Frankenstein, RUR, Metropolis... Les premiers androïdes étaient le plus souvent dépeints comme d'infâmes dégénérés, obsédés par une seule et même idée: ravir à leur créateur sa place dominante, prendre les commandes de la civilisation, asservir les humains sans s'embarrasser des scrupules propres aux êtres de chair.
Cet imaginaire qui a baigné les fantasmes de bien des adultes en devenir n'était pas tendre pour les robots. Il a fallu Asimov, R2-D2 et autres robots plus débonnaires tel que le dessin animé Astro Boy pour adoucir cette image flétrie...
Daniel Ichbiah, écrivain et auteur du livre "Robots, genèse d'un peuple artificiel" publié aux éditions Minerva en 2005 nous propose un dossier faisant le point sur l'évolution de l'image des robots depuis le mythe de Prométhée — la créature menaçante qui se révolte contre la vanité de l'Homme — jusqu'à l'ère actuelle des compagnons débonnaires du foyer.
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