
Andrea Accomazzo, directeur de la division des missions solaires et planétaires à l'ESA, fait part de son « intuition ». Selon lui, un bug du logiciel de Schiaparelli ou un problème dans l'agrégation des données provenant des différents capteurs ont peut-être fait croire à l'engin qu'il se trouvait à une altitude plus basse qu'il ne l'était en réalité.
Source : Futura Sciences