[News] ⚫ Ces trous noirs interagissent avec la lumière fossile du Big Bang
Modérateur : Modérateurs
-
- Site Admin
- Messages : 34344
- Inscription : 02/06/2004 - 18:58:53
- Activité : Ingénieur
- Localisation : 78
[News] ⚫ Ces trous noirs interagissent avec la lumière fossile du Big Bang
Des jets de rayons X d'une puissance exceptionnelle ont été détectés émanant de deux trous noirs supermassifs. Ces structures cosmiques remontent à une époque où l'Univers était encore jeune.
Ces découvertes, réalisées grâce aux observations du télescope spatial Chandra et du réseau de radiotélescopes VLA, révèlent des jets s'étendant sur près de 300 000 années-lumière. Ils proviennent de quasars situés à plus de 11 milliards d'années-lumière de la Terre, témoignant...
Re: [News] ⚫ Ces trous noirs interagissent avec la lumière fossile du Big Bang
- Les jets et la diffusion Compton inverse : un transfert vibratoire ?
Dans l’article, les jets de trous noirs interagissent avec le fond diffus cosmologique (CMB) via un processus bien connu : la diffusion Compton inverse, où des électrons ultra-énergétiques transfèrent leur énergie à des photons du CMB, les convertissant en rayons X.
Dans le cadre de l’hypothèse BR :
Ce transfert d’énergie peut être relu comme un réajustement vibratoire entre deux entités plongées dans des zones de ρg différentes :
Les électrons (fortement localisés dans une bulle de faible ρg, donc très "vibrants") et les photons du CMB (produits d’un état très dense du vide, donc moins "vibrants").
La montée en fréquence (de micro-ondes à rayons X) peut être interprétée comme une élévation de l’accord vibratoire sous l’influence du champ gravitationnel local modifié par les jets.
- L’Univers jeune, plus dense = ρg élevé
L’article indique que le fond diffus était plus dense dans l’Univers jeune, ce qui amplifiait les interactions.
Cela s’intègre parfaitement à l’hypothèse BR :
Un ρg élevé implique une fréquence de base plus faible (ηR(ρg) décroît avec ρg).
Donc, un électron très vibrant plongé dans un fond à basse fréquence (CMB dense) provoque une cassure d’accord vibratoire qui peut s’interpréter comme une émission de rayons X.
En résumé : ce que l’on appelle « énergie transférée » pourrait être vu comme un rééquilibrage vibratoire dicté par ηR(ρg), avec émission de photons plus "accordés" au nouveau régime.
- Rôle des trous noirs : régulateurs vibratoires ?
Les trous noirs supermassifs émettant ces jets jouent un rôle de régulation galactique, inhibant ou stimulant la formation stellaire.
Dans l’hypothèse BR :
Les trous noirs peuvent être vus comme des puits de condensation gravitationnelle, avec un ρg extrêmement élevé en leur centre.
Lorsqu’ils émettent des jets, ils modifient localement le champ gravitationnel du vide, donc le cadre d’accord vibratoire des régions environnantes.
Cela peut expliquer pourquoi :
Dans certaines zones, la formation stellaire est stoppée (désaccord vibratoire, incohérence de phase).
Dans d’autres, elle est déclenchée (réalignement cohérent du vide, impulsion d’ordre gravitationnel favorable à l’organisation).
- Ce que cela confirme pour l’hypothèse BR
L’article renforce l’hypothèse BR sur plusieurs points fondamentaux :
Le vide n’est pas passif : il interagit dynamiquement avec les particules.
Le niveau vibratoire du fond cosmique (lié à ρg) module les phénomènes physiques observables, y compris la lumière.
Les trous noirs agissent sur leur environnement à travers des modifications du champ gravitationnel du vide — une vision centrale de l’hypothèse BR.
L’observation est compatible avec l’hypothèse BR
Mais elle en offre plus encore : elle soutient l’idée que le vide structurel — à travers ρg et ηR(ρg) — est un acteur central de l’évolution cosmique, non seulement dans les lois physiques, mais aussi dans la dynamique des galaxies.
Mais qui s'intéresse à cette hypothèse ?
Dans l’article, les jets de trous noirs interagissent avec le fond diffus cosmologique (CMB) via un processus bien connu : la diffusion Compton inverse, où des électrons ultra-énergétiques transfèrent leur énergie à des photons du CMB, les convertissant en rayons X.
Dans le cadre de l’hypothèse BR :
Ce transfert d’énergie peut être relu comme un réajustement vibratoire entre deux entités plongées dans des zones de ρg différentes :
Les électrons (fortement localisés dans une bulle de faible ρg, donc très "vibrants") et les photons du CMB (produits d’un état très dense du vide, donc moins "vibrants").
La montée en fréquence (de micro-ondes à rayons X) peut être interprétée comme une élévation de l’accord vibratoire sous l’influence du champ gravitationnel local modifié par les jets.
- L’Univers jeune, plus dense = ρg élevé
L’article indique que le fond diffus était plus dense dans l’Univers jeune, ce qui amplifiait les interactions.
Cela s’intègre parfaitement à l’hypothèse BR :
Un ρg élevé implique une fréquence de base plus faible (ηR(ρg) décroît avec ρg).
Donc, un électron très vibrant plongé dans un fond à basse fréquence (CMB dense) provoque une cassure d’accord vibratoire qui peut s’interpréter comme une émission de rayons X.
En résumé : ce que l’on appelle « énergie transférée » pourrait être vu comme un rééquilibrage vibratoire dicté par ηR(ρg), avec émission de photons plus "accordés" au nouveau régime.
- Rôle des trous noirs : régulateurs vibratoires ?
Les trous noirs supermassifs émettant ces jets jouent un rôle de régulation galactique, inhibant ou stimulant la formation stellaire.
Dans l’hypothèse BR :
Les trous noirs peuvent être vus comme des puits de condensation gravitationnelle, avec un ρg extrêmement élevé en leur centre.
Lorsqu’ils émettent des jets, ils modifient localement le champ gravitationnel du vide, donc le cadre d’accord vibratoire des régions environnantes.
Cela peut expliquer pourquoi :
Dans certaines zones, la formation stellaire est stoppée (désaccord vibratoire, incohérence de phase).
Dans d’autres, elle est déclenchée (réalignement cohérent du vide, impulsion d’ordre gravitationnel favorable à l’organisation).
- Ce que cela confirme pour l’hypothèse BR
L’article renforce l’hypothèse BR sur plusieurs points fondamentaux :
Le vide n’est pas passif : il interagit dynamiquement avec les particules.
Le niveau vibratoire du fond cosmique (lié à ρg) module les phénomènes physiques observables, y compris la lumière.
Les trous noirs agissent sur leur environnement à travers des modifications du champ gravitationnel du vide — une vision centrale de l’hypothèse BR.
L’observation est compatible avec l’hypothèse BR
Mais elle en offre plus encore : elle soutient l’idée que le vide structurel — à travers ρg et ηR(ρg) — est un acteur central de l’évolution cosmique, non seulement dans les lois physiques, mais aussi dans la dynamique des galaxies.
Mais qui s'intéresse à cette hypothèse ?