Réchauffement global dans un climat d'ignorance
Nous vivons avec la fable du Système Solaire mécanique de Newton... Aujourd'hui, la science assume inconsciemment les responsabilités incombant à la religion... donnant confiance en un univers incertain.
« Quant au contrôle de la nature promis, c'est la déroute devant son déchaînement. » -- Jacques Barzun, Science : The glorious entertainment
« Maintenant nous en venons à une question que tout le monde, scientifique comme non scientifique, doit avoir posée à un moment donné. Quelle est la place de l'homme dans l'Univers ? » -- Fred Hoyle, The nature of the Universe
Le réchauffement global est considéré comme un fait. Pourtant, la vérité gênante est qu'il n'est pas dû aux humains. Al Gore a donné de piètres conseils. Tout comme la théorie de l'évolution de Darwin et le Big Bang de la cosmologie, le réchauffement global par émissions de gaz à effet de serre a subi ce curieux processus social par lequel une théorie scientifique est promulguée en mythe profane. Alors qu'en fait, la science est dans l'ignorance de la source de chaleur : le Soleil.
La vérité vraiment gênante est que nous ne pouvons contrôler la nature. Mais nous pouvons commencer à apprendre notre vrai place dans l'univers et décider comment faire face rationnellement au changement inévitable. La réduction de la pollution atmosphérique est manifestement un excellent but en soi. Mais nous ne devons pas être induits en erreur en pensant affecter le climat de manière significative. Le lien entre le réchauffement et la pollution atmosphérique est plus prétendu que démontré, alors que son lien avec les variations solaires a été démontré.
Le Soleil subit une poussée d'énergie
Depuis la fin des années 70, trois satellites d'observation du Soleil ont enregistré d'étonnants changements de chaleur, rayonnement ultraviolet, et vent solaire. Le Dr. Sam Solanski, directeur du renommé Institut Max Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, a dit, « Le Soleil a été plus intense au cours des 60 dernières années et il peut maintenant être en train d'affecter les températures globales. » « Le Soleil est dans un état altéré. Il est plus lumineux qu'il était.... » Le Dr. Solanski a admis ne pas savoir ce qui rendait le Soleil plus lumineux. L'une des principaux expert, Eugene N. Parker, ajoute, « ... nous ne comprenons vraiment pas correctement la physique de la luminosité variable du Soleil. » Cela souligne le problème fondamental avec le verdict du réchauffement global des experts en matière de climat. On se base sur la profonde ignorance de la manière dont le Soleil est réellement « stimulé » et de quelles formes d'énergie alimentent le climat d'une planète. Les astrophysiciens sont blâmables pour cela.
Bien que les archives historiques climatiques recoupent les variations du rendement solaire, celles-ci sont considérées trop petite pour avoir beaucoup d'effet sur le réchauffement global. Comme John Gribbin l'a écrit dans New Scientist, « La preuve statistique relie les changements du climat aux modifications de l'activité solaire. Mais personne n'a jamais proposé d'explication convainquante de la façon dont opère le lien. » « L'énigme est que l'éclat global du Soleil varie de moins de 0,1 pour cent durant le cycle des 11 ans, trop peu pour expliquer les changements climatiques observés. » Lentement, le consensus a dévié politiquement en faveur de cette opinion.
Un récent rapport concède qu'il pourrait y avoir des effets plus influents sur le climat, comme les rayonnements cosmiques provoquant la couverture nuageuse, ou les radiations ultraviolettes affectant la couche d'ozone. Ces facteurs changent plus nettement [que les variations solaires] durant le cycle solaire. Mais ceux-ci ne seraient-ils que plus d'effets secondaires de la variabilité solaire plutôt que la vraie cause ?
Quant au réchauffement causé par l'humanité produisant les soi-disant « gaz à effet de serre, » le professeur Nils-Axel Mörner a écrit dans une thèse sur le réchauffement global pour le parlement britannique, « L'idée conductrice est qu'il y a un rapport linéaire entre l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère et la température globale. Pourtant, le fait est que la température est constamment montée et descendue. De 1850 à 1970, nous voyons une relation presque linéaire à la variabilité solaire ; pas au CO2. Pendant les 30 dernières années, nos jeux de données ont été si corrompus par les interprétations personnelles et les choix personnels qu'il est presque impossible de faire le tri pour recenser dans le désordre les données fiables et douteuses. »

Le croque-mitaine de l'effet de serre global est sous-jacent à la croyance que quelque chose a mal tourné sur notre planète sœur, Vénus, et « qu'un emballement de l'effet de serre » s'y est produit, la transformant en four assez chaud pour fondre quelques métaux. Il y a un autre mythe profane de notre âge. Dans
Vénus n'est pas notre jumelle !, j'ai écrit, « La comparaison avec la Terre ne mènera nulle part. Rien ' n'a mal tourné ' sur Vénus ou ' ne s'est bien goupillé ' sur Terre. Les deux planètes n'ont pas le même âge et elles n'ont qu'une parenté éloignée. Il n'y a pas de message pour nous dans l'étude de Vénus pour une évolution du climat de la Terre imaginée dans une ' serre chaude '. »
« C'est ma croyance ferme que les sept dernières décennies du vingtième siècle seront caractérisées dans l'histoire comme les âges sombres de la physique théorique. » -- Carver Mead, Collective Electrodynamics
Qu'avons-nous besoin de savoir pour qu'un jugement compétent puisse sortir du débat sur le réchauffement global ? Quels sont les mythes de la science qui nous entravent ?Il est crucial que nous sachions ce qui se passe réellement dans l'espace -- et en particulier comment marche vraiment le Soleil. Par hasard historique, la théorie de ce qui fait briller le Soleil fut développée à l'époque de la découverte de l'énergie nucléaire, alors que la physique des plasmas était dans son enfance. Le Soleil, au lieu d'être un feu de camp indigène dans le ciel avec du combustible limité, est devenu « un feu de camp thermonucléaire » avec du combustible quasiment sans limite. Pas un si grand progrès sur la pensée de l'Âge de Pierre !
Ça semble très satisfaisant et sécurisant. Nous n'avons pas besoin de mettre des pièces de monnaie dans le compteur pour le garder ardent. Cependant, les réactions pensées générer la chaleur dans le cœur du Soleil sont très susceptibles aux variations de températures, et les mécanismes pour les contrôler sont difficiles à imaginer. En raison de cela, la régularité du rendement solaire est un casse-tête. D'ailleurs, si les réactions thermonucléaires généraient toute l'énergie du Soleil, un certain nombre de particules subatomiques appelées neutrinos électroniques seraient produites. Et en critique : le nombre de neutrinos électroniques venant du Soleil est terriblement insuffisant.
Les astronomes ont demandé aux physiciens des particules de les aider à rafistoler les choses. Les physiciens des particules ont répondu par un subterfuge ingénieux, disant que tout est bien si vous additionnez aux différents neutrinos des «
saveurs » et proposez que certains étaient des neutrinos électroniques ayant changé de saveurs en cours de route vers les détecteurs sur la Terre. Les astrophysiciens ont saisi cette planche de salut comme des hommes et des femmes se noyant. Du jour au lendemain, c'est devenu la « preuve » de leur modèle du « feu de camp thermonucléaire ». Malheureusement, il ne peut être prouvé sans détecteur de neutrinos près du Soleil. Le
rasoir d'Occam recommande que nous prenions les données sur les neutrinos à leur valeur nominale et réexaminions les hypothèses à propos du Soleil.
Dans l'intervalle, les astronomes ont découvert que le Soleil est un corps magnétique étonnamment complexe -- alors que des feux de camp ne se remarquent pas pour leur magnétisme. Alors, d'héroïques tentatives furent faites pour créer une « dynamo » à l'intérieur du Soleil pour ça corresponde avec son étrange comportement magnétique. Évidemment, toutes les tentatives ont échoué. Il est tout simplement supposé qu'il devait y avoir une dynamo cachée parce que les champs magnétiques sont là et que personne ne pense qu'ils pourraient provenir de l'extérieur du Soleil. Les champs magnétiques mystérieusement générés sont invoqués pour expliquer la plupart des observations embarrassantes au sujet du Soleil. Ils s'accordent à la maxime des astrophysiciens, « Quand nous ne comprenons pas quelque chose, nous en rendons responsable le magnétisme. » Ils démontrent alors leur ignorance du magnétisme en décrivant les phénomènes de décharges électriques en termes de « cassement » et de « raccordement » des lignes de champ imaginaires. Le père de la physique des plasmas, Hannes Alfvén, a écrit concernant le mauvais traitement du magnétisme par les astrophysiciens, « La physique magnétosphérique et la physique du vent solaire sont sans aucun doute aujourd'hui dans un état chaotique, et une importante raison en est qu'une partie des écrits publiés sont de la science et de la pseudo-science, peut-être même avec une majorité dans le dernier groupe. » L'idée d'un Soleil isolé, autosuffisant, se faisant hara-kiri, magnétique, est la principale bizarrerie et l'écueil d'un Soleil feu de camp.
Mais le besoin de réfutation de cette théorie nous frappe de front. Rien dans la perception du Soleil ne se conforme au modèle du « feu de camp » !Mais il y a une manière de comprendre le Soleil, si seulement nous pouvons sortir de l'hypothèse astrophysique traditionnelle que seule la pesanteur opère dans l'espace. La génération et la transmission de l'énergie pour les lumières électriques impliquent le magnétisme. Et à la différence d'un feu de camp, le Soleil manifeste une profusion de phénomènes magnétiques. Ces phénomènes suggèrent que le Soleil est un corps électrique. Le champ magnétique du vent solaire prouve que les courants électriques circulent dans le Système Solaire. La température d'un million de degrés de la couronne solaire indique une source d'énergie externe au Soleil.

Le plumet polaire et le tore équatorial de plasma prouvent que tout le Soleil, comme toutes les étoiles, sont le centre des courants galactiques « pincés » naturellement en forme de sablier avec une nappe de courant équatorial. [Les deux vues ci-dessus du Soleil sont dans l'infrarouge ; à gauche, une vue latérale montre en haut et en bas les protubérances des aigrettes électriques aux pôles et le tore équatorial devant ; à droite, le Soleil vu d'au-dessus de l'un de ses pôles montre nettement le tore équatorial. NDT.]

Légende : Aigrettes polaires. Noter qu'elles ne sont pas radiales ! Le corps du Soleil forme « l'étranglement » d'un profil « pincé » de sablier

La forme de sablier est visible dans beaucoup de belles nébuleuses planétaires.
Comment les nébuleuses planétaires acquièrent leurs formes complexes et symétriques est une énigme de longue date, puisque les étoiles et le gaz ou les nuages de poussière les entourant sont la plupart du temps sphériques. La Nébuleuse du Sablier [image ci-dessus], est une jeune nébuleuse planétaire située à environ 8.000 années-lumières. Comme [le Télescope Spatial] Hubble l'a révélé, elle ne remplit pas quelques attentes théoriques cruciales. Mais exactement comme un tube au néon est uniformément allumé d'une extrémité à l'autre, les restes de la nébuleuse se sont allumés de façon égale à grandes distances de l'étoile centrale. (Crédit : R. Sahai & J. Trauger (JPL), the WFPC2 Science Team & NASA.)
Les étoiles sont des éléments dans les circuits galactiques. Elles suivent les lignes électriques comme des réverbères le long des bras de Voie Lactée. Le cycle magnétique et les tache solaires sont dus à l'alimentation quasi périodique en courant électrique continu entrant dans le Soleil. Cette variabilité de l'énergie arrivant dans le Soleil peut être distinctement vue dans les rayons X et la lumière UV. Voir «
Le Soleil - notre étoile variable. »

Ci-dessus, un montage d'images des rayons X du Soleil capturées à 4 mois d'intervalle entre 1991 et 1995 par le satellite Yohkoh. La commutation cyclique du champ magnétique solaire est induite par la variation dans l'arrivée du courant continu galactique.
Il a été démontré que la constance de la chaleur et de lumière dégagées par le Soleil est due à une
action de transistor naturelle des gaines de plasma formant la photosphère et la chromosphère du Soleil. Une très petite tension entre le corps du Soleil et le dessous de la photosphère commande l'énorme courant qui allume le Soleil. La nature, comme nous nous y attendions, a trouvé une méthode admirablement simple pour stabiliser le flux lumineux de la principale séquence des étoiles.
Une étoile est le centre d'une « décharge de rayonnement » galactique. L'énergie électrique qui court à travers le Système Solaire et actionne le Soleil est une forme subtile d'énergie que toutes les planètes interceptent à un certain degré. L'orbite des planètes passant dans cette décharge, elles interceptent une partie de l'énergie électrique. Les planètes sont des « électrodes » mineures dans une enveloppe de décharge stellaire. L'énergie électrique est fournie à l'étoile et aux planètes comme à un simple moteur de Faraday.

L'effet du moteur de Faraday sur une planète (ou étoile).
La puissance électromotrice est déposée la plupart du temps dans l'atmosphère supérieure des latitudes moyennes aux basses, provoquant les vents supérieurs rapides de l'atmosphère et même la « super rotation. » C'est-à-dire, le vent file autour de la planète plus vire que celle-ci tourne. C'est un phénomène observé sur Vénus et Titan qui reste inexpliqué par la physique atmosphérique, qui compte sur le chauffage solaire. C'est la cause des vents extraordinaires sur les planètes gazeuses géantes dans le Système Solaire externe, où le chauffage solaire est faible. Ils ont des implications sur les
jets streams aussi bien que sur les tendances climatiques de la Terre. Notamment, les courants de flux polaires prennent la forme de filaments jumeaux de courants de Birkeland, qui provoquent les «
doubles vortex » énigmatiques vus aux pôles de Vénus. Il est manifeste que l'énergie électrique spatiale ne fait pas qu'allumer les aurores [boréales ou australes]. Il a une influence profonde sur les vents supérieurs de l'atmosphère et les
orages. Un expert en dynamique atmosphérique planétaire, F.W. Taylor, a admis, « L'absence de théorie viable pouvant être contrôlée, ou dans ce cas-ci (vortex polaire de Vénus) aucune théorie du tout, nous laisse désagréablement dans le doute sur notre capacité élémentaire à comprendre même les caractéristiques grossières de la circulation atmosphérique planétaire. »
En attendant, l'énergie électrique ne figure nulle part dans aucun modèle climatique.

Autour de 1900, le célèbre scientifique norvégien, Kristian Birkeland, a réalisé des expériences (image gauche) avec une «
terrella » électromagnétique (une sphère en métal magnétisé) comme l'une des électrodes d'un dispositif de décharges [électriques] dans les gaz. Il a créé une aurore artificielle autour des pôles de la terrella, reproduisant les effets du vent solaire sur la Terre magnétique. Il a aussi reproduit d'autres phénomènes cosmiques, comme la couronne du Soleil, les taches solaires, et les anneaux de Saturne, en utilisant d'autres petites sphères en métal. Notez que ces expériences utilisent un courant électrique externe ! L'ère donne une mesure de la distance que nous devons refaire en arrière pour remettre l'astrophysique en accord avec la réalité, hors de l'actuelle impasse.
Le modèle électrique, du Soleil et de son environnement, répond à la question de la manière dont le cycle solaire peut avoir un effet plus grand sur la météo que ce à quoi on peut s'attendre du seul réchauffement du Soleil. Puisque les planètes sont des électrodes mineures dans le circuit du Soleil, elles sont sujettes à la pleine variation de l'arrivée électrique galactique. Ça explique le réchauffement simultané d'autres planètes et les changements dans leur atmosphère. Même l'éloigné Pluton a dérouté les astronomes en continuant à se réchauffer dix-huit ans après que son orbite ait commencé à l'entraîner plus loin du Soleil. L'énergie électrique peut constituer une source d'énergie majeure pour les planètes extérieures. Et, bien entendu,
sur Mars il n'y a ni voiture ni vache lâchant des pets (sic) pour expliquer son réchauffement.
Et l'oscillation australe de El Niño ?
L'oscillation australe d'El Niño (
ENSO) est un jeu d'interaction entre les parties d'un système global simple : Les fluctuations climatiques associées à l'océan et à l'atmosphère sont sensées provenir de la circulation océanique et atmosphérique. ENSO est la source connue la plus frappante de la variabilité entre années du temps et du climat autour du monde (cycle d'environ 3 à 8 ans), bien que toutes les régions ne soient pas affectés. ENSO marque son empreinte dans les océans Pacifiques, Atlantiques et Indiens. Les scientifiques ne peuvent pas expliquer ces caractéristiques globales du temps et du climat.

À l'état normal, dans les conditions sans EL Niño (caisson supérieur du diagramme), les échanges de vents soufflent vers l'ouest dans le Pacifique tropical. Ces vents amoncellent l'eau chaude de surface dans l'ouest du Pacifique, de sorte que la surface de la mer est environ un demi mètre plus haute en Indonésie qu'en Equateur.
Pendant
EL Niño (caisson inférieur du diagramme), les échanges de vents se calment dans l'ouest et au centre du Pacifique menant une dépression de la
thermocline dans l'est du Pacifique, et une élévation de la thermocline dans l'ouest. Le fléchissement des échanges de vents qui viennent de l'est pendant EL Niño est aussi évident dans cette figure. Les précipitations suivent l'eau chaude vers l'est, avec l'inondation associée au Pérou et la sécheresse en Indonésie et en Australie. Le déplacement vers l'est de la source de chaleur atmosphérique au-dessus de l'eau la plus chaude a comme conséquence de grands changements dans la circulation atmosphérique globale, ce qui force des changements de temps dans des régions très éloignées du Pacifique tropical.
Qu'est-ce que le modèle électrique du lien Soleil-Terre propose pour notre pleine compréhension de ENSO ? Les climatologues basent leurs prévisions sur les Modèles de la Circulation Générale Couplée. Ce sont des modèles informatiques qui tentent d'imiter les interactions entre l'atmosphère et l'océan avec l'énergie venant du Soleil. Les résultats contradictoires ont incité le Président de la Conférence sur le Climat Mondial en 2003, le Pr. Yuri Izrael, à demander, « Que se passe-t-il sur cette planète -- réchauffement ou refroidissement ? »
Maintenant quelques géologues commencent à jeter un plus large coup d'œil aux pilotes du climat, à partir de la perspective des quatre éléments d'Aristote : la terre, l'eau, air, et le feu. En d'autres termes, il semble que ce qui se passe à l'intérieur de la Terre affecte également le climat.
La possibilité que quelque chose d'interne à la Terre affecte le climat a d'abord été soulevée par Daniel Walker en 1988 puis à nouveau en 1995 et 1999. Il a signalé que l'augmentation de l'activité tectonique (séismicité, remontée de magma et évacuation hydrothermale) le long des parties de l'East Pacific Rise (EPR), précède (de jusqu'à six mois) chaque événement d'EL Niño étudié depuis 1964. L'association était si significative que Walker a appelé l'augmentation de la séismicité le long de l'EPR, « Facteurs prédictifs d'EL Niño. »
Le géophysicien Bruce Leybourne a trouvé un lien entre les oscillations globales du climat et de petits changements dans la pesanteur de la Terre, qui altèrent le tracé des orages et affecte le niveau de la mer. « L'évidence jusqu'ici disponible indique que des événements tectoniques précèdent les changements océaniques et atmosphériques. L'évidence vient d'études de mesures de la pesanteur... Ces études indiquent des corrélations ou des ' téléconnextions ' entre les changement de pression barométrique et la force de gravité... Cela établit un lien marqué entre les fluctuations gravifiques et la dynamique océan-atmosphère. »
Il serait préférable de trouver une cause qui ne se fonde pas sur la tectonique -- la science de l'hypothétique activité dans la Terre. J'ai déjà établi la
relation entre les tremblements de terre et l'activité solaire. Le lien manquant entre taches solaires et tremblements de terre est le fait que les décharges électriques sur le Soleil qui causent les taches solaires peuvent aussi affecter l'ionosphère de la Terre. L'ionosphère forme l'une des plaques d'un condensateur, alors que la Terre forme l'autre. Les changements de tension sur une plaque induiront la circulation d'une charge dans l'autre. Mais à la différence d'un condensateur, la Terre a aussi sa charge distribuée dans la roche sous la surface. Et si la roche à fleur de terre est devenue semi-conductrice à cause de contraintes, c'est l'occasion pour qu'un court-circuit électrique soudain se produise à travers cette roche.
Nous devrions nous attendre à ce que des processus similaires se produisent sous terre comme ils sont créés dans les éclairs de foudre atmosphérique. ... dans un grand tremblement de terre, le circuit entier peut être impliqué, depuis sous la Terre, à travers l'atmosphère, jusqu'à l'ionosphère. Cela expliquerait l'énorme perturbation de l'ionosphère sur une grande région accompagnant un tremblement de terre important. La foudre souterraine cause des tremblements de terre ! Les vagues sismiques sont le grondement de tonnerre souterrain. Le ' temps ' au-dessous de la terre est lié au temps au-dessus. Alors quel est le lien avec les fluctuations de pesanteur ?
Ceci nous amène à l'un des mythes les plus intransigeants du 20ème siècle : qu'Einstein nous a donné uns vraie compréhension de la pesanteur.
Il ne l'a pas fait. Il a été le physicien le plus important pour entremêler physique et métaphysique. Sa description imaginaire de la pesanteur en termes de matière courbant l'espace, dans une certaine dimension supplémentaire non-physique, n'explique rien. Comment pouvez-vous courber rien ?
Newton avait prouvé que la pesanteur est directement liée à la masse. Mais quelles causes importent pour produire la masse demeurent un mystère fondamental. En outre, la pesanteur de newton opère instantanément (le temps n'apparaît pas dans son équation de la gravité). Pourtant Einstein nous ferait croire que la Terre n'a aucune information sur où le Soleil a lieu jusqu'à 8 minutes ensuite. Il nous a légué un univers discontinu et incohérent qui ne peut tout simplement pas marcher ni engendrer la vie. C'est pourquoi la cosmologie se lit comme de la science-fiction. Cette ignorance de la vraie nature de la pesanteur peut avoir de l'importance par rapport au climat.
Einstein a publié sa théorie de la gravitation, ou théorie générale de la relativité, en 1916. Et ainsi un nouveau paradigme, ou ensemble de croyances, a été établi. Ce n'est pas avant 1930 que Fritz London a expliqué la faible, force attractive dipolaire de la liaison électrique (nommée « force de dispersion de Van der Waals » ou « force de London ») qui fait condenser les molécules de gaz et former des liquides et de solides. Comme la pesanteur, la force de London est toujours attractive et elle opère sur les molécules électriquement neutres. Et cette propriété précise a été la plus bizarre distinction entre la pesanteur et les puissantes forces électromagnétiques, qui peuvent repousser comme attirer.
Ainsi il apparaît que l'indication sur la véritable nature de la pesanteur a été accessible aux chimistes -- qui ne sont pas intéressés par elle -- et inaccessible aux physiciens -- qui ne sont pas intéressés par la chimie physique (et observent le monde à travers les lunettes déformantes d'Einstein). Regardez n'importe quel manuel général moyen de physique et vous ne trouverez aucune référence à Van der Waals ou aux forces de London. Quelle histoire différente aurait pu être racontée si la perspicacité de London était arrivée quelques décennies plus tôt ? À ce jour, la physique aurait pu progresser d'un siècle au lieu d'être enlisée dans un bourbier métaphysique.
La force de London provient des fluctuations des dipöles électriques provoquées par de légères distorsions électriquement neutres d'atomes et de molécules. De minuscules dipöles électriques surgissent parce que les électrons orbitaux, à aucun instant donné, ne peuvent protéger la charge positive du noyau de manière égale dans toutes les directions. Le résultat, dans un groupe d'atomes ou de molécules semblables est que les dipöles électriques tendent à résonner et à s'aligner de sorte qu'ils s'attirent. Une excellente leçon illustrée sur la force de London, ou force de dispersion de Van der Waals
peut être trouvée ici..
Manifestement, la pesanteur est distincte de la force de London. Elle est beaucoup, beaucoup plus faible. Ce devrait être un indice. Et si nous considérions que la pesanteur est due à un effet électrostatique semblable de distorsion dans les constituants bien plus petits de chaque atome, dans les électrons, les protons et les neutrons ? Naturellement, c'est hérésie parce que l'électron est censé être une particule fondamentale, sans particules constituantes plus petites. Cependant, il y a des expériences qui remettent en question cette croyance.
Si la pesanteur est une force dipolaire électrique, nous pouvons comprendre pourquoi la soi-disant « constante d'universelle de gravitation » est aussi diablement inconstante. Il n'y a aucune raison de supposer qu'elle est universelle. Les changements dans la distribution des charges [électriques] dans la terre contribuent le plus à la variabilité de la pesanteur. Et les changements brusques dans la distribution des charges dans la Terre provoquent les tremblements de terre et les événements thermiques et volcaniques. Ils se produiront le plus souvent dans les régions ayant des propriétés électriques particulières. Le fil commun peut maintenant être vu. Le rendement du rayonnement du Soleil demeure assez régulier tandis que le courant électrique dans son circuit galactique a un « bourdonnement » superposé cyclique. La Terre reçoit le bourdonnement plus la charge statique des éruptions de la chromosphère, qui ajoute simplement du « bruit » à l'activité de notre climat moyen et des tremblement de terre.

Un dernier mot sur notre place dans l'univers. Nous vivons avec la fable du Système Solaire mécanique de Newton et de la constance du Soleil depuis des éternités. Les scientifiques établissent le graphique du climat passé et assignent allègrement des périodicités aux divers épisodes de réchauffement et de refroidissement s'étendant sur des millions d'années dans le passé. Tous les nombres et les diagrammes donnent l'impression de contrôler les faits. Mais ce n'est qu'un rêve. Ici, la science assume inconsciemment les responsabilités incombant à la religion -- donnant confiance en un univers incertain.
D'où vient cette grande poussée pour une conviction ? Une peur est sous-jacente au débat sur le réchauffement global -- une irrationnelle peur subconsciente de la FIN DU MONDE. Il y a quelques décennies, les experts en climat prévenaient que nous faisions face à une autre âge glaciaire. Maintenant on nous raconte que nous sommes face à une catastrophe de réchauffement global. À tout moment, il y a un chœur de scientifiques exaltant à l'unisson notre peur innée d'un impact cométaire apocalyptique. Toutes ces inquiétudes sont irrationnelles. Nous n'en avons pas d'expérience moderne.
Mais il semble y avoir une mémoire archétypale du jour du jugement dernier. Les strates fossiles en archivent plusieurs. Les mythes et les légendes antiques en décrivent un ou plusieurs à l'aube de la civilisation. Les sciences de la Terre resteront bloquées aussi longtemps que l'on ne comprendra pas que nous vivons dans un univers électrique et que le Système Solaire que nous voyons n'est pas aujourd'hui aussi vieux que la race humaine. En attendant, le comportement humain continuera à être irrationnel jusqu'à ce que nous comprenions notre véritable histoire et la placions dans un univers électrique parfois catastrophique.
Original : http://www.holoscience.com/news.php?article=8gfbewe7