Ces braves Japonais, qu'on dit coincés, ont encore sorti une histoire de cul à dormir debout, ou à faire rigoler les moins sceptiques. Dans le genre shadok poussé à l'extrême, on n'a probablement jamais inventé de système plus compliqué qui soit apte à mettre une voiture en panne.
A l'heure de la reconnaissance optique des empreintes digitales, ce genre d'invention - qui a mobilisé un certain nombre de têtes pensantes - a aussi un effet sur mon cul : je me le tape par terre.
Il y a d'autres façons de ne pas se faire chouraver sa bagnole :
1 - Rouler avec un vieil os hors d'âge d'apparence vaguement déglinguée, donc moche et sans valeur marchande.
2 - Un moindre petit bouton tactile à déclenchement thermique, planqué dans un coin, tout à fait apte à connecter le circuit du relais de démarreur, cela ne coûte pas un rond et c'est bien plus fiable.
Il y a bien longtemps, Hara Kiri (mensuel) avait publié un article sur le cul, à partir du constat que le cul d'un grand-père est plus ridé que celui d'une jeune fille, ce qui permet de les différencier... et donc qu'on pouvait reconnaître les gens à leur cul, qu'ils montrent un peu moins souvent que leur visage, on se demande bien pourquoi.
L'article finissait ainsi :
quand les gendarmes vous demandent vos papiers, montrez-leur votre cul, vous serez étonné du résultat et vous direz "merci Hara Kiri".
Salut et fraternité*
