Bonjour Mr U2
Merci pour vos excellentes précisions.
Une econnomie de carburant de 3% en supprimants les prélevements d'air
pour la clim et le degivrage planeur est parfaitement crédible.
Reste le prelevement d'air pour refroidir les aubes turbines ,a moins que
l'hypotétique alliage resistant aux contraintes thermiques/mecaniques soit enfin disponible.
A noter que le rendement global des générations electriques embarquées n'etait pas une réference en matiere d'economie d'energie
A ma connaissance ,la reserve obligatoire de carburant a l'arrivée est toujours de 10% du plein

pour les avions de ligne.Si cette reseve etait "individualisée" (c'est a dire tenant compte de la distance de l'eventuel déroutement et des autres paramétres influents ),il serait donc possible d'augmenter la distance franchisable de ces avions.mais compli querait le "management" du fuel.
A noter que des turbopros des années 50 etaient degivrés electrique ment,par refroidissement de l'huile moteur et pneumatiquement.
Cela faisait une belle usine! avec des tas de boutons et de voyants
"cycliques"

....... et de superbes abaques pour le "management" du pétrole(avec une vitesse sol trés approximative)
Cordialement Gaz et chaleur