[News] La réponse du cerveau face aux individus dominants prédit le rapport aux inégalités sociales
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[News] La réponse du cerveau face aux individus dominants prédit le rapport aux inégalités sociales
Les êtres humains se divisent régulièrement à propos du maintien ou de l'accentuation des inégalités d'accès aux ressources élémentaires. Une équipe de l'Institut des sciences cognitives Marc Jeannerod, montre par IRM fonctionnelle que la réponse du cortex préfrontal antérieur droit des individus les plus enclins à légitimer ces hiérarchies de dominance sociale est exacerbée lorsque ces derniers sont exposés à des joueurs les ayant préalablement dominés au cours d'une tâch...
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Pendesinialessandro
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Re: [News] La réponse du cerveau face aux individus dominants prédit le rapport aux inégalités sociales
Bonjour
….A terme, ces travaux pourraient permettre de mieux comprendre les facteurs neurobiologiques sous-tendant la renaissance de l'extrémisme politique ou religieux, puisque ce dernier repose le plus souvent sur la volonté de renforcer la dominance de certains groupes sociaux sur d'autres et que celle-ci entretient un rapport bien établi avec la perception de la dominance à l'échelle des interactions interindividuelles….Dit l’article
Examinons de très près des religieux principalement monothéistes, et arriverons quasiment toujours à un dénominateur commun : UNE IGNORANCE SOUVENT INCOMMENSURABLE, notamment dans le domaine scientifique !
En ce qui concerne l’extrémisme politique, je dirais que la plupart relèvent de la psychiatrie, dont certains psychopathes et/ou paranoiaques, pour ne citer que ces pathologies….Ce qui se passe actuellement avec certains politiciens de certains Etats dits "évolués", semble amplement confirmer cette critique. A tort?
Dans les espèces animales, et surtout chez l’homme, il y a une tendance innée qui incite à dominer les autres ! En d’autres mots l’instinct de domination chez l'homme, comme bien d’autres, est inné –et nullement acquis- Seule la façon dont il se manifeste varie d’un individu à l’autre. Cette variation dépend, en très grande partie de l’acquis ethico-culturel des personnes, c’est-à-dire des éducateurs ou prétendus tels… qui nous entourent depuis notre naissance (voire même avant la naissance si nous considérons l’influence directe de la mère sur son futur bébé). Tout en admettant, bien entendu, qu’il y ait une prédisposition génétique relativement variable chez les individus.
« Nous sommes les autres » écrivait un certain Henri Laborit il y a belle lurette ! Que, je souligné en passant, on lui refusa le prix Nobel de médecine pour la simple raison que ses idées –pas absurdes mais rationnelles- n’étaient pas en phase avec l’idéologie de certains dominants et dogmes religieux, catholiques in primis…de l’époque.
….A terme, ces travaux pourraient permettre de mieux comprendre les facteurs neurobiologiques sous-tendant la renaissance de l'extrémisme politique ou religieux, puisque ce dernier repose le plus souvent sur la volonté de renforcer la dominance de certains groupes sociaux sur d'autres et que celle-ci entretient un rapport bien établi avec la perception de la dominance à l'échelle des interactions interindividuelles….Dit l’article
Examinons de très près des religieux principalement monothéistes, et arriverons quasiment toujours à un dénominateur commun : UNE IGNORANCE SOUVENT INCOMMENSURABLE, notamment dans le domaine scientifique !
En ce qui concerne l’extrémisme politique, je dirais que la plupart relèvent de la psychiatrie, dont certains psychopathes et/ou paranoiaques, pour ne citer que ces pathologies….Ce qui se passe actuellement avec certains politiciens de certains Etats dits "évolués", semble amplement confirmer cette critique. A tort?
Dans les espèces animales, et surtout chez l’homme, il y a une tendance innée qui incite à dominer les autres ! En d’autres mots l’instinct de domination chez l'homme, comme bien d’autres, est inné –et nullement acquis- Seule la façon dont il se manifeste varie d’un individu à l’autre. Cette variation dépend, en très grande partie de l’acquis ethico-culturel des personnes, c’est-à-dire des éducateurs ou prétendus tels… qui nous entourent depuis notre naissance (voire même avant la naissance si nous considérons l’influence directe de la mère sur son futur bébé). Tout en admettant, bien entendu, qu’il y ait une prédisposition génétique relativement variable chez les individus.
« Nous sommes les autres » écrivait un certain Henri Laborit il y a belle lurette ! Que, je souligné en passant, on lui refusa le prix Nobel de médecine pour la simple raison que ses idées –pas absurdes mais rationnelles- n’étaient pas en phase avec l’idéologie de certains dominants et dogmes religieux, catholiques in primis…de l’époque.