Bonjour, j'aimerai bien une explication sur le raisonnement qui suit et si il y a une erreur de logique, merci.
C'est mon premier post ici, j'espère être dans les clous
je me disais que vous seriez content de savoir que c'est l'unité du radian qui n'est pas comptée en Physique (et pourtant ?), introduit pour faire de l'arc de cercle une longueur exacte en partant d'une horloge en base 12 (les degrés), et donc de faire correspondre les longueurs de l'arc au segment, qui introduisent et définissent pi (On a aboutit à l’impossibilité de résoudre Surface{cercle}=Surface{carré} (la quadrature du cercle) parce que pi est transcendant). Donc c'est la propriété d'être, de pi, un nombre transcendant, qui empêche de résoudre du même coups tout les problèmes d'unités d'angles, (rad, seconde d'arc), en tout cas, le fait qu'il ne peuvent se convertir l'un dans l'autre ... sans pi !
Alors c'est quoi la meilleure façon de caractériser une (courbure, des cycles, des accélérations, bref des unités de temps ?) et de caractériser les surfaces/intégrales/topologies par une unité fondamentale (c'est déjà le cas, les m²) de façon à rapprocher et diversifier les passages des systèmes de coordonnées sphériques<=>cylindriques<=>cartésiennes (car même le mathématicien pour travailler doit avoir au départ un objet mathématique comme base) et qui sont très utilisées, en prenant les coordonnées cylindriques comme éléments de construction (règle et compas) respectant des solutions à la quadrature du cercle, même si la prémisses est d'être en base pi (modulo |N pour la construction), car il est redondant et multiple dans toutes les équations ... tout comme le temps ... le temps qui est une dimension assez particulière d'une théorie (RG) basée sur la géométrie non euclidienne (en grande partie), les angles qui peuvent se mesurer en unité de temps et vice versa ! Mais redéfinir la quadrature par une nouvelle géométrie discrète, et qui décrirait mieux le temps et l'analyse dimensionnelle en Physique, autant prendre la MQ (et là, on a pi, partout aussi), donc comme Mr Rovelli essaie de ne pas prendre en compte le temps dans une Physique atemporelle (pour moi, c'est la définition actuelle d'une théorie Mathématique), c'est l'exprimer clairement en Maths comme quelque chose de + profond que ça ... c'est pour moi la racine du problème=les Maths
Le problème est entre l'omniprésence des corps sphériques et des particules comme une molécules ou des cristaux (+ carrées) (caréner dans un cadre antique que sont les polygones comme les épicycles de Ptolémée), particules/champs sphériques, ce sont donc les constructions carrés qui représentent le cas particulier et les angles comme bases naturelles !
C'est bien simple les champs (comme la TQC, et la RG) ne sont pas indépendantes de pi (radian, stéradian => changement de dimension spatiale à 90°(x, y, z) (30 min d'arc,1800"et pas pi/2) et comme je crois que ce sont les mathématiciens qui font les Maths ... je me demande si eux mêmes, peuvent manquer de temps (ça rejoint l'énormissime travaille de Grothendieck, qui travaillait sur des lois entre géométries, et qu'il n'avait pas fini ... ! et le fait qu'ils en faillent plusieurs sur le coup pour décrypter son œuvre, et la continuer).
Donc si il faut une preuve de se débarrasser de pi, elle est en Maths, je pense !
Voici ma formule : Prenons un carré de côté c, les cercles inscrits et circonscrits tout 2 de Di=c et Dc=c.sqrt(2) ; On effectue la soustraction littérale des surfaces des 2 cercles qui est proportionnelle à Dc²= et Di² avec pi.D²/4 et D=(Dc-Di)/2 <=> D=sqrt(2)sqrt(3)/2=sqrt(6)/2=Dc/2= et Si (Surface inscrite) et Sc (Surface externe) ne sont donc que des cercles concentriques de 2 fois la surface de l'un moins la surface de l'autre (peut importe c'est proportionnel n² à D² (je rappelle la base |N avec pi).
Maintenant je précise que c=sqrt(3), donc Scarré=Di²=c²=3 et c.sqrt(2)=Dc=sqrt(6) avec Dc²=2c². Ce qui donne avec c²=3 et Sc=2Si avec S (surface de cercle à égaliser avec le ²) S=n²(Dc²-Di²)=n²Dc²-n²Di²=3 donc et n=sqrt(2) Sconcentriques=2c²-c²=c² =Scarré comme Sc=2Si alors k=n²(théorème des rayons puisque les cercles sont centré) DiDc=c².sqrt(2)=racine(3)racine(2)/2=racine(6)/2
Il faut que n²=k (n, pris dans les entiers naturels et k un ensemble possible des transcendants ?)
Du coup, Je ne vois pas de problème majeur dans l'égalité de certaines surfaces de polygones régulier convexe (comme le carré) avec un cercle composé d'une différence de cercle concentrique particulier (inscrits et circonscrits) comme avec le problème de recomposition de Banach Tarski par décompositions en éléments simples de surfaces courbes et donc reformer l'égalité de mesure entre 2 sphères identiques (2=1 qui pour moi est la définition d'une base 2, 10 ou n²pi). Du coup la géométrie reprend du gallon !
PS: L'erreur c'est peut être que sqrt(2) est transcendant ?
Oh aller ! je donne ma petite formule générale pour rire et sa coûte rien.
Le nombre de côté égaux donne un diamètre exact en conséquence pour N quelconque : N = 180/(tan^-1(2l²/(D²-l²))) pour N=4, l=c=sqrt(3), l=norme du segment ou côté du polygone, et avec le diamètre choisi pour inscrire ou circonscrire le polygone ou le cercle ou le compromis en base transcendante D=sqrt(6)/2=Dc/2 ; (Dc-Di)=Dc donc Dc=Di, ie en degrée horaire !
Voilà, j'espère plein de critiques constructives, en tout cas merci de m'avoir lu.