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Des chercheurs de l’Institut de recherche de chimie Paris (CNRS/Chimie ParisTech/PSL University) et de l’Université Shinshū (Nagano, Japon) ont montré que les défauts dans la structure du graphène, créant des nano-fenêtres au sein des feuillets du matériau, lui confèrent d’excellentes performances pour la séparation de l’oxygène de l’air, une séparation aujourd’hui coûteuse et polluante. Ces travaux sont publiés dans la revue Nature Communications. Production d’a...

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Intéressant pour ceux qui ont besoin d'un apport d'oxygène; les patients qui ont un poumon déficient. ___ ____

Et les plongeurs!
Pouvoir extraire l'oxygène directement de l'eau environnante! Fini le bloc de 20kg sur le dos!

Les plongeurs ne respirent pas d'oxygène pur, ils n'y survivraient pas longtemps. Ils respirent de l'air,comprimé dans des bouteilles, et le gros problème quand ils plongent profond vient de la solubilité de l'azote dans le sang. Actuellement, ilsrespirent de l'hydrogène avec ce qu'il faut d'oxygène pour vivre, à des pressions compatibles avec la profondeur.
L'hydrogène est insoluble dans l'eau, donc dans le sang.
Cette technique en est encore à ses débuts mais elle est prometteuse. On a essayé l'hélium, encore plus insoluble, mais il y a des effets secondaires rédhibitoires.

On ne séparera pas l'oxygène dissous dans l'eau, que respirent les poissons, avec des filtres de graphène destinés à séparer des mélanges en phase gazeuse. On ne le récupérera pas non plus en dissociant des molécules d'eau, évidemment.

Cette nouvelle avancée technique est prometteuse de voies de recherche à défricher.