Michel a écrit ::( bel exemple d'extraction d'une partie du texte qui t'arrange. En fait, le texte entier fait la part des choses et pèse le pour et le contre, ce que, visiblement, tu ne sais pas faire. Ca ne m'intéresse plus de discuter avec toi.
Oui, le texte pèse le pour et le contre de l'emprunt de mots anglais. Mais il appuie aussi le phénomène d'accélération que je mentionnais. Raison pour laquelle j'ai cité cet extrait.
Il est évident que si je parle de voiture, je vais sélectionner dans un texte sur les inventions du XXème siècle la partie qui concerne l'automobile, et non celle sur la pénicilline.
J'aurais pu en effet citer de nombreux autres extraits de ce texte pourtant très court :
(...) Aux emprunts proprement dits, il convient d’ajouter les emprunts sémantiques (...), les réintroductions de termes anciennement empruntés au français par l’anglais, et les calques (...).
À cela s’ajoute que l’on concède généralement à l’anglais une concision expressive qui, si elle peut nuire parfois à la précision (surtout dans l’anglo-américain très pauvre qui sert ordinairement de langue internationale commune), s’accorde au rythme précipité de la vie moderne.
En dehors de cela, ce texte note l'usure de certains emprunts, qui disparaissent (effet de mode).
J'ai déjà reçu des échos positifs à ma proposition. On verra ce qui pourra être fait.