[News] Fluides puis solides, les surprenantes déformations des nanofils d’or
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[News] Fluides puis solides, les surprenantes déformations des nanofils d’or
L’infiniment petit n’est pas toujours régi par les mêmes règles que le monde macroscopique, et certains concepts bien ancrés y perdent leur sens. Dans des travaux publiés dans Nature, des physiciens ont ainsi montré que des solides de quelques atomes d’épaisseur peuvent se comporter comme des fluides en fonction de leur excitation.
À notre échelle, distinguer un liquide d’un solide peut sembler évident: face à une contrainte, l’un s’écoule alors que l’autre se déf...
Re: [News] Fluides puis solides, les surprenantes déformations des nanofils d’or
Curieux de savoir s'ils ont évalué tout cela à température constante?
- cisou9
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Re: [News] Fluides puis solides, les surprenantes déformations des nanofils d’or
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Je pense que l'expérience s'est faite à température ambiante, donc avec de très faibles variations. ___
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Un homme est heureux tant qu'il décide de l'être et nul ne peux l'en empêcher.
Alexandre Soljenitsyne.
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Re: [News] Fluides puis solides, les surprenantes déformations des nanofils d’or
Mais qu’en est-il de l’infiniment petit ?.....Dit l'article
Désolé de devoir me répéter : Je récuse le mot INFINIMENT petit officiellement utilisé depuis belle lurette, c’est-à-dire une chaîne d’éléments divisibles, qui n’aurait pas de fin, n’est –à mon humble avis et pas seulement- pas imaginable. Car une échelle minimale, au-dessus de laquelle il n’y a rien, s’y oppose. En d’autres mots : il existe une limite inférieure à la divisibilité de l’espace.
« Extrêmement » petit me semble plus raisonnable. A l’état actuel de nos connaissances rien ne peut être plus petit que l’échelle de Planck ! La singularité –supposée au moment du Big Bang- que prévoit la relativité générale disparaît si l’on tien compte de la gravité quantique.
Désolé de devoir me répéter : Je récuse le mot INFINIMENT petit officiellement utilisé depuis belle lurette, c’est-à-dire une chaîne d’éléments divisibles, qui n’aurait pas de fin, n’est –à mon humble avis et pas seulement- pas imaginable. Car une échelle minimale, au-dessus de laquelle il n’y a rien, s’y oppose. En d’autres mots : il existe une limite inférieure à la divisibilité de l’espace.
« Extrêmement » petit me semble plus raisonnable. A l’état actuel de nos connaissances rien ne peut être plus petit que l’échelle de Planck ! La singularité –supposée au moment du Big Bang- que prévoit la relativité générale disparaît si l’on tien compte de la gravité quantique.
