Poèmes. Haïku.
Modérateur : Modérateurs
Re: Poèmes. Haïku.
Il y a deux rives.
La rive droite et la rive gauche
Entre, il y'a les ponts.
La rive droite et la rive gauche
Entre, il y'a les ponts.
bonjour
Re: Poèmes. Haïku.
Là ! Juste Silence
Être ou ne pas être
Un sacré bavard
Être ou ne pas être
Un sacré bavard
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Du vent, il fait froid
Mais certaines fleurs aiment le froid.
Penser aux Iris.
Mais certaines fleurs aiment le froid.
Penser aux Iris.
bonjour
Re: Poèmes. Haïku.
Voilà la Toussaint
Une période assez sinistre
Que je n'aime pas trop
Une période assez sinistre
Que je n'aime pas trop
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Tout ce silence
Il me convient assez bien
Une paix tranquille
Il me convient assez bien
Une paix tranquille
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
L'automne, chute des feuilles.
Le vent pousse les nuages gris,
La grisaille s'installe.
Le vent pousse les nuages gris,
La grisaille s'installe.
bonjour
Re: Poèmes. Haïku.
Un grand silence
Aussi savoir se taire
Et vous ! Où êtes-vous ?
Aussi savoir se taire
Et vous ! Où êtes-vous ?
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Aujourd'hui tu es sorti de chez toi,
Sereinement, comme si je n'existais pas.
Être confiné c'est compliqué,
Quelle perte de temps d'être enfermé...
Tu vas croiser des connaissances,
Ils ne toussent pas, ils vont bien,
Il n'y a pas de mal à serrer leurs mains.
Quelques accolades, tu plaisantes,
Puis tu t'en vas retrouver les tiens.
Tu ne me vois pas, tu ne me sens pas,
Pourtant tu m'as ramené avec toi.
Au milieu de ta famille,
Je choisis tranquillement mon nid...
J'attaque au bout de quelques jours,
Ta femme est épuisée, son corps est lourd.
Rien d'alarmant penses-tu,
C'est un coup de froid rien de plus.
J'ai lancé la fièvre et la toux,
Mais tu restes aveugle et sourd.
De l'intérieur je contrôle tout,
Comme un magicien je vais te faire un tour...
Regarde la, elle suffoque, elle s'étouffe,
Elle panique, elle souffre,
Tu contactes les secours,
Sans comprendre que c'est son tour !
A l'hôpital je suis un Roi,
Ici, on ne parle que de moi,
Ils me craignent tous, je le sais,
Soignants, soignés, je les ai tous terrorisés !
Ta femme est de plus en plus faible,
Mais pas de moyens, pas de places,
Pas de respirateurs, pas de masques.
Pas de soutien, pas de famille
Elle gît seule au fond de son lit.
Je sens bien qu'elle a peur, elle pleure,
Elle a froid, elle se sent seule,
Il fait noir, elle vous dit qu'elle vous aime.
Elle s'endort,
J'attaque plus fort !
Tout s'enchaîne,
Cent battements, cinquante, vingt et puis plus rien....
J'ai décidé, pour elle aussi, le sommeil sera éternel.
Tu n'as pas pu lui dire au revoir,
Comme tous les autres, je l'ai emportée dans le noir.
Il n'y aura plus jamais de prochaine fois,
Tu étais pourtant prévenu, tu crois pas ?
Je m'appelle Covid-19 et ce soir avec ton aide j'ai tué ta moitié !
Toi, il ne te reste que tes yeux pour pleurer...
Elodie Schultz ~
Sereinement, comme si je n'existais pas.
Être confiné c'est compliqué,
Quelle perte de temps d'être enfermé...
Tu vas croiser des connaissances,
Ils ne toussent pas, ils vont bien,
Il n'y a pas de mal à serrer leurs mains.
Quelques accolades, tu plaisantes,
Puis tu t'en vas retrouver les tiens.
Tu ne me vois pas, tu ne me sens pas,
Pourtant tu m'as ramené avec toi.
Au milieu de ta famille,
Je choisis tranquillement mon nid...
J'attaque au bout de quelques jours,
Ta femme est épuisée, son corps est lourd.
Rien d'alarmant penses-tu,
C'est un coup de froid rien de plus.
J'ai lancé la fièvre et la toux,
Mais tu restes aveugle et sourd.
De l'intérieur je contrôle tout,
Comme un magicien je vais te faire un tour...
Regarde la, elle suffoque, elle s'étouffe,
Elle panique, elle souffre,
Tu contactes les secours,
Sans comprendre que c'est son tour !
A l'hôpital je suis un Roi,
Ici, on ne parle que de moi,
Ils me craignent tous, je le sais,
Soignants, soignés, je les ai tous terrorisés !
Ta femme est de plus en plus faible,
Mais pas de moyens, pas de places,
Pas de respirateurs, pas de masques.
Pas de soutien, pas de famille
Elle gît seule au fond de son lit.
Je sens bien qu'elle a peur, elle pleure,
Elle a froid, elle se sent seule,
Il fait noir, elle vous dit qu'elle vous aime.
Elle s'endort,
J'attaque plus fort !
Tout s'enchaîne,
Cent battements, cinquante, vingt et puis plus rien....
J'ai décidé, pour elle aussi, le sommeil sera éternel.
Tu n'as pas pu lui dire au revoir,
Comme tous les autres, je l'ai emportée dans le noir.
Il n'y aura plus jamais de prochaine fois,
Tu étais pourtant prévenu, tu crois pas ?
Je m'appelle Covid-19 et ce soir avec ton aide j'ai tué ta moitié !
Toi, il ne te reste que tes yeux pour pleurer...
Elodie Schultz ~
L'homme est une espèce de singe qui a mal tourné!...
Si la tyrannie engendre des révoltes, le laxisme enfante l'anarchie…
Si la tyrannie engendre des révoltes, le laxisme enfante l'anarchie…
Re: Poèmes. Haïku.
macland a écrit : ↑10/11/2020 - 14:59:47Aujourd'hui tu es sorti de chez toi,
Sereinement, comme si je n'existais pas.
Être confiné c'est compliqué,
Quelle perte de temps d'être enfermé...
Tu vas croiser des connaissances,
Ils ne toussent pas, ils vont bien,
Il n'y a pas de mal à serrer leurs mains.
Quelques accolades, tu plaisantes,
Puis tu t'en vas retrouver les tiens.
Tu ne me vois pas, tu ne me sens pas,
Pourtant tu m'as ramené avec toi.
Au milieu de ta famille,
Je choisis tranquillement mon nid...
J'attaque au bout de quelques jours,
Ta femme est épuisée, son corps est lourd.
Rien d'alarmant penses-tu,
C'est un coup de froid rien de plus.
J'ai lancé la fièvre et la toux,
Mais tu restes aveugle et sourd.
De l'intérieur je contrôle tout,
Comme un magicien je vais te faire un tour...
Regarde la, elle suffoque, elle s'étouffe,
Elle panique, elle souffre,
Tu contactes les secours,
Sans comprendre que c'est son tour !
A l'hôpital je suis un Roi,
Ici, on ne parle que de moi,
Ils me craignent tous, je le sais,
Soignants, soignés, je les ai tous terrorisés !
Ta femme est de plus en plus faible,
Mais pas de moyens, pas de places,
Pas de respirateurs, pas de masques.
Pas de soutien, pas de famille
Elle gît seule au fond de son lit.
Je sens bien qu'elle a peur, elle pleure,
Elle a froid, elle se sent seule,
Il fait noir, elle vous dit qu'elle vous aime.
Elle s'endort,
J'attaque plus fort !
Tout s'enchaîne,
Cent battements, cinquante, vingt et puis plus rien....
J'ai décidé, pour elle aussi, le sommeil sera éternel.
Tu n'as pas pu lui dire au revoir,
Comme tous les autres, je l'ai emportée dans le noir.
Il n'y aura plus jamais de prochaine fois,
Tu étais pourtant prévenu, tu crois pas ?
Je m'appelle Covid-19 et ce soir avec ton aide j'ai tué ta moitié !
Toi, il ne te reste que tes yeux pour pleurer...
Elodie Schultz ~
Cela ressemble à la morale de la chanson: Sur le pont de Nord. Il fallait pas y aller.
bonjour
Re: Poèmes. Haïku.
Je ne suis pas trop content
Il fait nuit assez tôt
Vers cinq heure et quart
Il fait nuit assez tôt
Vers cinq heure et quart
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Trouvé sur Facebook: Poèmes Victor
Me retourner
Le jour approche
La vie est moche
Une valise et ma télé,
C’était le dernier tour de clé
Je n’ose pas me retourner,
Ils ont dit je serai bien
Mais je ne reverrai plus mon chien
Quelques bribes du passé
Accrochés sur ces murs peints,
Les enfants sont ravis
Plus de craintes ni d’ennuis
Bien installé dans cette serre
Les bras croisés on me sert,
Les soignants sont patients
Cajolé comme un enfant
À quatre fois vingt ans
On est plus sur le même banc,
Le docteur me dit toujours
Votre cœur est une horloge
À quoi servent ces éloges
Je déteste son discours,
La nuit je rôde dans les couloirs
Pour effacer mes idées noires
Ce sommeil que j’aimais tant
Un ennemi au fil du temps,
L’heure du repas tous impatients
Mes dents fixées je suis armé
Pas un mot un sifflement
Ne se détache de ces gourmands,
Des souvenirs sans fond
Tapissent mes jours
Garnissent mes nuits
Un remède à la mélancolie,
La lumière est mon repère
Le soleil ma vitamine
Je m’éteins quand vient la nuit
Comme cette télé qui m’ennuie.
Zabatt Victor
Me retourner
Le jour approche
La vie est moche
Une valise et ma télé,
C’était le dernier tour de clé
Je n’ose pas me retourner,
Ils ont dit je serai bien
Mais je ne reverrai plus mon chien
Quelques bribes du passé
Accrochés sur ces murs peints,
Les enfants sont ravis
Plus de craintes ni d’ennuis
Bien installé dans cette serre
Les bras croisés on me sert,
Les soignants sont patients
Cajolé comme un enfant
À quatre fois vingt ans
On est plus sur le même banc,
Le docteur me dit toujours
Votre cœur est une horloge
À quoi servent ces éloges
Je déteste son discours,
La nuit je rôde dans les couloirs
Pour effacer mes idées noires
Ce sommeil que j’aimais tant
Un ennemi au fil du temps,
L’heure du repas tous impatients
Mes dents fixées je suis armé
Pas un mot un sifflement
Ne se détache de ces gourmands,
Des souvenirs sans fond
Tapissent mes jours
Garnissent mes nuits
Un remède à la mélancolie,
La lumière est mon repère
Le soleil ma vitamine
Je m’éteins quand vient la nuit
Comme cette télé qui m’ennuie.
Zabatt Victor
L'homme est une espèce de singe qui a mal tourné!...
Si la tyrannie engendre des révoltes, le laxisme enfante l'anarchie…
Si la tyrannie engendre des révoltes, le laxisme enfante l'anarchie…
Re: Poèmes. Haïku.
Je m'asseyais
je comptais sur mes doigts
Et j'arrêtais à Dix
je comptais sur mes doigts
Et j'arrêtais à Dix
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Le jour qui nous vient,
Et tous les jours qui passent...
Pour demain, je ne sais pas !
Et tous les jours qui passent...
Pour demain, je ne sais pas !
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Le silence vécu
Et toutes ses choses vues
la vie qui s'absente
Et toutes ses choses vues
la vie qui s'absente
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Des tercets...
Question très idiote...
Combien y aura-t-il d'humains
Sur cette petite terre?
Je ne sais pas demain
Mais je sais trop d'histoires
Avec le fric et ses folies
J'aimerais imaginer
Un monde qui soit plus simple
Du partage entre égaux
Les egos c'est des mondes divers
Les hommes naissent et meurent égaux
Il n'est pas dit que l'égo soit vous
Ce silence celui qui nous prends
Quand nous envisageons parfois
Des questions mal comprises
Un jour qui vient je mourrais
je ne sais pas vraiment après
Mais j'imagine plein de choses
J'aime bien la nature
Mes azalées qui sont en fleurs
En ce début décembre
Pour Noël qui nous vient
Je sais bien des absences
Et pas que dans ma famille
Les histoires de la foi
C'est pas des histoires socialistes
Les prédicateurs, ils ne partagent pas
Vous savez ! Je me méfies aussi
De tous ces cinglés médiatiques
Qui nous imposent leurs mondes
Oui ! Les choses les plus simples
Elles sont très proches du présent
Avec une vérité qui nous est commune
Victor Paris le 4 décembre 2020
Question très idiote...
Combien y aura-t-il d'humains
Sur cette petite terre?
Je ne sais pas demain
Mais je sais trop d'histoires
Avec le fric et ses folies
J'aimerais imaginer
Un monde qui soit plus simple
Du partage entre égaux
Les egos c'est des mondes divers
Les hommes naissent et meurent égaux
Il n'est pas dit que l'égo soit vous
Ce silence celui qui nous prends
Quand nous envisageons parfois
Des questions mal comprises
Un jour qui vient je mourrais
je ne sais pas vraiment après
Mais j'imagine plein de choses
J'aime bien la nature
Mes azalées qui sont en fleurs
En ce début décembre
Pour Noël qui nous vient
Je sais bien des absences
Et pas que dans ma famille
Les histoires de la foi
C'est pas des histoires socialistes
Les prédicateurs, ils ne partagent pas
Vous savez ! Je me méfies aussi
De tous ces cinglés médiatiques
Qui nous imposent leurs mondes
Oui ! Les choses les plus simples
Elles sont très proches du présent
Avec une vérité qui nous est commune
Victor Paris le 4 décembre 2020
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Un Triolet
Prévoir demain qui vient
Mais ne rien vous dire de plus
Et rester plein de questions
Victor Paris le 30 décembre 2020
Prévoir demain qui vient
Mais ne rien vous dire de plus
Et rester plein de questions
Victor Paris le 30 décembre 2020
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
Janvier bien trop frais
C'est parait il norma! ?
La fraicheur de ces jours
C'est parait il norma! ?
La fraicheur de ces jours
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: Poèmes. Haïku.
La lune pleine éclaire.
Je vois mon ombre sur le sol,
Avec elle, je danse.
Je vois mon ombre sur le sol,
Avec elle, je danse.
bonjour
Re: Poèmes. Haïku.
Joie de la rencontre.
Le temps passe, la joie s'attriste.
La peine nous sépare.
Le temps passe, la joie s'attriste.
La peine nous sépare.
bonjour