L'Évolution de la Conscience Spirituelle (Conclusion)

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glevesque
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L'Évolution de la Conscience Spirituelle (Conclusion)

Message par glevesque » 20/04/2007 - 10:02:46

Salut

CONCLUSION

Je vous présente donc ici, la Conclusion de mon livre sur "L'Évolution de la Conscience Spirituelle" que j'ai finalement trouvé lors mes recherches.

À travers plusieurs discussions, j'ai essayé de vous présenter le pourquoi de ces recherches sur la théorie de la conscience et de l'esprit. Je vous ai présenté à travers des discussions aussi variées, que la Relativité Restreinte, la Relativité Générale, la Mécanique Quantique et sur les Origines de la Vie, les prémisses de la science actuelle à travers aussi ses propres limites d'investigations et d'interprétations contemporaine !


LE PREMIER MYTÈRE DE LA NATURE

À travers celle-ci, je voulais vous permettre de voir et de constater de par vous-mêmes, le dilemme auquel fait face la science actuellement, et ceci à travers la substantialité même, qui compose tout objet de matière. Bien que la matière soit réelle, elle n'est pas en même temps cette chose ponctuelle qui dérive de notre perception de dureté et de consistance. La matière n'est pas cette chose compacte et inerte que nous appréhendons a priori, mais elle trouve son origine en essence à travers les prémisses de la Mécanique Quantique. Cette dernière se manifeste à travers des relations et des interactions qui impliquent différents champs d'énergie qui la composent et qui se combinent en structure de plus en plus complexe (théorie des systèmes). Ce sont les interactions entre ces différents champs d'énergies (pris sous forme d'onde de champs d'énergies stationnaires) qui engendrent la notion de dureté et de consistance de notre monde matériel !

Nous pouvons même aller plus loin, en disant que l'interprétation quantique qui est associée aux ondes électromagnétiques ou photons, nous est dans l'ensemble toujours inconnu. Certes la théorie quantique des champs (Électrodynamique Quantique) encadre et interprète bien les différentes formes de comportement et de manifestation des ondes électromagnétique, mais elle les encadre à partir d'objet mathématique qui englobe leurs propriété magnétique et électrique. Et ceci sous forme de modélisation probabiliste et statistique. Et c'est à partir de cela que la Mécanique Quantique est dite indéterministe et qui est aussi associée à l'émergence du hasard pur. La Mécanique Quantique encadre seulement les processus réactionnels qui impliquent des interactions entre les particules de matière et les ondes électromagnétiques (interaction électromagnétique), cela est le phénomène causal et comportemental qui est associé à leur manifestation dans le monde matériel ou corpusculaire. Mais nous ne savons strictement rien du comportement des ondes électromagnétiques lors de leurs mouvement et de leurs déplacement dans l'espace (comportement ondulatoire qui est relié à la cohérence quantique et donc à la superposition d'état de Schrödinger), et qui est situé entre deux processus causaux, soit qui est impliqué lors de la manifestation de l'émission ou de réception d'une onde électromagnétique, c'est ce qui dévoile l'existence du phénomène et du processus causal sous forme de particule (relié également à l'indéterminisme d'Heisenberg).

Et pour cause, c'est à travers cette forme d'incompréhension sur le comportement même de la propagation des ondes électromagnétiques dans l'espace, que le formalisme quantique fait ressortir toute son interprétation probabiliste et statistique. L'onde électromagnétique ou le photon sont donc interprétés lors de leurs émissions après une excitation d'une particule, comme étant une onde de probabilité mathématique, qui croit de manière sphérique à la vitesse de la lumière tout autour de la particule, le front d'onde représente ainsi l'amplitude des probabilité, ou l'indice de probabilité la plus élevée. Cet objet mathématique représenté par le vecteur d'état ou la fonction d'onde, encadre et regroupe donc toutes les éventualités possibles concernant la manifestation comportementale du phénomène, et ceci jusqu'à la réception de l'onde par une autre particule de matière ou lors de son interférence (déphasée ou en phase) avec d'autres ondes.

Lors de la réception ou l'interaction d'une onde électromagnétique avec une autre particule de matière, et bien nous assisterons en Mécanique Quantique à la réduction instantanée du vecteur d'état (ou fonction d'onde, ou encore du paquet d'onde), qui caractérise le processus interactionnel et qui transfère à cette instant précis sur la matière, les caractéristiques de polarisation électrique et magnétique de l'onde électromagnétique initiale et incidente (comportement et manifestation corpusculaire). Mais toujours rien sur l'interprétation possible lors de la propagation à travers l'espace des ondes électromagnétiques. Leurs comportements nous sont encore inaccessibles lors de leur parcours et trajectoire. (polarité électrique ===> manque ou surplus / trop plein d'espace libre ou de champs d'énergie en état vibratoire ou excité). Le hasard ici, qui est utilisé en Mécanique Quantique pour expliquer la réduction du paquets d'onde, représente donc tout simplement notre limite d'interprétation actuelle, qui est relié à la manifestation comportementale réelle et sur l'aspect causal de tout cela, nous observons en fait, que les conséquences du phénomène !

Nous sommes donc ici, face a une chose bien étrange sur l'essence même de ces différents champs d'énergie (d'interprétation Quantique). C'est-à-dire, quel est leur nature véritable, de quelle substance est elle faite en réalité et surtout d'ou cela vient-il et dans quel but ? Voici donc le premier véritable mystère de la nature, et elle concerne la substantialité propre de la matière en elle-même et à travers les champs d'énergie quantique de forme stationnaire ! Mais nous savons aujourd'hui qu'il ne s'agit pas de matière comme telle, mais d'une substance qui serait plutôt reliée au domaine et au monde de dimension spirituel, qu'à celui étant relié et réservé à la matière seule.


LE DEUXIÈME MYTÈRE DE LA NATURE

Beaucoup plus haut dans l'échelle constructale (mot inexistant, peut être voulez vous dire structurale) de l'Univers (du microscopique au macroscopique), et à travers l'évolution de ces différentes structures de champs d'énergie sous forme stationnaire. Nous retrouvons le deuxième véritable mystère de la nature, et ce dernier est relié à la conscience et aux théories de l'Esprit.

Oui, l'évolution existe bel et bien ! Mais faite tout de même très attention à la prémisse de base du Darwinisme, qui est la plus part du temps associée et interprétée pour soutenir la philosophie matérialisme du positivisme pure et dure du 19ème siècle ( matérialisme réductionnisme ou la partie fondamentalisme du mécano-matériel ) ! Mais en réalité, le Darwinisme ne soutient aucunement la philosophie matérialisme, car c'est à travers les essences (ou la nature de la consistance réelle des substances qui sont reliées aux champs d'énergie quantique) et non à travers la surface des choses. La cause première qui se trouve au-delà des apparences qu'on ne retrouve seulement qu'en surfaces des choses, sur le plan matériel. Peut très bien être associé a une sorte de prémisse spirituelle de l'évolution, et donc assimilé a une certaine forme de design intelligent qui serait alors axé sur les essences des choses, et non sur la surface et des lois comportementales qui les gouvernent à travers l'univers. Car le tout découle de la base, et la base est définie par les essences des choses !

- Les gènes de développement et de segmentation expliquent très bien l'inexistence de fossile intermédiaire en nombre quasi infini, et cela est d'ailleurs corrélé avec la théorie de l'évolution ponctué de Stephan J, Gould et à travers nos connaissances actuelles en génétique.

- Le hasard devient tout simplement un facteur de contingence, délimité par les conditions de l'environnement et des différentes propriétés reliées à l'évolution chimique de la matière (électron de valence, type et grandeur énergie mis en cause, nombre astronomique d'essais différents d'ordre dissipatifs, chute de météorite, trappe éruptive et extinction des espèces) dont le tout vise une sorte d'équilibre dynamique dans son ensemble !

Mais n'oubliez surtout pas que notre cerveau ne voit pas le monde, mais perçoit seulement des impulsions electro-chimiques qui sont distribuées un peut partout sur sa surface, corrélées par différents mécanismes de synchronisation qui fonctionnent en parallèle, et ayant des propriétés de renforcement et de réactions en forme de rétro-boucle de toutes sortes ! Mais pris de manière individuels, soit les neurones ou encore soit à travers les représentants des plus petites sous-unité de réseaux nerveux fonctionnels, avec leurs cellules gliales de soutient le tout (qui sont dix fois plus nombreuses, et les astrocytes). Et bien le cerveau ne voit absolument et strictement rien, que cette simple activité électrique et biochimique très localisée dans le cerveau et distribuée à plusieurs endroit bien différents en même temps, les sous-unités fonctionnelles se perdent de vue à la longue sur le plan fonctionnel et sur le plan neuro-mécanique, et ceci à travers les milli-secondes successives de traitement cérébral et à travers les différentes relations et schémas de synchronisation du tissus nerveux.

Qu'importe par ou le signale nerveux doit passer, que ce soit dans le système limbique pour que le stimuli y soit associé à plusieurs types de comportements émotionnels en cour de construction et d'élaboration, ou par le lobe frontal pour y être associé en parallèle avec les sentiments à la raison, dans une forme de proto-conscience en cours de processus de synthèse et de construction, associé et mis en étroitement relation avec le reste du fond d'activité nerveuse du cerveau (aire associative de l'odorat, de l’ouïe, de la parole etc.). Il y a des vas et viens incessants d'influx nerveux sur toute la surface du néocortex, soit à travers le cortex somato sensoriel, la mémoire à long terme (ou espace de travail de Changeux (Frontal-Singulaire-Pariétal)), ou soit encore en passant par le di encéphale, etc. Le tout servant à associer, trier et analyser avant d'être sélectionné puis renforcé.

Le cerveau reconstruit le monde à chaque instant, mais il le reconstruit seulement sous la forme de circuits électro-chimiques, avec différents paramètres et propriétés électromagnétiques ! Reconstruction qui est fait à partir des stimulus captés par nos organes et récepteurs de sens, formant ainsi une sorte de membrane sensible (facteur de conscience et de subjectivité) qui nous pénètre, englobe, et qui nous interface avec la réalité du monde extérieur, dont découle la véritable objectivité du monde, et seul notre perception conscience nous en donne une croyance sous forme d'illusion.

Ce que nous voyons et percevons, n'est en fait qu'une représentation de notre milieu externe et interne, qui est perçu par l'activité globale du cerveau. Et non seulement par les centres nerveux qui sont reliés strictement à la vision, ni d'ailleurs par une toute autre partie du cerveau qui serait très localisée à un endroit quelconque. L'activité de la conscience découle du travail de l'ensemble du cerveau, prenez par exemple le sentiment d'être qui à besoin de connaître la position du corps dans et à travers l'espace et l'état des viscères, pour construire notre sensation d'être dans son intégrité etc.

Ce processus fonctionnel du système nerveux, qui est relié à l'élaboration de la proto-conscience, ou conscience noyau de Damasio (conscience implicite). Participe ensuite et en parallèle à la construction de la conscience étendue, ou auto-biographique de Damasio (conscience explicite, qui est axée sur la véritable prise de conscience de soi et du sentiment d'être et situé à un niveau de fonctionnalité et d'intégration supérieure), en cours de construction, d'association d'émergence et de synthèse. Ce processus cérébral relie émotion et raison cognitive dans les prises de décisions de Damasio ! (Erreur de Descartes, Sentiment même de soi)

Et bien tout ceci n'est pas encore de la vision d'ensemble (ou l'appréciation sensible de notre conscience, sur notre vision reconstruite du monde) a proprement dit, mais seulement le représentation du schéma global de la propagation des différents signaux électriques des neurones. Car a aucun endroit en particulier dans le cerveau, il n’y a une vision d'ensemble ou de synthèse, qui regrouperaient tout les objets perçus dans un ensemble de liens cohérents et bien localisés. C'est-à-dire par exemple de voir une lampe déposée sur une bureau, de voir et d'apprécier la forme et les contours de ces derniers, les couleurs et les différents contrastes d'ombres, etc. Car en fait ce que le cerveau voit et perçoit, c'est une matrice dispersée de circuits électriques, très distants les uns des autres, et reliés par quelques fibres nerveuses fonctionnant de manière parallèle. Les formes, les couleurs et toutes les autres caractéristiques des objets que nous percevons, seront ainsi décomposés en leurs plus simples expressions, et traités à des endroits bien différents pouvant même êtres très éloignés les uns des autres. Mais les différents schémas de traitement, seront toujours définis et délimités par les différents circuits que vont emprunter et associer entre eux, les différentes unités et sous-unités des réseaux de neurones. Ainsi il n'est donc pas question ici, de voir des formes, des textures ou autres, car les neurones ne fonctionnent que par embranchement de réseaux et de sous réseaux, et qui avec le temps dessinent des chemins sous forme de circuits nerveux matériels et électriques, mais qui se dissolvent à la longue avec les différents temps de traitements et de synchronisation de l'activité globale du cerveau.

A ce niveau, nous pouvons schématiser le tout, comme étant la représentation d'une matrice de circuits électriques très complexes imprimés sur une un support matériel quelconque. Ici il ni a pas encore de conscience sensible, reliée à l'appréhension, à l'entendement et à la conscience reliée au sentiment d'être. L'aspect sensible de la perception consciente découle donc d'une autre chose, qui est reliée et associée à l'activité globale du système nerveux, et plus particulièrement au système informel qui s'en dégage (via les champs quantiques ou par l'aspect combinant les champs électriques et magnétiques sous différentes formes de résonances), ou soit la conscience découle d'un phénomène purement et simplement d'ordre spirituel relié à la théorie de l'esprit en essence ?

La découverte des neurones miroirs, atteste également la continuité de cette évolution de la conscience spirituelle sur le plan neurobiologique. Par les changements possibles de nos comportements sociaux et de par la capacité de plus en plus accrue de se représenter la subjectivité de l'autre par notre propre progrès et désir de connaître et de comprendre avec renforcement et responsabilité (imprégnation du tissus cérébral) par la recherche et l'étude. Cette représentation est une conscientisation qui est axée sur l'ouverture et la compréhension des différences qui existent entre les relations de cause à effet et de la réelle conséquence de nos faits et actes qui nous impliquent à travers nos relations avec la nature et avec les autres.

Bien que la surface des choses de matière suit une évolution d'ordre Darwinienne sur la pression sélective des espèces, l'intérieur de cette même chose qui constitue la matière même (champs d'énergie quantique) nous reste pour l'instant inconnu et inaccessible !

Alors ne concluez pas trop vite, car en dehors de l'apparence des choses (de leurs surface), il peut se cacher une autre chose, et cette autre chose est la prémisse de la caverne de Platon !!!!

L'esprit existe donc!!!!!

Gilles
Dernière modification par glevesque le 20/04/2007 - 19:24:11, modifié 2 fois.

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halman
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Message par halman » 20/04/2007 - 16:21:40

Tiens, un revenant.

Et vous avez vraiment trouvé un éditeur qui accepte ceci avec une faute toute les deux lignes ?

Et trois fautes certaines lignes ?

Pour moi ce genre de débat est clos et obsolet depuis 1927, date du premier congrès de Solvey.
L'homme est le Temple du Verbe, mais pas pour l'Eternité.

Les larmes d'Icare, les larmes de Neil Armstrong.

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Message par halman » 20/04/2007 - 17:05:35

Votre texte corrigé des fautes les plus importantes.


CONCLUSION

Je vous présente donc ici, la Conclusion de mon livre sur "L'Évolution de la Conscience Spirituelle" que j'ai finalement trouvé lors mes recherches.

À travers plusieurs discussions, j'ai essayé de vous présenter le pourquoi de ces recherches sur la théorie de la conscience et de l'esprit. Je vous ai présenté à travers des discussions aussi variées, que la Relativité Restreinte, la Relativité Générale, la Mécanique Quantique et sur les Origines de la Vie, les prémisses de la science actuelle à travers aussi ses propres limites d'investigations et d'interprétations contemporaine !


LE PREMIER MYTÈRE DE LA NATURE

À travers celle-ci, je voulais vous permettre de voir et de constater de par vous-mêmes, le dilemme auquel fait face la science actuellement, et ceci à travers la substantialité même, qui compose tout objet de matière. Bien que la matière soit réelle, elle n'est pas en même temps cette chose ponctuelle qui dérive de notre perception de dureté et de consistance. La matière n'est pas cette chose compacte et inerte que nous appréhendons a priori, mais elle trouve son origine en essence à travers les prémisses de la Mécanique Quantique. Cette dernière se manifeste à travers des relations et des interactions qui impliquent différents champs d'énergie qui la composent et qui se combinent en structure de plus en plus complexe (théorie des systèmes). Ce sont les interactions entre ces différents champs d'énergies (pris sous forme d'onde de champs d'énergies stationnaires) qui engendrent la notion de dureté et de consistance de notre monde matériel !

Nous pouvons même aller plus loin, en disant que l'interprétation quantique qui est associée aux ondes électromagnétiques ou photons, nous est dans l'ensemble toujours inconnu. Certes la théorie quantique des champs (Électrodynamique Quantique) encadre et interprète bien les différentes formes de comportement et de manifestation des ondes électromagnétique, mais elle les encadre à partir d'objet mathématique qui englobe leurs propriété magnétique et électrique. Et ceci sous forme de modélisation probabiliste et statistique. Et c'est à partir de cela que la Mécanique Quantique est dite indéterministe et qui est aussi associée à l'émergence du hasard pur. La Mécanique Quantique encadre seulement les processus réactionnels qui impliquent des interactions entre les particules de matière et les ondes électromagnétiques (interaction électromagnétique), cela est le phénomène causal et comportemental qui est associé à leur manifestation dans le monde matériel ou corpusculaire. Mais nous ne savons strictement rien du comportement des ondes électromagnétiques lors de leurs mouvement et de leurs déplacement dans l'espace (comportement ondulatoire qui est relié à la cohérence quantique et donc à la superposition d'état de Schrödinger), et qui est situé entre deux processus causaux, soit qui est impliqué lors de la manifestation de l'émission ou de réception d'une onde électromagnétique, c'est ce qui dévoile l'existence du phénomène et du processus causal sous forme de particule (relié également à l'indéterminisme d'Heisenberg).

Et pour cause, c'est à travers cette forme d'incompréhension sur le comportement même de la propagation des ondes électromagnétiques dans l'espace, que le formalisme quantique fait ressortir toute son interprétation probabiliste et statistique. L'onde électromagnétique ou le photon sont donc interprétés lors de leurs émissions après une excitation d'une particule, comme étant une onde de probabilité mathématique, qui croit de manière sphérique à la vitesse de la lumière tout autour de la particule, le front d'onde représente ainsi l'amplitude des probabilité, ou l'indice de probabilité la plus élevée. Cet objet mathématique représenté par le vecteur d'état ou la fonction d'onde, encadre et regroupe donc toutes les éventualités possibles concernant la manifestation comportementale du phénomène, et ceci jusqu'à la réception de l'onde par une autre particule de matière ou lors de son interférence (déphasée ou en phase) avec d'autres ondes.

Lors de la réception ou l'interaction d'une onde électromagnétique avec une autre particule de matière, et bien nous assisterons en Mécanique Quantique à la réduction instantanée du vecteur d'état (ou fonction d'onde, ou encore du paquet d'onde), qui caractérise le processus interactionnel et qui transfère à cette instant précis sur la matière, les caractéristiques de polarisation électrique et magnétique de l'onde électromagnétique initiale et incidente (comportement et manifestation corpusculaire). Mais toujours rien sur l'interprétation possible lors de la propagation à travers l'espace des ondes électromagnétiques. Leurs comportements nous sont encore inaccessibles lors de leur parcours et trajectoire. (polarité électrique ===> manque ou surplus / trop plein d'espace libre ou de champs d'énergie en état vibratoire ou excité). Le hasard ici, qui est utilisé en Mécanique Quantique pour expliquer la réduction du paquets d'onde, représente donc tout simplement notre limite d'interprétation actuelle, qui est relié à la manifestation comportementale réelle et sur l'aspect causal de tout cela, nous observons en fait, que les conséquences du phénomène !

Nous sommes donc ici, face a une chose bien étrange sur l'essence même de ces différents champs d'énergie (d'interprétation Quantique). C'est-à-dire, quel est leur nature véritable, de quelle substance est elle faite en réalité et surtout d'ou cela vient-il et dans quel but ? Voici donc le premier véritable mystère de la nature, et elle concerne la substantialité propre de la matière en elle-même et à travers les champs d'énergie quantique de forme stationnaire ! Mais nous savons aujourd'hui qu'il ne s'agit pas de matière comme telle, mais d'une substance qui serait plutôt reliée au domaine et au monde de dimension spirituel, qu'à celui étant relié et réservé à la matière seule.


LE DEUXIÈME MYTÈRE DE LA NATURE

Beaucoup plus haut dans l'échelle constructale (mot inexistant, peut être voulez vous dire structurale) de l'Univers (du microscopique au macroscopique), et à travers l'évolution de ces différentes structures de champs d'énergie sous forme stationnaire. Nous retrouvons le deuxième véritable mystère de la nature, et ce dernier est relié à la conscience et aux théories de l'Esprit.

Oui, l'évolution existe bel et bien ! Mais faite tout de même très attention à la prémisse de base du Darwinisme, qui est la plus part du temps associée et interprétée pour soutenir la philosophie matérialisme du positivisme pure et dure du 19ème siècle ( matérialisme réductionnisme ou la partie fondamentalisme du mécano-matériel ) ! Mais en réalité, le Darwinisme ne soutient aucunement la philosophie matérialisme, car c'est à travers les essences (ou la nature de la consistance réelle des substances qui sont reliées aux champs d'énergie quantique) et non à travers la surface des choses. La cause première qui se trouve au-delà des apparences qu'on ne retrouve seulement qu'en surfaces des choses, sur le plan matériel. Peut très bien être associé a une sorte de prémisse spirituelle de l'évolution, et donc assimilé a une certaine forme de design intelligent qui serait alors axé sur les essences des choses, et non sur la surface et des lois comportementales qui les gouvernent à travers l'univers. Car le tout découle de la base, et la base est définie par les essences des choses !

- Les gènes de développement et de segmentation expliquent très bien l'inexistence de fossile intermédiaire en nombre quasi infini, et cela est d'ailleurs corrélé avec la théorie de l'évolution ponctué de Stephan J, Gould et à travers nos connaissances actuelles en génétique.

- Le hasard devient tout simplement un facteur de contingence, délimité par les conditions de l'environnement et des différentes propriétés reliées à l'évolution chimique de la matière (électron de valence, type et grandeur énergie mis en cause, nombre astronomique d'essais différents d'ordre dissipatifs, chute de météorite, trappe éruptive et extinction des espèces) dont le tout vise une sorte d'équilibre dynamique dans son ensemble !

Mais n'oubliez surtout pas que notre cerveau ne voit pas le monde, mais perçoit seulement des impulsions electro-chimiques qui sont distribuées un peut partout sur sa surface, corrélées par différents mécanismes de synchronisation qui fonctionnent en parallèle, et ayant des propriétés de renforcement et de réactions en forme de rétro-boucle de toutes sortes ! Mais pris de manière individuels, soit les neurones ou encore soit à travers les représentants des plus petites sous-unité de réseaux nerveux fonctionnels, avec leurs cellules gliales de soutient le tout (qui sont dix fois plus nombreuses, et les astrocytes). Et bien le cerveau ne voit absolument et strictement rien, que cette simple activité électrique et biochimique très localisée dans le cerveau et distribuée à plusieurs endroit bien différents en même temps, les sous-unités fonctionnelles se perdent de vue à la longue sur le plan fonctionnel et sur le plan neuro-mécanique, et ceci à travers les milli-secondes successives de traitement cérébral et à travers les différentes relations et schémas de synchronisation du tissus nerveux.

Qu'importe par ou le signale nerveux doit passer, que ce soit dans le système limbique pour que le stimuli y soit associé à plusieurs types de comportements émotionnels en cour de construction et d'élaboration, ou par le lobe frontal pour y être associé en parallèle avec les sentiments à la raison, dans une forme de proto-conscience en cours de processus de synthèse et de construction, associé et mis en étroitement relation avec le reste du fond d'activité nerveuse du cerveau (aire associative de l'odorat, de l’ouïe, de la parole etc.). Il y a des vas et viens incessants d'influx nerveux sur toute la surface du néocortex, soit à travers le cortex somato sensoriel, la mémoire à long terme (ou espace de travail de Changeux (Frontal-Singulaire-Pariétal)), ou soit encore en passant par le di encéphale, etc. Le tout servant à associer, trier et analyser avant d'être sélectionné puis renforcé.

Le cerveau reconstruit le monde à chaque instant, mais il le reconstruit seulement sous la forme de circuits électro-chimiques, avec différents paramètres et propriétés électromagnétiques ! Reconstruction qui est fait à partir des stimulus captés par nos organes et récepteurs de sens, formant ainsi une sorte de membrane sensible (facteur de conscience et de subjectivité) qui nous pénètre, englobe, et qui nous interface avec la réalité du monde extérieur, dont découle la véritable objectivité du monde, et seul notre perception conscience nous en donne une croyance sous forme d'illusion.

Ce que nous voyons et percevons, n'est en fait qu'une représentation de notre milieu externe et interne, qui est perçu par l'activité globale du cerveau. Et non seulement par les centres nerveux qui sont reliés strictement à la vision, ni d'ailleurs par une toute autre partie du cerveau qui serait très localisée à un endroit quelconque. L'activité de la conscience découle du travail de l'ensemble du cerveau, prenez par exemple le sentiment d'être qui à besoin de connaître la position du corps dans et à travers l'espace et l'état des viscères, pour construire notre sensation d'être dans son intégrité etc.

Ce processus fonctionnel du système nerveux, qui est relié à l'élaboration de la proto-conscience, ou conscience noyau de Damasio (conscience implicite). Participe ensuite et en parallèle à la construction de la conscience étendue, ou auto-biographique de Damasio (conscience explicite, qui est axée sur la véritable prise de conscience de soi et du sentiment d'être et situé à un niveau de fonctionnalité et d'intégration supérieure), en cours de construction, d'association d'émergence et de synthèse. Ce processus cérébral relie émotion et raison cognitive dans les prises de décisions de Damasio ! (Erreur de Descartes, Sentiment même de soi)

Et bien tout ceci n'est pas encore de la vision d'ensemble (ou l'appréciation sensible de notre conscience, sur notre vision reconstruite du monde) a proprement dit, mais seulement le représentation du schéma global de la propagation des différents signaux électriques des neurones. Car a aucun endroit en particulier dans le cerveau, il n’y a une vision d'ensemble ou de synthèse, qui regrouperaient tout les objets perçus dans un ensemble de liens cohérents et bien localisés. C'est-à-dire par exemple de voir une lampe déposée sur une bureau, de voir et d'apprécier la forme et les contours de ces derniers, les couleurs et les différents contrastes d'ombres, etc. Car en fait ce que le cerveau voit et perçoit, c'est une matrice dispersée de circuits électriques, très distants les uns des autres, et reliés par quelques fibres nerveuses fonctionnant de manière parallèle. Les formes, les couleurs et toutes les autres caractéristiques des objets que nous percevons, seront ainsi décomposés en leurs plus simples expressions, et traités à des endroits bien différents pouvant même êtres très éloignés les uns des autres. Mais les différents schémas de traitement, seront toujours définis et délimités par les différents circuits que vont emprunter et associer entre eux, les différentes unités et sous-unités des réseaux de neurones. Ainsi il n'est donc pas question ici, de voir des formes, des textures ou autres, car les neurones ne fonctionnent que par embranchement de réseaux et de sous réseaux, et qui avec le temps dessinent des chemins sous forme de circuits nerveux matériels et électriques, mais qui se dissolvent à la longue avec les différents temps de traitements et de synchronisation de l'activité globale du cerveau.

A ce niveau, nous pouvons schématiser le tout, comme étant la représentation d'une matrice de circuits électriques très complexes imprimés sur une un support matériel quelconque. Ici il ni a pas encore de conscience sensible, reliée à l'appréhension, à l'entendement et à la conscience reliée au sentiment d'être. L'aspect sensible de la perception consciente découle donc d'une autre chose, qui est reliée et associée à l'activité globale du système nerveux, et plus particulièrement au système informel qui s'en dégage (via les champs quantiques ou par l'aspect combinant les champs électriques et magnétiques sous différentes formes de résonances), ou soit la conscience découle d'un phénomène purement et simplement d'ordre spirituel relié à la théorie de l'esprit en essence ?

La découverte des neurones miroirs, atteste également la continuité de cette évolution de la conscience spirituelle sur le plan neurobiologique. Par les changements possibles de nos comportements sociaux et de par la capacité de plus en plus accrue de se représenter la subjectivité de l'autre par notre propre progrès et désir de connaître et de comprendre avec renforcement et responsabilité (imprégnation du tissus cérébral) par la recherche et l'étude. Cette représentation est une conscientisation qui est axée sur l'ouverture et la compréhension des différences qui existent entre les relations de cause à effet et de la réelle conséquence de nos faits et actes qui nous impliquent à travers nos relations avec la nature et avec les autres.

Bien que la surface des choses de matière suit une évolution d'ordre Darwinienne sur la pression sélective des espèces, l'intérieur de cette même chose qui constitue la matière même (champs d'énergie quantique) nous reste pour l'instant inconnu et inaccessible !

Alors ne concluez pas trop vite, car en dehors de l'apparence des choses (de leurs surface), il peut se cacher une autre chose, et cette autre chose est la prémisse de la caverne de Platon !!!!

L'esprit existe donc!!!!!
L'homme est le Temple du Verbe, mais pas pour l'Eternité.

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Message par glevesque » 20/04/2007 - 19:08:41

Salut

Un gros merci ! :jap:

Gilles

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cyrille
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Message par cyrille » 21/04/2007 - 2:09:09

a l auteur du topic


:pet: :pet: :pet: :pet: :pet:

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Message par glevesque » 21/04/2007 - 8:10:10

Salut cyrille

:non:

:sol: tu as le choix entre la pilule rouge ou bleu, a toi de décider !!!! :D

Gilles :jap:
Dernière modification par glevesque le 21/04/2007 - 8:19:54, modifié 1 fois.

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Message par glevesque » 21/04/2007 - 8:18:48

Salut Halman

Pour moi ce genre de débat est clos et obsolet depuis 1927, date du premier congrès de Solvey.
Peux-tu m'en dire plus sur le sujet SVP

Gilles

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Message par glevesque » 23/04/2007 - 7:21:22

Salut

Pour mon correcteur ! Merci !

Salut

Voici un série de vidéos conférence sur le sujet des Neuroscience

Les universaux de pensée de Jean-Pierre Changeux
Neuroscience et Société de Jean-Pierre Changeux
de la biologie moléculaire aux sciences cognitives homme neuronal de Jean-Pierre Changeux
Cerveau et philosophie (Damasio, Spinoza) de Catherine Malabou
Etre et ne pas être un animal (gène de développement) de Alain Prochiantz
Les fonctions cérébrales de JEANNEROD Marc
Les signaux neuronaux de ASCHER, Philippe
physiologie de la cognition et images du cerveau de MAZOYER, Bernard
Le cerveau des affects et des émotions de KARLI, Pierre
Cartographie cérébrale du désir sexuel masculin de STOLERU, Serge
Le cerveau et le mouvement : le sixième sens de BERTHOZ, Alain
Conscience et cerveau de IMBERT, Michel
Etre et ne pas être un animal de PROCHIANTZ, Alain
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Le cerveau modifiable de Alain Trembleau.
Développement du cerveau chez l'enfant de Ghislaine Dehaene.
Apprentissage et évolution du cerveau de Marc Jeannerod
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jyb
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Message par jyb » 25/04/2007 - 14:18:23

De manière général, il est à rappeler que poster un texte très lourd sur un forum n'est pas toujours recommandé. De plus, le fait que la science détermine une probabilité de présence pour les particules n'est pas forcément due au fait que la science ne sais pas les repérer plus précisément. C'est en grande partie due au fait que les particules ne sont pas de sages petites billes qui restent tranquillement à leur place. De ce fait, estimé un lieu plus précisément n'a pas toujours beaucoup de sens.


Maintenant, la science en générale est très consciente des limites du cerveau et les scientifiques ont été les premier à confronter l'obscurantisme justement sur le fait que la perception des choses par le cerveaux est partielle. Il en fut ainsi de la rondeur de notre planêtte, de la course des planêtes autour du soleil ...

La science ne se base donc pas uniquement sur des observation dont elle ferai hâtivement. Les mathématiques, les livres, les ordinateurs sont justement là pour palier le manque de fiabilité du cerveau:
- les livres et les ordinateurs concervent les données de manière identique
- les math permettent d'avoir la rigueur que la conscience humaine n'a pas toujours pour faire des déductions.

Pour finir, tu peux nous dire que tout celà ne sera qu'une certaine représentation de notre monde qui n'est pas forcément le monde lui même. Mais toute représentation ne peut être la copie exact de la réalité telle qu'elle est, une représentation sera toujours une représentation. Le fait que ce soit sous forme de langage. Ce qui est important, c'est que la représentation puisse correspondre à la réalité, un peu comme une projection ou un changement de base en algèbre linéaire.

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Maulus
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Message par Maulus » 25/04/2007 - 15:11:09

jyb a écrit :La science ne se base donc pas uniquement sur des observation dont elle ferai hâtivement. Les mathématiques, les livres, les ordinateurs sont justement là pour palier le manque de fiabilité du cerveau:
- les livres et les ordinateurs concervent les données de manière identique
- les math permettent d'avoir la rigueur que la conscience humaine n'a pas toujours pour faire des déductions.


Amen :jap:

Et le cerveau extrapole les conclusions, il théorise. Mémoire c'est facile. Cognition, c'est plus dur déjà :D
C'est l'imagination et la curiosité qui nous anime :yaisse:
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

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glevesque
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Message par glevesque » 25/04/2007 - 15:26:07

Salut jyb

Je suis tout à fait d'accord avec toi, et c'est pour cela que nous avons besoins de l'objets scientifique, question de corrélé nos inter-subjectivité respectif sur le réel, pour enfin déterminer ce qui est mythologique de ce qui ne les pas !

Mais attension aux extrapolations de l'objet scientifique, car la science ne mesure que les relations (comportement et interaction) entre les choses, et doit constament se valider sur elle-même à travers ses propres prémisses de base !

Je suis pour la science, mais la science au service de l'homme !

Car même la réalité, à travers nous et notre subjectivité, est un objet de croyance qui est indépendante (mais tributaire) de cette même réalité ! Réalité qui détermine a elle seule, la seul et véritable objectivité de la nature !

PS : C'est l'homme qui a inventer les math, et non l'inverse (comme l'aurait bien voulut Pythagore)

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Message par jyb » 25/04/2007 - 21:46:20

Maulus a écrit :
jyb a écrit :La science ne se base donc pas uniquement sur des observation dont elle ferai hâtivement. Les mathématiques, les livres, les ordinateurs sont justement là pour palier le manque de fiabilité du cerveau:
- les livres et les ordinateurs concervent les données de manière identique
- les math permettent d'avoir la rigueur que la conscience humaine n'a pas toujours pour faire des déductions.


Amen :jap:

Et le cerveau extrapole les conclusions, il théorise. Mémoire c'est facile. Cognition, c'est plus dur déjà :D
C'est l'imagination et la curiosité qui nous anime :yaisse:


en fait, c'est un peu l'imperfection du cerveau qui fait la créativité. C'est d'ailleur marrant comment on a souvent tendance à considérer un monde parfait comme triste et uniforme

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cyrille
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Message par cyrille » 25/04/2007 - 22:22:33

est il necessaire que les math, l info etc, c est du jus de cervelle? donc ca pallie pas aux"defaillances" du cerveau

ca vire au scientisme puant ces idées de pallier au cerveau humain

glevesque
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Message par glevesque » 25/04/2007 - 22:34:16

cyrille a écrit :est il necessaire que les math, l info etc, c est du jus de cervelle? donc ca pallie pas aux"defaillances" du cerveau

ca vire au scientisme puant ces idées de pallier au cerveau humain
Que veux-tu dire au juste, toi qui semble avoir de fort apriori et de fort préjuger !

Gilles

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jyb
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Message par jyb » 26/04/2007 - 2:36:01

glevesque a écrit :Salut jyb

Je suis tout à fait d'accord avec toi, et c'est pour cela que nous avons besoins de l'objets scientifique, question de corrélé nos inter-subjectivité respectif sur le réel, pour enfin déterminer ce qui est mythologique de ce qui ne les pas !

Mais attension aux extrapolations de l'objet scientifique, car la science ne mesure que les relations (comportement et interaction) entre les choses, et doit constament se valider sur elle-même à travers ses propres prémisses de base !

Je suis pour la science, mais la science au service de l'homme !

Car même la réalité, à travers nous et notre subjectivité, est un objet de croyance qui est indépendante (mais tributaire) de cette même réalité ! Réalité qui détermine a elle seule, la seul et véritable objectivité de la nature !

PS : C'est l'homme qui a inventer les math, et non l'inverse (comme l'aurait bien voulut Pythagore)

Gilles


les maths est à comprendre comme un langage permettant à l'homme de décripter de manière rationnel ce qu'il voit, et lui permet de voir ce qu'il ne peut pas voir directement.

En ce sens, la science n'est pas toujours là pour faire plaisir à l'homme, si elle à un truc qui ne plait pas à nos chers petits cerveaux humain, c'est bien souvent elle qui a raison. Bien sûr, dans les recherches, les pistes suivies ne sont pas toujours justes, mais les outils mis en place en se basant sur les erreurs passées permettent d'avoir des résultats assez concluant!

Contrairement à ce que tu sembles dire à plusieurs reprise, la science ne fait absolument pas confiance à la primo perception des choses par l'homme. C'est d'ailleurs ça qui a valu à plusieurs scientifiques d'aller sur le bucher ou d'en être menacer. certes, la plupart des découvertes et des théories reposent sur l'observation humaine, forcément imparfaite, mais conscient de cette imperfection, la science, notamment avec les mathématiques se donne pour but à l'homme de contourner cette imperfection, à repérer les contradictions du monde qui nous entoure.

Dans les réalités qui ne sont pas tout à fait comme l'homme peut le percevoir de prime-abord, on peut citer la courses des planètes autour du soleil, et plus récemment, les théories de la relativité, qui vont jusqu'à remettre en cause le fait que l'univers et les dimensions dans lesquels nous semblons vivres semblent constantes et imperturbable.

Je voudrais d'ailleurs revenir sur un passage que j'avais cité sur un de tes autres articles. Je te cite le passage:

Si l’Univers est réellement infini, sans borne et sans limite. Nous pouvons dans ce contexte, affirmer que l’Univers est également de toute éternité et immortelle envers ça propre destiné. L’évolution de l’Univers selon ces prémisses, serait donc quasi-stationnaire, ni ouvert, ni fermé.


Je t'avais déjà parler de ce passage de manière assez gentil, tu m'avais répondu que tu te posais des question. Tu recherchais à voir s'il n'y a pas de contradiction dans la théorie du Big Bang. En fait, dans ce morceau de texte, tu t'es fait piégé par ton propre cerveau lorsque ce dernier tente de représenter l'infinie. En général, on se représente un énorme espace, mais implicitement borné quand même et on se dit qu'il ne peut pas grandir plus puisqu'il est déjà infinie. C'est que se situe l'erreur, un espace peut grandir, alors même qu'il est déjà infini.

Prenons un exemple mathématique simple: un repère orthonormé Oij, avec x en abscisse et y en ordonné. Soit la courbe tracée de telle manière que tout les points de la courbe respecte la loi y=a.x, a constant. Pour commencé, y=x (a=1): notre plan est donc traversé par une droite oblique. Si on tente de calculer l'aire entre la courbe et l'axe des x, on obtient l'infini.

Maintenant, "a" passe à 2, nous avons le même topo, sauf que quelque part, on perçoit que l'aire entre cette deuxième courbe et l'axe des x est "plus important", certes, cela n'a pas de sens puisque la première aire est déjà infinie, et pourtant ...

reprenons notre première courbe. imaginons que l'espace entre cette courbe et l'axe des x est parsemé de points distants de 1 à chaque fois (pour simplifier). imaginons, que nous modifions la courbe en passant "a" de 1 à 2. les point se re-répartissent ensuite à égal distance à peu prêt. Que constatons nous ? on constate que la distance entre les points a augmenter. On peut donc dire que notre surface, pourtant infinie au premier abord, a quand même grandi.

Pour continuer, imaginons que l'on passe "a" à 0. là, tout change, notre surface n'existe plus, elle est de 0 aussi. Mais si jamais, "a" prend une valeur > 0, aussi petite soit elle, même 0,000000000000000000001, notre aire devient immédiatement infinie.

Tu peux me dire ensuite que là, je triche, un peu, que j'ai pris une surface qui avait des bornes et que ce n'est pas le cas des dimensions de l'univers. En réalité, ça ne change pas tant de chose que ça d'un point de vue mathématique, sauf que dans un cas, notre cerveau a plus de facilité de représentation que dans l'autre. D'ailleurs, il y a en ce moment, pas mal de recherches menées au sujets des dimensions, de dimensions supplémentaires mais dans que l'on ne perçoit pas pas (on serait alors comme des personnages sur une feuille de papier qui en resteraient prisonnier). Mais pas de conclusions hâtive à la manière des diseurs de bon aventure, ce sont des sujets de recherches en cours.

(oups, j'ai été un peu long sur ce coup, désolé)
Dernière modification par jyb le 26/04/2007 - 11:13:59, modifié 1 fois.

glevesque
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Message par glevesque » 26/04/2007 - 3:24:58

Salut

PS : Je n'es rien contre la science, au contraire je l'utilise. Mais par contre je me méfit des extrapolation que l'homme cherche à lui faire dire ! (et même les religions tout confondut !) Car la science de par sa propre définition, n'est qu'un simple objet de conception et d'approximation déductive, car devant évoluer constament avec le temps ! Mais elle est cependant notre seul interface d'objectivité possible, pouvant interelier notre inter-subjectivité de tous et chacun envers et la nature elle-même.

Et je suis tout à fait d'accord avec toi et selon ton approche avec l'aide de la relativité Générale pour aborder ce point de vue. Car si en fait les objets de temps et d'espace qui découle du formalisme relativiste à travers des variable au comportement dynamique et dimensionnel (variation d'échelle du mêtre au kilomètre par exemple), sont réellement des objets objectif de l'Univers, ou de réelle représentation de substance qui soutient la réelité universelle. (tissus/trame ou continum d'espace-temps)

Et bien il est facile de comprendre que l'infini (dont il est impossible de ce représenter comme objet mental) est tout ce qui existe en dehord du néant ou endehors de cette trame de continum, même s'il est de forme courbe (selon la constante cosmologique : courbe, plat ou infini en expension). Maintenent il reste a expliquer l'origine du néant à travers lequel à émerger la singularité originelle d'espace-temps ! ou la chose (autre dimension ou univers parallèle à la Evrett par exemple) à travers laquel est originaire et sortie la prémisse de leur réalité objective prenant forme par émergence dans ce nouvelle univers en formation !

Mais a prime abord, les objets de temps et d'espace, sont-ils de réelle objets transposable à partir des prémisses de la relativité (étant que l'espression de simple variable utilisé pour étudier un certains type de comportement de la matière que nous cherchons à interprété et symbolisé) à la l'objectivité de la nature même, sont-ils de réelle substance à travers l'objectivation de l'Univers. Pourtant cela-même, n'a jamais été démontré ni prouvé !

Maintenent pour faire le tour des choses, si le temps n'existe pas en réalité, ou existerait qu'à travers la passage de l'éternel moment présent, et dont les chose évoluerait qu'a travers des schémas de durée interactionnel, et que l'espace n'existait pas non plus (objet de kant et bergson par exemple) n'étant que la représentation de l'étendut par les relations que les choses entretiennent entre elle (selon la gravité en boucle). Et bien la question de l'infini serait régler immédiatement, car n'ayant aucune substance de base ou de fond pour supporté, l'univers dans son intégralité et ensemble de lui-même. Ainsi l'infinit n'aurait même pas lieu d'être, vut qu'il y aurait rien pour le supporté et nulle point pour en déterminer son centre, car étant le centre de lui même et de partout à la fois.

Pourquoi, faudrait-il que l'espace et le temps, soit des réalités objective à travers la nature, ou comme de substance réelle qui soutienderait l'Univers. Ou en serait leur origine ou leurs créateur !

Les mystère de la nature sont a travers les champs d'énergie et les champs d'esprit, pourquoi seul la matière qui n'est pas matière, en serait tout bètement le seul tributaire de la vérité objective de l'univers. Car si néant il y avait ou il aurait eu, et bien par cause de non phénomène de reproductibilité possible (donc de non science), et bien néant serait toujours et encore. Et on le vois bien que ce n'est pas le cas !!!!

Gilles
Dernière modification par glevesque le 26/04/2007 - 15:25:43, modifié 1 fois.

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Maulus
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Message par Maulus » 26/04/2007 - 10:30:27

à propos de l'espace infini.. c'est vraiment jouer sur les mots...
lorsque moi je pense à un espace infini, l'image que j'en ai c'est quelque chose d'immuable, ya pas de bord, ya pas de centre, c'est juste un espace indélimitable.
Ce n'est pas le moindre charme d'une théorie que d'être réfutable, F. Nietzsche.

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Message par jyb » 26/04/2007 - 14:07:12

Maulus a écrit :à propos de l'espace infini.. c'est vraiment jouer sur les mots...
lorsque moi je pense à un espace infini, l'image que j'en ai c'est quelque chose d'immuable, ya pas de bord, ya pas de centre, c'est juste un espace indélimitable.


en fait d'espace infini, celà est plus une hypothèse qu'une vérité scientifique :D. Aussi incroyable que cela puisse parraître, on est pas tout à fait sur que l'espace soit infini. Mais, d'un point de vu mathématique, infini ne veut pas dire immuable, static d'un point de vu taille. C'est en fait impossible à se représenter de manière concrête pour un cerveau, mais d'un point de vu scientifique, il n'y a aucun problème à celà.

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Message par sonic » 26/04/2007 - 14:40:36

en mathématiques, infini ne veut pas dire limité, juste qu'on ne sait pas trouver la limite (c'est bien ça ?)
et du point de vue scientifique, on sait trouver la limite ?

c'est trop difficile à comprendre tout ça...

si l'univers est en expansion, c'est qu'il s'agrandit, donc ses limites sont sans cesse repoussées, mais elles existent.
mais il y a quoi autour de l'univers ?

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Message par Victor » 26/04/2007 - 15:05:54

je reconnais mon incompétence par le simple fait que je ne sais pas de quoi tu parles et ce que tu veux dire, c'est juste une question de vocabulaire... je ne nie pas ta pensée mais tes concepts m'échappent, définis donc ce que tu emplois... Qu'est ce que l'esprit par exemple? ça c'est un concept que je ne comprend pas... Que tu croies qu'il ya quelques choses dans notre ciboulot, je veux bien l'admettre, mais creuse ta pensée... Des concepts dans ce genre y'en a plein, je ne suis pas athée mais je pense que ta description se base sur une pensée loin des paillasses et de l'expérience scientifique
Dernière modification par Victor le 26/04/2007 - 15:25:50, modifié 1 fois.

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Message par sonic » 26/04/2007 - 15:25:27

à qui s'adresse ton post victor ?

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Message par Victor » 26/04/2007 - 15:27:32

à monsieur glevesques à l'origine de ce topic, c'est simple quand je pense en physique je m'abstiens de faire de la métaphysique avec les mots essences attribut et tous ces termes techniques de philosophie qui ne veulent rien dire pour le physicien que je suis

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Message par glevesque » 26/04/2007 - 15:36:20

Salut victor

Qu'est ce que l'esprit par exemple?
Fait une recherche sur ce forum, j'ai deux discussion là-dessu "Neurone Miroire et Évolution de la Conscience Sensible" et "La conscience subjective existe aussi chez les animaux" ou viens ici Mécanique Quantique, Conscience ou Esprit !

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Message par Victor » 26/04/2007 - 15:40:08

Tu réponds à coté en te défaussant sur internet je n'ai pas ma réponse, c'est un mot à tiroir chargé de sens et j'aimerais savoir quel sens tu utilises

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Message par glevesque » 26/04/2007 - 15:43:03

Salut

Tu crois que c'est aussi facile que ça ! Mais pas moi !

Alors tu as le choix, moi ici je n'est pas l'intension de matarder plus longtemps sur les concepts de l'esprit et de la théorie de la conscience !

Car tout est déjà là !

Gilles

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