Jacques Barbeu du Bourg - Définition

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Jacques Barbeu du Bourg.
Jacques Barbeu du Bourg.

Jacques Barbeu du Bourg, ou encore Jacques Barbeu-Dubourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 13 décembre 1799 à Paris, est un scientifique français célèbre pour ses travaux de botanique.

Biographie

Origine et éducation

Fils de Claude Barbeu-Dubourg, sieur du Bourg et de Françoise Gournay, il est baptisé le même jour à l'église Saint-Martin de Mayenne. Destiné d'abord à l'état ecclésiastique, il commence des études théologiques et apprend les langues anciennes, notamment l’hébreu afin d’entrer dans les ordres et le grec[1]. Un de ses contemporains affirme qu'il savait aussi bien le grec et l'hébreu qu'il est possible pour des modernes.

Des sujets variés

Changeant de vocation, il se fait recevoir bachelier en droit en 1735, puis se tourne vers des études médicales à Paris. Ses premiers travaux de 1746 à 1748 constituent ses thèses d'école. Il obtient son doctorat en 1748. Il professa la pharmacie en 1753, la chirurgie en langue latine d'abord, 1758, en français, 1768. Professeur à la faculté de médecine de Paris, il publie divers ouvrages médicaux, et se consacre ensuite à la botanique. Deux malades du Bas-Maine transportés à Paris pour y être soignés et que les chirugiens tuèrent correctement, inspirèrent à Jacques Barbeu du Bourg deux Mémoires virulents[2].

Il s'intéresse à des sujets très variés : la linguistique, l'histoire, l'archéologie, la littérature, la physique, etc. Benjamin Franklin (1706-1790) entretient avec lui une correspondance suivie et amicale. Barbeu du Bourg traduit en 1773 ses œuvres.

Barbeu apprend aussi l'italien et l'anglais et traduit quelques unes des œuvres du vicomte de Bolingbroke, avec lequel il s'était lié lors d'un de ses voyages en France[3].

Médecine

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Médecine
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Méta
Le projet Médecine

Il occupe à la faculté de médecine la chaire de pharmacie et fonde la Gazette d'Epidaure, devenue plus tard la Gazette de Médecine, 1761-1763, 5 volumes in-12.

L'Amérique

Il s’enthousiasma pour les idées politiques de la jeune Amérique et vouait une admiration pour Benjamin Franklin. En 1774, il envoya du matériel de guerre[4] et décida de jeunes nobles à aider les insurgés.

Le docteur Dubourg s'était abouché avec Silas Deane, qui lui avait été adressé par Franklin. Il espérait sans doute se faire donner une subvention pour la fourniture secrète des armes et des munitions aux Américains; peut-être même reçut-il cette subvention, puisqu'il expédia en Amérique quelques chargements et qu'il envoya quelques négociateurs au Congrès.

Mais il vit d'un très-mauvais oeil que le gouvernement français eût donné à Beaumarchais la préférence des fournitures secrètes aux colons insurgés. Il en écrivit à M. de Vergennes en blâmant le ministre de son choix [5].

Barbue-Dubourg était un agent zélé du parti américain[6]. Les milices américaines manquaient d'ingénieurs. Ce fut encore Barbeu-Dubourg qui se chargea d'en procurer. [7]

Écrivain scientifique

Il est l'auteur de nombreux livres et mémoires dont :

  • la Chronographie, ou Description des tems, contenant toute la suite des souverains de l'univers et des principaux événements de chaque siècle... (Paris, 1753) [8] ;
  • Gazette d'Épidaure, ou Recueil de nouvelles de médecine avec des réflexions pour simplifier la théorie et éclairer la pratique (Paris, 1762) ;
  • Le Botaniste françois, comprenant toutes les plantes communes et usuelles... (deux volumes, Paris, 1767) ;
  • Petit Code de la raison humaine, ou Exposition succincte de ce que la raison dicte à tous les hommes pour éclairer leur conduite et assurer leur bonheur (Paris, 1789), etc.

Le Botaniste français

C’est surtout son Botaniste françois qui retient l’attention. Il y suit la méthode linnéenne et décrit les plantes des environs de Paris. Destiné aux étudiants et surtout aux herboristes, Barbeu du Bourg y décrit l’usage médicinal des différentes espèces. Il est le premier à nommer et à décrire les plantes en français, abandonnant là le latin, cette innovation va être bientôt reprise par de nombreux auteurs.[9]

Barbeu étudia aussi les champignons et prépara un album avec Marie Catherine Biheron, dessinatrice. Barbeu possédait dans les environs de Paris un jardin botanique qu'il offrit à la Faculté pour l'instruction des chirurgiens.

Il travaillait à des recherches dont l'avait chargé la Société royale de médecine quand il meurt à Paris[10] d'une fièvre maligne en 1779. [11]

Ses cendres sont déposées au cimetière de la chapelle de Saint-Symphorien[12] de l'église de Saint-Germain-des-Prés.

Du Petit-Thouars a donné le nom de Barbeuia à une plante trouvée à Madagascar et qu'il regardait comme seule de son espèce.

Il était membre des académies et sociétés royales de Londres, Stockholm et Philadelphie. Paul Delaunay nous dit qu'il fut profondément croyant et que Dom Piolin le juge mal en le disant voltairien.

Publications

  • Lettres d'un garçon barbier (Zöïolomastix) à l'abbé Desfontaines, sur la maîtrise ès-arts. Paris, 1743, in-12 ;
  • Deux lettres à une dame, au sujet d'une expérience de chirurgie faite à la Charité, le 22 juin 1744. Paris, 1744, in-8 ;
  • Daturne etiam vitalium organorum somnus ?, Paris, 1746, in-4 ;
  • An variolarum morbus absque eruptione ? Paris, 1747, in-4 ;
  • Utrum anni climaterici caetris perriculosiores ? Paris, 1747, in-4 ;
  • An praecipua sanguinis officina pulmo ? Paris, 1748, in-4 ;
  • An Tracheotomiae, nune scapellum, nune trigonus muero ? Paris, 1748, in-4 ;
  • Lettres sur l'histoire, par Henri Saint-Jean, lord vicomte de Bolingbroke (suivies de Réflexions sur l'exil, et de la Lettre sur le véritable usage de la retraite et de l'étude) ; le tout traduit de l'anglais. Paris, 1752 (lien) ;
  • Chronographie ou description des temps, contenant toute la suite des souverains de l'univers, et des principaux événements de chaque siècle, depuis la création du monde jusqu'à présent. Paris, 1753. En 35 planches in-folio, gravées en taille douce avec un volume in-8 d'explications [13] ;
  • Gazette d'Épidaure, ou recueil hebdomadaire des nouvelles de médecine, avec des réflexions pour simplifier la théorie et éclairer la pratique. Paris, 1761-1763. 5 volumes ;
  • Recherche sur la durée de la grossesse et le terme de l'accouchement. Amsterdam, 1765, in-8 ;
  • Le botaniste françois, comprenant toutes les plantes communes et usuelles, disposées suivant une nouvelle méthode, et décrites en langue vulgaire. Paris, Lacombe, 1767. [14] Contient : une nouvelle méthode de botanique. Trois " lettres à M. sur l'application de la botanique à la médecine ". Un avis sur la récolte, la dessiccation et la conservation des simples. Un catalogue d'un jardin de plantes usuelles divisées en six classes. Un index des plantes qui croissent aux environs de Paris. Le tome II a pour titre: Le botaniste français, ou manuel d'herborisation et Traité des plantes qui se trouvent aux environs de Paris ;
  • Manuel de botanique Paris, (1767-1768). Il avait dédié son Traité de botanique à sa femme, s'abstenant de la louer parce que dit-il, le public n'est pas plus de croyance dans le bonheur des époux, qu'il n'a de pitié pour ceux qui sont malheureux ;
  • Second mémoire à consulter pour lui et les docteurs régens de la faculté de Paris. Paris, 1768, in-4. [15] ;
  • Il ne faut pas lui attribuer l'ouvrage : Anecdotes de médecine, 1762 dont la dédicace est signée : Barb... Du B..., cryptonyme abusivement et sciemment utilisé par le médecin flamand Pierre-Antoine-Joseph du Monchaux pour induire en erreur ;
  • Éditeur et traducteur des Lettre d'un fermier de Pensylvanie, aux habitans de l'Amérique septentrionale, traduit de l'anglais, 1769 de Benjamin Franklin ;
  • Opinion d'un médecin de la faculté de Paris, en faveur de l'inoculation de la petite vérole. Paris, 1769, in-12. Ouvrage où il revient sur ses premières préventions ;
  • Œuvres de Benjamin Franklin, traduit de l'anglais. Paris, Quillau, Esprit, et l'Auteur, 1773, Paris, 1775. 2 volumes, in-4. [16] (lien) ;
  • Petit code de la raison humaine, ou Exposition succincte de ce que la raison dicte à tous les hommes pour éclairer leur conduite et assurer leur bonheur. Londres, 1774, 1782, 1789. [17] ;
  • Richard Saunders, dit Poor Richard, pseudonyme de Benjamin Franklin, La science du bonhomme Richard ou Moyen facile de payer des impôts, traduit de l’anglois par Jacques Barbeu Dubourg, Philadelphie, et se trouve à Paris, chez Ruault, 1777 ;
  • Le calendrier de Philadelphie, ou Constitutions de Sancho-Pança et du bonhomme Richard en Pennsylvanie. Philadelphie et Paris, 1778. (lien). [18] ;
  • Elements de médecine en forme d'aphorismes, 1780[19], in-12 [20];
  • Sommaire de Chronologie, en vers techniques ;
  • Lettres d'un médecin de la faculté de Paris à un de ses confrères au sujet de la Société royale de médecine. sans date. [21]

Il laissa en manuscrit :

  • Lettre à Mademoiselle *** sur les vents ;
  • Projet d'un cours complet de médecine ;
  • Objections à M. Basselin sur la quadrature du cercle.

Notes et références

  1. Elève au collège de Mayenne, on rapporte qu'en 1723, à l'âge de 14 ans, dans une séance littéraire du 31 août, il devait avec un condisciple, René Auffray, réciter de mémoire trois discours de Cicéron et de Salluste et deux livres des Epîtres d'Horace, quae elegans Flacci imitator Boleaus expressit. Il s'agit d'oeuvres inédites de Pierre Egasse du Boulay.
  2. C'étaient Claude Poncet, de Placé (1754), et Jean Beaubon, tapissier à Saint-Christophe-du-Luat (1757).
  3. Barbeu fut d'abord précepteur dans la maison de Matignon où sans doute il se lia avec Bolingbroke
  4. Dès 1775, on trouve dans les Archives américaines que deux officiers français, MM. Penet et de Pliarne, furent recommandés par le gouverneur Cook, de Providence, au général Washington, pour qu'il entendît les propositions qu'ils avaient à faire en faveur de la cause de l'indépendance. Ces officiers arrivaient du Cap Français (Saint-Domingue) et furent reçus en décembre par le Congrès, qui accepta leurs offres relativement à des fournitures de poudre, d'armes et d'autres munitions de guerre. La convention secrète qui fut alors conclue reçut son exécution, du moins en partie, car, dans une lettre adressée de Paris, le 10 juin 1776, par le docteur Barbeu-Dubourg à Franklin, celui-ci dit qu'il a reçu de ses nouvelles par M. Penet, arrivé de Philadelphie, et qu'un envoi de 15 000 fusils des manufactures royales qui lui ont été livrés sous le nom de La Tuilerie, fabricant d'armes, va partir de Nantes avec ce même Penet.
  5. Louis de Loménie, Beaumarchais et son temps, études sur la société en France au XVIIIe siècle d'après des document inédits.)
  6. Il écrit en même temps qu'il a engagé, avec promesse du grade de capitaine dans l'armée américaine, et moyennant quelques avances d'argent, le sieur Fareli, officier de fortune et ancien lieutenant d'infanterie. Au sieur Davin, ancien sergent-major très-distingué, il n'a promis que le payement du passage par mer. Il a engagé en outre M. de Boisbertrand, jeune homme plein d'honneur, de courage et de zèle, qui en France a un brevet de lieutenant-colonel, mais qui ne demande rien Thomas Balch indique qu'il n'a pas rencontré autre part les noms de ces officiers. Mais il indique que dans une autre correspondance que M. de Bois-Bertrand partit en juillet 1776, en emmenant à ses frais deux bas officiers d'une grande bravoure. Barbeu-Dubourg lui avait fait espérer le grade de colonel.
  7. * Le 24 mars 1776, M. Barbeu-Dubourg écrit de Paris au docteur Franklin, à Philadelphie:
    "Je pense très-sérieusement que le chevalier de Kermovan est un des meilleurs hommes que votre pays puisse acquérir. Il a déjà embrassé ses sentiments, et il ne demande rien avant d'avoir fait ses preuves; mais il a l'ambition d'obtenir un rang quand son zèle et ses talents seront éprouvés. Il est disposé à s'exposer à tous les dangers comme simple volontaire aussi bien que s'il avait le commandement en chef. Il me paraît bien instruit dans l'art militaire."
    • Dans sa lettre du 10 juin 1776, déjà citée, il s'exprime ainsi à ce sujet.
    "J'ai arrêté deux ingénieurs: l'un, M. Potier de Baldivia, tout jeune mais très-instruit, fils d'un chevalier de Saint-Louis qui était ingénieur attaché au duc d'Orléans; l'autre, Gillet de Lomont, jeune homme d'un mérite peu commun quoiqu'il n'ait encore été employé qu'à la paix; mais on ne peut pas en décider d'autres."
    "J'ai parlé à M. de Gribeauval, lieutenant général des armées du roi et directeur de l'artillerie, qui croit qu'il faut vous en envoyer trois dont, l'un en chef, qui serait M. Du Coudray, officier très-distingué et très-jalousé, qui a servi en Corse, et dont les connaissances en chimie pourraient être très-utiles."
  8. Cet ouvrage est loué et longuement décrit dans Le Marcure de décembre 1753.
  9. Louis Marie Aubert Du Petit-Thouars cite ce livre comme l'un des livres élémentaires les plus agréablements écrits. Jean-Jacques Rousseau reproche à l'auteur de se livrer trop à son imagination. Pour l'abbé Angot, l'ouvrage n'est pourtant qu'une œuvre de vulgarisation, sans idées personnelles, sauf un essai de classification qui tient le milieu entre les systèmes artificiels et la méthode naturelle.
  10. Il avait habité successivement la rue Saint-Dominique, le rue Saint-Benoît, la rue de l'Eperon, 1753, la rue des Rosiers, 1756, la rue du Cimetière Saint-André, 1757, la rue Copeau, pendant 15 ans, et se retira à la fin de sa carrière dans l'enclos de Saint-Germain-des-Prés.
  11. Il semble pour l'abbé Angot qu'il soit jamais revenu à Mayenne. Héritier dans la succession de Jean Chabrun, prêtre, ancien principal du collège de Mayenne, il chargea M. Lair-Lamotte, avocat, de règler ses intérêts vis-à-vis des familles Guyarde et Gournay. Il vendit en particulier, le 7 novembre 1772, la closerie de la Joncheraie en Contest, pour 3 100#.
  12. Cette chapelle était paroissiale pour les habitants de l'enclos de Saint-Germain-des-Prés.
  13. L'abbé Angot indique que la bibliothèque de Laval possède de cet ouvrage un exemplaire dont les 35 tableaux, collés bout-à-bout, s'enroulent sur 2 rouleaux renfermés dans deux boîtes en carton et munis de manivelles qui permettent de faire passer toute la série sous les yeux.
  14. On y trouve indiquée suivant la nouvelle méthode linnéenne, de nombreuses stations de plantes des environs de Paris. De plus, il a été écrit dans un but essentiellement pratique, pour les étudiants et surtout les herboristes. " Enfin, pour la première fois la description et le nom des plantes y étaient donnés en français’‘. "
  15. C'est une protestation contre le doyen qui voulait substituer le vote écrit au vote verbal.
  16. C'est la 1ère édition des œuvres de Benjamin Franklin (1706-1790). L'ensemble se présente sous forme de lettres, traduites par le médecin et naturaliste Jacques Barbeu-Dubourg, correspondant et ami de Franklin, on trouve les notions d'électrisation positive ou négative, qui sont à la base de la théorie du condensateur ; ainsi que ses expériences faites au moyen d'un cerf-volant pour étudier l'électrisation des nuages. Franklin établira la nature électrique de la foudre et donnera une explication nouvelle de ce phénomène.
  17. Ouvrage personnel dédié et inspiré des théories de Benjamin Franklin, fut d'ailleurs imprimé pour la première fois en 1774 sur les presses de Benjamin Franklin. L'édition de 1782 passa toute en Angleterre. L'édition de 1789 donnée à Paris est " la plus complète ", du Petit Code de la raison humaine dans lequel son auteur fait l'éloge de la famille et du mariage, du travail, de la tolérance ; il défend en outre le droit de propriété et l'impôt foncier, et développe des idées agrariennes sur la population et l'agriculture.
  18. Faux titre : ″Calendrier de Philadelphie ou Sancho-Pança, législateur en Amérique″. - Par Jacques Barbeu Du Bourg. - Nouv. émission de l'éd. de 1777, avec recomposition du faux titre et du titre, augmentée de : ″Introduction. Sancho-Pança, législateur en Pennsylvanie″ et ″Conversation après souper, entre Mistriss Rachel, Sir Thomas, le Bon-homme Richard et Sancho-Pança″ qui ne sont peut-être pas de Barbeu Du Bourg, d'après A.O. Alridge : ″Benjamin Franklin et ses contemporains français″ dans : ″Proceedings of the American philosophical society
  19. Et non en 1770.
  20. Ils étaient écrits dit-on pour l'instruction de son neveu Lair de la Motte.
  21. Il soutient les droits de la corporation dans cette brochure de 8 pages. Il paraît qu' après avoir beaucoup déclamé contre la formation de cette société, il s'en rapprocha à la fin de sa vie, se déshonorant sur le bord de sa tombe disent les Mémoires secrets pour servir à l'histoire (XIV, 315).

Sources partielles

  • Adrien Davy de Virville (dir.) (1955). Histoire de la botanique en France. SEDES (Paris) : 394 p.
  • Amédée Dechambre (1876). Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. G. Masson (Paris), huitième tome.
  • " Jacques Barbeu du Bourg ", dans Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Goupil, 1900-1910 ([détail édition])
  • Thomas Balch, Les Français en Amérique pendant la guerre de l'Indépendance des Etats-Unis 1777-1783, 1872 [détail édition]
  • Jacques Barbeu du Bourg a été l'objet d'une étude historique et bibliographique des plus complètes de la part de Paul Delaunay.


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