Michelson-Morley, Bradley, Fizeau, Airy et "Aspin Bubbles". Conséquences.
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- Yoël Lana-Renault
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bwergl a écrit :Oswald_le_fort a écrit :gzav : je ne comprends pas ce que tu veux dire... La dualité en MQ est completement bien comprise. Ce n'est pas mysterieux. Il suffit de considerer tout les objets fondementaux comme des fonctions d'ondes, et il n'y a plus de problemes.
on en revient a l'epistémologie... comme des fonctions d'ondes... mais rien ne garantie que ce sont reellement des fonctions d'ondes.. si?
Je suis d'accord avec toi, bwergl.
Je ne sais pas pourquoi, les autres, vous êtes toujours attachés à la science établie et orthodoxe. Je crois que nous sommes ici pour chercher plus profondément l'origine des choses. Mon modèle ne critique pas ni met en question la mécanique quantique. Ses contributions ont été très bonnes et les seront encore. Mon modèle essaye seulement de chercher un pourquoi plus réaliste (plus newtonnien) de ce que nous connaissons: Qu’est-ce que c’est réellement l'électricité? Qu’est-ce que c’est réellement la gravité? Qu’est-ce que c’est réellement la lumière? Etc..
Mon modèle "Aspin bubbles" ne se conforme pas avec la science établie, seulement il cherche une étape inférieure qui explique raisonnablement notre environnement physique et doit aboutir aux théories actuelles.
Saluts, Yoël
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il a peut etre envie d'en discuter? a moins que vous soyez tous ici en attente de revelations definitives... a croire qu'il faut vous proposer un nouveau modele de rg tout cuit. dites le si vous avez pas le niveau. moi j'attend d'un forum de discussion d'avoir des discussions qui permettent de comprendre, d'ameliorer, de progresser... et pas que des reponses qu'on pourrait apparenter a du troll inutile en vue uniquement de blesser l'interlocuteur.
- Yoël Lana-Renault
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Un exemple simple d'anomalie de gravité forcé
Calculons la force de gravité existante entre 2 atomes d'Hydrogène (sphériques) et ensuite, produisions une anomalie de gravité en modifiant la taille quantique d'un électron.
Comme vous savez, au modèle "Aspin Bubbles", il existe seulement une interaction mécanique onde-particule, et à cause d'elle apparaissent toutes les forces connues.
Suite à l'hypothèse de l'interaction mécanique, le modèle obtient que la force résultante entre deux particules i et j "chargées" et séparées par une distance d est:
Fij = +- (Aspíni k e^2) / Aspínj (d^2 - Rj^2)
Celle-ci est la force que la particule i exerce sur la j . Si vous regardez bien, celle-ci est la force de Coulomb modifiée par les facteurs Aspín i et Aspín j et parce qu’au dénominateur apparaît le rayon moyen R de la particule j au carré (d^2 - Rj^2). Conceptuellement cette force est le résultat de l'autopropulsión mécanique de la particule j dans le milieu (éther) formé par les ondes anharmoniques qu'émet la particule i (voir pages 351 à 353 de mon travail).
Chaque particule a une valeur déterminée d'Aspin, qui dépend exclusivement de la masse de cette particule (voir expression 31 et 32 page 357 de mon travail)
Les facteurs Aspins modifient très légèrement (infinitésimalement) la valeur absolue de la force de Coulomb. Le rayon Rj de la particule j est très petit et il peut être considéré négligeable si la distance d est beaucoup plus grande que Rj, ça dépend de ce que nous recherchons.
La théorie démontre que l’addition de toutes les forces existantes entre deux matières neutres M et M’ est la force de la gravité, c’est à dire:
Force de gravité = Addition de toutes les Fij = -GMM’/d^2
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.
Appelons aux positons du noyau avec les lettres a et c, au negatón central du noyau avec la lettre d, et à l'électron ou negaton exterieur avec la lettre b.
Soit un autre atome d'hydrogène des mêmes caractéristiques et appelons à leurs tons respectifs avec les mêmes lettres mais majuscules, c'est-à-dire, positons A, C et negatons B, D.
Calculons maintenant l'autopropulsión de l'Hydrogène ABCD dans le milieu (éther) conformé par les ondes anharmoniques qui émettent les tons de l'Hydrogène abcd, c'est-à-dire, calculons toutes les interactions mécaniques onde-particule (ton) existantes et nous les additionnons:
Note 1: nous considérons pour toutes les interactions Fij que la distance d entre les particules i, j est un mètre, étant donné la symétrie sphérique supposée, et nous dédaignerons le rayon moyen Rj du au fait que celui-ci est très petit face à la distance d.
Note 2: les résultats en Newtons.
Note 3: les nombres en caractère gras (noir) des forces sont ceux qui varient.
FaA = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
Et il se lit : force répulsive que le positon a exerce sur le positon A (autopropulsion du positon A)
FaB = -2.3070795555168038495144216299828635754968094886997116976103920990·10^-28
Et il se lit: force d’attraction (signe négatif) que le positon a exerce sur le negaton B (autopropulsion du negaton B)
Les résultats des autres interactions ou des forces Faj sont:
FaC = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FaD = -2.3070795555168038502050512304821977560447269174181640785654349108·10^-28
Maintenant, avec l’électron b:
FbA = -2.3070795555168038481286414990287284247112876450505241464341395963·10^-28
FbB = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FbC = -2.3070795555168038481286414990287284247112876450505241464341395963·10^-28
FbD = 2.3070795555168038495121611650051301803404991851792996380525286514·10^-28
Maintenant, avec le positon c:
FcA = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FcB = -2.3070795555168038495144216299828635754968094886997116976103920990·10^-28
FcC = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FcD = -2.3070795555168038502050512304821977560447269174181640785654349108·10^-28
Et finalement, les interactions avec le positon d:
FdA = -2.3070795555168038474380118985293942447849482715306951014301206447·10^-28
FdB = 2.3070795555168038481309019640064618198662423829410182122178523772·10^-28
FdC = -2.3070795555168038474380118985293942447849482715306951014301206447·10^-28
FdD = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
Si nous additionnons ces 16 interactions, nous obtenons la force de la gravité
Fgravité = FaA + FaB + FaC + FaD + FbA + FbB + FbC + FbD + FcA + FcB +FcC + FcD + FdA + FdB + FdC + FdD =
-1.8688030772778721978097934731000000………..·10^-64
qui est égal précisement au résultat classique:
Fgravité = -G·(ma+mb+mc+md)·(mA+mB+mC+mD/d^2 = -G·(masse hydrogène)^2/d^2 avec d = 1 mètre.
Si nous faisons maintenant les mêmes calculs sans dédaigner le terme Rj^2 face à d^2, nous obtenons que:
Fgravité(Rj) = -1.86880431580332117114930481409988045922054·10^-64
qui en résulte être un peu plus grand que ce qui est la gravité classique. Sa différence en Newtons est 1.2385254489.....·10^-70 qui représente une erreur relative de 6.627... ·10^-7, ou en d'autres termes, la force résultante est 1.000000662737 fois la force de la gravité classique.
À mon travail, les particules (les tons) sont quantifiées, c’est à dire, son rayon moyen dépend d'un nombre entier n. Son état de base est n = 1. Tous les résultats précédents je les ai calculés en supposant que toutes les particules étaient en leur état de base. Et la question qui je me suis fait ç’a été : Que se passe-t-il à la force résultante (gravité) si son état quantique n varie? Voyons les résultats:
Avant tout, pour ceux qu’ils ne peuvent pas accéder à mon travail (formule 30 pág 357), j'ai défini que le rayon moyen d'un ton i est :
Ri = 2·ni·h barre·Aspini /mi·c
où on voit clairement que le rayon moyen dépend de la valeur quantique ni, et ceci, doit affecter à la gravité car le dénominateur de l'interaction mécanique onde-particule dépend du rayon moyen Ri.
et bien, j'ai obtenu les deux suivantes conclusions:
1.- Si la n des negatons augmente (n = 2, 3, 4, ...), la force résultant de la gravité augmente légèrement. Un électron qui passe à son état quantique n = 2, implique que la force résultant de la gravité augmente autour de 3,7·10^-70 Newtons.
2.- Si la n des positons augmente (n = 2, 3, 4, ...), la force résultant de la gravité diminue très légèrement. Nous parlons de diminutions de 9,9·10^-76 N pour le saut à n = 2. Tenez compte que les positons sont 612 fois plus lourds qu'un électron, il s'ensuit que les variations de la gravité (à moins) soient plus petites.
Pour moi, cette découverte théorique d'anomalie de gravité selon le modèle "Aspin Bubbles", s'est avérée très intéressante. Mais tenez compte que c'est seulement un exemple très particulier et pour des distances de seulement 1 mètre. Pour des distances plus grandes, cette anomalie diminue, et pour des distances plus petites, l'anomalie augmente.
Autre chose, si vous vous avez rendu compte, j'ai constantement travaillé avec plus que 70 chiffres significatifs, et ceci peut seulement se travailler avec le programme MATHEMATICA. À ma web, vous avez plusieurs exercices sur ”Aspin bubbles”.
Une salutation très cordiale, Yoël
Calculons la force de gravité existante entre 2 atomes d'Hydrogène (sphériques) et ensuite, produisions une anomalie de gravité en modifiant la taille quantique d'un électron.
Comme vous savez, au modèle "Aspin Bubbles", il existe seulement une interaction mécanique onde-particule, et à cause d'elle apparaissent toutes les forces connues.
Suite à l'hypothèse de l'interaction mécanique, le modèle obtient que la force résultante entre deux particules i et j "chargées" et séparées par une distance d est:
Fij = +- (Aspíni k e^2) / Aspínj (d^2 - Rj^2)
Celle-ci est la force que la particule i exerce sur la j . Si vous regardez bien, celle-ci est la force de Coulomb modifiée par les facteurs Aspín i et Aspín j et parce qu’au dénominateur apparaît le rayon moyen R de la particule j au carré (d^2 - Rj^2). Conceptuellement cette force est le résultat de l'autopropulsión mécanique de la particule j dans le milieu (éther) formé par les ondes anharmoniques qu'émet la particule i (voir pages 351 à 353 de mon travail).
Chaque particule a une valeur déterminée d'Aspin, qui dépend exclusivement de la masse de cette particule (voir expression 31 et 32 page 357 de mon travail)
Les facteurs Aspins modifient très légèrement (infinitésimalement) la valeur absolue de la force de Coulomb. Le rayon Rj de la particule j est très petit et il peut être considéré négligeable si la distance d est beaucoup plus grande que Rj, ça dépend de ce que nous recherchons.
La théorie démontre que l’addition de toutes les forces existantes entre deux matières neutres M et M’ est la force de la gravité, c’est à dire:
Force de gravité = Addition de toutes les Fij = -GMM’/d^2
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.
Appelons aux positons du noyau avec les lettres a et c, au negatón central du noyau avec la lettre d, et à l'électron ou negaton exterieur avec la lettre b.
Soit un autre atome d'hydrogène des mêmes caractéristiques et appelons à leurs tons respectifs avec les mêmes lettres mais majuscules, c'est-à-dire, positons A, C et negatons B, D.
Calculons maintenant l'autopropulsión de l'Hydrogène ABCD dans le milieu (éther) conformé par les ondes anharmoniques qui émettent les tons de l'Hydrogène abcd, c'est-à-dire, calculons toutes les interactions mécaniques onde-particule (ton) existantes et nous les additionnons:
Note 1: nous considérons pour toutes les interactions Fij que la distance d entre les particules i, j est un mètre, étant donné la symétrie sphérique supposée, et nous dédaignerons le rayon moyen Rj du au fait que celui-ci est très petit face à la distance d.
Note 2: les résultats en Newtons.
Note 3: les nombres en caractère gras (noir) des forces sont ceux qui varient.
FaA = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
Et il se lit : force répulsive que le positon a exerce sur le positon A (autopropulsion du positon A)
FaB = -2.3070795555168038495144216299828635754968094886997116976103920990·10^-28
Et il se lit: force d’attraction (signe négatif) que le positon a exerce sur le negaton B (autopropulsion du negaton B)
Les résultats des autres interactions ou des forces Faj sont:
FaC = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FaD = -2.3070795555168038502050512304821977560447269174181640785654349108·10^-28
Maintenant, avec l’électron b:
FbA = -2.3070795555168038481286414990287284247112876450505241464341395963·10^-28
FbB = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FbC = -2.3070795555168038481286414990287284247112876450505241464341395963·10^-28
FbD = 2.3070795555168038495121611650051301803404991851792996380525286514·10^-28
Maintenant, avec le positon c:
FcA = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FcB = -2.3070795555168038495144216299828635754968094886997116976103920990·10^-28
FcC = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
FcD = -2.3070795555168038502050512304821977560447269174181640785654349108·10^-28
Et finalement, les interactions avec le positon d:
FdA = -2.3070795555168038474380118985293942447849482715306951014301206447·10^-28
FdB = 2.3070795555168038481309019640064618198662423829410182122178523772·10^-28
FdC = -2.3070795555168038474380118985293942447849482715306951014301206447·10^-28
FdD = 2.3070795555168038488215315645057960000000000000000000000000000000·10^-28
Si nous additionnons ces 16 interactions, nous obtenons la force de la gravité
Fgravité = FaA + FaB + FaC + FaD + FbA + FbB + FbC + FbD + FcA + FcB +FcC + FcD + FdA + FdB + FdC + FdD =
-1.8688030772778721978097934731000000………..·10^-64
qui est égal précisement au résultat classique:
Fgravité = -G·(ma+mb+mc+md)·(mA+mB+mC+mD/d^2 = -G·(masse hydrogène)^2/d^2 avec d = 1 mètre.
Si nous faisons maintenant les mêmes calculs sans dédaigner le terme Rj^2 face à d^2, nous obtenons que:
Fgravité(Rj) = -1.86880431580332117114930481409988045922054·10^-64
qui en résulte être un peu plus grand que ce qui est la gravité classique. Sa différence en Newtons est 1.2385254489.....·10^-70 qui représente une erreur relative de 6.627... ·10^-7, ou en d'autres termes, la force résultante est 1.000000662737 fois la force de la gravité classique.
À mon travail, les particules (les tons) sont quantifiées, c’est à dire, son rayon moyen dépend d'un nombre entier n. Son état de base est n = 1. Tous les résultats précédents je les ai calculés en supposant que toutes les particules étaient en leur état de base. Et la question qui je me suis fait ç’a été : Que se passe-t-il à la force résultante (gravité) si son état quantique n varie? Voyons les résultats:
Avant tout, pour ceux qu’ils ne peuvent pas accéder à mon travail (formule 30 pág 357), j'ai défini que le rayon moyen d'un ton i est :
Ri = 2·ni·h barre·Aspini /mi·c
où on voit clairement que le rayon moyen dépend de la valeur quantique ni, et ceci, doit affecter à la gravité car le dénominateur de l'interaction mécanique onde-particule dépend du rayon moyen Ri.
et bien, j'ai obtenu les deux suivantes conclusions:
1.- Si la n des negatons augmente (n = 2, 3, 4, ...), la force résultant de la gravité augmente légèrement. Un électron qui passe à son état quantique n = 2, implique que la force résultant de la gravité augmente autour de 3,7·10^-70 Newtons.
2.- Si la n des positons augmente (n = 2, 3, 4, ...), la force résultant de la gravité diminue très légèrement. Nous parlons de diminutions de 9,9·10^-76 N pour le saut à n = 2. Tenez compte que les positons sont 612 fois plus lourds qu'un électron, il s'ensuit que les variations de la gravité (à moins) soient plus petites.
Pour moi, cette découverte théorique d'anomalie de gravité selon le modèle "Aspin Bubbles", s'est avérée très intéressante. Mais tenez compte que c'est seulement un exemple très particulier et pour des distances de seulement 1 mètre. Pour des distances plus grandes, cette anomalie diminue, et pour des distances plus petites, l'anomalie augmente.
Autre chose, si vous vous avez rendu compte, j'ai constantement travaillé avec plus que 70 chiffres significatifs, et ceci peut seulement se travailler avec le programme MATHEMATICA. À ma web, vous avez plusieurs exercices sur ”Aspin bubbles”.
Une salutation très cordiale, Yoël
Encore un troll !!!
Cela ne veut rien dire, la gravitation n'a aucun rapport avec la taille des objets.
Ensuite, une anomalie de gravité ne veut rien dire sans contexte.
Pour fini, la taille quantique d'un électron est une juxtaposition de terme qui n'ont aucune signification.
Identiquement je propose
A défaut, de ne plus poster dans ce sujet...
Calculons la force de gravité existante entre 2 atomes d'Hydrogène (sphériques) et ensuite, produisions une anomalie de gravité en modifiant la taille quantique d'un électron.
Cela ne veut rien dire, la gravitation n'a aucun rapport avec la taille des objets.
Ensuite, une anomalie de gravité ne veut rien dire sans contexte.
Pour fini, la taille quantique d'un électron est une juxtaposition de terme qui n'ont aucune signification.
Identiquement je propose

A défaut, de ne plus poster dans ce sujet...
je n'ai pas tout lu mais travailler avec autant de chiffres significatif ca me choque
euh c'est nouveau ca:
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.
euh c'est nouveau ca:
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.
monsieur Yoël Lana-Renault, pourquoi utiliser autant de décimales? C'est pour faire compliqué ? en physique à que je sache 3 chiffres significatifs suffsent à caractétriser une valeur, les décimales ne servent à rien si ce n'est pour faire joli, ou un genre de magie de nombres mais ce n'est plus de la science mais de la magie
Dernière modification par Victor le 09/04/2008 - 18:45:36, modifié 2 fois.
- Yoël Lana-Renault
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bongo1981 a écrit : 1) Encore un troll !!!Calculons la force de gravité existante entre 2 atomes d'Hydrogène (sphériques) et ensuite, produisions une anomalie de gravité en modifiant la taille quantique d'un électron.
2) Cela ne veut rien dire, la gravitation n'a aucun rapport avec la taille des objets.
Ensuite, une anomalie de gravité ne veut rien dire sans contexte.
Pour fini, la taille quantique d'un électron est une juxtaposition de terme qui n'ont aucune signification.
Réponse à 1: Je ne t'ai pas insulté. Tu devrais être un peu plus respectueux et poli.
Réponse à 2: Pour pouvoir faire une critique positive, la première chose que tu devrais faire est de lire bien le message et à continuation, lire la théorie. Tant que tu ne l'aies pas comprise, tu ne peux pas la critiquer. Fait un petit effort et tu verras qu'elle n'est pas tellement difficile..
Un salut très cordiale, Yoël
- Yoël Lana-Renault
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Buck a écrit:
<<je n'ai pas tout lu mais travailler avec autant de chiffres significatif ca me choque >>
Ça ne m'étonne pas, personne le fait, le motif est dû au fait que les forces électriques sont de l'ordre 10^40 fois plus grandes que la force de la gravité. Il faut se rendre compte que dans ma théorie, la force de la gravité est un résidu des forces électriques. On additionne toutes les forces électriques qui interviennent entre deux matières neutres et on obtien la force de la gravité.
<<euh c'est nouveau ca:
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.>>
C’est qui est nouveau, vraiment, ce sont les structures des noyaux des atomes. Le noyau plus simple c’est le proton (noyau de l’hydrogène). Et comme j’ai dit, il est formé par trois tons (deux positons et un négaton).
Salut, Yoël
<<je n'ai pas tout lu mais travailler avec autant de chiffres significatif ca me choque >>
Ça ne m'étonne pas, personne le fait, le motif est dû au fait que les forces électriques sont de l'ordre 10^40 fois plus grandes que la force de la gravité. Il faut se rendre compte que dans ma théorie, la force de la gravité est un résidu des forces électriques. On additionne toutes les forces électriques qui interviennent entre deux matières neutres et on obtien la force de la gravité.
<<euh c'est nouveau ca:
Un atome d'hydrogène est formé par un proton constitué par deux positons (+) qui orbitent autour d'un negatón (-) central, et un électron (negaton) qui orbite autour de ce noyau (proton). Cet atome est neutre et a une structure uniformément sphérique.>>
C’est qui est nouveau, vraiment, ce sont les structures des noyaux des atomes. Le noyau plus simple c’est le proton (noyau de l’hydrogène). Et comme j’ai dit, il est formé par trois tons (deux positons et un négaton).
Salut, Yoël
- Yoël Lana-Renault
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Victor a écrit:
<<monsieur Yoël Lana-Renault, pourquoi utiliser autant de décimales? C'est pour faire compliqué ? en physique à que je sache 3 chiffres significatifs suffsent à caractétriser une valeur, les décimales ne servent à rien si ce n'est pour faire joli, ou un genre de magie de nombres mais ce n'est plus de la science mais de la magie>>
Bonjour Victor:
Comme je viens de dire à Buck, ce n'est pas pour "faire compliqué", c’est simplement une nécessitée de la théorie. Je suis d’accord avec toi, en Physique, on travaille normalment avec un maximum de 6 chiffres décimales (constantes G, k, e, h, etc...) et on n’avait pas besoin d’autres chiffres significatifs, mais avec le modèle "Aspin Bubbles" c’est necessaire. Et maintenant, nous pouvons travailler avec autant de chiffres grace au programme MATHEMATICA, avant non. Ce n’est pas de la magie, c’est simplement du calcul numérique.
Salutations, Yoël
<<monsieur Yoël Lana-Renault, pourquoi utiliser autant de décimales? C'est pour faire compliqué ? en physique à que je sache 3 chiffres significatifs suffsent à caractétriser une valeur, les décimales ne servent à rien si ce n'est pour faire joli, ou un genre de magie de nombres mais ce n'est plus de la science mais de la magie>>
Bonjour Victor:
Comme je viens de dire à Buck, ce n'est pas pour "faire compliqué", c’est simplement une nécessitée de la théorie. Je suis d’accord avec toi, en Physique, on travaille normalment avec un maximum de 6 chiffres décimales (constantes G, k, e, h, etc...) et on n’avait pas besoin d’autres chiffres significatifs, mais avec le modèle "Aspin Bubbles" c’est necessaire. Et maintenant, nous pouvons travailler avec autant de chiffres grace au programme MATHEMATICA, avant non. Ce n’est pas de la magie, c’est simplement du calcul numérique.
Salutations, Yoël
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Ya quand meme quelque chose qui m'etonne... Comment etre sur que les chiffres presentes ne sont pas dus a des erreurs de precision machine ? Meme mathematica a des limites... Et 70 chiffres significatif me semble beaucoup...
Ensuite, ok, je vais faire comme si c'etait valable. Maintenant, je voudrais savoir comment avec un tel modele on peut expliquer les interaction forte ou faible ? Comment justifier avec cette theorie la presence de toutes les autres particules elementaires ? Ce que le Modele standard fait deja tres bien. Vu que le modeles des bulles est un modele "quantique", il doit bien pouvoir decrire les transitions entre familles de particules ? Comment ?
Ensuite, ok, je vais faire comme si c'etait valable. Maintenant, je voudrais savoir comment avec un tel modele on peut expliquer les interaction forte ou faible ? Comment justifier avec cette theorie la presence de toutes les autres particules elementaires ? Ce que le Modele standard fait deja tres bien. Vu que le modeles des bulles est un modele "quantique", il doit bien pouvoir decrire les transitions entre familles de particules ? Comment ?
bongo1981 a écrit :Calculons la force de gravité existante entre 2 atomes d'Hydrogène (sphériques) et ensuite, produisions une anomalie de gravité en modifiant la taille quantique d'un électron.
Cela ne veut rien dire, la gravitation n'a aucun rapport avec la taille des objets.
Ensuite, une anomalie de gravité ne veut rien dire sans contexte.
Pour fini, la taille quantique d'un électron est une juxtaposition de terme qui n'ont aucune signification.
Identiquement je propose
A défaut, de ne plus poster dans ce sujet...

sujet vérouillé