[News] Ceux qui téléchargent des vidéos sont ceux qui en achètent le plus
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Adrien
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[News] Ceux qui téléchargent des vidéos sont ceux qui en achètent le plus
Marsouin, le laboratoire d’étude des usages de l’internet breton, a publié une note de synthèse présentant les principaux résultats d’une enquête sur la consommation de vidéos sur l’internet mené en 2008 sur un échantillon représentatif de 2000 personnes, en provenance de Bretagne où le laboratoire est installé. L’étude met en avant le fait que la consommation de vidéo sur l’internet est un phénomène générationnel, avec un clivage fort entre les plus jeunes (76 % d...
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Armageddon
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- Inscription : 21/02/2007 - 10:11:32
euh a écrit :Les majors vont bien sûr en déduire que le manque à gagner est d'autant plus grand...
Sauf que ce n'est pas défendable..
Ce n'est pas parce qu'on oblige les gens à payer une chose qui auparavant était "gratuite" qu'ils se mettent à l'acheter avec la même ferveur...
Ça aurait même surement l'effet inverse..
Armageddon a écrit :euh a écrit :Les majors vont bien sûr en déduire que le manque à gagner est d'autant plus grand...
Sauf que ce n'est pas défendable..
Ce n'est pas parce qu'on oblige les gens à payer une chose qui auparavant était "gratuite" qu'ils se mettent à l'acheter avec la même ferveur...
Ça aurait même surement l'effet inverse..
Clairement....
Ce genre d'étude est là pour savoir combien l'industrie vidéo peut encore gratter sur les clients : il faut mettre ça en relation avec les catégories socio-culturelles qui sont sur le net, combien ils épargnent, combien sont-ils endettés... Avec ça ils croiront avoir la clé pour savoir s'il faut appuyer le flicage ou s'il faut lâcher du lest. Je crois qu'il est assez évident qu'ils ont choisi de serrer les vis.
Mais il n'y a pas qu'Internet pour s'échanger des vidéos, ce qui pourrait les pousser à augmenter encore la surveillance, si le flicage n'augmente pas leurs bénéfices comme escompté. Ou ils taxeront encore plus les autres moyens d'échange, ce qui amplifiera les marchés parallèles.
De toutes façons les besoins primaires (habitat, nourriture, sorties) sont devenus plus chers, voire hors de prix (habitat) ce qui pousse les gens à la débrouille plutôt qu'à l'achat dans les canaux réguliers.
Mais il n'y a pas qu'Internet pour s'échanger des vidéos, ce qui pourrait les pousser à augmenter encore la surveillance, si le flicage n'augmente pas leurs bénéfices comme escompté. Ou ils taxeront encore plus les autres moyens d'échange, ce qui amplifiera les marchés parallèles.
De toutes façons les besoins primaires (habitat, nourriture, sorties) sont devenus plus chers, voire hors de prix (habitat) ce qui pousse les gens à la débrouille plutôt qu'à l'achat dans les canaux réguliers.
Sans parler même de revenus. C'est assez évident que les gens qui téléchargent on un certain interet pour la musique ou les filmes et donc seront plus tenté d'acheter un cd ou d'aller au cinéma que quelqu'un qui n'a aucune culture. Pensez à tous ces artistes que vous n'auriez jamais découvert (et donc à qui vous n'auriez jamais acheté de CD) si vous n'aviez pas internet.
Tout à fait d'accord !
Tant de films que j'ai découvert en divx et racheté en DVD.
Les majors cherchent toujours un coupable alors que le piratage est vieux comme le monde. Quand l'enregistreur de cassettes audio est sorti c'était la même rengaine. Après c'était le CD vierge et maintenant le P2P... Pourtant les ventes de DVD se sont jamais aussi bien portées.
Tant de films que j'ai découvert en divx et racheté en DVD.
Les majors cherchent toujours un coupable alors que le piratage est vieux comme le monde. Quand l'enregistreur de cassettes audio est sorti c'était la même rengaine. Après c'était le CD vierge et maintenant le P2P... Pourtant les ventes de DVD se sont jamais aussi bien portées.
C'est toute l'ironie de la chose...
On peut même encore rajouter dans l'escarcelle l'impact psychologique des boites de sécu qui veulent vendre des cadenas aux majors du disque et du cinéma
Les artistes, en personne, sont plus proche de leur publique que ne le seront jamais les magnas de la finance, et on voit bien que globalement la tendance chez les artistes c'est de dire :
Moi je m'en fou que ma musique s'échange sur internet, du moment qu'on écoute mes textes et mes musiques, et que mes salles de concert sont pleines... Ce qui m'importe c'est que le plus de gens possible connaissent mon art, non pas qu'un maximum de gens payent mes disques...
Mais ça, les boites de prod elle s'en tape le cocotier !
On peut même encore rajouter dans l'escarcelle l'impact psychologique des boites de sécu qui veulent vendre des cadenas aux majors du disque et du cinéma
Les artistes, en personne, sont plus proche de leur publique que ne le seront jamais les magnas de la finance, et on voit bien que globalement la tendance chez les artistes c'est de dire :
Moi je m'en fou que ma musique s'échange sur internet, du moment qu'on écoute mes textes et mes musiques, et que mes salles de concert sont pleines... Ce qui m'importe c'est que le plus de gens possible connaissent mon art, non pas qu'un maximum de gens payent mes disques...
Mais ça, les boites de prod elle s'en tape le cocotier !
Je ne sais plus dans quelle arcitcle j'ai vu ce chiffre, mais sur 2007 la pèrte du au piratage à été de 5 000 emploies non créés.
3 jours après j'entendais qu'une grand mulitnational annoncait une campagne de licenciment 50 000 emplois en quelques mois.
Donc ma conclusion est que les effets du piratage représente réèlement une goute d'eau par rapport à un océan économique.
Il y a seulement des entreprises qui savent que leur avenir est fini et veulent se le cacher et espèrer fait toujours autant de bénéfice. Mais à qui la faute ?
Le client qui n'a pas besoin du produit vendu par l'entreprise, ou l'entreprise qui ne sais pas s'adapter au besoin client?
Qui oserait encore compter faire de gros bénéfices en vendant des pierres pour graver des textes alors qu'il existe le papier et le crayon !
Ou alors c'est comme si Vebatim forçait les gens à acheter des disquettes 5"1/4 pour effectuer des tranfers de fichiers au lieu d'utiliser un reseau.
S'il n'y a plus de marché ce n'est pas en forçant des gens qu'ils vont devenir client et relancer le marché.
C'est pourtant pas compliqué, si un produit ne plait pas les gens ne l'achète pas.
3 jours après j'entendais qu'une grand mulitnational annoncait une campagne de licenciment 50 000 emplois en quelques mois.
Donc ma conclusion est que les effets du piratage représente réèlement une goute d'eau par rapport à un océan économique.
Il y a seulement des entreprises qui savent que leur avenir est fini et veulent se le cacher et espèrer fait toujours autant de bénéfice. Mais à qui la faute ?
Le client qui n'a pas besoin du produit vendu par l'entreprise, ou l'entreprise qui ne sais pas s'adapter au besoin client?
Qui oserait encore compter faire de gros bénéfices en vendant des pierres pour graver des textes alors qu'il existe le papier et le crayon !
Ou alors c'est comme si Vebatim forçait les gens à acheter des disquettes 5"1/4 pour effectuer des tranfers de fichiers au lieu d'utiliser un reseau.
S'il n'y a plus de marché ce n'est pas en forçant des gens qu'ils vont devenir client et relancer le marché.
C'est pourtant pas compliqué, si un produit ne plait pas les gens ne l'achète pas.
ou même si il est trop cher, ce que ça prouve c'est que les gens veulent bien payer, mais ils en veulent beaucoup pour moins cher, de toutes façons quand on a pas l'argent pour, on peut pas acheter, et puis pour avoir des gouts il faut pouvoir avoir le choix. Le problème c'est que l'article met en avant un effet presque psychologique, même si il ne dit rien des causes de la différence, et que ça ne pourra jamais être utilisé dans un tribunal pour défendre un "pirate", ou même le piratage. Au fait je m'aperçois qu'on en est revenu à "qui vole un oeuf, vole un boeuf", puisqu'on peut se faire qualifier de pirate... Souvenez vous de ce qu'ils faisaient et de ce qu'ils font encore en indonésie... c'est légèrement emphatique comme appellation.
Ce qui est délicat également c'est qu'ont parle d'oeuvres atristiques.
Ce n'est pas quelque chose qui vaut la même chose pour deux personnes différentes.
Ici les maison de production sont là pour trouver un artise qui fasse des oeuvre plaissant à un maximum de gens. Mais l'art n'est pas constent les gens non plus, au finale comment quantifier ça avec de l'argent pour que tout le monde s'y retrouve?
L'idéeal serait de pouvoir donner ce qu'on estime que ça vaut. Maintenant avec les maison de production tout ça est asceptisé, "ça coute tant à produire àalors le prix sera de tant, donc un film c'est 20€ le DVD"
Je ne trouve pas qu'on puisse parler d'eouvre d'art pour ça, puisqu'elle n'est pas prise en comtpe finalement dans le calacul.
Ce n'est pas quelque chose qui vaut la même chose pour deux personnes différentes.
Ici les maison de production sont là pour trouver un artise qui fasse des oeuvre plaissant à un maximum de gens. Mais l'art n'est pas constent les gens non plus, au finale comment quantifier ça avec de l'argent pour que tout le monde s'y retrouve?
L'idéeal serait de pouvoir donner ce qu'on estime que ça vaut. Maintenant avec les maison de production tout ça est asceptisé, "ça coute tant à produire àalors le prix sera de tant, donc un film c'est 20€ le DVD"
Je ne trouve pas qu'on puisse parler d'eouvre d'art pour ça, puisqu'elle n'est pas prise en comtpe finalement dans le calacul.
A là base les maisons de prod était la pour diffuser les créations des artistes suivant le mouv' du moment.
Maintenant, avec l'évolution des moyens de communication, les majors se sentent tout con parce que on a plus besoin d'eux !
Regardez, on s'échange, on créer nos propres sonneries de portable, on recompose la ligne de basse ou la mélodie de nos chansons préférées et on se les envoient en mms...
Maintenant, avec l'évolution des moyens de communication, les majors se sentent tout con parce que on a plus besoin d'eux !
Regardez, on s'échange, on créer nos propres sonneries de portable, on recompose la ligne de basse ou la mélodie de nos chansons préférées et on se les envoient en mms...