RIEN...
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Dans le contexte qui le définie le Rien (ce que l’on qualifie de Rien) n’a pas de sens.
Mais on peut toujours imaginer un autre contexte, aux valeurs inversées, ou ce même Rien acquière un sens fondamental (inestimable).
Mais la vrai question est alors de savoir le quel des deux contextes à le plus de réalité.
Mais on peut toujours imaginer un autre contexte, aux valeurs inversées, ou ce même Rien acquière un sens fondamental (inestimable).
Mais la vrai question est alors de savoir le quel des deux contextes à le plus de réalité.
Pollux a écrit :Dans le contexte qui le définie le Rien (ce que l’on qualifie de Rien) n’a pas de sens.
Mais on peut toujours imaginer un autre contexte, aux valeurs inversées, ou ce même Rien acquière un sens fondamental (inestimable).
Mais la vrai question est alors de savoir le quel des deux contextes à le plus de réalité.
Un sens du rien un peu complexe mais qui rejoint un sens inestimable : l'amour . Ce sens du rien Lacan le cite à propos de l'anorexie : ... Il s'agit d'entendre l'anorexie mentale par non pas que l'enfant ne mange pas , mais qu'il ne mange rien ...
L'enfant ne veut pas manger l'objet d'amour , il ne mangera rien .
Victor a écrit :Sur le rien et le presque rien je pourrais vous citer un grand philosophe Emmanuel Lévinas que j'aime beaucoup et dont je ne comprends presque rien je considère ses ouvrages comme de la pure poésie
Méditations Cartésiennes de Levinas : " Les impulsions nouvelles que la phénoménologie a reçues , elle les doit à René Descartes , le plus grand penseur de la France . "
C'est pas rien ça ...
La Théorie relative de l'insignifiance générale
Ou encore (au choix)
La Théorie relative du tout, du rien et de nous
La somme des petits riens forment le tout,
Le tout est plus que la somme des petits riens.
Nous sommes des petits riens, c'est tout!
Le tout est bien plus, d'autant que nous sommes rien.
Si l’assommante foule des petits riens c’était tout,
Le tout serait plus assommant que nous ou rien.
Nous sommes des petits riens mais tu es mon tout,
Mon tout m'est bien plus que la somme des riens restants.

Ou encore (au choix)
La Théorie relative du tout, du rien et de nous
La somme des petits riens forment le tout,
Le tout est plus que la somme des petits riens.
Nous sommes des petits riens, c'est tout!
Le tout est bien plus, d'autant que nous sommes rien.
Si l’assommante foule des petits riens c’était tout,
Le tout serait plus assommant que nous ou rien.
Nous sommes des petits riens mais tu es mon tout,
Mon tout m'est bien plus que la somme des riens restants.

Dernière modification par Pollux le 31/10/2008 - 19:08:49, modifié 1 fois.