[collision neutron/anti-neutrons] Il est difficile d’étudier cette réaction expérimentalement
Il me semblait aussi. La détection des charges "neutres" est toujours indirecte.
Les cations et anions que vous citez ne sont pas ponctuels.
Peut-être pas exactement, en effet. Le point est une abstraction mathématique.
Mais c'est une représentation pratique et usuelle en cristallographie.
On mesure communément la distance entre les atomes d'un cristal (paramètres de maille), donc on peut imaginer qu'elles le sont, au moins, approximativement.
Avec un petit effort, vous pourriez je suis sûr imaginer qu'il en est de même pour les charges sur mon schéma.
Le positronium a une durée de vie de 100 nano secondes.
Disons que ce que l'on mesure
dans les faits c'est le temps d'émission du photon gamma après émission de positonium.
Vous comprenez bien que, avec mon hypothèse, ce temps ne saurait être compris comme une durée de vie du positonium, mais comme la durée moyenne de sa mise en place dans le substrat.
Il me semblait d'ailleurs que cette durée avant émission est notablement plus grande que ce laissait entrevoir les calculs théoriques.
Si vous faites le bilan des forces, vous verrez que c’est bien une configuration en équilibre (résultante des forces nulle), mais c’est la même configuration que lorsque vous faites tenir un stylo sur sa pointe, c’est une position instable, toute perturbation fait imploser l’ensemble (le stylo tombe). Vous affirmez des bêtises.
Oui, je comprends bien votre critique, vous dites qu'il s'agit d'un état métastable.
Je vous répondrais que le stylo tombe, sauf si j'appuie de l'autre coté...
J'ai pris, par hypothèse, les charges situées à la périphérie fixes : après tout, mon hypothèse est celui d'un agencement de charges fixe, donc je les fixe toutes sauf une, celle au centre, et je regarde ce qui se passe pour cette dernière.
J'ai fait un calcul partiel uniquement sur les axes Ox/Oy, mais pas en toute généralité, étant donné le nombre de forces à estimer, calcul de plus réduit aux forces électrostatiques.
Ce calcul montre que la charge centrale qui se déplacerait sur ces axes est systématiquement repoussée vers son centre.
Donc l'agencement semble stable, étant donné les hypothèses pré-citées.
Pour justifier l'hypothèse des charges périphériques fixes, il faut envisager ce composé dans son environnement, et donc muni de sa frontière. Prenez par exemple le
modèle des doubles couches électriques :

On voit bien que, étant donné la dissociation électrique à sa frontière, le composé est tenu par une certaine pression électrique qui maintient ainsi l'agencement des charges.
Evidemment, il peut y avoir à la frontière des phénomènes d'évaporation ou de condensation, selon l'état de l'environnement.
C'est une question d'équilibre aux frontières.
De plus, si on change la nature chimique du composé entre les frontières, ou éventuellement sa phase, l'agencement des charges se modifie, ce qui va mener à des modifications de la frontière (dilatation ou rétractation), voire à des agencement instables, et donc à la destruction pure et simple de la frontière dans un phénomène carrément explosif...
Bref, je ne dirais pas que ce genre d'agencement de charge n'est jamais stable.
Il l'est manifestement pour tous les composés ioniques.
C’est l’hypothèse dont on part pour démontrer la loi de Planck qui décrit le spectre d’émission d’un corps noir…
Disons qu'en science, l'hypothèse est faite pour engendrer une expérience destinée à en estimer la validité vis-vis de diverses alternatives concurrentes.
Si mon hypothèse est correcte, alors je prédis que j'obtiendrais ceci avec telle expérience.
Prenez en illustration la découverte de la pression suite aux expériences de Torricelli.
On peut dire qu'une expérience démontre l'hypothèse, mais pas qu'une l'hypothèse démontre une loi...
Dans ce cas, il faut dire que tel postulat, tel principe permet de retrouver la loi.
Cela revient à construire un système d'axiomes.
Fréquence de raisonnance non mesurée (le calcul donne 7 eV, on ne voit aucune raie ici).
Je ne vois pas de quoi vous parlez.
[stabilité imposée par postulat] Encore une bêtise, l’équation de Schrödinger explique les niveaux d’énergie de l’hydrogène.
Les pertes d'énergie par rayonnement sont-elles prises en compte dans l'équation de Schrödinger ? Non.
Je pense qu’il vous manque 100 ans de développement de la physique quantique, vous vous êtes arrêtés sur le modèle de Bohr qui date de 1910 ?
Même remarque que ci-dessus.
Je vous ai expliqué que la distance entre l’électron et le positron a une probabilité non nulle d’être nulle, d’où l’annihilation observée.
Sauf que mon hypothèse interprète l'émission de photon gamma non comme une annihilation, mais comme la résonance du réseau de charge électon/positon suite à la perturbation de son agencement du fait de l'insertion en son sein de l'électron et du positon (c'est à dire comme une transition entre ses niveaux d'énergie dans votre langage).
Ou bien il n’y a pas de positronium (puisqu’il doit forcément être excité par le rayonnement du soleil ou autre tout comme les autres éléments chimiques).
Prenez donc cette image du rayonnement gamma céleste pour vous persuader du contraire

non les charges ne sont pas statiques dans l’hydrogène.
Et bien, dans ce cas, pourquoi ne rayonnent-t-elles pas selon le phénomène du
rayonnement de Larmor ?
Votre modèle prédit 3 modes de polarisation pour la lumière, ce qui de toute évidence est réfutée par l’expérience.
Je n'y vois aucune prédiction de ce genre, car il se ramène in fine au rayonnement dipolaire, la charge qui bouge le fait dans une direction précise et le maximum de rayonnement est donc dans le plan perpendiculaire à cette direction du mouvement.
[L'AMS] montre un excès de positrons par rapport à une quantité attendue.
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Mais n'y a-t-il pas moyens de tirer de l'expérience le rapport entre le nombre d'électrons et le nombre de positons comptés ?