Bonjour
Depuis belle lurette l’on sait que certains désordres du comportement comme l’obésité (en excluant certaines formes pathologiques), l’addiction etc..sont la résultante de déséquilibres ou désordres psychiques issus de troubles de l’adaptation (ou inadaptation) au stress de notre société occidentale dite « évoluée » et moderne, que le personnes éprouvent face à leur environnement en perpétuel changement et qui occasionne, bien souvent, la perte de repères… Ces désordres psychiques seraient issus de mécanismes cérébraux mis en place pour lutter contre l’ennui, mal-être ou souffrance.
Résultat : à toute manifestation psychopathologique correspond une dysfonction neurofonctionnelle.
N.B. : -Le cerveau décide non pas en fonction de la valeur considérée à tort « absolue » des récompenses, mais en fonction de la valeur subjective, des différences entre ce qu’il prévoit, ou désire, et ce qu’il obtient. Cette différence est bien sûr mesurée à l’aune de facteurs innés, sociaux, culturels (acquis) qui déterminent notre personnalité. Il simplifie le monde en fonction de ses choix, il ne perçoit que ce qu’il veut (ou peut !) percevoir et rien d’autre !
C’est l’émotion qui guide la décision, ce qui est souvent une cause d’erreur classiques, car elle conduit à une focalisation sur des solutions immédiates et à négliger d’autres solutions pertinentes possibles…
Eviter de se tromper lorsqu’on décide exige d’abord que le « réel » qu’on nous enseigne (ou qu’on devrait nous enseigner !) soit bien clair, identifié et catégorisé, conforme à notre vraie nature. Mais comment pouvons nous prendre une bonne décision si l’on a du monde une perception déformée, irrationnelle, incomplète, purement illusoire ou mythique ?
