La fin de l'époque Contemporaine
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
faut pas etre presse, et vivre son temps qu'il soit bon ou mauvais
"Le soleil, avec toutes ces planetes qui gravitent sous sa gouverne, prend encore le temps de murir une grappe de raisin, comme s'il n'y avait rien de plus important. " Galilee
Re: La fin de l'époque Contemporaine
perso j'veux juste pas mourir avant qu'on ai eu la certitude qu'il y ai de la vie ailleurs 
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.
http://www.cieletespaceradio.fr
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
Se savoir la seule espèce intelligente dans l'univers ça peut être aussi très effrayant... imagine un univers vide de vies intelligentes... personnellement je crois même si ce n'est pas très scientifique que ça grouille de vies dans l'univers
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
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nostradamus
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
la vie ailleurs...Ca révolutionnerait tellement le monde, j'imagine même pas !
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Mizar 17
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
personnellement je crois même si ce n'est pas très scientifique que ça grouille de vies dans l'univers.
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+1 Victor
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+1 Victor
"Les sillons de l'espace où fermentent des mondes"
Leconte de Lisle
Leconte de Lisle
Re: La fin de l'époque Contemporaine
Par contre il n'est pas sûr du tout que nous rencontrions dans une période relativement courte,
s'il y a des contacts c'est depuis longtemps "ils" les ET sont parmi nous
s'il y a des contacts c'est depuis longtemps "ils" les ET sont parmi nous
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
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Mizar 17
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
Une moyenne de 100 milliards d' étoiles par galaxie et environ 350 milliards de galaxies dans la fraction d' univers observée .
Cela fait un nombre d'étoiles ( avec leur cortège de planetes ) énorme .
L' hypothèse de "forme"( quelconque ) de vie , de 1/100 milliards ( raisonable , non ?) offre donc 350 milliards de possibilités .
Sacrée probabilité .
Pour moi , la question n' est pas de savoir si nous sommes seuls dans l' univers , mais plutot ou se trouve la plus proche planete abritant une "autre" vie .
Proxima du centaure est à 4,22 AL de la planète bleue.A elle ensemencé la vie prés elle ?
Faudra il regarder encore plus loin ?
Quitter la voie lactée et regarder Vers Andromède?
Même en sachant que la science fera progresser la façon de voyager dans l' espace , j'ai bien peur que ces distances nous condamnent à ne jamais obtenir la preuve que nous sommes qu'un tout petit espace de vie.
Cela fait un nombre d'étoiles ( avec leur cortège de planetes ) énorme .
L' hypothèse de "forme"( quelconque ) de vie , de 1/100 milliards ( raisonable , non ?) offre donc 350 milliards de possibilités .
Sacrée probabilité .
Pour moi , la question n' est pas de savoir si nous sommes seuls dans l' univers , mais plutot ou se trouve la plus proche planete abritant une "autre" vie .
Proxima du centaure est à 4,22 AL de la planète bleue.A elle ensemencé la vie prés elle ?
Faudra il regarder encore plus loin ?
Quitter la voie lactée et regarder Vers Andromède?
Même en sachant que la science fera progresser la façon de voyager dans l' espace , j'ai bien peur que ces distances nous condamnent à ne jamais obtenir la preuve que nous sommes qu'un tout petit espace de vie.
"Les sillons de l'espace où fermentent des mondes"
Leconte de Lisle
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Re: La fin de l'époque Contemporaine
La probabilité ça veut rien dire si on prend en considération des environnements connus. Et quand on connait rien, les probabilités ressemblent plus à de la voyance. Qui nous dit que notre système ou les régions proches n'ont pas quelque chose d'exceptionnel, un mélange inédit, des conditions bien plus rares qu'on le pensait...
De toute façon, s'il y a de la vie ailleurs, quel intérêt ? On aura tout le temps d'envoyer de germes partout dans le système et au-delà avant de rentrer en contact avec quelque chose d'autre. Peut-être même qu'à ce moment, à force de "féconder" de nouveaux mondes, à force d'évolution, on ne saura même pas identifier une vie "étrangère" d'une vie de chez nous tout simplement parce que la vie dans l'environnement connu sera parfaitement banale après des milliers d'années de "fécondation" et d'évolution par la vie terrienne sur ces autres mondes.
Imaginez par exemple que la vie sur Terre soit bien issue d'éléments extraterrestres comme cela semble faire consensus aujourd'hui. On imagine que cette "fécondation" a eu lieu en une fois. Et pourquoi la Terre n'aurait-elle pu avoir été "bombardée" plusieurs fois, à différentes étapes de l'évolution de la vie ? On peut aussi imaginer que la vie ait alors émergée à différents endroits sur Terre et ait fini par se mélanger... Au moment de ces rencontres, il est possibles que les "vies" ayant évoluées à différents endroits s'identifient comme étant des "intrus". Peut-être ont-elles immédiatement cohabité et interagir. Le scénario d'un bombardement unique, d'une naissance à un seul endroit, à un moment t, de la vie sur Terre parait un peu idéal et trop beau. C'est probablement plus compliqué que ça. Donc quand on prend le négatif de cette image du passé pour l'adapter à une nouvelle vision de l'avenir de la vie dans notre système, on est en droit de se demander si notre vision d'une rencontre avec une vie extraterrestre n'a juste aucun sens. Elle peut être extrêmement rare mais quand on parle plus surement d'éléments microscopiques, on ne risque pas de voir des germes arriver dans un vaisseau spatial et dire "hello ! nous sommes les marsiens, on passait dans le coin." Les germes de la Terre vont se répandre partout là où on enverra des missions et ils précèderont toujours la découverte de "vie inconnue" et issue d'un autre berceau que la Terre. Surtout si on continue d'être aussi peu rigoureux sur les méthodes de stérilisation. Et quand "nos germes" rencontreront cette autre vie, ça ne fera pas "pshitt" ou "dring dring" pour nous apprendre qu'on est entré en contact avec une vie extraterrestre. La question se pose déjà pas mal avec la contamination du système solaire par des bactéries terriennes à travers ces sondes mal stérilisées. Comment déterminer si une bactérie est d'origine marsienne, terrienne ou d'ailleurs ? A moins de trouver un système de vie complètement inédit, on ne pourra pas identifier. D'ailleurs il faudrait commencer à éviter de parler de "vie" extraterrestre, quand sur Terre on refuse se terme à ce qui n'a pas d'ADN ou de cellule, comme le virus.
D'ailleurs, je ne suis pas sûr que la question soit si pertinente que ça. Le monde n'a eu de cesse de découvrir des nouvelles formes de vie, les cultures elles-mêmes se sont rencontrées, et si cela a souvent apporter le chaos, ce n'a jamais été une révolution en soit. Si demain on trouve une preuve irréfutable d'une forme de vie s'étant développée indépendamment sur Titan... ok c'est bien, la vie existe ailleurs. Et après ? Cela répond juste à une question. En soit, ça ne change fondamentalement pas grand-chose. On est dans le mythe de l'homme vert. Dans l'optique de la vie répandue partout dans la galaxie quand les conditions sont réunies, soit la Terre est le seul berceau où une civilisation en est arrivée à ce point de sophistication, soit les distances sont trop grandes, soit on est tellement insignifiant qu'ils n'ont pas prêté attention à notre planète et qu'ils nous remarqueront qu'une fois ayant au moins une fois bien établi partout dans notre système. Il est plus important de savoir comment on va s'y prendre pour aller foutre un peu partout nos germes dans le système, en faire un environnement habitable, profitable à tous, dans la convivialité et l'harmonie^. Pour l'instant, on n'est pas assuré de s'en tirer. Une catastrophe monumentale sur Terre, climatique ou politique, nucléaire ou extraterrestre, crise économique post ère industrielle, virus... et hop il y aura toujours de la vie sur Terre mais plus personne comme nous pour en témoigner. Il y a peut-être eu des espèces intelligentes ailleurs, mais peut-être ont-elles comme d'autres, déclinées ou disparues. Pas sûr que ce soit pris en compte dans les modèle de probabilité sur l'existence de "vie" extraterrestre... C'est la loi de la nature. C'est en tout cas comme ça qu'elle existe ici. Et les hommes ont un peu trop tendance à croire que tout leur est acquis et que l'histoire n'est qu'une suite d'accumulation qui force le progrès.
Donc heu oui la fin de l'époque Contemporaine, ça veut rien dire (apparemment les historiens français sont les seuls à utiliser cette terminaison alors que partout ailleurs, l'époque contemporaine c'est ce qui est "contemporain"). De l'ère industrielle, moderne, pourquoi pas. De l'homme aussi. Mais on a encore notre mot à dire.
De toute façon, s'il y a de la vie ailleurs, quel intérêt ? On aura tout le temps d'envoyer de germes partout dans le système et au-delà avant de rentrer en contact avec quelque chose d'autre. Peut-être même qu'à ce moment, à force de "féconder" de nouveaux mondes, à force d'évolution, on ne saura même pas identifier une vie "étrangère" d'une vie de chez nous tout simplement parce que la vie dans l'environnement connu sera parfaitement banale après des milliers d'années de "fécondation" et d'évolution par la vie terrienne sur ces autres mondes.
Imaginez par exemple que la vie sur Terre soit bien issue d'éléments extraterrestres comme cela semble faire consensus aujourd'hui. On imagine que cette "fécondation" a eu lieu en une fois. Et pourquoi la Terre n'aurait-elle pu avoir été "bombardée" plusieurs fois, à différentes étapes de l'évolution de la vie ? On peut aussi imaginer que la vie ait alors émergée à différents endroits sur Terre et ait fini par se mélanger... Au moment de ces rencontres, il est possibles que les "vies" ayant évoluées à différents endroits s'identifient comme étant des "intrus". Peut-être ont-elles immédiatement cohabité et interagir. Le scénario d'un bombardement unique, d'une naissance à un seul endroit, à un moment t, de la vie sur Terre parait un peu idéal et trop beau. C'est probablement plus compliqué que ça. Donc quand on prend le négatif de cette image du passé pour l'adapter à une nouvelle vision de l'avenir de la vie dans notre système, on est en droit de se demander si notre vision d'une rencontre avec une vie extraterrestre n'a juste aucun sens. Elle peut être extrêmement rare mais quand on parle plus surement d'éléments microscopiques, on ne risque pas de voir des germes arriver dans un vaisseau spatial et dire "hello ! nous sommes les marsiens, on passait dans le coin." Les germes de la Terre vont se répandre partout là où on enverra des missions et ils précèderont toujours la découverte de "vie inconnue" et issue d'un autre berceau que la Terre. Surtout si on continue d'être aussi peu rigoureux sur les méthodes de stérilisation. Et quand "nos germes" rencontreront cette autre vie, ça ne fera pas "pshitt" ou "dring dring" pour nous apprendre qu'on est entré en contact avec une vie extraterrestre. La question se pose déjà pas mal avec la contamination du système solaire par des bactéries terriennes à travers ces sondes mal stérilisées. Comment déterminer si une bactérie est d'origine marsienne, terrienne ou d'ailleurs ? A moins de trouver un système de vie complètement inédit, on ne pourra pas identifier. D'ailleurs il faudrait commencer à éviter de parler de "vie" extraterrestre, quand sur Terre on refuse se terme à ce qui n'a pas d'ADN ou de cellule, comme le virus.
D'ailleurs, je ne suis pas sûr que la question soit si pertinente que ça. Le monde n'a eu de cesse de découvrir des nouvelles formes de vie, les cultures elles-mêmes se sont rencontrées, et si cela a souvent apporter le chaos, ce n'a jamais été une révolution en soit. Si demain on trouve une preuve irréfutable d'une forme de vie s'étant développée indépendamment sur Titan... ok c'est bien, la vie existe ailleurs. Et après ? Cela répond juste à une question. En soit, ça ne change fondamentalement pas grand-chose. On est dans le mythe de l'homme vert. Dans l'optique de la vie répandue partout dans la galaxie quand les conditions sont réunies, soit la Terre est le seul berceau où une civilisation en est arrivée à ce point de sophistication, soit les distances sont trop grandes, soit on est tellement insignifiant qu'ils n'ont pas prêté attention à notre planète et qu'ils nous remarqueront qu'une fois ayant au moins une fois bien établi partout dans notre système. Il est plus important de savoir comment on va s'y prendre pour aller foutre un peu partout nos germes dans le système, en faire un environnement habitable, profitable à tous, dans la convivialité et l'harmonie^. Pour l'instant, on n'est pas assuré de s'en tirer. Une catastrophe monumentale sur Terre, climatique ou politique, nucléaire ou extraterrestre, crise économique post ère industrielle, virus... et hop il y aura toujours de la vie sur Terre mais plus personne comme nous pour en témoigner. Il y a peut-être eu des espèces intelligentes ailleurs, mais peut-être ont-elles comme d'autres, déclinées ou disparues. Pas sûr que ce soit pris en compte dans les modèle de probabilité sur l'existence de "vie" extraterrestre... C'est la loi de la nature. C'est en tout cas comme ça qu'elle existe ici. Et les hommes ont un peu trop tendance à croire que tout leur est acquis et que l'histoire n'est qu'une suite d'accumulation qui force le progrès.
Donc heu oui la fin de l'époque Contemporaine, ça veut rien dire (apparemment les historiens français sont les seuls à utiliser cette terminaison alors que partout ailleurs, l'époque contemporaine c'est ce qui est "contemporain"). De l'ère industrielle, moderne, pourquoi pas. De l'homme aussi. Mais on a encore notre mot à dire.