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Le froid gagne du terrain dans le LHC (Large Hadron Collider) du CERN près de Genève. En ce début juillet, le refroidissement démarre dans un deuxième secteur, le secteur 4-5. Le secteur 7-8 est maintenu depuis plus de trois semaines à 1,9 K, avec une excellente stabilité (voir notre news). Les tests électriques ont commencé avec succès dans ce secteur. Les équipes de la cryogénie entament en ce début juillet le refroidissement d’un second secteur, le secteur 4-5. Au Point 4...

Il y a de la neige par terre !!!

c'est la faute à voltaire

Est-ce que le procédé produit de la polution? Même si c'est de l'azote qu'il relache dans l'atmosphère! Ça doit avoir une incidence sur la nature?

MErci!

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Pepide... Autobot... Transform!

La réponse est dans le texte, l'azote est le constituant principal de l'air, ce n'est pas un gaz à effet de serre, de plus c'est un gaz particulièrement inerte dans l'atmosphère, le diazote (pour être chimiquement rigoureux) est composé de deux atomes d'azote liés par une triple liaison (une sigma, et deux pi).

Et puis... la quantité d'azote produite est négligeable... ça ne changera pas du tout les proportions relatives des différents gaz composants l'atmosphère (si c'est ça ta question).

Je me pose une question : comme l'azote cryogénique est relaché dans l'atmosphère après refroidissement de l'hélium, ils doivent donc produire leur azote liquide sur place, non ?

De plus, l'injection de 12000T d'azote et sa libération gazeuse interviennent-ils juste dans une phase de démarrage cryogénique, ou faut-il maintenir un flux constant d'azote pour conserver la cryogénie (dans ce cas, je ne comprendrais pas qu'ils ne recyclent pas l'azote réchauffé au lieu de le rejetter dans l'atmosphère) ?