[News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
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Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
Bof avec des espaces de théories des cordes vous allez bien y arriver
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
Je préfèrerais une théorie avec des volumes.
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
Mais vous venez de dire que le jaune d’œuf (noyau) oscille dans le blanc d’œuf (électron étendu)...florentis a écrit :« pourquoi le noyau, plus massif, oscillerait-il ? »
À cause de la polarisation électrique tout autour !
Ça manque de base de physique la plus élémentaire.

Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
En physique des plasma, il y a une température électronique et une température ionique.
Dans un plasma d'hydrogène, le noyau et l'électron vibrent chacun.
Dans un plasma d'hydrogène, le noyau et l'électron vibrent chacun.
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
Je suis perdu, vous voulez parler de la stabilité de l'atome d'hydrogène ? ou bien vous voulez parler du milieu de propagation des ondes électromagnétiques ?
Il faudrait recadrer le sujet de départ avant de se perdre dans les détails un peu plus techniques.
Il faudrait recadrer le sujet de départ avant de se perdre dans les détails un peu plus techniques.
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
(J'en profite pour vous remercier à nouveau d'avoir corrigé mon erreur initiale).
De la même manière que je concevais l'atome comme un "oeuf",
j'envisageais un "atome de vide" tel un oeuf :
- un positon en position de "noyau", ponctuel.
- un électron étendu et extensible, autour du positon.
Les ondes électromagnétique se propagent en effet dans tous les milieux, y compris le vide.
J'avais d'ailleurs posté un lien qui montrait que le positonium semblait se diffuser comme l'électron lors de certaines expériences, ce qui tend à légitimer qu'un positon peut se cacher à l'intérieur d'un l'électron.
Pour en revenir au sujet, cela pourrait expliquer l'excès de positons mesuré par l'AMS.
De la même manière que je concevais l'atome comme un "oeuf",
j'envisageais un "atome de vide" tel un oeuf :
- un positon en position de "noyau", ponctuel.
- un électron étendu et extensible, autour du positon.
Les ondes électromagnétique se propagent en effet dans tous les milieux, y compris le vide.
J'avais d'ailleurs posté un lien qui montrait que le positonium semblait se diffuser comme l'électron lors de certaines expériences, ce qui tend à légitimer qu'un positon peut se cacher à l'intérieur d'un l'électron.
Pour en revenir au sujet, cela pourrait expliquer l'excès de positons mesuré par l'AMS.
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
Le positon a exactement la même masse que l'électron... donc il ne peut être immobile.
Je rappelle que le modèle de Rutherford est un noyau central des milliers de fois plus lourd que son cortège électronique, c'est pourquoi il peut être considéré en première approximation comme immobile au centre.
Aujourd'hui l'électron ne semble pas avoir de structure interne (considéré aujourd'hui comme ponctuel). Certaines théories évoquent des préons...
En aucun cas, un positron ne peut constituer un électron, la charge n'est absolument pas cohérente...
Je rappelle que le modèle de Rutherford est un noyau central des milliers de fois plus lourd que son cortège électronique, c'est pourquoi il peut être considéré en première approximation comme immobile au centre.
Aujourd'hui l'électron ne semble pas avoir de structure interne (considéré aujourd'hui comme ponctuel). Certaines théories évoquent des préons...
En aucun cas, un positron ne peut constituer un électron, la charge n'est absolument pas cohérente...
Re: [News] L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace
J'aimerais bien avoir des références concernant ces expériences qui "démontreraient" que les électrons sont ponctuels.
Gaston Casanova a démontré que les équations de Dirac ne peuvent décrire un électron ponctuel.
Ces expériences auxquelles vous faites référence sont-elles les pièges de Penning ?

Il faudrait envisager que les champs "compressent" l'électron, qui serait donc élastique : il faudrait envisager que la force "influence" la forme de l'électron. La forme hyperboloïde des électrodes est en soit une information intéressante, au regard de ce qui concerne la stabilité d'un système de charges électrostatiques en interaction.
Notez que le piège de Penning concerne autant les électrons que les ions (noyau + électrons en sous-nombre).
Si le positonium se diffuse comme l'électron dans la matière, cela signifie que l'interaction se fait d'abord par contact, dans la proximité, car c'est l'électron englobant qui interagit, et il faut en déduire que le positon reste confiné à l'intérieur.
Pour l'atome de Rutherford, il s'agit bien d'une modélisation en "première approximation".
Mais dès que la température augmente, l'hydrogène atteint l'État de plasma, et dans ce cas il y a bien une température ionique et une température électronique, et on obtient alors d'autres séries de spectres.
Dans le cas général, celui de l'atome froid, il y a certainement aussi une température ionique, pourquoi pas de l'ordre de grandeur de la température de l'environnement (295°K dans les conditions normale T P).
Approximativement : kT ? mv² => v ? ?(kT/m) = 1595 m/s = vitesse maximale du proton de l'hydrogène dans les CNPT.
Gaston Casanova a démontré que les équations de Dirac ne peuvent décrire un électron ponctuel.
Ces expériences auxquelles vous faites référence sont-elles les pièges de Penning ?

Il faudrait envisager que les champs "compressent" l'électron, qui serait donc élastique : il faudrait envisager que la force "influence" la forme de l'électron. La forme hyperboloïde des électrodes est en soit une information intéressante, au regard de ce qui concerne la stabilité d'un système de charges électrostatiques en interaction.
Notez que le piège de Penning concerne autant les électrons que les ions (noyau + électrons en sous-nombre).
Si le positonium se diffuse comme l'électron dans la matière, cela signifie que l'interaction se fait d'abord par contact, dans la proximité, car c'est l'électron englobant qui interagit, et il faut en déduire que le positon reste confiné à l'intérieur.
Pour l'atome de Rutherford, il s'agit bien d'une modélisation en "première approximation".
Mais dès que la température augmente, l'hydrogène atteint l'État de plasma, et dans ce cas il y a bien une température ionique et une température électronique, et on obtient alors d'autres séries de spectres.
Dans le cas général, celui de l'atome froid, il y a certainement aussi une température ionique, pourquoi pas de l'ordre de grandeur de la température de l'environnement (295°K dans les conditions normale T P).
Approximativement : kT ? mv² => v ? ?(kT/m) = 1595 m/s = vitesse maximale du proton de l'hydrogène dans les CNPT.