Quelques conseils illustrés de 1934 pour vos prochaines équipées sauvages, dans la news rétro de ce dimanche.
Si simples d’exécution que soient ces conseils, ils n’en seront pas moins utiles à ceux qui n’y avaient pas pensé.
Source et illustration: Almanach Hachette 1934
[News] Rétro 1934: Savoir s’abriter au grand air
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Victor a écrit :Faut être scout pour faire des trucs comme ça ? Parce que ça parait dérisoire comme abris
C'est vrai ce que tu dis Victor. Scout pas obligatoirement, mais ce que le scout met en évidence c'est le rapport de soi avec les éléments de la nature.
Vivre en ville est une protection. Habitat en dur, protection du tonnerre, protection des bruits de la nature.
Dormir sous une tente en terrain de camping, plus, en pleine nature, est différent de dormir dans un lit habrité par un toit.
On peut à un moment donné de sa vie dite citadine connaître se que l'on vaut soi-même lorque l'on se confronte à la nature. Dormir sous une tente fait partie de cette épreuve, mais dormir à la belle étoile est une autre épreuve.
- cisou9
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On peut à un moment donné de sa vie dite citadine connaître se que l'on vaut soi-même lorque l'on se confronte à la nature. Dormir sous une tente fait partie de cette épreuve, mais dormir à la belle étoile est une autre épreuve.
Et pourtant de nos jours c'est ce que font les SDF qui préfèreraient avoir une vie normale.

"cisou9"Etpourtant de nos jours c'est ce que font les SDF qui préfèreraient avoir une vie normale.
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Ne pas habiter dans un abri dur n'est pas signe d'une vie anormale.
L'anormal du SDF, un nomade dans la ville, se remarque par la somme des manques qui le concerne comparativement à l'habitant de la ville.

Ne pas habiter dans un abri dur n'est pas signe d'une vie anormale.
L'anormal du SDF, un nomade dans la ville, se remarque par la somme des manques qui le concerne comparativement à l'habitant de la ville.
...Dans les années Cinquante, mon paternel avait récupéré, dans un surplus militaire, plusieurs toiles carrées, couleur sable, d’environ un mètre de coté, avec sur le pourtour, une série de boutons métalliques ainsi que des boutonnières permettant leur assemblage. Au beau milieu de chaque toile, on y trouvait une ouverture qui pouvait également se fermer par des boutons et par laquelle on pouvait passer la tête, ce qui faisait, pour l’époque, un imperméable pouvant couvrir le randonneur et son sac à dos !... 

macland a écrit :...Dans les années Cinquante, mon paternel avait récupéré, dans un surplus militaire, plusieurs toiles carrées, couleur sable, d’environ un mètre de coté, avec sur le pourtour, une série de boutons métalliques ainsi que des boutonnières permettant leur assemblage. Au beau milieu de chaque toile, on y trouvait une ouverture qui pouvait également se fermer par des boutons et par laquelle on pouvait passer la tête, ce qui faisait, pour l’époque, un imperméable pouvant couvrir le randonneur et son sac à dos !...
Il est vrai que l'armée offre parfois du matériel que l'on ne trouve pas dans le commerce. Puis le matériel de l'armée est supposé testé, efficace.
J'ai acquis aux puces pour le camping, une valise militaire destinée à la pharmacie pour mettre assiettes, buta-gaz etc.. Très utile et efficace cette valise, valise que l'on ne trouve pas dans le commerce civil.
Ta description macland me fait penser au matériel qu'utilise maintenant des randonneurs. Un grand imper qui couvre personne et sac à dos. Les couleurs sont différentes mais le principe est le même que tu décris.