Mme POB ne va pas faillir à sa réputation, que mes détracteurs (agricoles) se rassurent et que mes thuriféraires de délectent de ma prose si particulière en de mon style percutant.
En toute modestie, cela va de soi.
C'est très bien de dégotter ici ou là, au prix de recherches très sophistiquées et extrêmement onéreuses, des planètes potentiellement propices à la vie.
Ouaip, c'est vraiment très bien et je salue comme il se doit les chercheurs.
Je salue autrement leurs bailleurs de fonds, lesquels fonds viennent de nos porte-monnaies. Parce qu'enfin, cela sert à quoi de chercher s'il y a de la vie ailleurs, sinon à démontrer que les Terriens ne sont
peut-être pas seuls dans l'Univers, ce qui statistiquement a une probabilité qui confine à l'évidence ?
Oh certes cela pourrait river leurs clous à force gourous et illuminés qui en sont restés à la Bible, sans savoir - tristes ignorants qu'ils sont - que ce fatras de textes antiques bidouillés et caviardés à partir de textes plus anciens, ne donne plus à réfléchir qu'à quelques érudits et d'innombrables abrutis bas du front qui ne comprennent rien en dehors de ce que justement leurs gourous leur font comprendre.
Le problème, c'est que les recherches en question ne démontrent rien au sens expérimental, ce qui ne fera qu'apporter de l'eau aux moulins des gourous.
Ces bailleurs de fonds de l'UE font peut-être bien partie de ces lobbyistes de la biblitude - ou de l'anti-biblitude ? Je n'en sais rien et honnêtement je m'en tamponne le coquillard, je vois surtout qu'ils gaspillent nos deniers.
D'un autre côté, les chercheurs qui trouvent des exoplanètes potentiellement "vivables" seraient bien en peine d'aller plus loin vu qu'il n'y a aucun moyen PHYSIQUE d'aller y voir de plus près et ce n'est pas le progrès technique qui changera les lois de la physique.
Le seul point positif que je puisse voir dans cette recherche EPDL c'est qu'en cherchant dans une direction on trouve des tas de choses qu'on ne cherchait pas, cela fait donc quand même progresser la Science.
Ouf !
Je vous laisserai sur ce paradoxe.