glevesque a écrit :Salut
La question se pose !
Toutes particules ou photons piégés dans un champs gravitationnel, va en subire les conséquences, soit par un apport d'énergie cinétique pour les particules, ou soit par une modification de trajectoire pour les photons.
Il manque l'augmentation de la fréquence pour un photon ??
glevesque a écrit :Le tout va être inversement proportionnelle au carré de la distance
FAUX
la force de gravitation est donnée par : F=GMm/r² (inversement proportionnelle certes...
Mais l'énergie potentielle est donnée par : E=-GMm/r (inversement proportionnelle à la distance)
Manifestement même les connaissances de physique du lycée sont oubliées.
glevesque a écrit :et proportionnelle au rayons de courbure du champs gravitationnel (la métrique de la gravité).
Et qui te dit ça ? La déviation des rayons lumineux n'est pas proportionnelle à la courbure (ou invariant de courbure pour prendre les termes exacts de la géométrie riemannienne). Les géodésiques ne prennent que les coefficients de Christoffel, et pas le tenseur de courbure, et encore moins l'invariant de courbure, et pas non plus le tenseur de Ricci.
Par ailleurs, je ne vois pas ce qu'est la métrique de la gravité...
glevesque a écrit :Par exemple, une particule qui subit une excitation, va émêtre toute autour d'elle des photons,
FAUX
Une particule ne s'excite pas.
Par contre une "particule" composite a des états d'énergie interne qui peuvent présenter des états excités (atomes, baryons). L'émission de photon ne se fait pas tout autour des particules de manière uniforme, l'émission peut se faire dans une direction privilégiée.
glevesque a écrit :et pour un observateur se trouvant en face d'elle va mesuré un racourcissement des longueurs d'ondes décalé vers le bleu par l'effet Doppler, et un observateur se trouvant en arrière d'elle va mesurer un décalage vers le rouge.
NON
excepté s'il y a mouvement vers l'observateur...
glevesque a écrit :L'énergie du photon étant alors directement proportionnelle à l'énergie de la particule qui la émit, à sa vitesse et aussi sous l'angle par lequel le photon sera observé (pour le décalage).
NON encore la particule n'est pas obligé de dissiper toute son énergie cinétique par l'émission d'un seul photon, il peut se faire en émettant plusieurs particules, c'est un phénomène de cascade.
Jusque là tout est faux, donc je ne lis pas le milieu, je regarde la fin...
glevesque a écrit :Pour la matière noir, et bien disont qu'une bonne partie de cette dernièr, pourrait être relié au photon transparent,
C'est quoi un photon transparent ? La transparence est une propriété macroscopique et optique d'un objet.
glevesque a écrit :mais relié à leur interaction non tengenciel a notre angle d'observation (nous ne pouvons pas les observé).
engencement de termes abscons ne voulant rien dire.
glevesque a écrit :Pour un photon mesurer, il en existe des dizaines de milier non mesurer. Et le potenciel interactif est donc grand, et l'équivalence de leurs énergie traduit en masse lors de l'intéraction, peut expliquer une certaines partie de la matière noire !
Donc tu comptes expliquer la composition de la matière noire par les photons ? Je croyais que les mesures de WMAP avaient établi définitivement que la matière noire était composé de WIMP ? et qu'est-ce que ça veut dire ? Weak Interactive Massive Particles ? Et en Français ? Particule massive intéragissant par l'interaction faible. Manifestement ce n'est pas le cas du photon qui a une masse nulle à ma connaissance.
glevesque a écrit :Si cela est confirmé, alors le décalage cosmologique ne serait plus associé au mouvement de fuite des galaxies dut par l'expension de l'univers, mais seulement comme étant un identificateur de la masse réelle des galaxies ! Masse associé a la toplogie métriciel de celle-ci qui est caché a travers le redshift.
Alors, dite moi ce que vous en pensée !
Gilles
J'en pense que tu fais fausse route. La physique est une discipline rigoureuse et difficile. Pour comprendre pleinement les théories actuelles, il faut en comprendre aussi leur essence mathématique. Et pour comprendre les mathématiques sous-jacentes, il faut aussi comprendre les concepts fondamentaux.
Les physiciens, qui sont extrêmement compétents, travaillent toute une vie sur des théories, à les consolider, ou à les réfuter, imaginent tous les jours des tests pour invalider ou renforcer une théorie.
Sans connaissance minimale, et surtout seul, tu ne pourras pas mettre à mal cette théorie.