Le Décaméron de l'auteur italien Boccace a pour cadre la peste noire de 1348 qui sévit à Florence.
Plusieurs uchronies (romans historiques) ont été écrites sur le thème de la Peste Noire. Ainsi, dans La Porte des mondes de Robert Silverberg, l’auteur imagine que la peste noire est bien plus meurtrière, éliminant les trois quarts de la population européenne et changeant complètement l’histoire du monde. Cette idée est également reprise par Kim Stanley Robinson dans Chroniques des années noires, mais dans cette uchronie c'est la totalité des habitants de l’Europe qui périt, entraînant, de la même façon que dans le roman précédent, une histoire complètement différente de celle que l'on connaît.
Connie Willis donne aussi ce cadre à son roman, Le Grand Livre, où une historienne du XXIIe siècle qui voyage dans le temps, tombe par erreur en pleine peste noire, la confrontant ainsi aux horreurs de cette pandémie.
Ken Follett représente bien les conséquences de la peste noire dans son roman "Un monde sans fin" où les habitants de la ville fictive de Kingsbridge doivent affronter l'épidémie. L'auteur s'attarde particulièrement aux différentes stratégies pour guérir les malades et les mesures entreprises par la ville pour diminuer la propagation de la peste.
La médecine du XIVe siècle était bien impuissante face à la peste qui se répandait. Les médecins débordés ne savaient que faire devant cette maladie qui les atteignait, tout autant que leurs patients. Néanmoins, quelques conseils, vains, étaient donnés :