Alors j'ai taper Alain Berthoz Le cerveau et les espaces sur la Machine, j'ai regarder les premiers mots assez rapidement, c'est super on dirait une biographie.
Après j'ai taper Le temps circulaire et Daniel Charles sur la Machine, c'est super ça m'a fait repenser au temps Etre (je suis)
comme si à cet endroit du "pré-temps" a-commun on pouvait définir celui-ci comme une succession de choix (i.e involontaire)
inscrit dans une habitude (i.e acquise mais inné) et que même ça fait une symétrie ultra-spécififique avec l'ïle, 'fin c'est byzarre.
Après j'ai lu poème de Mallarmé. Le coup de dés. C'est brillant et c'est brouillon, j'aime beaucoup, sans comprendre.
ca m'a fait repenser, à l'idée d'un dé fruit d'une pensée. Peut-on jouer avec de vraix dés ?
Vous connaissez pas l'histoire de l'impostor ?
Pour l'hopital psychiatrique, merci j'ai gouté, ils m'ont demandé qui j'étais, j'ai dis, je suis, dans le mauvais sens,
Faute de conscience,
Z'ont voulu m'enfermer dans une boite toute rouge et le téléspectatord,
A-rigolé trè trè trè faur,
J'aurais souhaité discuter avec ma demoiselle, j''ai regardé dedans et pas dehors,
Je l'ai ressentis timide et serviable, suis je un méchant que je voulais savoir,
Quel propos hors du temps, faudrais pas poussé ça petite pétoire,
Sinon il t'attrape et il te mange, tout cru, même que c'est un bon fumet et que ça vaut de l'or,
On m'a répondu deux fois, une fois tout seul,
L'autre fois quand j'ai regardé la télé,
Une télé bizarre celle-là, elle était possédée,
Elle avait des airs de famille, un coup d'beul,
On se sens chez soi, comme au grand écran,
M'enfin un fou n'est pas crétin, c'est un patient,
En plus les figurants, y'avais un espion, un espion maléfique,
Il me regardait avec ses gros yeux depuis ce lieu,
Et quand je me suis assoupit, il a parlé dans ma têteu,
Une tête toute ronde avec de jolie mots prolifique,
Bah, maintenant faut tout remettre dans l'ordre,
C'est d'un nouveau genre, un ordre à trois tête, comme une hydre,
Toussa, d'un genre qui tourne en rond,
Sur le talus, de la pente, qui descend, vers le bas, des fonds, sans fin, abyssaux, qui tourne,
qui hypnotise, et qui fée dés illusions.
