt qu'à réexaminer toutes les hypothèses qui l'étayent.

    « La pesanteur de ce trou noir est assez forte pour changer brusquement la direction des étoiles du centre et des environs jusqu'à des vitesses de plusieurs milliers de kilomètres par seconde, » a dit à Washington le professeur Guenther Hasinger, aussi de l'Institut Max Planck, lors d'une conférence de presse. On estime qu'environ un centième de la masse de l'étoile a été consommé en fin de compte par le trou noir.
Commentaire : Ces descriptions d'un comportement extrême attendu dans le modèle gravitationnel devraient être considérées dans le contexte de l'impuissance des théoriciens à expliquer le mouvement des étoiles dans une galaxie spirale en utilisant la théorie newtonienne sans évoquer de la matière invisible placée là où nécessaire afin de sauver le modèle. L'astronomie moderne a des relents d'épicycles de Ptolémée autour d'elle.



Image
Les forces de marée du trou noir étirent l'étoile jusqu'au point de rupture.



    Cette petite quantité est logique avec les prévisions que la force d'impulsion et l'énergie du processus par lequel l'étoile est consommée jettera la majeure partie de son gaz loin du trou noir.
Commentaire : Une adaptation majeure a été exigé dans le modèle du trou noir pour expliquer comment de la matière pouvait être éjectée, à une vitesse proche de celle de la lumière, d'un objet supposé ne pas permettre de s'échapper. Comme d'habitude, le magnétisme a été requis pour sauver le modèle gravitationnel. Aucune mention n'a été faite au sujet des courants électriques requis pour produire les champs magnétiques.

Comment les jets pouvaient maintenir leur trajectoire étroite sur des million d'années-lumière était un casse-tête. Le site Internet d'astronomie de Chandra X-ray propose ceci : « Le meilleur pari en ce moment est qu'un champ magnétique étroitement enroulé a formé un cocon de particules. Une équipe de scientifiques explorant cette ligne de raisonnement a conclu que les trous noirs pourraient être les sources originelles de l'énergie magnétique dans l'univers. Cela pourrait être hautement significatif parce que, comme c'est connu grâce à l'observation des éruptions solaires, l'énergie magnétique peut aisément se changer en d'autres formes d'énergie. » Il est assez étrange d'être témoin de ce point faible qui ne permet pas aux astrophysiciens de voir que le magnétisme est un effet secondaire du courant électrique, et non une cause originelle. La plus simple méthode pour créer un jet filamenteux rougeoyant dans le plasma est de provoquer une décharge électrique à travers lui. Les nouvelles boules de plasma des magasins montrent clairement cet effet. Les physiciens du plasma notent qu'il est connu que dans le plasma les filaments se produisent dans au moins 14 ordres de grandeur du courant, depuis des microampères jusqu'à de nombreux megaampères.

    « Chaque galaxie contient un trou noir, et il y a des millions ou des milliards de galaxies. En principe, nous nous attendons à ce que ces événements se produisent tout le temps, » a dit le professeur Hasinger.

Commentaire : Une déclaration finale sûre de soi sans restrictions : « Chaque galaxie contient un trou noir. » Le modèle chimérique devient un fait par décret.



*****

Le CANON à PLASMA aux centres galactiques



Pendant que les astrophysiciens ont laissé le véritable univers pour la métaphysique, pour les réponses nous devons nous tourner vers les ingénieurs raisonnables. Le prestigieux Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) a reconnu le sujet du plasma cosmologique depuis quelques années. La cosmologie du plasma n'a aucun problème à expliquer l'omniprésente forme en spirale des galaxies et à la reproduire dans le laboratoire du plasma. Tout ce qui est exigé pour produire le phénomène est du courant électrique. Les galaxies [spirales] sont enfilées comme des pinwheels [forme circulaire des feux d'artifice tournoyante, NDT] dans les fils cosmiques invisibles du courant électrique. Ces fils cosmiques sont fondamentaux pour l'apparence semblable à du tissu de l'univers visible.



Image
L'étude de l'univers proche dresse une carte de la distribution d'environ 75.000 galaxies (petits points oranges). La Terre est située à l'intersection des deux coins. Les galaxies recouvrent clairement un réseau de structures filamenteuses.



Bien que travaillant en mode de « courant obscur » dans l'espace profond, la présence des courants (de Birkeland) cosmiques est démontrée par leurs champs magnétiques. Une galaxie comme la nôtre est en réalité un moteur homopolaire géant, avec le courant circulant le long des bras en spirale vers le centre galactique puis sortant le long de l'axe polaire.

Il existe un appareil simple connu comme un dense plasma focus, ou « canon à plasma, » qui imite ce qui se passe dans le noyaux des galaxies actives. Il montre ce qui arrive quand les flots de courants qui convergent le long des bras galactiques se focalisent dans un très petit volume au centre galactique.



Image
L'appareil, inventé en premier en 1954, se compose de deux électrodes cylindrique coaxiales, d'habitude de moins de 30 centimètres dans tous les sens, dans une chambre à vide pleine de gaz reliées à un ensemble de condensateur. Il est capable de produire un rayonnement de grande énergie en rayons X et gamma et d'intenses faisceaux d'électrons et d'ions, ainsi que d'abondantes réactions de fusion. En fonctionnement, les condensateurs sont déchargés dans une impulsion de plusieurs microsecondes, le gaz est ionisée et une enveloppe de courant, consistant en filaments de courants pincés, se forme et se décharge des électrodes.

Image
Les filaments radiaux de courant pincé peuvent être vus ici pendant que nous regardons le canon de l'appareil.



Quand l'enveloppe atteint l'extrémité de l'électrode intérieure (l'anode), les filaments se pincent ensemble, formant un point ardent dense, confiné magnétiquement, ou plasmoïde. Le plasmoïde émet des rayons X mous avec de l'énergie dans la gamme de plusieurs milliers d'électron volts. Les images des trous minuscules des rayons X ont démontré que les plasmoïdes sont microscopiques, avec des rayons de quelques microns à quelques dizaines de microns. Ces plasmoïdes émettent d'intenses faisceaux d'ions et d'électrons accélérés. Des neutrons de fusion sont émis de l'appareil en grande quantité. Les lois simples de graduation du plasma nous permettent de saisir pourquoi cette prodigieuse source de flux d'énergie depuis un centre galactique actif est si petite. **



Image
Les émissions de radio du centre de la galaxie, montrent la source radio éclatante SagA et les « lignes électriques » filamenteuses à haute tension alimentant le plasmoïde au cœur de la Voie Lactée. Crédit : Farhad Yusef-Zadeh



Aucune physique spéciale, matière étrange ou singularité (infinis) ne sont impliquées dans le modèle du foyer de plasma des centres galactiques. Il n'y a pas besoin de trous noirs. La matière à proximité du centre galactique est sous le contrôle des puissantes forces électromagnétiques. Les calculs gravitationnels des masses et des mouvements stellaires au centre galactique sont inadéquats et trompeurs. Durant le temps que l'énergie est efficacement stockée dans le minuscule plasmoïde central, le centre galactique est passif. Les jets se produisent seulement quand le plasmoïde devient instable. Les éruptions périodiques d'un plasmoïde galactique peuvent en un court instant libérer plus d'énergie que toutes les étoiles de sa galaxie. C'est précisément le même effet qui est réalisé en laboratoire du plasma de grande énergie, comme celui de Los Alamos, où plus de puissance instantanée que celle fournie par toutes les centrales électriques de la Terre peut être libérée dans un volume de la taille d'un haricot. Qui, avec toutes ses facultés, essayerait de réaliser un résultat similaire (en effet) en laissant tomber une grande masse d'une grande hauteur ?

Le fait que le centre d'une galaxie est « l'anode » d'une décharge galactique appuie le modèle de l'univers électrique avec les étoiles comme minuscules anodes secondaires formées et maintenues dans la décharge galactique. Les étoiles ne peuvent absolument pas attirer tous les électrons dont elles ont besoin pour atteindre la neutralité électrique puis « en venir à s'éteindre » parce que la galaxie entière est une pièce d'un circuit bien plus grand. Les galaxie et leurs étoiles sont sans cesse en train de jouer à « se rattraper » par rapport à une source d'énergie universelle inconnue. Et exactement comme nos centrales électriques sont d'habitude hors de la vue des villes qu'elles illuminent, la source d'énergie universelle semble être au delà de l'univers visible.

La situation de la cosmologie moderne soulève des questions inquiétantes sur la formation en physique et la manière dont la science est conduite aujourd'hui. En physique, les méthodes mathématiques sont mises en avant et les étudiants sont presque exclusivement contrôlés sur leurs compétences en mathématiques. Pour beaucoup le sujet est devenu stérile et abstrait. La dextérité en mathématiques compte plus que le bon sens, l'observation empirique et la recherche historique. Le résultat inévitable est que nous avons maintenant une cosmologie qui est un oxymoron -- le Créationisme scientifique, et un univers qui a été appelé « l'ultime déjeuner libre. » Des dizaines de milliards de dollars sont dépensés pour satisfaire la recherche de particules, d'objets et d'énergies imaginaires, inventés par des mathématiciens. Il semble que plus les déclarations sont absurdes, plus elles ont de chance d'être entendues quand on en vient à leur financement. Nous avons formé de manière inadéquate des scientifique qui nous imposent des expériences super-onéreuses : collisionneurs de particules pour tenter de reproduire l'imaginaire Big Bang ; télescopes à ondes gravitationnelles, alors que nous ne comprenons pas la moindre chose à la pesanteur ; et expériences spatiales gravement malavisées. Une pléthore de données revenant des sondes spatiales sont analysées par une génération de chercheurs qui ne comprennent pas ce qu'ils regardent.

L'astronome Halton Arp a résumé la situation :

    « Après tout, obtenir un univers totalement incongru face à des preuves limpides pendant plus de 75 ans mérite une confusion prodigieuse qui devrait provoquer un minimum d'humilité. » -- What has Science Come to? (À quoi la Science en est-elle arrivé ?) - Journal of Scientific Exploration, Vol. 14, N° 3.


*****



Un dernier mot, du professeur Herbert Dingle. Il y a un demi-siècle, dans son Allocution Présidentielle à la Royal Astronomy Society en 1953 il disait :

    « Aucun grand travail scientifique, il est vrai, n'a été fait sans l'utilisation libre et audacieuse de l'imagination, mais laissez évaluer correctement ses élaborations avant de les annoncer comme des découvertes de l'ordre naturel. Même la vaine spéculation peut ne pas être tout à fait sans valeur si on la reconnaît pour ce qu'elle est. Si les nouveaux cosmologistes observaient cette stipulation, en appelant un chat un chat et non pas un principe agricole parfait, la cause du regret de ceci serait seulement que de pareils grands talents ont été dépensés pour d'aussi petits avantages.

    Mais je ne suis pas encore convaincu que la facilité d'effectuer des opérations mathématiques doive inévitablement priver son propriétaire de la puissance du raisonnement élémentaire, bien que la preuve contre moi soit forte. Laissez nos plus jeunes cosmologistes oublier la cosmologie pendant une durée de trois ans -- l'univers est patient --, il peut attendre, et à la place qu'ils lisent l'histoire de la science -- je veux dire, le travail des grands scientifiques eux-mêmes. Après s'être demandé ce que signifie cela pour le travail d'aujourd'hui, les laisser revenir à la cosmologie et donner à nouveau leur attention aux grands problèmes dans lesquels ils se sont précipités prématurément.

    Je n'apprécie pas la tâche de critiquer violemment ceux dont les facilités en mathématiques dépassent largement le jugement de l'authenticité scientifique, et qui en conséquence ont appliqué ces moyens sur tous les prémisses qui leur donneront leur place. Mais celui qui, bien que ne le méritant pas, accepte l'honneur de présider l'une des plus importantes sociétés scientifiques du monde, accepte une responsabilité. Les conceptions pour lesquelles nous faisons de la publicité sont acceptées comme de véritables déclarations scientifiques, et comme telles elles influencent la pensée des philosophes, des théologiens, et de tous ceux qui réalisent que, fondamentalement dans aucun problème intellectuel, la recherche scientifique ne peut maintenant être ignorée. Et ainsi quand il nous arrive d'avoir publié, au nom de la science, de soi-disant '' principes '' qui dans leur origine et leur caractère sont identiques aux '' principes '' selon lesquels tous les mouvements célestes sont circulaires et tous les corps célestes immuables, il devient de mon devoir de signaler que la science a été créée précisément pour supplanter ce genre de célébration. » -- Observatory, 73, 42.


*****


* Zeilik & Smith, Introductory Astronomy & Astrophysics, p. 303.

** Reconnaissance à Eric J. Lerner de Lawrenceville Plasma Physics pour l'information détaillée sur le dense plasma focus dans son document, «Towards Advanced-fuel Fusion: Electron, Ion Energy >100 keV in a Dense Plasma ».


Original : http://www.holoscience.com/news.php?article=tyybhrr8

Norchis
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Message par Norchis » 22/06/2007 - 16:28:51

Bonjour.

J'ai trop du mal à adhéré à ce que tu a écrit/copié . Pour quoi dire que les mathématiciens ont inventés les trous noirs ??

T'a méthode d'argumentation est vraiment .... comment dire... pas très convacante selon moi.
A force de cité et de contredire ce que les scientifiques disent, tu fais passé les scientifiques pour des victimes plutot que pour des menteurs.

En revenant sur ton 1er dossier, c'est bien la première fois que j'entend dire que les étoiles sont sur branché sur le réseau EDF et qu'il y a des cours-circuits entre les planètes et leurs satellites qui font des étincelles.


Bref si t'a autres chose de plus convacant qu'un site anglais en gise de source, montre le plz.

THX

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bwergl
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Message par bwergl » 22/06/2007 - 19:52:55

le probleme c'est que sans singularité (disons sans quelque chose de singulier) on a peu de chance d'avoir un univers aussi grand que l'infini...

ensuite, mais c'est subjectif je le reconnais, c'est les distances diaboliques de cet univers... des ensembles structurés d'un gigantisme plus qu'hallucinant... si cet univers est "fini" alors sa finitude ne se trouve vraiment pas a la porte a coté, c'est le moins qu'on puisse dire... donc quand on met tout ca dans la balance ainsi que cette collection de singularités, cette omnipresence de la singularité qui apparait un peu partout, etc et d'autres valeurs comme PI qui indiquent que rien ne peut etre "clos" de maniere totale... ca laisse quand meme un certain poid dans cette fort subjective balance qui laisse entendre qu'effectivement on doit etre confronté a des singularités parce que leur existence apparait alors evidente...

Victor
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Message par Victor » 23/06/2007 - 12:49:46

Moi je suis pour le tout méca des fluides du genre magéto-chrono- électro- gravito dynamiques... et je pourrais en faire ma marotte Na!... Pour vous dire que ce topic... Ben il tient de la monomanie... Je serais aussi pour l'inexistence des particules... Car tout est champs et la granularité des champs crée des particules (brames de cerf)... Le cerf est un bout de machins à définir dans un espace que je me plairais d'inventer pour vous démontrer que tout ça c'est pas exact... La preuve que je dis pas de conneries, parce que c'est que c'est comme ça et puis na!... Docteur quoi de neuf dans l'univers ? NB pour bongo et FFred... Je rigole mais à peine...

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Maulus
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Message par Maulus » 25/06/2007 - 11:47:15

ce qui est sur c'est que la représenation de la matière qu'on se fait a l'école est loin d'être suffisante... (les ptites boules de bois hin)
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

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Message par enone01 » 04/07/2007 - 23:28:07

et si tous cela n'est qu'ilusion,un rêve tout au plus? :fada:

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Vincekal
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Message par Vincekal » 05/07/2007 - 10:04:54

Les êtres humains sont des enfants de la Terre, une planète humide et rocheuse. Nos sens sont adaptés au vent, à l'eau, et à la pierre. Quand nous essayons de comprendre le reste de l'univers, nous rapportons naturellement nos observations à ce que nous savons déjà des gaz, des liquides, et des solides.


C'est vrai de chez vrai ...

C'est marrant ça, pourquoi quand quelqu'un propose une façon nouvelle de voir les choses, les gens sont hermétiques ?

Pas convaincant ? Possible ... Mais néanmoins intéressant.

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Message par bongo1981 » 07/07/2007 - 13:05:37

Peut-être parce que le paradigme actuel explique beaucoup de choses, et qu'un besoin esthététique se fait sentir (description non unifiée de la nature).

Mais les nouvelles propositions n'expliquent pas grand chose (et aussi parce que ces alternatives sont proposées par des gugus qui ne connaissent rien à la physique et aux maths).

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kalolo
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Message par kalolo » 08/07/2007 - 8:36:02

Bonjour,
c'est bien beau tout ces textes et ces images mais qu'est-ce que l'électricité sur laquelle se repose cette enfilade d'explications ? Qu'est-ce qu'une particule chargée et pourquoi est elle chargée ?

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bongo1981
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Message par bongo1981 » 09/07/2007 - 19:32:52

kalolo a écrit :Bonjour,
c'est bien beau tout ces textes et ces images
Si tu veux mon opinion, c'est encore un gugus qui croit révolutionner le monde de la physique, avec des théories sans aucune assise expérimentale.
kalolo a écrit :mais qu'est-ce que l'électricité sur laquelle se repose cette enfilade d'explications ? Qu'est-ce qu'une particule chargée et pourquoi est elle chargée ?
Aujourd'hui, les physiciens admettent qu'une particule chargée peut émettre ou absorber des photons. Mais si tu veux que les scientifiques répondent à la question en profondeur, je ne pense pas qu'il y ait de réponse au sein du Modèle Standard.

Dans la théorie des cordes, ça pourrait être des particules ayant certains modes de vibration... mais il faut encore attendre un peu, la théorie n'est pas encore très mûre.

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kalolo
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Message par kalolo » 09/07/2007 - 23:34:01


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Message par bongo1981 » 10/07/2007 - 0:01:55

sûrement, quelle explication proposes-tu ?

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Message par Maulus » 11/07/2007 - 11:04:55

l'explication est simple avec la théorie des cordes.
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

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Message par bongo1981 » 12/07/2007 - 19:11:16

kalolo a écrit :Et si justement l'explication était toute simple ?
Ton explication ne tient pas la route ;)
Maulus a écrit :l'explication est simple avec la théorie des cordes.
Une explication géométrique provenant par exemple de la taille de dimensions enroulées pourraient être un début de réponse, mais pour le moment personne n'a de méthode pour résoudre les équations de la théorie des corde. (les méthodes perturbatives ne donnent rien, les méthodes exactes restent à être inventées)

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Message par Maulus » 13/07/2007 - 10:08:28

tu veut dire que les équations décrivant les modes vibratoires d'une corde pour former telle ou telle particule ne sont pas définies ?
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

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Message par bongo1981 » 13/07/2007 - 18:38:23

Je veux dire que les équations décrivant l'évolution des cordes dans un espace à 11 dimensions sont là, par contre il reste à les résoudre, même pour des cas simples, interprêter la signification de la charge électrique etc... tout reste à faire.

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Message par timiteh » 18/10/2007 - 13:50:01

bongo1981 a écrit :Si on recadrait sur le sujet ? comme quoi tout l'univers s'expliquerait par les forces électromagnétiques et non gravitationnelles (c'est ce que semble dire le topic), ben c'est complètement faux.


Je ne vois pas pourquoi ce serait faux.
D'ailleurs je crois savoir que les adeptes de l'univers électrique n'ont jamais dit que l'univers s'expliquait exclusivement par les forces electromagnétiques mais par une combinaison de forces électromagnétiques et graviationnelles.

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Message par timiteh » 18/10/2007 - 13:52:25

lambda0 a écrit :Euh... je rêve où l'auteur de cet article est en train d'expliquer que l'énergie des étoiles ne provient pas de la fusion nucléaire ?
Et les neutrinos, ça vient d'où alors ? Et pour la nucléosynthèse, comment on fait ?


Je crois que c'est expliqué dans un des articles.
La fusion nucléaire se produit dans l'atmosphère du soleil et pas à l'intérieur ce qui expliquerait pourquoi le nombre de neutrinos est bien inférieur au nombre qu'il devrait y avoir si le soleil avait une fusion interne.

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Message par timiteh » 18/10/2007 - 14:01:57

bongo1981 a écrit :Peut-être parce que le paradigme actuel explique beaucoup de choses, et qu'un besoin esthététique se fait sentir (description non unifiée de la nature).


Je doute que le paradigme actuel est juste un besoin esthétique.
Il aurait plus tôt besoin d'une profonde remise en cause.


Mais les nouvelles propositions n'expliquent pas grand chose (et aussi parce que ces alternatives sont proposées par des gugus qui ne connaissent rien à la physique et aux maths).


Non justement.
Le père fondateur de la cosmologie du plasma est un prix nobel et plusieurs des scientifique contribuant à la developper sont de brillants scientifiques.
En tout cas je trouve que globalement leur théorie est plus convaincante que celle du big bang car baser sur des analyses et extrapolations de resultats experimentaux.

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