Et puis l'allusion aux moteurs nucléaire s... on et pas en avril pourtant.
Certes nous ne sommes pas le 1er avril !
La suite du commentaire est quand même de meilleure qualité.
Trimballer des gens du départ à l'arrivée en un seul vol, d'une durée importante et sur des distances énormes, ne serait certainement pas rentable pour les compagnies aériennes, hormis quelques lignes comme Londres-New York, Paris-New York ou Francfort-New York, Los Angeles-Tokyo ou autres.
Je me rappelle avoir fait un Paris-Berlin via Zürich avec changement d'avion, Zürich-Berlin n'ayant pas assez de trafic pour justifier un A320.
J'ai fait aussi un Paris-Amman par Royal Jordanian via Bruxelles et un Paris-Casablanca par Swissair via Genève (les deux pour prendre des passagers). Sur des distances aussi courtes, un ravitaillement en vol serait aberrant. Certains avions font alors le métro aérien.
Il n'y a pas que le carburant qui coûte.
Lors de chaque atterrissage, les pneus et les amortisseurs dérouillent. Les équipages et les passagers se dérouillent les jambes et cela permet aussi des relèves, comme cela se pratique dans les gares et les stations de métro pour les conducteurs.
Les escales sont aussi mises à profit par les commerces en "hors taxes" des aéroports.
Il n'y a pas de petits profits.
Autant il est vital pour des avions militaires d'être ravitaillés en vol, autant il me semble aberrant de l'envisager pour des avions civils. Un ravitailleur d'escadre navale (c'est un pétrolier) peut ravitailler en une seule sortie un grand nombre de bâtiments de surface, en ne consommant rien quand il est en position sur zone, c'est impensable dans le domaine aérien.

<= là aussi on a souvent besoin de se ravitailler.