Le piège électrique: Diesel-Essence :
Je me demandais bien d'où venait cet acharnement du Gouvernement (relayé par les journalistes) pour supprimer les voitures alimentées au diesel alors que les analyses prouvent qu'elles ne polluent pas plus (sinon moins) que les voitures à essence...
Je me doutais qu'il y avait "anguille sous roche", mais je me demandais bien où était l'intérêt de cette fureur, de cette obstination et de cette ténacité à éliminer de toute urgence tous les véhicules au diesel !!!
Eh bien voilà la réponse !!... toute simple.... toujours une affaire de gros sous....
Hé oui les journaleux nous prennent tous pour des billes et tout le monde suit sans réfléchir !!!
C'est un ingénieur chimiste de B P qui vous le dit....
Lu dans les 4 vérités:
Discours officiel : "il faut éliminer le diesel, dangereux pour la santé parce qu’il émet des particules fines".
C’est Archi-faux ! C’était peut-être vrai, voici quelques années, mais les diesels actuels sont équipés de filtres qui piègent ces particules fines à hauteur de 99,9 %,
c’est-à-dire qu’ils n’en rejettent quasiment plus du tout. Il y a même eu une émission ce jour même sur France-Info !
Alors, pourquoi ce mensonge éhonté destiné à nous culpabiliser pour nous inciter à rouler tous à l’essence ?
C’est très simple.
Prenons deux automobilistes parcourant 15000 km par an.
- L’un possède un véhicule essence (consommation 8,5 litres aux 100 km ),
- l’autre possède le même modèle du même constructeur équipé d’un moteur diesel équivalent en puissance (consommation 5,8 litres aux 100 km ).
1er cas : consommation annuelle : 1 275 litres , taxés à 0,86 EUR = 1096,50 EUR. 2e cas : consommation annuelle : 870 litres , taxés à 0,66 EUR = 574,20 EUR. Soit 522,30 EUR de différence.
Avec un parc automobile de 38 millions de véhicules, il est facile de calculer que la disparition programmée du diesel (représentant environ 60 % des motorisations actuelles) permettrait à terme un « racket fiscal » supplémentaire de plus de 11 milliards d’euros
par an.
Il ne faut pas chercher ailleurs la véritable raison de la volonté gouvernementale de tuer le moteur thermique sans, pour autant, connaitre l'impact de la motorisation électrique...