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La différence de salinité entre l'eau douce et l'eau de mer est l'une des voies explorées pour obtenir de l'énergie renouvelable. Néanmoins, les faibles rendements des techniques actuelles constituent un frein à son utilisation. Ce verrou pourrait être en train d'être levé. Une équipe menée par des physiciens de l'Institut Lumière Matière (CNRS / Université Claude Bernard Lyon 1), en collaboration avec l'Institut Néel (CNRS), a découvert une nouvelle piste pour récupérer cette ...

1 mètre carré de nanotubes de Bore-Azote aurait une capacité d'environ 4 kW et serait capable de générer jusqu'à 30 MegaWatts.heure par an.

Ça devient intéressant, mais combien de m² peut on mettre à l'embouchure d'un fleuve, de plus l'eau est sale et polluée, et comment réagit le nanotube en présence des espèces vivantes (les très petites) ?

Pour un diamètre d'une dizaine de nanometres les especes vivantes se résument aux plus petits virus.
En gros il est peu probable qu'on bouche un nanotube avec une bestiole.

Pour le coup de l'énergie tirée des fleuves à grande échelle, faut pas s'y méprendre : c'est juste de la communication pour obtenir des fonds. On en est à un niveau encore bien trop fondamental mais faut bien faire miroiter une application concrète.

Entre la pratique et la théorie, il y a un monde avant de penser à faire une telle installation sur un fleuve comme le rhone faudrait tester sur des plus petits cours d'eau comme des petites rivières ou des sources là où on est sur que l'eau est propre.

Juliae a écrit :Entre la pratique et la théorie, il y a un monde avant de penser à faire une telle installation sur un fleuve comme le rhone faudrait tester sur des plus petits cours d'eau comme des petites rivières ou des sources là où on est sur que l'eau est propre.

Oui mais à proximité d'une petite rivière, il n'y a pas d'eau salée !

C'est plus simple de saler de l'eau que de la désaler