La théorie du tout enfin trouvée ?

La physique de l'Univers...

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La théorie du tout enfin trouvée ?

Message par [email protected] » 01/10/2023 - 2:14:46

Ezel
Une Brève Histoire Du Tout !
ou
M=E/C2, la théorie du poids relatif !

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© 2023, Ezel



Avant Nicolas Copernic les scientifiques expliquaient très bien avec les épicycles de Ptolémée les mouvements de notre système solaire.
L’héliocentrisme semblait alors être une hérésie devant l’évidence que dans nos observations c’est le Soleil qui tournait autour de la Terre et à partir d’une superposition de mouvements plans et circulaires très complexes, dont la compréhension était réservée aux initiés capables de hautes performances dans le domaine des mathématiques, les mouvements rétrogrades des planètes n’avaient pour eux plus vraiment de mystère... Le monde attendait-il simplement qu’un Génie comme Nicolas Copernic pense à ce que personne n’avait pensé pour se ranger devant l’évidence de l’héliocentrisme ?
Presque 2000 ans plus tôt, Aristarque de Samos avait déjà posé l’hypothèse de l’héliocentrisme...
Les scientifiques d’aujourd’hui expliquent très bien le fonctionnement de notre Univers et des atomes à partir des mathématiques et de théories réservées aux initiés qui sont basées sur nos observations de l’invariance visible de la vitesse des rayonnements dans le vide, mais ils ne peuvent cependant réunir la gravité aux autres forces connues...
Attendent-ils une théorie réunissant enfin ces forces pour se ranger derrière ses évidences ?
Trois ans de partages sur les réseaux sociaux, plusieurs dizaines d’envois aux scientifiques les plus avancés dans ces domaines sans la moindre réaction...

Ce qui est le plus surprenant c’est que les scientifiques ne savent toujours pas comment fonctionne la gravité à grande échelle, ni comment fonctionnent et quelles sont les origines des forces nucléaires, ni comment ils pourraient expliquer la différence entre les calcules de l’expansion de l’Univers en partant des décalages vers le rouge des objets célestes lointains ou en partant des rayonnements fossiles, ni la différence entre matière et antimatière, ni l’origine de la supraconductivité, ni celle de l’invariance de la vitesse des rayonnements dans le vide, ni même l’origine de la trop grande profusion des matériaux lourds à notre disposition... alors que bien qu’elle soit très simple (à en paraître presque simpliste) la théorie qui est contenue dans les écrits qui suivent répond avec la même logique à toutes ces questions et à bien d’autres encore !
Alors pourquoi aucun de ceux que j’ai contactés n’a-t-il pris en compte cette théorie ?
Est-ce parce que leurs recherches prendraient fin ?
Est-ce parce que cette théorie démontre que nombres de ces recherches comme celle du LHC au CERN sont des recherches réalisées en pure perte, ne nous apprenant en réalité rien et qui peuvent en plus se révéler beaucoup plus dangereuses qu’il ne l’est pour eux concevable ?
Ou pire encore est-ce parce que, comme le disait Max Planck, pour qu’un nouveau paradigme soit accepté par la communauté scientifique, il faut attendre que tous les tenants de l’ancien soient morts ?
Attendre n’est pas une option, acheter un fusil non plus, alors je continue à communiquer en espérant finir par briser le mur du silence qui entoure mes partages...

Comme nous allons le voir, l’invariance de la vitesse des rayonnements dans le vide, sur laquelle reposent les théories relativise, est très probablement une illusion liée à nos modes d’observations et cela se démontre assez facilement.
Quand nous regardons une ola le public ne se déplace à la vitesse de cette dernière, il s’agit comme dans le cas d’une vague sur un plan d’eau d’une illusion d’optique, car pour la vague que nous venons d’évoquer l’eau se déplace, comme pour le public, que principalement du bas vers le haut et inversement...
Contrairement à une vision répandue lorsque nous faisons traverser un courant dans un fil électrique, il en va à peu près de même les électrons du matériau constituant le fil ne se déplacement presque pas et très lentement... seule l’onde, le signal électrique, se déplace vraiment.
Se déplace vraiment... ? Non !
Comme pour l’ola dans le stade et la vague sur le plan d’eau, il ne peut que s’agir ici aussi que d’une illusion, mais alors que regardons-nous ?
La hauteur du signal ?
Et si ce courant circulait dans le vide cela changerait-il quelque chose à l’illusion ?
Nous répondons à tout cela d’une manière si simple qu’il est possible que ce soit cette apparente simplicité associée cette presque parfaite illusion de l’invariance de la vitesse des rayonnements dans le vide qui empêche les scientifiques que j’ai contactés de prendre conscience de la révolution à venir...

En science quand on ne comprend pas quelque chose, on peut soit faire des expériences physiques pour tenter de trouver directement des réponses dans les résultats de nos observations, soit faire ce que l’on appelle un exercice de pensée puis vérifier si nos déductions correspondent bien à la réalité observable.
C’est en suivant ce principe qu’Albert Einstein aurait développé les bases des théories de la relativité restreinte et de la relativité générale...
Mais Albert Einstein, qui était aussi un des pères de la physique quantique, a en vain cherché jusqu’à sa mort à réunir à l’intérieur d’une « théorie du champ unifié » les interactions gravitationnelles et électromagnétiques.
Bien d’autres après lui s’y sont essayés et se sont à leur tour heurtés à l’apparente impossibilité de pouvoir élaborer les principes d’une telle théorie.
Nous nous servons de la dualité onde-corpuscule pour décrire de nos jours notre vision des particules, mais à travers l’observation de la manière dont les feux et les fissions nucléaires peuvent la libérer, le développement de l’idée d’une nucléosynthèse électromagnétique nous permettrait de supposer que l’énergie ne serait pas que contenue dans la matière, mais qu’elle pourrait en être la structure même et qu’elle formerait donc ni plus ni moins cette matière.
Pouvons-nous partir de cette hypothèse tenter à notre tour de réunir les forces qui régissent notre Univers et les atomes et serons-nous alors en mesure de vérifier si cela correspond bien à nos observations ?

Nous devons pour cela abandonner notre vision d’un monde en trois dimensions et envisager un système où la notion de dimension serait remplacée par un concept où c’est la distribution et la concentration de l’énergie qui régiraient la formation de la matière et de l’évolution de l’Univers.
Si la matière était bien constituée d’énergie et donc de rayonnements, cela nous permettrait dans un premier temps de trouver une réponse au problème du déséquilibre entre matière et antimatière, puisqu’en suivant la courbure que l’évolution de sa fréquence lui impose autour de son axe de propagation un rayonnement contient toujours en lui-même son propre antirayonnement, en ne pouvant être au travers de ses phases que l’un et l’autre et les deux à la fois.
Nous devrions alors prendre en compte deux présupposés inhérents à cette conception : le vide n’existerait pas et les rayonnements posséderaient une masse cachée.
Cependant cette masse ne devrait pas être si cachée que cela, car nous pourrions en toute logique supposer que c’est elle et elle seule qui serait à l’origine des forces dites de gravité... puisque dans un Univers régi par les effets liés aux mécanismes d’une nucléosynthèse électromagnétique, les forces dites de gravité pourraient être regardées comme étant la conséquence des interactions entre d’un côté les rayonnements entrants en direction du centre des astres où (excepter au niveau des trous noirs) certains d’entre eux recombinent dans cette hypothèse leur énergie sous forme de plasma et d’atomes légers (tel que de l’Hydrogène et de l’Hélium) et de l’autre les rayonnements sortants forcément moins nombreux qui sont renvoyés en direction de l’espace.

Ce différentiel en interagissant avec les rayonnements prisonniers des particules composant la matière créeraient des forces de pesanteur qui, dans une atmosphère comme celle de la Terre, seraient augmentées par la pression des éléments les plus légers pesant sur les éléments les plus lourds, mais ces forces seraient aussi contrebalancées par la pression imposée par le poids des éléments les plus lourds à l’encontre des éléments les plus légers lorsque ceux-ci sont suffisamment libres de leurs mouvements, en suivant donc ainsi le principe d’Archimède sur une échelle bien plus grande qu’il ne l’avait lui-même conçu.
En suivant encore cette hypothèse, plus un ensemble de matière contiendrait d’énergie, que nous supposons être formée de rayonnements prisonniers, plus il devrait alors interagir avec les rayonnements entrants et plus il devrait être lourd et c’est bien ce que nous observons : l’Uranium, qui emprisonne des quantités gigantesques d’énergie fait bien partie des matériaux les plus lourds connus sur Terre avec environ 20 tonnes par mètre cube !
Si les rayonnements, en conférant une masse aux choses par leurs interactions avec les rayonnements contenus dans la matière, sont bien à l’origine des forces de pesanteur, comme il devrait exister pour expliquer la manière dont ces forces influencent les mouvements des étoiles et des galaxies de l’énergie et de la masse qui ont donné naissance aux concepts d’énergie et de matière noires (puisqu’elles sont restées jusqu’ici inaccessibles à nos explorations,) nous pouvons supposer que les effets perceptibles de cette énergie et cette matière manquantes sont simplement dus à l’existence de rayonnements qui sont pour nous invisibles.

Or pour que des rayonnements soient invisibles dans nos observations ils ne doivent pas interagir avec nos yeux ou avec les capteurs de nos instruments de mesure et donc ne pas appartenir au spectre électromagnétique connu et se situer alors au-dessus et/ou (ce qui semblerait logique) en deçà de ce dernier, avec très probablement pour la plupart des longueurs d’onde plus petites et des fréquences plus grandes que ceux du spectre électromagnétique connu.
Si pour agir sur la gravité les rayonnements doivent avoir une masse, cela nous pousse à concevoir que leur masse doive suivre la formule E=MC2 sous sa forme M=E/C2.
M comme C ne pouvant dans cette transposition être des constantes, nous devons envisager un fonctionnement des rayonnements nous autorisant à considérer l’énergie comme la seule constante pour ces rayonnements et donc oublier notre vision de l’invariance de la vitesse de la lumière.
Si comme il serait logique on réintègre la fréquence au calcul de leur vitesse, la masse des rayonnements serait alors proportionnellement liée aux longueurs d’onde et par conséquent inversement proportionnelle aux fréquences.
Ainsi plus un rayonnement serait énergique, plus sa longueur d’onde et sa masse seraient petites, il existerait donc inévitablement un moment où les rayonnements, bien que de plus en plus énergiques, auraient de moins en moins d’interactions avec la matière et cela expliquerait pourquoi la courbe de température observée finit par s’inverser en se rapprochant des rayonnements ultraviolets qui nous brûlent sans nous réchauffer... et nous n’aurions alors plus besoin du quantum d’énergie de Max Planck pour expliquer la fameuse catastrophe ultraviolette !

Nous pourrions alors supposer que les rayonnements se détendent en s’éloignant de leur source de production en voyant ainsi leur fréquence décroître en suivant la loi en carré inverse, la lumière observable ne ferait donc que suivre le passage de la fréquence de ces rayonnements au niveau de celles du spectre électromagnétique connu.
En modifiant la fréquence des rayonnements au fur et à mesure de leur déplacement, ce phénomène formerait bien une crête d’onde évoluant, elle, à 299 792 458 m/s...
Cela expliquerait pourquoi, en basant nos observations et nos mesures sur des fréquences données à des distances données non contiguës, tous les rayonnements, quelle que soit la hauteur d’énergie de la fréquence prise en compte, donnent l’illusion presque parfaite d’avoir toujours une même vitesse de déplacement.
Cela laisserait supposer que l’évolution des fréquences suit la loi qui gère les moments d’inertie : la fréquence que nous pourrions regarder comme la vitesse de rotation d’un rayonnement autour de son axe de propagation serait donc dépendante du carré de la distance entre cet axe de rotation et la répartition de sa masse en fonction de la longueur d’onde séparant ce rayonnement de son antirayonnement, d’où la loi en carré inverse appliquée à leur déplacement !
Si les fréquences des rayonnements ne s’arrêtent pas au spectre électromagnétique connu et qu’ils se propagent en décroissant, cela expliquerait pourquoi l’énergie noire ne se dilue pas avec l’expansion de l’univers, puisqu’il y aurait toujours de nouveaux rayonnements qui en suivant la loi en carré inverse s’approcheraient et rejoindraient la sphère du « réel » en influant ainsi sur les forces dites de gravité.

C’est cette évolution qui ferait qu’en partant des étoiles lointaines les rayonnements resteraient invisibles sur la plus grande partie de leur trajet et qu’ils ne deviendraient visibles que lorsque leur fréquence atteint les fréquences du spectre électromagnétique et cela expliquerait pourquoi la nuit est noire malgré le nombre infini d’étoiles sans avoir besoin d’invoquer l’influence de l’horizon cosmologique.
L’évolution des fréquences suivant la loi en carré inverse expliquerait aussi cet horizon cosmologique et le décalage vers le rouge des galaxies lointaines, puisque une fois que la fréquence de leurs rayonnements a passé le spectre de la lumière blanche, il est logique que les rayonnements émis par les galaxies éloignées soient, avant d’être indiscernables, dans un premier temps décalés vers les infrarouges...
Cela expliquerait encore les décalages vers le bleu ou le rouge du spectre des étoiles des galaxies en mouvement, car si un corps émet des rayonnements, ceux-ci arriveront plus tôt si ce corps se rapproche et plus tard si au contraire il s’éloigne. Or les fréquences des couleurs bleues sont plus rapides que celles des couleurs rouges et cela nous suffit pour comprendre que les rayonnements émis par les étoiles d’une galaxie en approche nous arrivant nécessairement plus vite la fréquence de ces rayonnements a moins eu le temps de se détendre et sera donc plus rapide, ce qui correspond bien ici à un décalage vers le bleu.
Les rayonnements qui sont émis par les étoiles des galaxies qui s’éloignent nous arrivant avec un retard, leur fréquence a plus de temps pour ralentir, ces rayonnements sont donc dans nos observations en toute logique décalés eux vers le rouge.

Nous avons conjecturé que les rayonnements entrants forment au cœur des étoiles et des planètes à partir d’une nucléosynthèse électromagnétique du plasma et des atomes simples. Il semble évident que cette séquestration est à l’origine des raies spectrales sombres observés dans le spectre lumineux des étoiles. Ce sont ces raies spectrales sombres qui sont dans nos observations sur les étoiles des galaxies en mouvement décalées vers le rouge ou le bleu.
Avec le concept d’une nucléosynthèse électromagnétique créant les particules constituant la matière, nous pouvons regarder les étoiles et les planètes comme des points de concentration qui ralentissent les rayonnements en leur donnant par confinement la forme de plasma et ainsi une forme ponctuelle à l’origine des particules, mais puisqu’ils renvoient des rayonnements cela fait aussi d’eux des points blancs que nous pouvons regarder à partir d’ici comme des fontaines blanches.
Ces points blancs ralentissant les rayonnements, pour former des atomes, il semble alors logique de supposer qu’à l’inverse les trous noirs détruisent eux la matière en accélérant les rayonnements.
Entrer en contact avec l’horizon d’un trou noir reviendrait à voir la plus grande partie des rayonnements constituant nos atomes être accélérés en direction du centre de ce trou noir, nous ne tomberions donc pas dans ce trou noir, mais serions consumés sur son horizon. Il n’y aurait dans ces conditions plus de singularité au centre des trous noirs, car s’il est difficile de concevoir un point où la matière puisse être infiniment concentrée, en suivant la formule M=E/C2, cela ne l’est pas pour des rayonnements.

La capture de nouveaux rayonnements les concentrant et les accélérant toujours davantage cela réduit constamment leur masse ce qui, s’ils ne s’échappaient pas par effet tunnel, reviendrait pour eux à voir l’espace les séparant du centre des trous noirs s’allonger indéfiniment.
Devenant de plus en plus petits nous devinons qu’une grande partie des rayonnements entrants peuvent, suivant leur longueur d’onde, leur spin et leur angle d’entrée, être suffisamment accélérés pour qu’ils n’interagissent plus avec la matière et les autres rayonnements et s’échappent ainsi très logiquement par effet tunnel. Ces rayonnements n’étant plus suffisamment massifs pour interférer avec les particules des objets pris dans l’ergosphère des trous noirs, ils ne peuvent pas contrebalancer l’action des rayonnements entrants d’où la gravité extrême des trous noirs.
Lorsque la fréquence de ces rayonnements a ralenti suffisamment pour qu’ils puissent à nouveau interagir entre eux, ils peuvent alors créer puis entretenir des points de concentration électromagnétiques qui en véritables fontaines blanches donnent naissance aux étoiles puis aux planètes comme ce fut le cas pour notre système solaire dont nous pouvons maintenant facilement deviner l’évolution.
La première fontaine blanche prédominante a évolué en devenant notre Soleil qui en émettant des rayonnements a créé deux nouveaux points de rencontre et deux nouvelles fontaines blanches qui ont formé Jupiter et Saturne, les deux géantes gazeuses de notre système solaire. Elles sont devenues à leur tour l’origine de points de perturbations qui ont créé d’un côté les planètes telluriques et de l’autre les géantes glacées.

Le système ayant suffisamment évolué pour éloigner les planètes telluriques de la proximité directe du Soleil elles sont passées par des phases explosives en créant par refroidissements de la matière simple qu’elles ont en partie éjectée sous forme de poussières et d’astéroïdes lors de leurs explosions.
En grossissant elles ont créé des croûtes de plus en plus lourdes, en formant des matériaux eux aussi de plus en plus lourd. Leurs explosions ont alors formé une multitude d’astéroïdes qui se sont perdus en partie dans le Soleil, ont été capturés par ces mêmes planètes et ont aussi fini par former une ceinture d’astéroïdes qui s’est vue repoussée entre ces planètes telluriques et les géantes gazeuses.
De l’autre côté des géantes gazeuses, les géantes glacées ont dans leurs phases explosives produit l’essentiel voire la totalité des comètes constituant la ceinture glacée.
Les lunes rondes et les planètes naines sphériques ont aussi été formées par des fontaines blanches intermédiaires. Suivons un peu plus en détail l’évolution de la Terre
qui, comme toutes les fontaines blanches, n’a pu au départ que produire des rayonnements et de la poussière avant que son environnement ne soit suffisamment dense pour qu’elle produise un plasma plus compact.
Ce plasma a refroidi en formant un magma qui lui-même s’est refroidi sous la forme d’une croûte qui a piégé en son sein une partie des rayonnements cosmiques entrants qui en interférant de plus en plus fortement ont fusionnés sous la forme d’atomes de plus en plus lourds.
Après plusieurs explosions, notre Terre a, comme les autres planètes telluriques, fini par se stabiliser.

Étant créés à partir de faibles niveaux d’interactions, l’hydrogène comme l’oxygène ont été produits en grandes quantités dès les premières interactions. En s’associant et en passant de la forme gazeuse à la forme glacée, ils ont recouvert de glace les premières croûtes terrestres.
Puis, quand le plasma terrestre à atteint des dimensions suffisantes pour presser son environnement proche et être lui aussi suffisamment pressé en retour, la croûte terrestre, qui s’était une nouvelle fois formée et recouverte de glace, s’est fendillée et une partie de la glace s’est transformée en eau et a commencé à envahir les espaces dégagés en refroidissant le magma, cela a permis la production de nouvelles croûtes sans explosions.
Subissant les mouvements de rotation de la Terre, les parties de la dernière croûte ont commencé à s’éloigner par effet centrifuge comme les pétales d’une fleur autour d’un centre (l’Antarctique) en créant un « trou » au niveau du pôle supérieur (l’Arctique).
La production de nouvelles croûtes imposant de fortes contraintes aux premières, en s’éloignant d’un côté et se rapprochant de l’autre, celles-ci se sont mises à se froisser en créant des montagnes à leurs points de rencontre.
Les rayonnements continuent à interférer au niveau du plasma en créant des atomes simples qui en se recombinant forment des gaz qui sont à l’origine de la présence d’hélium et de vapeur d’eau dans les émissions volcaniques, ils sont aussi à l’origine des sources d’eaux chaudes.
Cette eau produite en permanence au niveau du plasma compense son évaporation (17 millions de mètres cubes par seconde) en augmentant la taille des océans.

Ainsi avec l’hypothèse d’une genèse interactionnelle, plus besoin de supposer, comme avec l’idée d’une genèse par effondrement gravitationnel soutenue par les théories relativistes, que toute l’eau disponible sur Terre aurait été apporter par des comètes il y a des milliards d’années sans se demander pourquoi elle ne se serait pas en toute logique très sérieusement, voire même totalement, évaporée depuis tout ce temps ?
En supposant que les forces de pesanteur sont dues au différentiel entre rayonnements entrants et rayonnements sortants, nous pouvons très facilement passer de la gravité atmosphérique à la gravité intersidérale...
Nous pourrons même rapidement passer de la gravité atmosphérique et intersidérale aux forces magnétiques et nucléaires par simple transposition.
L’ensemble des rayonnements à la base de la formation des systèmes solaires étant supérieur aux rayonnements qu’ils libèrent et les étoiles capturant plus de rayonnements que les planètes, ces dernières se voient pressées à leur périphérie ; cependant leurs propres émissions associées à celles du ou des soleils auquel ou auxquels elles sont liées les empêchent de tomber en leur cœur.
Si la pression des rayonnements peut contraindre les planètes à tourner autour des soleils, en supposant que les rayonnements peuvent avoir des fréquences supérieures au spectre électromagnétique connu, nous pouvons alors concevoir que ceux-ci peuvent se rencontrer à des niveaux subatomiques de manière à contraindre le déplacement des particules d’une façon similaire permettant ainsi la création des systèmes atomiques que nous nommons atomes.

Nous pouvons parler d’atomes, car si notre hypothèse de nucléosynthèse électromagnétique incite à considérer les rayonnements comme étant à l’origine de la formation de toutes les particules, ceux-ci ressemblent plus aux Apeirons d’Anaximandre de Millet qu’aux atomes de Leucippe.
Nous devinons que les atomes formant le magma doivent certainement leur apparition aux effets croisés liés à la pression et au refroidissement périphérique du plasma.
Nous savons que les plasmas que nous pouvons observer forment des soupes électroniques, nous pouvons cependant imaginer que la chimie des plasmas solaires et planétaires soit plus complexe que celle des plasmas que nous pouvons produire ou observer directement.
Les soleils produisant dans notre théorie de l’Hydrogène et de l’Hélium nous pouvons alors supposer que les plasmas solaires et planétaires sont forcément capables de produire des électrons, mais aussi des protons et des neutrons.
Si les rayonnements organisent les déplacements des particules d’une façon similaire à celle qu’ils imposent aux astres et aux galaxies, alors puisque la moitié des galaxies tournent dans le sens horaire et que l’autre tourne dans le sens antihoraire, nous pouvons deviner que la moitié des électrons, des protons et des neutrons tournent dans un sens et que l’autre tourne elle dans l’autre. Cela nous pousse à imaginer que ces particules agissent entre elles comme des antiparticules, cependant si les particules reproduisent les principes qui gèrent les systèmes solaires nous devinons que si deux particules de sens opposé s’attirent nécessairement elles se repoussent aussi et cela leur permet certainement de créer des couples particule-antiparticule stables.

L’observation des soupes électroniques des plasmas nous permet de supposer logiquement que les premières particules à se constituer à partir des rayonnements forment, suivant leur spin, des électrons-libres ou des antiélectrons-libres qui s’associent en couples électroniques équilibrés.
Notre théorie nous encourageant à concevoir que les protons et les neutrons apparaissent à partir de ces soupes électroniques, elle nous pousse à supposer qu’ils doivent être formés à partir de couples électroniques et qu’à l’inverse des systèmes solaires, les premières particules à se former par nucléosynthèse électromagnétique soient les plus petites et qu’elles évoluent ensuite par concentrations.
Nous pouvons alors supposer qu’avec la chaleur et la pression à la périphérie de ces centres plasmatiques une partie de ces électrons (ou couples électroniques) sont détruits à leur formation. Ceux qui se retrouvent divisés en électrons-libres peuvent alors fusionner avec d’autres couples électroniques et antiélectroniques pour former des couples protoniques équilibrés.
Ces protons étant plus intriqués que les électrons, ils se voient pressés par les rayonnements entrants vers le centre plasmatique en repoussant les couples électroniques sur leur périphérie cela permet alors qu’ils se lient avec des couples électroniques pour former des couples neutroniques.
Les systèmes atomiques s’organiseraient entre électrons, protons et neutrons autour d’un vide les séparant, mais nous savons que dans un système basé sur la distribution de l’énergie le vide doit être constitué de rayonnements et nous savons aussi que sans vide, une vibration peut logiquement se transmettre instantanément et donc à une vitesse infinie...

Si la vitesse des rayonnements peut être conçue comme infini, la masse et les longueurs d’onde peuvent alors être envisagées comme pouvant être infiniment petites !
Les rayonnements se rencontreraient donc à des niveaux très inférieurs à la taille des particules et nous pouvons penser que, à la manière dont la périphérie des plasmas occasionne une polarisation de l’espace autour des astres, ces particules doivent aussi polariser les rayonnements qu'elles revoient en leur imposant un sens de rotation !
Nous devinons que lorsque deux particules tournent dans une même direction en émettant des rayonnements, ceux-ci s’opposant, leur fréquence est ralentie et en suivant M=E/C2 leur masse comme leur longueur d’onde augmentent. Ces dimensions supplémentaires s’opposeront au rapprochement de ces deux particules en créant un vide qui les séparera, nous pouvons donc parler ici de vides positifs.
Nous devinons aussi que deux particules tournant dans des directions opposées en émettant des rayonnements, ces rayonnements suivent alors la même direction et s’accélèrent en diminuant forcément leur longueur d’onde et leur masse en provoquant des contractions dimensionnelles qui seront à l’origine d’un rapprochement entre les deux particules, nous pourrons donc parler là de vides négatifs.
Électrons, protons et neutrons et leurs antiparticules forment des couples trop compacts pour ne pas être détruits au contact des horizons plasmatiques, mais lorsque deux électrons de spins opposés attirent un couple de protons en phase inversée en se répartissant alors de part et d’autre du couple de protons cela fait acquérir à l’ensemble une masse volumique suffisante pour qu’il s’éloigne.

Ces couples de protons et d’électrons peuvent aussi se lier à des couples de neutrons et ainsi leur permettre de quitter à leur tour les centres plasmatiques.
Ne pouvant s’échapper des centres plasmatiques que sous la forme d’un couple électron-antiproton uni à un couple antiélectron-proton, nous voyons donc avec une nucléosynthèse électromagnétique que ces ensembles ne forment pas des atomes d’Hydrogène, mais apparaissent sous la forme de molécules de Dihydrogène.
Cela nous permet de comprendre pourquoi les atomes d’Hydrogène ont à parts égales, lorsqu’ils sont soumis à des champs magnétiques, deux positionnements inversés nommés UP et DOWN.
Nous réalisons aussi que lorsqu’un couple de neutrons est capturé à la surface d’un plasma par une molécule de Dihydrogène, ils forment ensemble un atome d’Hélium.
Les atomes d’Hélium apparaissent cependant aussi avec des phases inversées, ils forment alors des molécules de Dihélium.
Nous devinons que sous les fortes pressions des abords des plasmas ces molécules pourront fusionner en atomes d’Oxygène.
Les atomes d’Oxygène apparaissant eux aussi avec des polarités opposées constitueront du Dioxygène.
Puisque plus un astre est chaud, plus il rayonne nous pouvons maintenant concevoir que plus on chauffe un atome ou une molécule, plus leurs particules émettront de rayonnements subatomiques ce qui dans un premier temps les feront s’éloigner les une des autres en le ou la rendant plus perméable au rayonnements entrants.

Les particules s’organisant au travers de vides positifs et négatifs et même si cette polarisation, associée à celles des rayonnements subatomiques renvoyés par chacune d’entre elles, protège dans un premier temps les particules de la fusion avec leur antiparticule, il est probable que lorsque des particules sont soumises à de fortes chaleurs et de fortes pressions comme au cœur des plasmas cette protection n’est pas suffisante pour empêcher leur fission par fusion.
Dans un atome le risque de fusion est contrebalancé par l’éloignement physique des électrons et des antiélectrons qui se font face d’un côté et de l’autre du noyau atomique, mais si cette éloignement les protège des collisions tant que la chaleur n’atteint pas celle des plasmas, cette protection ne fonctionne pas toujours avec les particules contenues dans les autres atomes ou les molécules qui les entourent.
Nous devinons que toutes les combustions proviennent de la destruction par fusion des protons, cela demande donc (sauf pour les feux électriques) la présence d’atomes ou de molécules pouvant céder des électrons et des protons.
Si les atomes d’Oxygène peuvent céder des électrons, ils peuvent très certainement aussi céder des protons.
Les plasmas solaires et planétaires produisant à travers la nucléosynthèse électromagnétique primaire des atomes d’Hydrogène et des atomes d’Hélium, et produisant aussi dans une nucléosynthèse électromagnétique secondaire des atomes d’Oxygène, toutes les conditions sont réunies pour qu’il y ait des fusions électroniques et protoniques entre les molécules de Dihydrogène et des molécules de Dioxygène ; ces fusions destructrices seront alors à l’origine d’une nucléosynthèse tertiaire.

Nous pouvons supposer que ces phénomènes de fusions protoniques et de nucléosynthèses tertiaires se produisent justes après le démarrage des nucléosynthèses primaires et secondaires qui se poursuivent en continu depuis la nuit des temps à la périphérie des plasmas des soleils et au cœur des planètes encore actives. Nous pouvons grâce à notre théorie facilement comprendre la formation des premiers atomes et commencer sans beaucoup plus de difficulté à appréhender les étapes de complexifications suivantes.
Le Dihydrogène réuni donc deux atomes d’Hydrogène et contient ainsi deux protons et de deux électrons de phases inversées.
L’Hélium est formé d’un couple de neutrons de phase inversée et d’une molécule de Dihydrogène et contient deux neutrons, deux protons et deux électrons de phases inversées.
L’Oxygène est lui formé de deux molécules de Dihélium de phase inversée et contient huit neutrons, huit protons et huit électrons en couples de phases inversées.
Nous pouvons maintenant concevoir que le Carbone 6C, qui contient six protons, six neutrons et six électrons est le résidu d’un atome d’Oxygène ayant perdu par fusion à la rencontre d’une molécule de Dihydrogène deux électrons et deux protons et par abandons les deux neutrons qui leur étaient liés au profit d’une autre molécule de Dihydrogène en formant ainsi une molécule de Dideutérium.
Le Deutérium que l’on trouve dans d’eau de mer est donc considéré à tort comme un isotope de l’Hydrogène alors qu’il devrait se trouver proche du Carbone dans le tableau de l’abondance des éléments.

En quittant ainsi sa forme de Dioxygène l’Oxygène non transformé en Carbone se lie alors avec des molécules de Dihydrogène et l’eau que l’on retrouve sur Terre est donc un autre déchet de ces fusions protoniques permanentes et sa production compense donc bien sont évaporation.
Si ces fusions protoniques expliquent bien l’abondance du Carbone dans l’Univers et la présence de vapeur d’eau dans la lave des volcans et dans toute combustion, cela explique aussi très bien la présence de minéraux hydratés découverts récemment à l’intérieur d’un diamant sans avoir à supposer, comme l’ont fait les scientifiques, la présence d’une sorte océan dans les profondeurs de la Terre.
Si ces conceptions devaient être vraies, nous devrions en retrouver la trace dans nos mesures de l’abondance des éléments chimiques présents dans l’Univers.
En suivant strictement le principe de ces nucléosynthèses électromagnétiques primaires, secondaires et tertiaires, nous devrions même retrouver dans l’ordre :
L’Hydrogène en élément principal, suivi de l’Hélium, de l’Oxygène, puis du Carbone...
Que trouvons-nous donc aux quatre premières places du tableau de l’abondance des éléments chimiques dans l’Univers ?
En première place avec 73,9 % : l’Hydrogène ! En deuxième place avec 24 % : l’Hélium !
En troisième place avec 1 % : l’Oxygène !
En quatrième place avec 0,5 % : le Carbone !
Soit 99,4 % de la matière totale !

Ce qui fait la validité d’une théorie c’est à quel point elle se révèle prédictive et lorsqu’une théorie semble être en accord ou en désaccord avec nos observations nous devons finir par en tirer les conclusions qui s’imposent...
Les observations du phénomène de supraconductivité à basse température et la lévitation quantique ont surpris les scientifiques, car elles allaient à l’inverse des prédictions théoriques, ces phénomènes s’expliquent très simplement avec notre théorie sans avoir à supposer pour la lévitation d’hypothétiques vagues quantiques géantes...
Nous savons en suivant M=E/C2 que refroidir ou ralentir un rayonnement c’est augmenter sa longueur d’onde et sa masse. Puisque les émissions des particules provoquent des vides positifs et négatifs, il est donc évident que si l’on refroidit des atomes, les vides positifs seront plus importants et les vides négatifs eux réduits.
Dans un matériau supraconducteur les électrons-libres à l’origine des phénomènes électriques ne peuvent plus fusionner avec les électrons contenus dans les atomes du matériau refroidis si bien qu’ils n’interagiront plus avec eux ce qui fait qu’il n’y a alors plus de déperditions d’où l’apparition des phénomènes (en réalité très prévisibles) de supraconductivité !
L’augmentation des vides positifs à l’origine de cette supraconductivité et la transformation logique des vides négatifs en quasi-vides positifs sur une distance non nulle liée aux refroidissements des rayonnements les composants repoussent les aimants, quelle que soit leur polarité sur cette distance non nulle... d’où les phénomènes (très prévisibles) de lévitation et de suspension quantique !

Les images du télescope Alma observant la formation d’une étoile assez similaire à la notre se nommant IRAS 16293-2422 montre des régions chaudes en désaccord total avec les principes d’une genèse par effondrements gravitationnels. Pour expliquer ces élévations « fascinantes » qui « révèlent que nos modèles de disques actuels sont incomplets et qu’ils doivent inclure une source de chauffage supplémentaire... » les scientifiques partent d’une très hypothétique « sublimation » de la glace autour de grains de poussière et conjecturent que ces élévations seraient dues à des collisions d’ondes de choc semblables à celle des « bang » supersoniques des avions.
Pour toute personne n’ayant pas à défendre les visions relativistes actuelles, il semble vraisemblable que ces points chauds ne soient que des zones de perturbations dues à des interférences électromagnétiques confirmant les principes soutenus par l’idée d’une genèse interactionnelle...
Jammes Webb nous offre une vision détaillée des piliers de la création, une immense structure d’étoiles en créations accompagnées de gaz et de poussières, et les scientifiques y voient encore la confirmation de l’idée d’une genèse par effondrements gravitationnels alors qu’avec cette théorie les étoiles et les planètes naissantes auraient dû « vider » les gaz et la poussière autour d’elles et de ce fait ne pas être dans les zones les plus sombres.
Quiconque n’étant pas lié aux théories relativistes verrait à partir de ces photos que ces étoiles naissantes produisent des gaz et de la poussière qui sont dispersées par les vents cosmiques et qu’elles se comportent comme des fontaines blanches au début de leurs phases explosives...

Notre concept d’une nucléosynthèse électromagnétique et d’une genèse interactionnelle et encore soutenu par le fait que la température à la périphérie du plasma solaire est de 5500° et que la température à la périphérie de la soi-disant graine solide au centre de la Terre, qui grossirait en refroidissant selon les théories actuelles, est elle aussi de 5500°... L’hypothèse d’un plasma planétaire à l’image d’un plasma solaire grossissant par simple accumulation plasmatique est plus crédible que les visions relativistes qui voient même en dépit du bon sens les étoiles grossir par épuisement de leurs couches internes !
Albert Einstein, bien qu’il reste mon idole, a fait perdre plus cent ans aux sciences en disqualifiant l’idée d’éther, car en 1888 Ivan Yarkovsky en cherchant à comprendre la gravitation avait déjà quasiment décrit les principes d’une genèse interactionnelle où la concentration de l’éther était dans sa théorie à l’origine de l’accroissement des corps célestes.
En fait, depuis un peu plus de 25 ans, où naissaient les basses de ces théories de genèse interactionnelle et de nucléosynthèse électromagnétique, toutes les découvertes s’accordent avec les concepts soutenus par ces théories.
La découverte récente par le satellite Jammes Webb de galaxies spirales dans l’Univers lointain et les décalages toujours de plus en plus criants entre les calcules théoriques de l’apparition des galaxies et nos observations ne font que confirmer l’hypothèse d’un autre fonctionnement de la lumière que celui qui suit nos conceptions actuelles...

Les décalages vers le rouge sont très certainement dus à l’évolution de la fréquence des rayonnements qui, en suivant la loi en carré inverse, se détendraient bien autour de leur axe de propagation. L’Univers n’est donc probablement pas en expansion, l’horizon cosmologique n’a pas de lien avec les débuts de l’Univers et le fond diffus cosmologique n’est pas le rayonnement fossile du Big Bang, mais bien plus plausiblement la lumière résiduelle de l’Univers pour nous inobservable sous d’autres longueurs d’onde.
La gravité influant sur les rayonnements, comme l’ont démontré les mesures Arthur Eddington lors de l’éclipse de 1919, un effet de réciprocité était inéluctable...
Newton l’affirmait dans sa troisième loi « L’action est toujours égale à la réaction » alors si la gravité influence les rayonnements, les rayonnements influencent nécessairement eux aussi la gravité... il devient donc très probable que la gravité soit liée aux différentiels entre les rayonnements entrants et les rayonnements réémis par les astres et que ce différentiel soit principalement lié à la nucléosynthèse électromagnétique qui se poursuit perpétuellement aux abords des plasmas stellaire et planétaire.
Nous pouvons donc supposer que les objets ont un poids relatif soumis au différentiel local entre les rayonnements en présence et directement dépendant de la quantité de rayonnements prisonniers à l’intérieur de leurs atomes.
Les trous noirs sont les forges stellaires des rayonnements cosmiques que nous nommons énergie noire et leur masse relative occasionne les interactions électromagnétiques qui sont aussi bien à l’origine des phénomènes de gravité que des forces nucléaires et magnétiques.

Les particules ne sont pas formées de quarks et de gluons et nous devons donc visualiser ces particules comme des tourbillons multidirectionnels ponctuels emprisonnant des rayonnements en polarisant leur espace.
Les forces de gravité, nucléaires et électromagnétique ne sont donc finalement qu’une seule et unique force qui agit aussi bien au niveau des particules que des atomes et qui structure ainsi l’évolution des soleils, des planètes et des galaxies.
Les taches noires des soleils ne sont que du magma, de la lave un peu plus refroidie... en fait, le Soleil comme la Terre peuvent être regardé comme d’immenses lacs volcaniques sphériques tourbillonnant dans l’espace, avec heureusement pour nous une température trop basse pour que notre planète puisse garder sa superficie en fusion.
Tout cela nous permet raisonnablement de penser que les soleils et les planètes évoluent bien par accumulation plasmatique issue de la concentration des rayonnements cosmiques en particules et que les trous noirs détruisent bien la matière par accélération des rayonnements contenus dans leurs atomes... Si bien que les chercheurs du LHC du CERN, que j’ai contactés en vain, prennent le risque en accélérant les particules de finir par créer un trou noir qui pourra potentiellement tous nous engloutir, surtout si nous les laissons encore comme ils le souhaitent fabriquer la prochaine génération d’accélérateur... qui ne servent pourtant qu’à libérer des rayonnements prisonniers !

Alors, dites-moi si je suis FOU et si les idées que je défends sont folles !
Ou s’il n’est pas encore bien plus FOU que personne ne réagisse aux articles que j’ai publiés depuis trois ans sur les réseaux sociaux et qu’aucun des nombreux scientifiques que j’ai contactés n’ait eu la décence de me répondre ?
Le pire c’est que cette théorie est un vrai S.O.S. pour notre planète, puisque son évolution ne nous promet pas une augmentation de quelques degrés de plus, mais entre 400 et 500 degrés de température moyenne à court terme, car ce dérèglement climatique doit inéluctablement nous emmener vers une catastrophe de type vénusienne et que notre climat sera inévitablement le même que celui de Venus dans peu de temps si l’on ne met pas en œuvre en urgence les solutions que je détaille dans mes articles et dans mon livre L’Effet Miroir, Une Brève Histoire Du Tout...
Philosophiquement, dyslexiquement et désespérément vôtre.
Ezel

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