Une nouvelle particule ?
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bongo1981 a écrit :Mais ch'uis désolé d'avoir pris autant de temps, j'ai pas mal de soucis en ce moment.
Mais il ne faut pas être désolé ! Par contre, avoir du temps à consacrer pour répondre, c’est un luxe et très beau cadeau !
bongo1981 a écrit : Je pense qu'il vaut mieux éviter des analogies trop familières.
Peut être... mais je ne peux pas m’empêcher, c’est comme cela que je comprend les choses

En fait, je m’étais imaginé un espace de courbure nulle, et avec le passage d’une « onde » déformant cette courbure. Apres le passage de l’onde, la courbure est de nouveau nulle. Et on arrive à ce que je disais plus haut sur les ondes de compression et de cisaillement.
Mais ce n’est pas cela les ondes gravitationnelles…
Et maintenant, j’ai une autre image en tête, tout ce passe comme si l’onde modifiait la courbure locale et que l’espace temps garde la « mémoire » (sorte de polarisation ?) et maintienne cette courbure...
Faudra tout de même que je lise un jour les documents sur les RG que j’ai téléchargé il y a 1 mois !!
"Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément" Albert Einstein
merciPollux a écrit :Mais il ne faut pas être désolé ! Par contre, avoir du temps à consacrer pour répondre, c’est un luxe et très beau cadeau !

C'est tout à fait cela, dans un cas d'école, l'on considère la métrique g_ab = eta_ab + h_abPollux a écrit :Peut être... mais je ne peux pas m’empêcher, c’est comme cela que je comprend les choses
En fait, je m’étais imaginé un espace de courbure nulle, et avec le passage d’une « onde » déformant cette courbure. Apres le passage de l’onde, la courbure est de nouveau nulle. Et on arrive à ce que je disais plus haut sur les ondes de compression et de cisaillement.
Mais ce n’est pas cela les ondes gravitationnelles…
où la métrique a été "linéarisée", en effet, en postulant que la courbure est faible, il est possible de décomposer la métrique g, en la somme de la métrique de Minkowski (espace-temps plat), et d'une petite contribution h très petite devant la métrique de Minkowski.
De là l'on linéaralise les équations d'Einstein, et l'on arrive à montrer qu'il peut exister des régions de l'espace-temps où il n'y a pas de masse, mais où des perturbations se propagent à la vitesse de la lumière (les ondes gravitationnelles).
Si tu veux les imaginer, il faut te mettre dans l'esprit que ces ondes sont une modification de la métrique (locale). Lorsqu'une onde traverse un endroit, celle-ci va modifier la longueur d'objets dans les directions orthogonales à la direction de propagation par exemple. (exemple : longueur d'un bras d'interféromètre 150 millions de km, si une onde passe, elle peut modifier cette distance de quelques centimètres par exemple, cette distance va donc être tantôt raccourcie, puis rallongée).
Pollux a écrit :Et maintenant, j’ai une autre image en tête, tout ce passe comme si l’onde modifiait la courbure locale et que l’espace temps garde la « mémoire » (sorte de polarisation ?) et maintienne cette courbure...
Faudra tout de même que je lise un jour les documents sur les RG que j’ai téléchargé il y a 1 mois !!