[News] Percer les mystères des rouages de la mémoire

[Isabelle]

Des chercheurs identifient un acteur clé dans le fonctionnement du cerveau et de la mémoire. Est-il possible de modifier la quantité d’information que le cerveau peut stocker ? Peut-être, selon une nouvelle étude internationale menée par l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM). Cette recherche jette la lumière sur une molécule qui met un frein à l’activité cérébrale. Si cette molécule est retirée, le fonctionnement cérébral et le rappel...

Lire la suite

[Victor]

a priori j'ai pas d'opinion sur le sujet mais un truc qui m'a donné à réfléchir
le rapprochement de 2 mots "neurochirurgie" et "Mac Gill"
Toutes les lobotomies sont des grosses erreurs de jugement
Pour la molécule frein, elle doit avoir une explication

[alessandro pendesini]

Bonjour

Toute étude sur le fonctionnement cérébral est la bienvenue. Comprendre le fonctionnement de notre encéphale qui compte quelque 86 milliards de neurones et environ un million de milliards de connexion synaptiques, n’est pas une mince affaire…..Cependant la neuroscience avance avec une progression spectaculaire et donne des résultats époustouflants, qui dépassent notre imagination (ou illusion) consciente !

N.B. -Cet article ne semble pas tenir compte que à côté de la pathologie organique lourde des amnésies, rappelons qu’existe toute une nébuleuse d’amnésies « non organiques », dites psychogènes (hystériques, posthypnotiques etc.). Il est impossible de les ignorer, alors qu’on y rencontre souvent des enchevêtrements de conscient et d’inconscient. Ainsi note-t-on des sujets qui ont des difficultés à enregistrer intentionnellement de nouvelles informations, alors que leur mémoire implicite semble préservée. Ailleurs enfin, il s’agira de cas sévères, liés à des conflits ou à des « stress », que l’on aura enfouis dans un inconscient dont ils ne se dégageront que difficilement. Il est certain que la mémoire est une des fonctions les plus affectées dans ce qu’après Janet il est convenu d’appeler « hystérie », cet état de dépendance plus ou moins totale de l’individu, dont la personnalité est profondément perturbée et qui en oublie son moi.

[cisou9]

_____________________

Cette recherche jette la lumière sur une molécule qui met un frein à l’activité cérébrale. Si cette molécule est retirée, le fonctionnement cérébral et le rappel de mémoire s’améliorent.

Je présume que dans certaines pathologies comme Alzheimer ce n'est pas fonctionnel. ___