En parcourant votre site, j'ai l'impression que tous les articles sur l'effet CREIL sont de vous.
Auriez-vous des articles sur le phénomène physique lui-même, indépendamment du contexte astrophysique, et provenant d'autres personnes (provenant de revues d'optique par exemple) ?
Les articles sur l’effet ISRS sont pour la plupart dans des revues spécialisées : les revues d’optique, sur les fibres optiques et les lasers. Ces revues sont peu diffusées et certaines ne sont accessibles que dans des bibliothèques d’universités ou privées. Il y en a quelques échos sur Internet à propos des lasers à impulsions de durée femtoseconde, mais la théorie à laquelle vous avez accès sur mon site n’est pas contestée. L’effet ISRS a été étudié expérimentalement, mais n’a pas donné lieu à énormément d’articles. Dès qu’il a été connu, on en a fait la théorie, mais il serait peut-être resté inconnu s’il ne s’était pas imposé expérimentalement. Son intérêt était mince, mais il a augmenté avec l’usage des fibres optiques. Il n’est en général connu que de ceux qui s’occupent des lasers à impulsions. L’effet ISRS a été remarqué par mon frère parce qu’il a eu à en parler dans son enseignement de l’optique et en a fait un problème pour les étudiants. De nombreuses années avant qu’il envisage les applications astronomiques, mais dès cette époque, les étudiants en optique savaient calculer, suivant les règles de l’optique, qu’avec la lumière ordinaire il faudrait envisager des distances astronomiques pour avoir un effet palpable, et que seuls certains gaz raréfiés pouvaient convenir par leurs propriétés Raman.
L’effet CREIL est identique à l’effet ISRS, mais avec la lumière ordinaire au lieu du laser, ce qui change les ordres de grandeur, en particulier pour les distances. L’effet ISRS est généralement utilisé avec des lasers très énergétiques, ce qui introduit des réponses non linéaires. Pour les opticiens, l’effet CREIL est du classique et de peu d’intérêt dans la vie courante. Mon frère, voyant des applications possibles, a signalé l’effet CREIL aux astronomes pour qu’ils s’en occupent. Ceux-ci ne bougeant pas, il a recherché lui-même les applications. Il en a trouvé beaucoup. On en est là. Seuls quelques astronomes ont bougés un peu en voyant les conséquences, mais le grande majorité semble effrayée d’avoir à prendre position par rapport au big-bang et d’avoir à réformer une partie de l’enseignement de l’astronomie. Le sujet est considéré brûlant. Aucun argument scientifique n’est avancé contre l’effet CREIL, mais on doute qu’il existe. Donc, refus souvent global sans analyse sérieuse, avec comme explication qu’aucun astronome ne le prend au sérieux. On attend qu’un ponte prenne position. Nous sommes soutenus par quelques astronomes qui ne souhaitent pas qu’on parle d’eux. Je me mouille personnellement, car ayant compris le phénomène grâce à ma culture scientifique, il me semble logique de promouvoir une découverte importante.
ça n'explique pas son homogénéité (du CMB).
L’homogénéité du fond thermique est une conséquence de l’effet CREIL qui participe activement à la thermalisation des radiations. La matière CREIL transmet l’énergie de radiation d’une radiation à une autre en ne changeant pas la direction des radiations et en respectant le second principe de la thermodynamique en plus du premier. Il en résulte que les radiations convergent toutes vers le même spectre thermique. C’est élémentaire pour un physicien, et c’est bien ce qu’on observe.
J'ai pas trop compris comment ça explique tout ça.
Pour comprendre moi-même, j’ai repris mes cours d’optique, de thermodynamique et la trigonométrie, et par la logique, et en y mettant le temps, on explique tout ça.
Tu es bien d'accord avec moi que la relativité générale décrit assez bien l'univers ? Donc si pour toi la fatigue du photon provient de l'effet CREIL en niant complètement l'aspect dynamique de l'univers, il y a un problème, puisque l'univers ne peut être statique.
Je suis partiellement d’accord car je ne nie ni l’aspect dynamique de l’univers, ni la relativité. La relativité générale est une bonne façon d’introduire la gravitation. Il est certain qu’une dynamique de l’univers résulte des forces de gravitation et que l’univers évolue. On le voit bien dans les mouvements locaux qui répondent aux lois de la gravitation. Il est moins simple de passer à l’échelle de tout l’univers sans en connaître les limites. L’univers n’est donc pas parfaitement statique, mais de là à vouloir y introduire l’expansion, il y a de la marge. Je n’observe pas d’expansion. Pourquoi introduire cette complication ? Pour moi, le type d’univers est un problème ouvert et compliqué dont je n’ai pas la solution. N’étant pas spécialiste des univers, je peux me tromper, mais avec l’effet CREIL, j’ai une meilleure image de la petite partie d’univers que nous observons qui peut être disjointe des problèmes d’univers. Je la disjoins, car si l’effet CREIL est bien localisé sur certaines matières qui contribuent à la gravitation, il agit principalement sur les radiations, et on peut séparer l’effet de gravitation, (sans doute négligeable de la matière porteuse d’effet CREIL), de celui des radiations. L’effet CREIL agit quelque soit le type d’univers en des zones localisées. C’est un simple fait physique observable. Ce n’est qu’indirectement qu’il prend la place de l’expansion par une meilleure interprétations des redshifts. Il faut seulement repenser l’univers en ne mettant plus d’expansion ou avec une expansion plus faible.