Une vision différente sur le vide.
Modérateur : Modérateurs
Une vision différente sur le vide.
Bonjour,
je ne sais pas si certains apprécierons que je parle de cela ici.
Au premier abord cette théorie parait trop simple pour être honnête. Mais la mise en pratique est vraiment très complexe.
Je vais vous exposer ma théorie sur l'électromagnétisme, les ondes électromagnétique et la composition des atomes. Je n'utiliserais pas de grandes démonstrations mathématiques ni de concepts inaccessibles au commun des mortels mais simplement des mots de monsieur (ou madame) tout le monde. Entre autre les lettres que j'utilise pour désigner tel ou tel élément ne sont aucunement des symboles scientifique mais simplement des libellés choisi arbitrairement. Si, pour vous, les remplacer par autre chose rend le texte plus compréhensible, libre à vous.
LA THEORIE DES BILLES
Avant propos.
Il n'est nulle besoin d'être un grand mathématicien ou physicien pour comprendre cette théorie. La plus grande difficulté sera de "matérialiser" le support. Le support est la base de toute cette théorie. Il est très important de bien "visualiser" ce support, c'est pourquoi je vais tenter de le décrire du mieux que je peux. Pour le moment acceptez ce support tel quel sans vouloir chercher au delà de la description que j'en fais. Le sujet n'est pas "l'existence" ou non du support mais les effets constaté par la présence et les caractéristiques de celui-ci.
1°) Mise en situation.
Faisons place net :
prenons un espace vide ouvert et appelons le Va.
dans cet espace il n'y a ni son, ni lumière, ni magnétisme, ni mouvement, ni gravité, même pas de temps.
aucune des loi de la physique ne s'appliquent de fait dans cet espace. (malgré tout je ferais référence à certaines d'entre elles uniquement en termes d'exemple pour une plus grande compréhension).
La base :
prenons une bille et appelons la Ph.
disons que cette bille est d'une matière inconnue et de très forte densité
si nous plaçons cette bille Ph dans Va il ne ce passe rien
si nous plaçons une deuxième Ph dans Va alors Ph1 et Ph2 interagissent l'une sur l'autre de la manière suivante : lorsque Ph1 est à une distance égale au diamètre de Ph moins 3% de ce diamètre, de Ph2 il ne ce passe rien, l'ensemble Ph1_Ph2 est stable. La force liant Ph1 et Ph2 sera appelée xPh. Tout ce que nous savons de xPh c'est que, si la distance entre Ph1 et Ph2 est supérieur à 97% du diamètre de Ph alors xPh agit en attirant Ph1 et Ph2 l'une vers l'autre, le coefficient d'attirance augmentant avec la distance, et si la distance entre Ph1 et Ph2 est inférieur à 97% du diamètre de ph alors xPh agit en repoussant Ph1 et Ph2 l'une de l'autre, le coefficient de répulsion augmentant avec le rapprochement. La distance maximale d'action de xPh est infini mais plus cette distance est grande plus le coefficient d'attirance de xPh sera grand. La distance minimale entre Ph1 et Ph2 est infinie mais plus cette distance sera réduite plus le coefficient de répulsion de xPh sera grand. (xPh agit donc comme le ferait un ressort entre Ph1 et Ph2)
Le support :
plaçons maintenant dans Va autant de Ph que Va pourrait contenir et que le coefficient d'attirance ou de répulsion de xPh soit le plus faible possible.
Il y a dans Va un nombre infini de Ph espacées les un des autres d'une distance à peu près égale au diamètre de Ph.
À peu près parce que 4 Ph forment une pyramide équilatérale à laquelle nous ne pouvant ajouter que 4 autre Ph pour obtenir 5 pyramides équilatérales, 4 visible et une 5ème formant la base des 4. Au delà de ce nombre les distances entre les Ph ne sont plus égales.
Nous obtenons notre support de travail tri-dimensionnel, l'ensemble des Ph liais entre eux par la force xPh, que nous appelons Eh.
2°) La théorie
Prenons une bille différente de Ph et appelons la E.
E est d'une matière inconnue et de très forte densité.
E n'est pas compressible et son diamètre est celui de Ph fois 10^20 .(10 puissance 20)
E a les même propriétés que Ph à savoir que Ph et E à une distance l'une de l'autre égale à 97% du diamètre de Ph forment un ensemble stable et xPh est la même force liant E et Ph.
Plaçons E au sein de Eh comme "élément étranger".
E étant un élément étranger il ne prend pas la place des Ph déjà là mais est en plus.
Autour de E, Eh se trouve déformé, les distances entres les Ph sont modifiées, xPh n'est plus nulle ce qui entraîne une très forte "pression" de Eh sur E.
Cette pression de Eh sur E est très importante à proximité de E et décroît avec l'éloignement.
Par un calcule savant, il serait aisé de connaître la distance de cette déformation provoquée par la présence de E au sein de Eh mais je n'ai pas les compétences pour le faire. Nous appellerons tout de même la portée de cette déformation gE.
Malgré tout, les pressions autour de E étant identiques de toutes parts, E pourrait se déplacer dans Eh sans difficultés pour peu qu'on lui applique une augmentation ou une diminution de pression d'un coté ou de l'autre.
Plaçons une deuxième E au sein de Eh.
Si gE1 et gE2 ne se croient pas alors il ne se passe rien.
Si gE1 et gE2 se croisent alors les pressions entre E1 et E2 sont inférieurs à celles à l'opposé de celles-ci et E1 et E2 se déplaceront l'une vers l'autre jusqu'à ce que la pression de Eh sur E1 et E2 et la force xPh agissant sur les Ph entre E1 et E2 soient en équilibre.
Nous appellerons cet équilibre IF.
Là encore un calcule savant pourrait déterminer la distance d'équilibre entre E1 et E2.
Reste a déterminer si l'ensemble E1_E2 est un binôme "fixe" ou "mobile".
Prenons une nouvelle bille différente de E et appelons la P.
P est d'une matière inconnue et de très forte densité.
P n'est pas compressible et son diamètre est celui de E fois 10^20 .(10 puissance 20)
P a les même propriétés que E et la portée de la déformation de Eh due à la présence de P comme élément étranger à celui-ci s'appellera gP.
Bien entendu si gP ne croise pas gE il ne se passe rien.
Par contre si gP croise gE alors comme précédemment P et E se déplaceront l'une vers l'autre mais la distance d'équilibre entre P et E sera différente due à la différence de pression autour de ces deux dernières. De plus il y a de forte présomption que due a cette même différence de pression E se mette à effectuer des rotation autour de P.( admettons que ce soit le cas )
Nous appellerons pA la pression entre P et E.
pA sera désigné comme la pression interne à l'ensemble P_E.
La pression externe de P_E est variable suivant la position de E autour de P.
Revenons à une bille simple E ou P (disons E).
Le déplacement de E au sein de Eh provoque une onde multi-directionnelle.
La vitesse de déplacement de cette onde est directement liai à la vitesse de déplacement de E.
Nous appellerons cette onde Oe.
Avec l'ensemble P_E.
Le déplacement de E autour de P provoque sur Eh une onde Oe.
L'onde Oe provoquée par le déplacement de E autour de P agit aussi entre E et P modifiant pA.
Le résultat de ces modifications confère à l'ensemble P_E une onde Oe qui lui est propre.
Si une onde Oe rencontre un ensemble P_E, il se passe plusieurs choses;
l'onde Oe est modifié (du moins la partie de cette onde entrant dans le champ d'action de P_E)
la pression interne pA de l'ensemble P_E ainsi que la pression externe de P_E est modifié au contacte de Oe.
Après le passage d'une onde Oe la pression interne pA de l'ensemble P_E revient à un niveau "normale" plus ou moins rapidement suivant les caractéristiques de l'onde Oe et l'effet que provoque la rotation de E autour de P.
Un ensemble P_E ayant sa pression interne pA modifiée émet une onde Oe différente de celle qu'il émettrait si sa pA était "normale".
------
Voilà la base de la théorie des billes. C'est une base de travail que je trouve assez inintéressante dans le sens ou elle propose un support matériel à des effets qui n'ont avait pas.
Lorsque je note un diamètre 10^20 (10 puissance 20) fois supérieur ou 97% c'est peut-être plus, peut-être moins. Je rappelle que c'est une base de travail. La distance à laquelle xPh=1ou0 entre deux Ph les plus proche ne sera en aucun cas supérieur à 99,99% du diamètre de Ph.
P = Proton (que le proton soit composés d'autres particules ne change en aucun cas ses propriété au sein de Eh. Pour l'assemblage de plusieurs particules se rapporter à la description de mise en présence des particules E1 et E2 et l'équilibre IF)
E = Électron
Ensemble P_E = Atome (en l'occurrence hydrogène)
Oe = Onde Électromagnétique
pA = Pression Atomique, Interaction électromagnétique
gP et gE = champ gravitationnelle (cela s'applique au particules élémentaires comme aux corps complexes)
Ph = Photon
pourquoi le photon ? Parce que c'est le vecteur de l'onde électromagnétique. J'aurais put utiliser le graviton mais celui-ci fait référence à la gravité alors que je me base sur l'onde électromagnétique et que l'utilisation du graviton aurait rendu caduc l'existence même du photon.
xPh = liaison photonique
IF = interaction forte
Eh = champ électromagnétique
(au départ je pensais éther, mais l'éther n'a pas les mêmes caractéristique. J'ai ensuite pensais à dire réseau photonique, mais champ électromagnétique me conviens tout à fait)
Le couple proton électron n'a plus besoin de charge positive et négative pour être cohérent et stable.
L'onde électromagnétique se propage au sein d'un support matériel et d'une façon mécanique.
Reste a voir maintenant l'assemblage de plusieurs P et E pour former des atomes complexes et ajouter d'autres particules si nécessaire.
Les caractéristiques d'une onde électromagnétique étant liai directement à la vitesse de rotation et au nombre d'électrons composant un atome, il n'est pas exclu que celles-ci puisse être modifiées suivant que l'on augmente ou diminue cette vitesse de rotation ou que l'atome en question soit ou non en mouvement.
Il y a un point critique, qui détermine la vitesse maximal d'une onde Oe, qui est la résistivité de la force xPh. Cette même résistivité limite la vitesse de déplacement des particules au sein du champ électromagnétique.
Suivant le type d'atome traversé, (suivant sa pression atomique) l'onde Oe se propagera déferrements (atténuation, concentration ou changement de direction et autres).
Deux atomes ayant des pressions atomiques complémentaires (c'est à dire qu'ils aient une pA modifiée supérieur ou inférieur à leur pression stable) peuvent se "décharger" l'un dans l'autre.
(soit qu'il y en est un ayant une pression atomique modifiée soit les deux)
Certain atomes ont la faculté de faire la "liaison" entre deux atomes ayant des pressions atomiques complémentaires, d'autres peuvent "faciliter" cette échange entre deux atome moins complémentaires.
L'assemblage comme le désassemblage des atomes (électron et protons et autres éventuellement) entraîne une "onde de choc" se propageant aussi au sein du champ électromagnétique à la manière d'une onde Oe à la différence qu'elle n'a qu'une seule "impulsion".(voir une mini réplique suivant que l'effet ressort du champ électromagnétique)
{De la hausse ou de la baisse de pression atomique vient la hausse ou la baisse de température}
L'abondance d'atomes entraîne l'augmentation de leurs "zone d'influence" (champ gravitationnel) au sein du champ électromagnétique.
Ce n'est pas la peine d'essayer il n'est pas possible d'isolé un photon du champ électromagnétique. Pour la simple raison qu'il en est indissociable et que toute chose est traversée de part en part par ce même champ électromagnétique. Mise à part bien sûr les particules élémentaires. Prenons par exemple un bloc pur de plomb et étirons le de tel sorte qu'un "vide" se crée en son centre. Ce bloc étant traversé de part en part par le champ électromagnétique et chaque particule de ce bloc pouvant "glisser" librement au sein de ce réseau, le résultat est qu'il n'y a pas de vide au centre du bloc mais le champ électromagnétique.
Lorsque l'on dit "voir" une particule, on ne voit en fait que l'onde électromagnétique qu'elle a provoqué.
3°) Conclusion.
Notions abandonnées :
les particules chargées positivement et négativement
la propagation de l'onde électromagnétique sans support
Forces unifiées
Les interactions gravitationnelle, forte, faible et électromagnétique ne sont que des effets mécanique entre les particules élémentaires et le champ électromagnétique.
Notion nouvelle
la liaison photonique
( de cette simple liaison découle tout le reste )
Que les particules P et E soient ou ne soient pas composées de plusieurs autres particules n'enlève rien à la théorie. Pour former un atome d'hydrogène il faut que les deux particules ou groupe de particules soient de tailles différentes. Pour former un groupe de particules il faut que les pressions autour de chacune d'elles soient à peu prêt équivalentes pour quelles forment un ensemble cohérent et difficilement dissociable.
Quelques redéfinitions pour ceux qui en veulent absolument.
Voici quelques descriptions "scientifique" des particules que j'utilise dans ma théorie.
Ph, E, P
COMPOSITION : élémentaires
CLASSIFICATION : je dirais pour donner un ordre d'idée "Lepton"
CHARGE : 0
DURÉE DE VIE : stable
Ceci est la description du neutrino selon wikipédia le 25/05/2007 mis à part la MASSE qui là est 0 et le SPIN qui là n'est pas définit.
(la masse est 0 car ces particules étant à la base de tout leur masses ne sont pas mesurable. De plus la définition de la masse n'est plus la même si l'on se base sur cette théorie)
La nouveauté est le volume de ces particules élémentaires.
VOLUME Ph = 10 (il faut bien prendre un exemple)
DIAMÈTRE de E = diamètre de Ph x 10^20 (cela ne fonctionnerait peut-être pas avec une valeur trop faible)
DIAMÈTRE de P = diamètre de E x 10^20
Je considère que dans ma théorie Ph est la plus petite particule élémentaire "connue", que E est la deuxième plus petite particule élémentaire connue et que P est soit une particule élémentaire soit un "assemblage" de plusieurs particules.(L'assemblage de plusieurs particules est décrit dans la théorie au paragraphe concernant la mise en présence de 2 E)
Ces particules n'ayant ni charge électrique ni masse, c'est donc leurs caractéristiques volumétrique qui prévalent.
Le temps quand à lui n'est ici pas considéré comme "acteur" dans cette théorie.
J'espère que ces quelques exemples aiderons à une meilleur compréhension.
Voila.
Je vous remercie de votre lecture et suis à votre disposition pour débattre du sujet et éclaircir des points qui poseraient problème.
je ne sais pas si certains apprécierons que je parle de cela ici.
Au premier abord cette théorie parait trop simple pour être honnête. Mais la mise en pratique est vraiment très complexe.
Je vais vous exposer ma théorie sur l'électromagnétisme, les ondes électromagnétique et la composition des atomes. Je n'utiliserais pas de grandes démonstrations mathématiques ni de concepts inaccessibles au commun des mortels mais simplement des mots de monsieur (ou madame) tout le monde. Entre autre les lettres que j'utilise pour désigner tel ou tel élément ne sont aucunement des symboles scientifique mais simplement des libellés choisi arbitrairement. Si, pour vous, les remplacer par autre chose rend le texte plus compréhensible, libre à vous.
LA THEORIE DES BILLES
Avant propos.
Il n'est nulle besoin d'être un grand mathématicien ou physicien pour comprendre cette théorie. La plus grande difficulté sera de "matérialiser" le support. Le support est la base de toute cette théorie. Il est très important de bien "visualiser" ce support, c'est pourquoi je vais tenter de le décrire du mieux que je peux. Pour le moment acceptez ce support tel quel sans vouloir chercher au delà de la description que j'en fais. Le sujet n'est pas "l'existence" ou non du support mais les effets constaté par la présence et les caractéristiques de celui-ci.
1°) Mise en situation.
Faisons place net :
prenons un espace vide ouvert et appelons le Va.
dans cet espace il n'y a ni son, ni lumière, ni magnétisme, ni mouvement, ni gravité, même pas de temps.
aucune des loi de la physique ne s'appliquent de fait dans cet espace. (malgré tout je ferais référence à certaines d'entre elles uniquement en termes d'exemple pour une plus grande compréhension).
La base :
prenons une bille et appelons la Ph.
disons que cette bille est d'une matière inconnue et de très forte densité
si nous plaçons cette bille Ph dans Va il ne ce passe rien
si nous plaçons une deuxième Ph dans Va alors Ph1 et Ph2 interagissent l'une sur l'autre de la manière suivante : lorsque Ph1 est à une distance égale au diamètre de Ph moins 3% de ce diamètre, de Ph2 il ne ce passe rien, l'ensemble Ph1_Ph2 est stable. La force liant Ph1 et Ph2 sera appelée xPh. Tout ce que nous savons de xPh c'est que, si la distance entre Ph1 et Ph2 est supérieur à 97% du diamètre de Ph alors xPh agit en attirant Ph1 et Ph2 l'une vers l'autre, le coefficient d'attirance augmentant avec la distance, et si la distance entre Ph1 et Ph2 est inférieur à 97% du diamètre de ph alors xPh agit en repoussant Ph1 et Ph2 l'une de l'autre, le coefficient de répulsion augmentant avec le rapprochement. La distance maximale d'action de xPh est infini mais plus cette distance est grande plus le coefficient d'attirance de xPh sera grand. La distance minimale entre Ph1 et Ph2 est infinie mais plus cette distance sera réduite plus le coefficient de répulsion de xPh sera grand. (xPh agit donc comme le ferait un ressort entre Ph1 et Ph2)
Le support :
plaçons maintenant dans Va autant de Ph que Va pourrait contenir et que le coefficient d'attirance ou de répulsion de xPh soit le plus faible possible.
Il y a dans Va un nombre infini de Ph espacées les un des autres d'une distance à peu près égale au diamètre de Ph.
À peu près parce que 4 Ph forment une pyramide équilatérale à laquelle nous ne pouvant ajouter que 4 autre Ph pour obtenir 5 pyramides équilatérales, 4 visible et une 5ème formant la base des 4. Au delà de ce nombre les distances entre les Ph ne sont plus égales.
Nous obtenons notre support de travail tri-dimensionnel, l'ensemble des Ph liais entre eux par la force xPh, que nous appelons Eh.
2°) La théorie
Prenons une bille différente de Ph et appelons la E.
E est d'une matière inconnue et de très forte densité.
E n'est pas compressible et son diamètre est celui de Ph fois 10^20 .(10 puissance 20)
E a les même propriétés que Ph à savoir que Ph et E à une distance l'une de l'autre égale à 97% du diamètre de Ph forment un ensemble stable et xPh est la même force liant E et Ph.
Plaçons E au sein de Eh comme "élément étranger".
E étant un élément étranger il ne prend pas la place des Ph déjà là mais est en plus.
Autour de E, Eh se trouve déformé, les distances entres les Ph sont modifiées, xPh n'est plus nulle ce qui entraîne une très forte "pression" de Eh sur E.
Cette pression de Eh sur E est très importante à proximité de E et décroît avec l'éloignement.
Par un calcule savant, il serait aisé de connaître la distance de cette déformation provoquée par la présence de E au sein de Eh mais je n'ai pas les compétences pour le faire. Nous appellerons tout de même la portée de cette déformation gE.
Malgré tout, les pressions autour de E étant identiques de toutes parts, E pourrait se déplacer dans Eh sans difficultés pour peu qu'on lui applique une augmentation ou une diminution de pression d'un coté ou de l'autre.
Plaçons une deuxième E au sein de Eh.
Si gE1 et gE2 ne se croient pas alors il ne se passe rien.
Si gE1 et gE2 se croisent alors les pressions entre E1 et E2 sont inférieurs à celles à l'opposé de celles-ci et E1 et E2 se déplaceront l'une vers l'autre jusqu'à ce que la pression de Eh sur E1 et E2 et la force xPh agissant sur les Ph entre E1 et E2 soient en équilibre.
Nous appellerons cet équilibre IF.
Là encore un calcule savant pourrait déterminer la distance d'équilibre entre E1 et E2.
Reste a déterminer si l'ensemble E1_E2 est un binôme "fixe" ou "mobile".
Prenons une nouvelle bille différente de E et appelons la P.
P est d'une matière inconnue et de très forte densité.
P n'est pas compressible et son diamètre est celui de E fois 10^20 .(10 puissance 20)
P a les même propriétés que E et la portée de la déformation de Eh due à la présence de P comme élément étranger à celui-ci s'appellera gP.
Bien entendu si gP ne croise pas gE il ne se passe rien.
Par contre si gP croise gE alors comme précédemment P et E se déplaceront l'une vers l'autre mais la distance d'équilibre entre P et E sera différente due à la différence de pression autour de ces deux dernières. De plus il y a de forte présomption que due a cette même différence de pression E se mette à effectuer des rotation autour de P.( admettons que ce soit le cas )
Nous appellerons pA la pression entre P et E.
pA sera désigné comme la pression interne à l'ensemble P_E.
La pression externe de P_E est variable suivant la position de E autour de P.
Revenons à une bille simple E ou P (disons E).
Le déplacement de E au sein de Eh provoque une onde multi-directionnelle.
La vitesse de déplacement de cette onde est directement liai à la vitesse de déplacement de E.
Nous appellerons cette onde Oe.
Avec l'ensemble P_E.
Le déplacement de E autour de P provoque sur Eh une onde Oe.
L'onde Oe provoquée par le déplacement de E autour de P agit aussi entre E et P modifiant pA.
Le résultat de ces modifications confère à l'ensemble P_E une onde Oe qui lui est propre.
Si une onde Oe rencontre un ensemble P_E, il se passe plusieurs choses;
l'onde Oe est modifié (du moins la partie de cette onde entrant dans le champ d'action de P_E)
la pression interne pA de l'ensemble P_E ainsi que la pression externe de P_E est modifié au contacte de Oe.
Après le passage d'une onde Oe la pression interne pA de l'ensemble P_E revient à un niveau "normale" plus ou moins rapidement suivant les caractéristiques de l'onde Oe et l'effet que provoque la rotation de E autour de P.
Un ensemble P_E ayant sa pression interne pA modifiée émet une onde Oe différente de celle qu'il émettrait si sa pA était "normale".
------
Voilà la base de la théorie des billes. C'est une base de travail que je trouve assez inintéressante dans le sens ou elle propose un support matériel à des effets qui n'ont avait pas.
Lorsque je note un diamètre 10^20 (10 puissance 20) fois supérieur ou 97% c'est peut-être plus, peut-être moins. Je rappelle que c'est une base de travail. La distance à laquelle xPh=1ou0 entre deux Ph les plus proche ne sera en aucun cas supérieur à 99,99% du diamètre de Ph.
P = Proton (que le proton soit composés d'autres particules ne change en aucun cas ses propriété au sein de Eh. Pour l'assemblage de plusieurs particules se rapporter à la description de mise en présence des particules E1 et E2 et l'équilibre IF)
E = Électron
Ensemble P_E = Atome (en l'occurrence hydrogène)
Oe = Onde Électromagnétique
pA = Pression Atomique, Interaction électromagnétique
gP et gE = champ gravitationnelle (cela s'applique au particules élémentaires comme aux corps complexes)
Ph = Photon
pourquoi le photon ? Parce que c'est le vecteur de l'onde électromagnétique. J'aurais put utiliser le graviton mais celui-ci fait référence à la gravité alors que je me base sur l'onde électromagnétique et que l'utilisation du graviton aurait rendu caduc l'existence même du photon.
xPh = liaison photonique
IF = interaction forte
Eh = champ électromagnétique
(au départ je pensais éther, mais l'éther n'a pas les mêmes caractéristique. J'ai ensuite pensais à dire réseau photonique, mais champ électromagnétique me conviens tout à fait)
Le couple proton électron n'a plus besoin de charge positive et négative pour être cohérent et stable.
L'onde électromagnétique se propage au sein d'un support matériel et d'une façon mécanique.
Reste a voir maintenant l'assemblage de plusieurs P et E pour former des atomes complexes et ajouter d'autres particules si nécessaire.
Les caractéristiques d'une onde électromagnétique étant liai directement à la vitesse de rotation et au nombre d'électrons composant un atome, il n'est pas exclu que celles-ci puisse être modifiées suivant que l'on augmente ou diminue cette vitesse de rotation ou que l'atome en question soit ou non en mouvement.
Il y a un point critique, qui détermine la vitesse maximal d'une onde Oe, qui est la résistivité de la force xPh. Cette même résistivité limite la vitesse de déplacement des particules au sein du champ électromagnétique.
Suivant le type d'atome traversé, (suivant sa pression atomique) l'onde Oe se propagera déferrements (atténuation, concentration ou changement de direction et autres).
Deux atomes ayant des pressions atomiques complémentaires (c'est à dire qu'ils aient une pA modifiée supérieur ou inférieur à leur pression stable) peuvent se "décharger" l'un dans l'autre.
(soit qu'il y en est un ayant une pression atomique modifiée soit les deux)
Certain atomes ont la faculté de faire la "liaison" entre deux atomes ayant des pressions atomiques complémentaires, d'autres peuvent "faciliter" cette échange entre deux atome moins complémentaires.
L'assemblage comme le désassemblage des atomes (électron et protons et autres éventuellement) entraîne une "onde de choc" se propageant aussi au sein du champ électromagnétique à la manière d'une onde Oe à la différence qu'elle n'a qu'une seule "impulsion".(voir une mini réplique suivant que l'effet ressort du champ électromagnétique)
{De la hausse ou de la baisse de pression atomique vient la hausse ou la baisse de température}
L'abondance d'atomes entraîne l'augmentation de leurs "zone d'influence" (champ gravitationnel) au sein du champ électromagnétique.
Ce n'est pas la peine d'essayer il n'est pas possible d'isolé un photon du champ électromagnétique. Pour la simple raison qu'il en est indissociable et que toute chose est traversée de part en part par ce même champ électromagnétique. Mise à part bien sûr les particules élémentaires. Prenons par exemple un bloc pur de plomb et étirons le de tel sorte qu'un "vide" se crée en son centre. Ce bloc étant traversé de part en part par le champ électromagnétique et chaque particule de ce bloc pouvant "glisser" librement au sein de ce réseau, le résultat est qu'il n'y a pas de vide au centre du bloc mais le champ électromagnétique.
Lorsque l'on dit "voir" une particule, on ne voit en fait que l'onde électromagnétique qu'elle a provoqué.
3°) Conclusion.
Notions abandonnées :
les particules chargées positivement et négativement
la propagation de l'onde électromagnétique sans support
Forces unifiées
Les interactions gravitationnelle, forte, faible et électromagnétique ne sont que des effets mécanique entre les particules élémentaires et le champ électromagnétique.
Notion nouvelle
la liaison photonique
( de cette simple liaison découle tout le reste )
Que les particules P et E soient ou ne soient pas composées de plusieurs autres particules n'enlève rien à la théorie. Pour former un atome d'hydrogène il faut que les deux particules ou groupe de particules soient de tailles différentes. Pour former un groupe de particules il faut que les pressions autour de chacune d'elles soient à peu prêt équivalentes pour quelles forment un ensemble cohérent et difficilement dissociable.
Quelques redéfinitions pour ceux qui en veulent absolument.
Voici quelques descriptions "scientifique" des particules que j'utilise dans ma théorie.
Ph, E, P
COMPOSITION : élémentaires
CLASSIFICATION : je dirais pour donner un ordre d'idée "Lepton"
CHARGE : 0
DURÉE DE VIE : stable
Ceci est la description du neutrino selon wikipédia le 25/05/2007 mis à part la MASSE qui là est 0 et le SPIN qui là n'est pas définit.
(la masse est 0 car ces particules étant à la base de tout leur masses ne sont pas mesurable. De plus la définition de la masse n'est plus la même si l'on se base sur cette théorie)
La nouveauté est le volume de ces particules élémentaires.
VOLUME Ph = 10 (il faut bien prendre un exemple)
DIAMÈTRE de E = diamètre de Ph x 10^20 (cela ne fonctionnerait peut-être pas avec une valeur trop faible)
DIAMÈTRE de P = diamètre de E x 10^20
Je considère que dans ma théorie Ph est la plus petite particule élémentaire "connue", que E est la deuxième plus petite particule élémentaire connue et que P est soit une particule élémentaire soit un "assemblage" de plusieurs particules.(L'assemblage de plusieurs particules est décrit dans la théorie au paragraphe concernant la mise en présence de 2 E)
Ces particules n'ayant ni charge électrique ni masse, c'est donc leurs caractéristiques volumétrique qui prévalent.
Le temps quand à lui n'est ici pas considéré comme "acteur" dans cette théorie.
J'espère que ces quelques exemples aiderons à une meilleur compréhension.
Voila.
Je vous remercie de votre lecture et suis à votre disposition pour débattre du sujet et éclaircir des points qui poseraient problème.
Désolé mais les théories farfelues de ton genre, on les compte par dizaine, si Internet à bien un défaut c'est d'avoir donné une formidable tribune à ce genre de théories fumeuses.
Tu avances des assertions sans aucune démonstration et sans aucun résultat expérimental ni aucune observation (sans compter les fautes d'orthographe qui décrédibilise encore plus la chose).
Tu te contentes de déblatérer une suite de proposition sans aucune valeur scientifique dans un pseudo-jargon ridicule.
Non content de ça, tu remet en cause certains des principes fondamentaux de la physique.
Les théories novatrices sont publiés dans des revues à comité de lecture ("Science", "The Physical Review", "Nature" ...), quelles ont été leurs réponses à ta magnifique découverte ? Quelle est ta formation scientifique ?
Bref tu ne convaincras personne, si ce n'est les naïfs ou ceux qui n'ont aucun background scientifique.
Tu avances des assertions sans aucune démonstration et sans aucun résultat expérimental ni aucune observation (sans compter les fautes d'orthographe qui décrédibilise encore plus la chose).
Tu te contentes de déblatérer une suite de proposition sans aucune valeur scientifique dans un pseudo-jargon ridicule.
Non content de ça, tu remet en cause certains des principes fondamentaux de la physique.
Les théories novatrices sont publiés dans des revues à comité de lecture ("Science", "The Physical Review", "Nature" ...), quelles ont été leurs réponses à ta magnifique découverte ? Quelle est ta formation scientifique ?
Bref tu ne convaincras personne, si ce n'est les naïfs ou ceux qui n'ont aucun background scientifique.
ce qu'on te reproche que tu évacue trop de choses déjà mesurées et de réduire trop la simplicité doit tenr compte de toute l'histoire, toi tu recrées à partir de rien donc c'est pas sérieux, des théories y'en a partout des théories qui se confrontent au réel c'est plus rare, et les théories vérifiées et expériementales y'en a peu... ton truc c'est plus un jeu qu'une théorie
kalolo a écrit :Donc ce qui te dérange ce n'est pas la théorie elle même mais la façon dont elle est présenté et les oppositions au paradigme actuel.
Ca y est, on passe à l'étape suivante du Troll qui est "on ne me croit pas car je démolis le dogme actuel".
Non ce n'est qu'une petite partie de mon message. Tu ne lis que ce que tu veux bien lire. Donc je vais répéter le reste, en fait la majorité de mon message, que tu as opportunément oublié :
Tu avances des assertions sans aucune démonstration et sans aucun résultat expérimental ni aucune observation (sans compter les fautes d'orthographe qui décrédibilise encore plus la chose).
Tu te contentes de déblatérer une suite de proposition sans aucune valeur scientifique dans un pseudo-jargon ridicule.
Les théories novatrices sont publiés dans des revues à comité de lecture ("Science", "The Physical Review", "Nature" ...), quelles ont été leurs réponses à ta magnifique découverte ? Quelle est ta formation scientifique ?
Voici de quoi mieux jauger notre visiteur si "imaginatif"
Ben, on le retrouve à l'identique, même pseudo, même avatar, même théorie et même jargon sur deux autres forums :


Ben, on le retrouve à l'identique, même pseudo, même avatar, même théorie et même jargon sur deux autres forums :
- > Forum "zététique" ... http://www.forum-zetetique.com/forum/forum/viewmember?member=kalolo. C'est quoi la zététique : http://www.unice.fr/zetetique/zetetique.html
> Forum "Les sceptiques du Québec" : http://forum.sceptiques.qc.ca/viewtopic.php?f=13&t=4033
