Le Big Bang En Requestionnement ?
Il ne faut pas oublier que le Big-Bang n'est qu'un modèle théorique qui est porter sur l'interprétation de l'Origine et de l'Évolution de l'Univers.
Ce modèle n'est pas du même coût, cette même réalité objective qu'il veut représenter.
L’origine de l’Univers à toujours été un véritable mystère, et depuis fort longtemps que l’homme s’intérroge à ce sujet. Depuis la plus haute antiquité que l’homme est émerveillé par la beauté extraordinaire de la voûte céleste, qu’il pouvait observer et contempler à sa guise toutes les nuits avant de s’endormire. Ce qui n’est plus le cas de nos jours, ayant obstrué le merveilleux spectacle du ciel nocturne par la pollution de notre technologie, nous privant ainsi d’une source d’inspiration et de poésie d’une extraordinaire beauté.
Ce merveilleu spectacle de la nature, à inspiré et intrigué l’homme au plus haut point, qu’il décida un beau jour de satisfaire d’avantage sa curiosité et de commencer à rechercher véritablement des réponces à ses questions. Au début la question de son origine ne se posait même pas, la philosophie, la poésie et les religions fournissaient des réponces très satisfaisantes, et le ciel était tout simplement la demeures des Dieux.
Les différentes connaissances techniques et scientifiques qui ont été acquises aux courts des derniers siècles, et plus particulièrement au court du XXèm siècle, ont mit en doute les dogmes religieux et mystiques d’autrefois sur l’origine de l’Univers.
La découverte et l’interprétation des différentes forces et interactions de la nature, ont remis en question la validitée des vieux concepts. Et désormais la manifestation et le comportement des différents phénomènes de la nature, seront analysés et interprétés de manière beaucoup plus rigoureuse, en s’appuyant sur de véritable donnée d’observation et d’investigation de la nature. La méthode scientifique était né ! (Galilé)
Données qui seront fournis entres autres, par les différentes recherches effectuées en physique des particules, en astrophysique et en cosmologie. L’avancée technologique extraordinaire qui c’est produit à la fin du XIXèm et début XXèm siècle, en est pour quelque chose et sans commune mesure dans toute l’histoire de l’humanité. Nous avons de nos jours une meilleure compréhension sur les différents mécanismes fondamentaux qui relit entre eux, certain manifestation de phénomène naturel à l’Univers. Plusieurs éléments nous permettent aujourd’hui, d’entrevoir une certaine forme de structure évolutive, pour l’Univers tout entié.
Mais plusieurs questions de grandes importances restes encores et toujours en suspends et sans réponces à ce jours, et ceci pour se prononcer de manière définitive sur la véritable question de l’origine et de l'évolution de l’Univers. Plusieurs hypothèses sont actuellement mises de l’avant pour tenter de répondre à cette question fondamentale. Voyons maintenant la plus populaire d’entre elle, l’hypothèse du Big-bang. Cette théorie n’est en fait que l’une des différentes formes possibles, que nous utilisons pour ce représenter et modèliser la naissance et l'évolution de l’Univers. Le modèle voulait à l’origine concurrencer directement la vision symbolique de la genèse biblique de l’église chrétienne et les autres cosmologies mythiques. Mais cependant elle semble plutôt la renforcée en certains points, par une simple analogie qui est portée sur les différentes étapes de la création de l’Univers.
Le Big-bang ne fait en réalité que déplacer à un autre niveau, le véritable problème des origines de l’Univers, car en fait il nous dit pas ce qu’il avait avant celui-ci (la singularité ou Dieu). Le Big-bang découle directement des principes de la relativité générale, qui sont portés sur la gravitation Universelle. La relativité nous dit que la vitesse de la lumière est une constante absolue et invariable dans tout l'Univers, et cela pour touts les référentiels d’observations ce trouvant à l'intérieur.
Ainsi pour expliquer la représentation et l’uniformité des lois physiques de la nature, et ceci à travers tout l’Univers et pour qu'elles soient exprimées partout de la même manière malgrer les distances énormes qui nous sépares du reste de l'Univers. Il devenait alors facile d’imaginer une origine commune à toute la matière-énergie qui compose l’Univers, et ceci par une formidable explosion d’énergie et de matière à partir tout simplement d'une singularité (un infinit) qui émergait directement du néant. Pourtant nous sommes encore bien loin d’avoir acquis toutes les connaissances et la compréhension nécessaire, pour vraiment connaître et même appréhender l’origine réelle de l’Univers et de son évolution subséquente.
Nous sommes qu’au tout début de la recherche et nous sortons tout juste de l’ignorance, face à l’évolution de notre espèce et de son histoire sur terre. Et ceci envers une infirme partie de l’Univers qui nous est actuellement accéssible, et à travers tout le reste qui nous es toujours encore inaccessible ou inconnu. Plusieurs découvertes en astronomie et en astrophysique, sembles bien vouloir confirmer en apparence la théorie du Big-bang. Dont la fameuse constante de Hubble découverte en 1929 (Edwing Hubble), et qui établit une relation de causalitée avec leur vitesse de récession, entre le décalage spectrale des galaxies et leurs distances qui les sépares de nous. Par la suite en 1965, il y a eu la découverte du rayonnement fossile cosmologique (micro-ondes) de 2.7 k, qui a été observé depuis dans toutes les directions de l’Univers. Ces découvertes prouvent t’elles pour autant et hors de tout doute raisonnable, l'objectivité réelle de la théorie du Big-Bang.
L’explication physique et cosmologique qu’ont nous fournis actuellement sur ces différents phénomènes galactiques, son-elle vraiment la cause physique principale de la manifestation de ces différents phénomènes observés. Pourrait-il s'agire par exemple d'un reflet ou d'un mirage, ou encore d'une forme d'illusion d'optique ou de méprise sur les réelles causes. D’autre cause naturelle qui nous sont encore inconnu, ne pourrait-elle pas éventuellement nous fournires d’autres types réponces pour expliquer ces phénomènes. Peut-il s’agir tout simplement d’une mauvaise interprétation des phénomènes observés, après tous nous sommes pas sur place pour le vérifier de manière objective.
Mais laissons parler à ce sujet Geoffrey Burbidge, Fred Hoyle et Jayant V. Narlikar à travers leur article publier dans la revu la recherche en avril 1998,
en voici un petit extrait :
"Le fond de rayonnement fossile, dont les tenants du Big-bang font un des piliers de leur théorie, a pour l’essentiel une longueur d’onde voisine d’un millimètre. Ce n’est cependant pas le rayonnement de fond cosmologique invisible à l’œil. Il existe un fond d’ondes radio plus longues.
Il y a un rayonnement infrarouge, un rayonnement X et un fond de lumière stellaire. Personne n’affirme que ces autres rayonnement proviennent de l’origine de l’Univers.
On considère qu’ils ont leur source dans des objets astronomique bien définis. Mais pour des raisons historiques, il en va différemment des micro-ondes. Elles seules sont censées être la signature du Big-bang.
Pourtant, si l’on calcule la quantité totale d’hélium dont on connaît la présence dans la matière visible, l’énergie libérée sous forme de rayonnement par la production de cet hélium à partir de l’hydrogène est exactement celle nécessaire pour produire le fond micro-ondes.
Cette correspondance suggère fortement que le rayonnement micro-ondes est tout simplement de la lumière stellaire dégradée. La raison pour laquelle ce rayonnement est si homogène est que la lumière stellaire se répand uniformément à travers d’immenses distances dans les phases d’expansion de notre région de l’Univers.
La lumière stellaire est ensuite absorbée puis de nouveau rayonnée sous forme de micro-ondes par les particules intergalactique lors des phases de plus grande contraction des oscillations. On retrouve ainsi précisément la température bien connue de 2,73 kelvins. Le rayonnement micro-ondes n’est nullement expliqué par la théorie standard. Il est introduit arbitrairement dans les conditions de départ. Le fait que sa température soit de 2,73 kelvins n’avait rien d’inéluctable, elle aurait pu être différente.
Si les observations avaient donné 10 kelvins, c’est cette température qui aurait été prise en compte par la théorie.
FIN DE L’ARTICLE".
D’autres arguments sont égalements en faveur d’un Univers quasi-stationnaire, comme les Quasars. Ils s'agis d’objets extragalactiques d’aspect ponctuel situé aux confins de l’Univers, et à plusieurs milliards d’années-lumière de nous. Ils sont tous probablement les objets les plus vieux de l’Univers. Ils sont caractérisés par un fort décalage spectral vers le rouge et par de très forte émission électromagnétique (ici l'effet Creil pourrait expliquer cela), qui sont aussi puissante qu’une galaxie tout entière, d’où leur non de quasi-stellar-object.
Le télescope spatial Hubble nous montre plusieurs clichés de ses objets extragalactiques, comme étant en réalités la manifestation de la collision entre galaxie à noyau plus actif que la normale, accompagnée d’une très grande flambée d’étoiles qui semble résulter directement de la collision, d’où leur forte puissance en rayonnement électromagnétique. Dans ces conditions, ces objets ne seraient plus les objets les plus vieux et les plus éloignés de l’Univers. Mais belle et bien d’un phénomène qui résulte purement et simplement d'interaction gravitationnelle entre galaxies, déjà constituées d’étoiles jeunes et veilles, entremêler de poussière intergalactique de toutes sortes.
Les observations de l’Univers effectuées par le Télescope spatial Hubble, repousse d’ailleurs de plus en plus loin les frontières de l’Univers connu à ce jour, et il découvre toujours des galaxies fortements éloignées et toujours formées d’étoiles de toutes les générations, ce qui repousse de plus en plus loin l’origine véritable de l’Univers (13,7 milliards d'années selon le modèle standard du Big Bang).
Nous sommes situés dans une région de l’Univers très vaste et peuplé d’innombrables galaxies, de nuage d’hydrogène et de poussière, d’amas globulaire, d’étoiles, de naine brune et de planète errante de toute sorte. Et ceci sans parler des autres corps célestes qui font également partie de cet ensemble, mais qui nous sont encore totalement inconnu jusqu’à ce jour. Le tout étant inonder et baignant dans divers champs d’énergie, comme les champs magnétiques galactiques et extragalactiques, différents champs électriques, des radiations électromagnétiques de toutes sortes, du rayonnement cosmiques et de différents champs gravitationnels. L’Univers possède également une structure plus ou moins complexe ayant la forme d’une éponge, et qui résulte de l’interaction gravitationnelle locale de l’ensemble de ses constituants.
Ainsi le décalage spectral des galaxies vers le rouge (red shift), découvert par l’astronome américain Edwin Hubble en 1929, et attribuer par la suite à la fuite des galaxies et de leur éloignement progressif les unes par rapports aux autres selons leurs distances, et qui est un argument majeur dans la théorie du Big-bang. Peut très bien avoir comme origine ou comme explication, une toute autre cause naturel que celle qui est généralement attribuer à la seule vitesse d’expansion des galaxies.
Il pourrait s’agir entre autre, d’une certaine propriété physique qui est reliée à une sorte la fatigue de la lumière ou par rapport aux différentes propriétés qui sont reliés à l'énergie du vide quantique, et qui franchit alors des distances énormes à travers différentes zones de densité et d’intensité de champs magnétique et électrique. Ou encore de certain effet lié à la gravitation sur de très grande distance. Comme si la gravitation voulait à tout rpix, relentir et piéger la lumière dans son espace à géométrie courbe, et ayant pour effet de dilater ou comprimer ces différentes longueurs d’ondes à travers sa topologie variable. Nous sommes en fait, qu’au tout début de l’étude et de la compréhension de l’Univers et de ses différentes propriétés dynamiques.
Nous connaissons d’ailleurs assez mal la véritable composition de notre propre entourage galactique, alors pourqu'oi affirmer haut et fort que nous avons déjà résolut le plus grand mystère des mystères de la nature, qu'elle prétension !
La Structure Universelle Face au Big-Bang :
Le Soleil est une étoile moyenne de type spectral G5, il est situé dans la région périphérique de notre galaxie, à plus de 26 000 années-lumière de son centre. Notre galaxie est de type spiral baré, avec un diamètre de plus de 100 000 années-lumière. Elle est composée d’un noyau central très dense (le bulbe galactique), constitué essentiellement d’étoiles vieilles et de couleurs rougeâtres. Le centre de notre galaxie est visible pendant l’été dans la direction de la constellation du sagittaire, il s'agit de la Voie Lactée qui se trouve alors au zénith dans le ciel. Plusieurs bras spiraux sorte de son centre et vont se perdrent dans les profondeurs de l’espace. Notre galaxie est constituée de plus de 100 milliards d’étoiles de toutes les grosseurs et de toutes les couleurs, de nébuleuses de gaz et de poussière, de matière interstellaire et d’amas globulaire.
Les amas globulaires sont le résultat de l’association gravitationnelle très serrée de milliers d’étoiles, voir même de dizaines de milliers. Les amas globulaires ont généralement une forme circulaire, et tourne autour de la galaxie sur des orbites très elliptique en plusieurs centaines de millions d’années. Les amas globulaires et le noyau de la galaxie sont peuplés d’étoiles vieilles, contrairement aux régions plus périphériques. Elles font partis de la population d’étoile de type 2, celle-ci étant plus pauvre en éléments lourds que les étoiles de population de type 1, dont fait partie le soleil et qui sont répartis d’une manière plus générale, en périphérique du disque de la galaxie.
Notre galaxie n’est pas seule, elle est accompagnée dans son périple Universel par deux petits compagnons galactique, que sont les deux nuages de Magellan. Notre galaxie est bien visible par les belles soirées d’été sans Lune, il s’agit alors de La Voie Lactée, qui parcourent le ciel de long en large jusqu’au zénith, et ayant la forme d’un long nuage immobile et d’aspect laiteux. Ce sont les étoiles qui la compose qui lui donne cet aspect et il suffit de se lever la tète pour observer ce merveilleux spectacle. Par contre pour pouvoir l’observer, il faut s’éloigner des grands centre urbain, car il est impossible de la voir dans sa splandeur avec la pollution lumineuse des grandes villes.
Notre galaxie et son entourage immédiat, fait partit en réalité de l’une des plus petites structures galactiques de l’Univers. Il s’agit du groupe local de galaxie qui est composé d’une trentaine de membres de toutes les grandeurs et de toutes les formes. On y retrouve également des amas globulaires isolés et errants, des objets planétaires et des nuages de poussière et de gaz extragalactique. Le tout est réparti dans un rayon de plus de 3 millions d’années-lumière.
En suite nous retrouvons les amas de galaxies, qui sont des structures galactiques intermédiaires qui regroupent plus d’un millier de galaxies. Le tout étant répartis dans un rayon de plusieurs dizaines de millions d’années-lumière. Notre groupe local est situé sur l’une des périphéries de l’amas local, et il se dirige vers l’amas de la viège, qui est situé dans la constellation du même nom, et qui est centré sur la galaxie elliptique géante Messier 87. Les superamas de galaxie sont les avants dernières structures de l’Univers, qui nous est connu jusqu'à ce jour, et regroupe en fait les autres structures intermédiaires de galaxies, comme les amas et les groupes locale, et le tout répartie sur un rayon d'environ 150 millions d’années-lumière.
Le tout est gouverné et sous le control de l'influence gravitationnelle, et formant des structures de plus en plus complexes. Comme le Grand Attracteur, découvert en 1990 par Alan Dressler et son équipe, et situé à plus de 350 millions d’années-lumière de nous, dans la constellation du Paon et de Centaure.
La structure de l’Univers qui est connu à ce jour, ressemble à une sorte d'éponge constituée de bulles dont les parois son occupés par les amas de galaxies, et de filament très allongé qui représente les superamas de galaxies, servant entre autre d’interface de jonction entre les bulles. Le reste est constitué de gigantesque nuage de gaz et de poussière extragalactique et de vastes régions plus sombres de plusieurs centaines de millions d’années-lumière de diamèetre, situés soit à l’intérieur des bulles ou à l’extérieur de celles-ci.
Alors imaginer maintenant que notre propre groupe local se trouve précisément situé à la périphérie de l’une de c'est super-super structure de l’Univers, comme le Grand Attracteur. Et que toutes les autres structures équivalentes de l’univers qui nous entours, et qui sont d’ailleurs très hypothétiques, présenteraient justement les mêmes caractéristiques gravitationnelles. Alors dans de t’elle condition il serait tout à fait normal de voir toutes les galaxies s’éloigner de nous, étant tous attirées vers la région centrale de leur propre super-super structure de l’Univers. Le tout présentant alors une dynamique dissipative.
Ce qui nous donnerait l’impression d’observer depuis la terre, une forme de dilatation des distances cosmiques. Ce phénomène pourrait fort bien expliquer par exemple le décalage spectral vers le rouge, et qui concerne la fuite des galaxies, vus sous un angle illusiore.
Voila qui mais fin a ce bref résumé sur les différentes structures de l’Univers, et à quoi pourrait bien ressembler la région de l'univers dans laquelle nous nous retrouvons. Alors que dire de plus, pour les autres structures de l’Univers et des différents champs d’énergie dans lequel ils se trouvent, et par lequel ils interagissent en permanences.
Les effets que peut subirent la matière-énergie et les ondes électromagnétiques dans de t’elle milieux cosmiques, et sur de t’elle distance, nous sont d’ailleurs toujours inconnu actuellement. N’ayant pas assez de preuve scientifique et de connaissances requises à ce sujet, pour réellement pouvoir comprendre ou ce représenter l’Univers sur de t’elle échelle.
Les véritables connaissances sur l’ensemble du phénomène que nous venons tout juste d’explorer quelque peu, ne sont pas encore véritablement acquises par l’humanité actuelle, et fait toujours partie de la supposition et non de la science. Ainsi qui nous dit vraiment que le décalage vers le rouge, ne résulte pas en réalité d’un phénomène qui est relié à la fatigue des ondes électromagnétiques, sautillant à travers la topologie métrique (courbure) des champs gravitationnels situés entre les galaxies. Fatigue causée par leurs différentes interactions avec ses énormes champs d’énergie et de matière intergalactique et extragalactique, et effectué sur de très grande distance.
Les ondes électromagnétiques traversent d’énormes régions qui présente des densités très différentes, et qui sont constituées de différents champs électriques, magnétique et gravitationnelle entre autre. Il faut dont conclure qu'à travers tout cela, les ondes électromagnétiques vont interagirent et subirent quelque modifications ou alteration durant leurs parcours jusqu'à nous.
Pour l’instant au lieu de s’aventurer trop loin sur la création et l’évolution de notre Univers. La science devrait plutôt refaire ses propres devoirs sur le sujet, et non de faire une démonstration de foi qui n’est pas réellement vérifiable à cette échelle de la nature. Nous savons qu’il s’agit en fait que d’une simple théorie de travail permis tant d’autre, mais elle apport des implications mal définit et trompeuse, qui porte à croire à sa réelle démonstration par le public en général, ce qui n’est nullement pas le cas. Alors démontrons un peut plus de sagesse et de vigueur dans nos différentes réflexions sur le sujet, et pour suivons sans relâche notre étude et notre quête sur les différentes manifestations de la nature, pour éclairer de plus en plus notre conscience et nos connaissences sur l'Univers.
Avant de s’aventurer dans des conclusions trop hâtives sur l’origine et la destiné véritable de l’Univers. Et par le fait même de critiquer l’existence d’un Dieu, dont l’homme ne respect même plus le nom, et de l’espoir qu’il rejette du revers de la main, par manque de morale sur le plan sociale et humaine.
Ce qui suit fait partie d’une réflexion purement personnelle :
Si l’Univers est réellement infini, sans borne et sans limite. Nous pouvons dans ce contexte, affirmer que l’Univers est également de toute éternité et immortelle envers ça propre destiné. L’évolution de l’Univers selon ces prémisses, serait donc quasi-stationnaire, ni ouvert, ni fermé. Il évoluerait tout simplement de manière très localisée et d’une douceure remarquable. Chaque région de l’Univers se transformerait petit à petit et selon les influences portées par les différentes interactions gravitationnelles de leur entourage immédiat.
En fait toutes les régions de l’Univers subissent une t’elle forme d’évolution et selon l’influence qui découle de l’ensemble de ces composantes, du plus petit au plus grand et des particules aux superamas de galaxies. Dont les effets combinés ce répercute à différente échelle constructale de la nature, pour finir par être représenté par certaine forme de comportement et de manifestation, qui ce ressemble à certains égards et qui se répercute finalement sur l’ensemble de l’Univers, à la manière des fractales.
Pour illustrer ce phénomène d’échelle sur la manifestation des lois de la nature. Prenons l’exemple qui suit et comparon la structure de l’Univers actuelle à une toute autre échelle. Faisons la comparaison suivante avec les différents comportements atomiques et moléculaires.
Donc à partir d’une échelle de 10 exp 22 cm, qui correspond aux distances qui ce trouvent entre les amas de galaxie, et dirigeons-nous vers une échelle de 10 exp –12 cm, pour les atomes. Un ordre de grandeur qui défi notre propre imagination et qui pourtant est belle et bien réelle dans la nature. Dans notre exemple les ondes électromagnétiques seront associées aux différentes interactions gravitationnelles, et les noyaux atomiques seront représentés par les galaxies.
Les électrons (champs d') représentent les étoiles et les amas globulaires, et les différents regroupements d’atomes en molécules seront représentées par les amas et les superamas de galaxie. Ceci n’est qu’une représentation très fictive et qui se veut très symbolique de la réalité. Ne voulant en fait que schématiser la résultante qui est portée sur l’influence des corps, par l’intermédiaire des différentes interactions de la nature et qui peut être transposée sur différentes échelles constructale de l’Univers et à la manière d’un fractal.
Dans un premier temps les atomes vont chercher à former des molécules. Les atomes s’unissent alors par des liaisons chimiques complémentaires en fonction de leurs différents niveaux d’énergies disponibles. Ils vont ainsi partager et associer leurs électrons libres. Pour ce faire, ils font intervenir des champs magnétiques et des charges électriques, en fonction de leurs polarité reliée aux différentes formes de réactions électrochimiques et électromagnétiques.
Ainsi les atomes vont finirent par s’assemblées, pour former des molécules de plus en plus complexes. Ces différents comportements électrochimiques et électromagnétiques des atomes, peuvent êtres représentés et transposés à l’échelle galactiques. Comme les galaxies qui vont se regrouper par différente interaction gravitationnelle, en différant associations plus ou moins complexes, pour former les amas et les superamas de galaxies, et qui sont représenté dans notre exemple par les différentes molécules.
Ainsi les lois de la nature qui gouvernent et contrôles les différentes interactions électromagnétiques des atomes et des molécules. Se retrouve ainsi représenté sur des échelles constructales de la nature infiniment plus grande, par le même genre ou type de manifestation et de comportement de la matière-énergie. Mais qui fait appelle cette fois-ci à d’autre loi de la nature et aux interactions gravitationnelles. La structure de l’Univers est peut être baser sur le même type de phénomène ou de relativité d’échelle, car l’Univers présente peut-être une structure et un niveau d’organisation de dimension l’infini. Qui sait !!!
Pour l’instant cette représentation de l’Univers est purement symbolique et ne s’appuie sur aucun fait d’observation scientifique, il ne s’agit que d’une vision d’esprit. Mais les différentes relations entre la relativité d’échelle à travers l’Univers de notre exemple, font belle et bien partie des concepts de la grande théorie d’unification des lois de la physique. Qui veut unire la relativité générale et la mécanique quantique, dans une seule et grande théorie unifiée, soit la relativité quantique. Le problème résulte actuellement de la quantification du temps de la relativité générale.
Ici nous ne parlons pas encore d’Inflation, de l’énergie et de la matière sombre/noir, des quasars avec l’effet CREIL (décalage spectral vers le rouge de l’hydrogène qui entour les étoiles à neutrons et les pulsars, phénomène rendu possible par la diffusion et l’émission successive) et de l’accélération de l’expansion qui caractérise le modèle moderne du Big Bang.
Enfin avec tout ce qu’on lui ajoute pour l’ajuster au fur et a mesure a certaine observation, je me demande si finalement le big Bang n’était pas devenu tout simplement l’objet d’un dogme, devenus bien mystérieux depuis des années.
Autre Références :
Réflexion sur les Dimensions Physique de l’Univers !
La Structure de l'Univers en Forme d'Éponge
Les Objets étranges dans l'Univers
Les Échelles de l'Univers
Gilles