Bonjour Cyrille,
Merci pour tes commentaires. Tu me disais:
<< As tu des publications dans de revues papier connues, ton travail est il validé par tes pairs? Je ne met aucunnement en cause ton honnêteté et ton intelligence, j'aimerais en savoir un peu plus , tout simplement. >>
J'ai travaillé très dure pendant 20 années dans l'entreprise privée avec différentes entreprises (SANYO, CASE, DOCKS de France, etc.) et responsabilités (Directeur de Contrôle de Qualité, Directeur d'Ingénierie de Fabrication, Directeur d'Ingénierie de Produit, Directeur Géneral, etc.). Trois ans à l'Université comme professeur de Physique, Géodésie et Physique Atomique. Et je travaille dernièrement comme professeur de Mathématiques dans un Lycé Public.
Indépendamment de ceci qui m'a donné à manger, j'ai toujours aimé la recherche. 15 années consacré à la Géophysique et 15 années à l'Unification des forces et à la matière.
Mes publications sont les suivantes :
"On the problem of the internal constitution of the Earth". Yoël Lana-Renault et Rafaël Cid Palacios. Monographie nº 4 de l'Académie de Sciences de Zaragoza (Espagne). 158 pages. Année 1991.
" Modelo de Constitución Interna de la Tierra ". Thèse doctorale C4-3/1997-98 de l'Université de Zaragoza, 146 pages, défendue devant un tribunal académique formé par les Docteurs : José A. Canas Torres, Francisco Serón Arbeloa, Xavier Lana Pons, Luis Pujades Beneit y Víctor Corchete Fernández. Ils m'ont donné la qualification maximale.
"Analytic tomography of the mantle in a spherically Earth. The technique MZY. Publié dans la revue nº 55, pages 111-127, (année 2000) de l'Académie de Sciences de Zaragoza.
"Exact zero-energy solution for a new family of anharmonic Potentials". Publié dans la revue nº 55, pages 103-109, (année 2000) de l'Académie de Sciences de Zaragoza.
"Aspin Bubbles : mechanical project for the Unification of the Forces of Nature ". Publié dans la revue On Line : APEIRON, studies in infinite nature. Vol 13, Number 3 (July 2006). 31 pages.
Toutes les publications ont été validés par des referrees ou pairs.
<< Quand tu dis que l'ether est necessaire, ca ma perturbe. Dire que quelque chose est nécessaire dépasse la démarche scientifique. Rien n'mpeche de dire que cela est nécessaire ou pas mais il faudra que a la fin ca colle. A priori cet histoire d'éther me laisse dubitatif. Si je m'attache aux théories actuelles, c'est que l'on peut les valider par l'obsevation et la creation industrielle entre autre. >>
Un bon ami, Yves Vinet, du forum
http://abcd.vosforums.com/forum6.php m'a fait une belle traduction de l'Introduction de "Aspin Bubbles". L'idée est que tu changes d'avis. La Voilà:
J'ai pris la liberté de traduire ton introduction d'Aspin bubbles que j'ai traduit par " Bulles tourbillonnantes".
Projet mécanique sur l’unification des forces de la nature.
Par Yoël Lana Renault
Ce texte décrit une théorie mécanique qui fait l’unification des forces de la matière avec une seule réaction onde particule.
La théorie est basée sur l’hypothèse que les composantes ultimes de la matière sont seulement deux sortes de particules pulsatives.
La réaction entre ces particules immergées dans un milieu semblable à un fluide, l’éther, produisent toutes les forces de la nature : Electrique, nucléaire, gravitationnel, magnétique, van der Waals, Casimir, etc.
La théorie décrit aussi la structure interne de l’atome et des particules fondamentales couramment connues. Ainsi, un nouveau concept de physique est introduit capable de s’attaquer à l’émergence de nouveaux problèmes.
Les mots clefs : Unification des forces, Interaction non linéaire.
INTRODUCTION
La théorie présentée ici est compatible avec les points de vues existants sur la nature de la matière et démontre que les propriétés essentielles d’une particule peuvent être décrites dans le cadre de la physique classique avec certaines hypothèses sur la nature de l’espace physique qui est traditionnellement appelée l’éther.
Cette théorie est une synthèse d’idées utilisées par Newton, Faraday, Maxwell et Einstein. Dans le passé, l’hypothèse d’un éther imaginé tel qu’un fluide, a été décisive pour la création de la théorie des champs électromagnétiques. L’image d’anneaux tourbillonnants a été utilisée pour construire un modèle de l’atome, quand l’existence des particules élémentaires n’était pas connue.
Dans le temps, l’utilisation du modèle tourbillonnant associé aux particules élémentaires semblait raisonnable. Cependant, la présente théorie introduit une alternative aux particules élémentaires, que j’appelle « tons », avec une rotation gauche et droite, pour définir un modèle de particules et d’anti-particules.
L’interaction entre ces « tons » est utilisée pour représenter la charge électrique des particules, le signe de la charge étant défini par l’accélération interne du mouvement des « tons ».
Les équations de Maxwell sont utilisées ici comme base pour la description cinématique de l’éther comme la dynamique de l’éther. Les calculs démontrent que la masse Newtonienne d’une particule dépend sur l’asymétrie dans la grandeur de ses tons. L’éther est considéré ici, comme ayant un comportement inertiel non linéaire.
Historiquement, il y a un désaccord sur l’interaction physique entre les particules élémentaires. Pourtant, la réponse semble simple quand on observe une collision entre deux corps tangibles. Ils réagissent entre eux parce qu’ils se touchent. La vérité est que les atomes dont est constitué la matière ne se touchent pas, parce que ce phénomène échappe à nos observations et à nos sens. Au début de l’histoire de la physique, le besoin pour une hypothèse dans le champ d’observation de l’interaction des atomes entre eux n’était pas nécessaire.
Quand notre attention a été concentrée sur le phénomène de l’interaction des atomes dans la matière sans possibilité de l’observer visuellement, il a été nécessaire d’assumer qu’il y avait un mécanisme caché à nos sens, sur l’interaction spatiale des atomes de la matière ou simplement accepter que ce phénomène agissait à distance. La quantification de ces forces était tout ce que nous devions connaître. En un certain sens, cela devenait un concept philosophique plutôt que physique. Historiquement, ce concept de forces agissant à distance a été accepté d’emblé, parce que les résultats des calculs étaient cohérents avec la réalité observable.
Il y a aussi une tradition pour essayer de comprendre plus profondément les phénomènes observables, qui permet de théoriser sur le processus physique de la matière. L’omniprésence de l’éther laissait croire qu’il était un milieu propice pour l’interaction physique. Cette approche a été utilisée par Michael Faraday pour expliquer l’électrodynamique en démontrant à des gens très pragmatiques, qu’un savoir réel peut être acquis par des hypothèses bien étayer sur des phénomènes inobservables.
Un modèle satisfaisant de l’éther doit être inventé. Pour expliquer différents phénomènes, différents modèles sont utilisés : les fluides, les solides, les gaz… En comparaison, l’éther ne semble pas aussi attirant, pour être utilisé dans une théorie consistante. Mais c’est uniquement dû au fait, que nous considérons l’éther dans un cadre de substance que nous connaissons. Pour développer une théorie de l’éther, on doit être libre d’imaginer un milieu dont les propriétés ne correspondent en aucun point à celles connues de la mécanique classique.
Notre but est de comprendre la nature de la matière et des champs de forces qui les interpellent, même si nous devons attribuer des propriétés peu communes à l’espace ou à la substance emplissant l’espace. Le but ultime de cet exposé est réduire toutes les interactions physiques en des interactions purement mécaniques.
À la fin du 19 ième siècle, il y avait une autre interprétation du concept de l’éther, qui disait que tous ce que nous observions dans le ciel pouvaient interagir entre elles grâce à l’éther, et étaient aussi l’éther. Cette interprétation était la base de la représentation de William Thompson sur l’idée que (lord Kelvein) entretenait sur les atomes comme étant un anneau tourbillonnant. Cette idée a été plus tard développée par J.J Thomson. Sous cette vision, les corps physiques sont une sorte de pagaille dans la substance qui emplie l’espace.
En 1887, après l’expérience de Michelson et Morley, le concept de l’éther comme milieu à été rapidement abandonnée. L’ironie de cette expérience, n’est pas qu’elle a sonné le glas de l’hypothèse de l’éther mais qu’elle n’a pas réellement endommagée l’hypothèse, alors universellement acceptée de l’éther.
Ce document décrit une seule interaction spécifique d’une onde-particule, capable de reproduire toutes les forces de la Nature. Cette interaction guide un nouveau concept de l’atome et mène à d’autres développements ultérieurs. Comme le but visé de ce document est de répandre les idées admises, dans une théorie plus large et plus générale. Strictement des concepts et des conséquences fondamentales sans mathématiques enchevêtrées, sont ici présentés
Depuis la naissance de la physique fondamentale, l’origine de l’électricité, la gravité et les forces nucléaires, ont croupis dans un discours vide de sens conceptuel pour les esprits scientifiques. Les phénomènes reliés aux forces ont étés mis de coté : Seulement le développement des mathématiques ont atteint un certain prestige et une fascination, avant même que ce formalisme soit vérifier par des expérimentations en laboratoire. En conclusion, des théories embrouillées se sont singularisées par l’apport des théories sur la mécanique quantique et la relativité générale, pour expliquer les phénomènes observés à différentes échelles du même univers.
La solution proposée par ce document est la conclusion d’une recherche de dix ans, sur la réforme des théories physiques capables d’expliquer le tandem concept et développement technologiques.
Amicalement, Yoël