[News] Les non-voyants sont plus sensibles à la douleur
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Adrien
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[News] Les non-voyants sont plus sensibles à la douleur
Les aveugles de naissance ont une plus grande sensibilité à la douleur causée thermiquement. Ils ressentent la douleur à des intensités de chaleur et de froid plus faibles que les voyants.
C'est ce que Hocine Slimani a constaté au cours d'une expérience menée dans le cadre de sa thèse de doctorat auprès de 44 aveugles de naissance âgés de 20 à 65 ans originaires du Danemark et d'Italie.
Le chercheur a provoqué une «douleur» à l'aide d'un dispositif émettant une chaleur ...
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alessandro pendesini
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Re: [News] Les non-voyants sont plus sensibles à la douleur
Bonjour
Je trouve cet article relativement pertinent, notamment lorsque Maurice Ptito « se dit à peu près certain que l'intensité ressentie dépend beaucoup de nos expériences passées et de la façon dont nous avons été élevés. "Ceux qui comme moi, ont baigné dans la culture méditerranéenne, ont grandi dans la ouate, voire ont été surprotégés face au danger, ont tendance à être plus douillets. »….
Tout en ajoutant que le psychisme de chacun est unique, il contient des affects qui lui sont propres, et il véhicule du sens et du symbolique dont l’importance est considérable, mais purement individuelle. On ne fait pas des statistiques dans ces conditions. On est en dehors de la science, de la reproductibilité et de l’évaluation. On ne prend en considération que le sujet qui parle lui-même de sa propre souffrance, qui tente d’en comprendre les raisons qui ne concernent que lui, et qui, de surcroît, est le seul à pouvoir émettre une opinion sur la qualité du résultat qu’il éprouve.
Je trouve cet article relativement pertinent, notamment lorsque Maurice Ptito « se dit à peu près certain que l'intensité ressentie dépend beaucoup de nos expériences passées et de la façon dont nous avons été élevés. "Ceux qui comme moi, ont baigné dans la culture méditerranéenne, ont grandi dans la ouate, voire ont été surprotégés face au danger, ont tendance à être plus douillets. »….
Tout en ajoutant que le psychisme de chacun est unique, il contient des affects qui lui sont propres, et il véhicule du sens et du symbolique dont l’importance est considérable, mais purement individuelle. On ne fait pas des statistiques dans ces conditions. On est en dehors de la science, de la reproductibilité et de l’évaluation. On ne prend en considération que le sujet qui parle lui-même de sa propre souffrance, qui tente d’en comprendre les raisons qui ne concernent que lui, et qui, de surcroît, est le seul à pouvoir émettre une opinion sur la qualité du résultat qu’il éprouve.