comment définir l infini ??
Modérateur : Modérateurs
Quelque soit le nombre tant qu'il permet des combinaisons, il peut être associé à l'infini. Il y a l'infiniment grand, l'infiniment petit, donc plusieurs infinis qui peuvent être regroupés dans une seule et même notion qu'est l'Infini.
Le fait que cette notion soit impalpable pousse l'homme à la reflexion et à chercher inlassablement l'explication de ce qui le dépasse. En ce sens l'Infini est un moteur de recherche à l'explication du monde qui nous entoure, mais un moteur de nature infinie. Il faut peut-être donc accepter que la compréhension de la notion d'Infini soit elle-même infinie.
Chaque réponse apporte une nouvelle question....
Suis-je compréhensible ?
Le fait que cette notion soit impalpable pousse l'homme à la reflexion et à chercher inlassablement l'explication de ce qui le dépasse. En ce sens l'Infini est un moteur de recherche à l'explication du monde qui nous entoure, mais un moteur de nature infinie. Il faut peut-être donc accepter que la compréhension de la notion d'Infini soit elle-même infinie.
Chaque réponse apporte une nouvelle question....
Suis-je compréhensible ?
s'il est si difficile d'expliquer l'infini, essayons d'expliquer le fini...
mais comme c'est parti, on n'a pas fini, le topic pourrait etre infini.
plus sérieusement, comment discuter scientifiquement d'un sujet à tendance philosophique, et vice et versa ?
oui, comme il y a une infinité de points dans un volume (sur un plan aussi), mais concrètement, ces espaces sont finis par les limites que l'on décide, que l'on s'impose...c'est pareil pour les segments ou les carrés (comparativement aux droites et plans)
en dessin technique par exemple, on fixe une unité de mesure, ce qui implique une précision définie, donc des mesures finies, mais pas forcément précises.
alors ma remarque :
le fini est imperfection. l'infini serait-il la perfection ?

mais comme c'est parti, on n'a pas fini, le topic pourrait etre infini.
plus sérieusement, comment discuter scientifiquement d'un sujet à tendance philosophique, et vice et versa ?
victor a écrit :Pour bongo une droite est un infni, un plan est aussi un infini, mais il ya une infinité de droites dans un plan, je peux continuer sur un volume et les hypervolumes, toutes les coordonnées varient dans des infinis
oui, comme il y a une infinité de points dans un volume (sur un plan aussi), mais concrètement, ces espaces sont finis par les limites que l'on décide, que l'on s'impose...c'est pareil pour les segments ou les carrés (comparativement aux droites et plans)
en dessin technique par exemple, on fixe une unité de mesure, ce qui implique une précision définie, donc des mesures finies, mais pas forcément précises.
alors ma remarque :
le fini est imperfection. l'infini serait-il la perfection ?

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j'ai lu un jour une citation qui disait qu'il n'est pas possible de "comprendre" ce qui nous permet de comprendre....
de determiner le plus petit denominateur de la conscience...
on fait de grande hypotheses et nous ignoront tout de ce qui nous permet de les formuler...
ce qui signifie quelque que nous sommes aussi une part de cet infini apparament
de determiner le plus petit denominateur de la conscience...
on fait de grande hypotheses et nous ignoront tout de ce qui nous permet de les formuler...

ce qui signifie quelque que nous sommes aussi une part de cet infini apparament
Pour en revenir aux grands nombres si vous admettez que le cerveau humain comporte N= 20 000 000 000 = 20 milliards de neurones, une estimation moyenne chez l'homme, si vous admetez que les neurones ont en moyenne P= 100 connections de leurs synapses, ça donne un nombre de possibilité, de connection = C(N,P), combinaison mathématique qui dépasse parait il les plus grands nombre de l'univers comme le nombre d'atome existants 10^40
bongo1981 a écrit :Bah nous sommes du côté de l'infiniment complexe.
je dirais plutot que nous sommes "limités" et que ces limitations nous empechent d'en savoir plus...
un peu comme nous avons besoin d'auxilaires informatiques pour resoudre certaines problemes...
sans auxilaires (de la catapulte a l'informatique) finalement nous ne sommes pas grand choses... c'est notre capacité a trouver des solutions qui nous rend souples.... et ce sont les solutions que nous trouveront au gré des siecles qui nous permettront d'avancer dans la comprehension des choses... peut etre auront nous un jour la capacité par auxiliaires interposés de comprendre ce qu'est la conscience...
.
Me concernant pour penser l infini je le penserais à partir du fini , et pour cela remettre le préfixe : in dans ce qui est considéré comme fini .
Que se passe t il dans ce cas ? .
C est fini mais à repenser le fini " in " une autre voie s ouvre . Tient je n y avais pas penser me dis je , alors c est reparti , puis cela recommence lorsque c est fini .
masqueno .
Que se passe t il dans ce cas ? .
C est fini mais à repenser le fini " in " une autre voie s ouvre . Tient je n y avais pas penser me dis je , alors c est reparti , puis cela recommence lorsque c est fini .
masqueno .
euh a écrit :Si ça se trouve notre univers est précisément délimité par une hyper-sphère d'espace-temps centrée sur chacun de nous et d'équation x²+y²+z²-c²t²=0 non ? Puisque tout est relatif... (Enfin je dis ça après quelques bières de trop)
Est ce chacun de nous qui serait centré par cette équation ?
masqueno .
Pour la relativité tous les observateurs sont équivalent et tout ça ça marche avec des approximations telles que la Terre est quasi un point et que nous pouvons acceptez cette idée mais en toute logique il y a autant d'équations personnelles que d'observateurs, le meilleur exemple c'est que la référence de temps est une convention et que des horloges différentes donnent des résultats différents
Heu.. c'est pas possible ca
Par contre il est vrai qu'entre le moment ou un photon est emis et le moment ou il est absorbé (dans ton oeil par exemple) y'a pas de temps, (pour le photon je parle)
C'est a dire pour le photon etre emis puis absorber c'est au meme moment. Autrement dit pour lui le temps ne passe pas.
On peut par contre faire une experience de pensée pour simuler une vitesse superieure a C.
Imagine que tu regarde une lampe qui clignote alternativement rouge puis vert. Au moment ou tu la voit passer au rouge tu t'eloigne de la lampe a la vitesse C. Pour toi elle restera rouge indefiniment puisque tu suit le photon rouge. Si tu accelere un peu tu va le depasser et rattraper le photon que la lampe avait emis juste avant c'est a dire un photon vert.
Tu aurait ainsi l'impression de remonter le temps.
D'ou l'idée tres reprise en SF
Mais bon on ne peut pas aller plus vite que C

Par contre il est vrai qu'entre le moment ou un photon est emis et le moment ou il est absorbé (dans ton oeil par exemple) y'a pas de temps, (pour le photon je parle)
C'est a dire pour le photon etre emis puis absorber c'est au meme moment. Autrement dit pour lui le temps ne passe pas.
On peut par contre faire une experience de pensée pour simuler une vitesse superieure a C.
Imagine que tu regarde une lampe qui clignote alternativement rouge puis vert. Au moment ou tu la voit passer au rouge tu t'eloigne de la lampe a la vitesse C. Pour toi elle restera rouge indefiniment puisque tu suit le photon rouge. Si tu accelere un peu tu va le depasser et rattraper le photon que la lampe avait emis juste avant c'est a dire un photon vert.
Tu aurait ainsi l'impression de remonter le temps.
D'ou l'idée tres reprise en SF

Mais bon on ne peut pas aller plus vite que C

adagio a écrit :C'est a dire pour le photon etre emis puis absorber c'est au meme moment. Autrement dit pour lui le temps ne passe pas
d'un autre coté, on enfonce une porte ouverte quelque part... c'est un peu pareil que se demander si un cailloux voit le temps passer

si on me dit oui mais le cailloux vieillit lui... ben j'aurais envie de repondre que la lumiere aussi puisque sa longueur d'onde se modifie dans le redshift, elle n'est pas immuable a tous les niveaux, comme le caillou....?