[News] Le scarabée: acteur du réchauffement climatique
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[News] Le scarabée: acteur du réchauffement climatique
Le pin "Pinus Contorda" (en français "pin tordu") est actuellement menacé par la prolifération de scolytes, petits scarabées vivant dans l'écorce. Cette espèce de pin, dominante dans l'ouest américain, pourrait ainsi se voir progressivement remplacée par les pins Aspen, entrainant un changement de l'ensemble de l'écosystème subalpin des rocheuses, ainsi que des paramètres climatiques locaux.
Le scolyte est un scarabée originaire des rocheuses dont la repro...
Re: [News] Le scarabée: acteur du réchauffement climatique
Publication a écrit :Les chercheurs du NCAR estiment que l'impact des scolytes pourrait entrainer une hausse locale de la température de 2 à 4 degrés.
Hallucinant cet impact !!!
Deux idées s'opposent :
- la nature est autonome, elle est toujours en mouvement, pourquoi ne pas laisser faire ? (pas d'amalgame ici avec le pourrissage de l'atmosphère)
- contrôler l'évolution naturelle prédateur / gibier dans un effort vain de préserver l'écosystème en l'état ? (état qui n'est d'ailleurs jamais statique)
- la nature est autonome, elle est toujours en mouvement, pourquoi ne pas laisser faire ? (pas d'amalgame ici avec le pourrissage de l'atmosphère)
- contrôler l'évolution naturelle prédateur / gibier dans un effort vain de préserver l'écosystème en l'état ? (état qui n'est d'ailleurs jamais statique)
Le ver de terre, l’agriculteur, le joueur de golf et le « bon sens »
Parlons du ver de terre...
Si on compare le ver à l’agriculteur, en une année le ver déplace plus de sol que tous les outils agricoles les plus modernes et augmente sensiblement le rendement des cultures.
Le « hic » : les labours et les pesticides détruisent les vers de terre. Des recensements montrent que leur nombre se réduit au sein des parcelles agricoles labourées et mono culturales. Depuis un siècle, certains terrains sont passés de 2 à 4 tonnes de vers de terre à l'hectare à… 50 kg. Du coup, il y a une baisse énorme de la diversité même en bordure de parcelles et dans les haies, disparition des fleurs des champs, et par suite des abeilles...
Solution : aujourd'hui, on cultive et on « replante » des vers de terre… et on découvre qu’on peut cultiver sans labourer…
Si on compare le ver de terre au joueur de golf, le premier représente la moitié du poids de la bio-masse terrestre.
Le « hic » : les vers de terre criblent les « greens » (terrains de golf) de petites buttes de terre glissantes et qui tâchent le blanc des chaussures. Alors, sur les golfs on emploie des pesticides spéciaux pour tuer les vers. Du coup, la terre se tasse, la pluie ruisselle, le gazon étouffe.
Solution : le golf « écolo » :
L’analyse du spécialiste : (doc .pdf) http://www.ecoumenegolf.org/BGazon/Role%20des%20vers%20de%20terre%2036.PDF
Un projet déjà mis en place (sympa, marrant, intelligent) : http://www.les-vegetaliseurs.com/article-25776-golfetecologie.html
Derrière cette situation paradoxale, une vérité se fait jour : les organismes qui vivent dans le sous-sol et contribuent à la fertilité des terres attendent encore d’être découverts... Cf. Programme des Nations Unies pour l'environnement (2002) :
http://new.unep.org/Documents.Multilingual/Default.asp?DocumentID=270&ArticleID=3180&l=fr
Parlons du ver de terre...

Si on compare le ver à l’agriculteur, en une année le ver déplace plus de sol que tous les outils agricoles les plus modernes et augmente sensiblement le rendement des cultures.
Le « hic » : les labours et les pesticides détruisent les vers de terre. Des recensements montrent que leur nombre se réduit au sein des parcelles agricoles labourées et mono culturales. Depuis un siècle, certains terrains sont passés de 2 à 4 tonnes de vers de terre à l'hectare à… 50 kg. Du coup, il y a une baisse énorme de la diversité même en bordure de parcelles et dans les haies, disparition des fleurs des champs, et par suite des abeilles...
Solution : aujourd'hui, on cultive et on « replante » des vers de terre… et on découvre qu’on peut cultiver sans labourer…
Si on compare le ver de terre au joueur de golf, le premier représente la moitié du poids de la bio-masse terrestre.
Le « hic » : les vers de terre criblent les « greens » (terrains de golf) de petites buttes de terre glissantes et qui tâchent le blanc des chaussures. Alors, sur les golfs on emploie des pesticides spéciaux pour tuer les vers. Du coup, la terre se tasse, la pluie ruisselle, le gazon étouffe.
Solution : le golf « écolo » :
L’analyse du spécialiste : (doc .pdf) http://www.ecoumenegolf.org/BGazon/Role%20des%20vers%20de%20terre%2036.PDF
Un projet déjà mis en place (sympa, marrant, intelligent) : http://www.les-vegetaliseurs.com/article-25776-golfetecologie.html
Derrière cette situation paradoxale, une vérité se fait jour : les organismes qui vivent dans le sous-sol et contribuent à la fertilité des terres attendent encore d’être découverts... Cf. Programme des Nations Unies pour l'environnement (2002) :
http://new.unep.org/Documents.Multilingual/Default.asp?DocumentID=270&ArticleID=3180&l=fr
Je ne sais pas moi,
La nuit, les arbres, ils ne font rien, ils poussent ?
En tout cas, j'suis sur à 100% que le bilan au final est forcement en la faveur d'une diminution du CO2. Sinon ou prendraient ils le carbone qui les constitues ??
Sinon, voici, un joli proverbe Africain:
Quand un arbre tombe, on l'entend, mais quand la forêt pousse, pas un bruit !
La nuit, les arbres, ils ne font rien, ils poussent ?
En tout cas, j'suis sur à 100% que le bilan au final est forcement en la faveur d'une diminution du CO2. Sinon ou prendraient ils le carbone qui les constitues ??
Sinon, voici, un joli proverbe Africain:
Quand un arbre tombe, on l'entend, mais quand la forêt pousse, pas un bruit !
- DarkPounette
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