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Grâce à un dispositif portable, une équipe de l'UNIGE, du CHUV, des HUG, de l'UNIL et de l'EPFL a identifié des dysfonctions persistantes dans la régulation du glucose chez les femmes ayant eu un diabète gestationnel. Complication liée à la grossesse, le diabète gestationnel augmente le risque de développer un trouble du métabolisme, notamment le diabète de type 2. Ses effets après l'accouchement restent cependant mal compris. Pour combler cette lacune, une équipe de l'Univers...

C'est fou cette manie qu'ont les scientifiques de rechercher des solutions à des problèmes sans se poser la question du pourquoi ces problèmes adviennent. Il vaut toujours mieux prévenir que guérir, mais qu'en l'un est peu onéreux, l'autre promet une manne financière qui font des heureux chez ceux qui financent ces recherches.

Petit cadeau pour ces chercheurs faisant semblant de chercher, ou cherchant mal, et surtout pour ces femmes faisant du diabète gestationnel et/ou de type 2 :

Elles font du diabète gestationnel car pendant la formation du fœtus, ce dernier puise les oméga 3 de la mère afin de se construire, notamment pour les nerfs et le cerveau. Si la mère a des taux d'oméga 3 qui sont limites, elle fera du diabète gestationnel, et si elle a de bonne ressources en oméga 3, elle n'en fera pas. Si la mère qui a fait du diabète gestationnel continue à se nourrir de manière à n'avoir que peu d'oméga 3, elle fera un diabète de type 2.

Les oméga 3 se trouvent surtout, par taux croissant d'oméga 3, dans l'huile de colza, de noix, de caméline et de lin (cette dernière devient toxique quand elle est oxydée, donc à consommer dans le mois suivant l'ouverture de la bouteille).
Aussi, en mangeant des poissons gras, on trouve des formes transformées d'oméga 3, donc accessibles plus facilement pour le corps, tel que l'EPA et le DHA.
Cependant, il faut faire attention à ne pas abuser des gros poissons gras tels que le thon. La chaîne alimentaire fait que les gros poissons mangent les petits et donc la concentration de mercure, surtout le méthylmercure, sera bien plus élevée dans ces gros poissons. Donc pour avoir un taux maximum de bénéfice/risque, il faut plutôt manger des sardines, des macros, des hareng et des anchois.

Alors quel phénomène est à l’œuvre de cette prévention au diabète gestationnel et au diabète de type 2 ?

Nos cellules sont toutes formées d'une membrane lipidique. Plus cette membrane a un taux d'oméga 3 important et plus les récepteurs à sa surface seront mobiles et donc efficaces pour remplir leur différent rôles. Ce qui veut dire que le taux de sucre dans le sang dépend aussi de cette plasticité membranaire. Ces femmes diabétiques manquant d'oméga 3 ont des récepteurs peu mobiles à la surface de leur cellule. Ce qui fait que le sucre à plus de mal à y rentrer, causant un taux de sucre dans le sang automatiquement plus élevé. Le pancréas s'épuise à sécréter de l'insuline car il voit se taux de sucre trop élevé dans le sang et ne parvient que difficilement à le faire baisser. Et voila du diabète de type 2 qui s'envient.

Aussi, ces diabétiques ont plus de raison d'arrêter les produits laitiers que le sucre car il faut plus d'insuline pour assimiler le lactose que pour les autres sucres. (Désolé pour le lobby des produits laitiers ainsi que pour le lobby pharmaceutique, mais il faut bien des personnes contrant leurs mensonges et propagandes, causant drames et maladies)