[News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X
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- Michel
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[News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X
Produire un faisceau laser de rayons X ultra puissant pour visualiser une seule particule virale en un seul flash de quelques femtosecondes (10-15 seconde) : c'est la prouesse que vient de réaliser un consortium interdisciplinaire international de plus de 20 laboratoires (1), dont le laboratoire CNRS Information génomique et structurale. Ces chercheurs ont en effet reconverti l'accélérateur de particules de Stanford (SLAC) en un gigantesque appareil de radiologie pour particules « uniques �...
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Re: [News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X

une résolution de l'ordre de quelques angströms (1Å=10^-10m).
Encore une aberration l'angström est une unité désuète, le nm oui

Re: [News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X
pas si desuete que ca , a partir du moment ou on parle de taille atomique l'angstrom prends sa place, il est plus facile de parler de 2A que de 0,2nm
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Re: [News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X
Bonsoir,
Cette expérience est une utilisation intéressante d’un accélérateur de particules, et donne une validité à ma théorie de « l’Univers de Vibrations ».
En résumé, mes explications sont les suivantes :
Les photons n’existent pas en tant que particules. Ce sont les représentations que nous, êtres vivants, dotés du sens de la vision, nous faisons des électrons participant aux ondes de l’espace (voir chapitre IV).
Les rayons X sont formés principalement d’électrons « libres », qui sont ionisants parce qu’ils sont « libres » pour s’intriquer avec d’autres électrons libres ou non.
Dans cette utilisation de l'accélérateur, un paquet d’électrons est envoyé en un temps très court sur la particule à étudier.
Ces électrons vont détruire la particule en s’intriquant avec les électrons composants de la particule.
La partie importante du système mis en place est l'observation, enregistrée et exploitée, à la femtoseconde exacte de l’événement, au moment où les intrications des électrons se réalisent, avant qu’elles détruisent la particule cible.
Tous les collisionneurs d’éléments agissent de la même façon.
Les éléments libres se déplacent toujours tout droit (Newton dixit). Ceux qui arrivent au point de la collision ne sont que ceux qui arrivent tout droit du point d’injection, ou ceux qui arrivent tout droit de la dernière rencontre avec des éléments présents dans le circuit. Ce sont des électrons et des petits composés.
Ce raisonnement est particulièrement applicable dans les collisionneurs circulaires : le paquet d’objets envoyés peut être accéléré très fortement, mais les objets qui entrent en collision ne sont pas ceux qui ont été envoyés et les résultats à l’instant exact de la collision sont toujours uniquement des électrons.
Ces électrons, très ionisants en raison de leur vitesse, s’intriquent immédiatement avec d’autres selon l’environnement et leur vitesse :
L’environnement :
Pour l’expérience relatée dans l’article étudié, l’environnement important est la particule cible.
Pour des collisionneurs comme le LHC, l’environnement correspond aux jets d’électrons et primo-composés qui se rencontrent.
La vitesse :
Pour l’expérience citée, les expérimentateurs ont dû maîtriser très finement, la vitesse des électrons et la synchronisation du matériel d’observation.
L’important pour le LHC pourrait être de réduire la vitesse pour essayer de suivre la création des primo-composés, recherchés ou non, qui pourraient être différents, selon la vitesse, pendant les premières femtosecondes après la collision.
Bien sûr, tout est beaucoup plus compliqué que ce que nous expliquons ici.
Les modalités et résultats de cette expérience seraient à rapprocher des résultats des autres collisionneurs de particules.
Cette expérience est une utilisation intéressante d’un accélérateur de particules, et donne une validité à ma théorie de « l’Univers de Vibrations ».
En résumé, mes explications sont les suivantes :
Les photons n’existent pas en tant que particules. Ce sont les représentations que nous, êtres vivants, dotés du sens de la vision, nous faisons des électrons participant aux ondes de l’espace (voir chapitre IV).
Les rayons X sont formés principalement d’électrons « libres », qui sont ionisants parce qu’ils sont « libres » pour s’intriquer avec d’autres électrons libres ou non.
Dans cette utilisation de l'accélérateur, un paquet d’électrons est envoyé en un temps très court sur la particule à étudier.
Ces électrons vont détruire la particule en s’intriquant avec les électrons composants de la particule.
La partie importante du système mis en place est l'observation, enregistrée et exploitée, à la femtoseconde exacte de l’événement, au moment où les intrications des électrons se réalisent, avant qu’elles détruisent la particule cible.
Tous les collisionneurs d’éléments agissent de la même façon.
Les éléments libres se déplacent toujours tout droit (Newton dixit). Ceux qui arrivent au point de la collision ne sont que ceux qui arrivent tout droit du point d’injection, ou ceux qui arrivent tout droit de la dernière rencontre avec des éléments présents dans le circuit. Ce sont des électrons et des petits composés.
Ce raisonnement est particulièrement applicable dans les collisionneurs circulaires : le paquet d’objets envoyés peut être accéléré très fortement, mais les objets qui entrent en collision ne sont pas ceux qui ont été envoyés et les résultats à l’instant exact de la collision sont toujours uniquement des électrons.
Ces électrons, très ionisants en raison de leur vitesse, s’intriquent immédiatement avec d’autres selon l’environnement et leur vitesse :
L’environnement :
Pour l’expérience relatée dans l’article étudié, l’environnement important est la particule cible.
Pour des collisionneurs comme le LHC, l’environnement correspond aux jets d’électrons et primo-composés qui se rencontrent.
La vitesse :
Pour l’expérience citée, les expérimentateurs ont dû maîtriser très finement, la vitesse des électrons et la synchronisation du matériel d’observation.
L’important pour le LHC pourrait être de réduire la vitesse pour essayer de suivre la création des primo-composés, recherchés ou non, qui pourraient être différents, selon la vitesse, pendant les premières femtosecondes après la collision.
Bien sûr, tout est beaucoup plus compliqué que ce que nous expliquons ici.
Les modalités et résultats de cette expérience seraient à rapprocher des résultats des autres collisionneurs de particules.
Re: [News] Une révolution en biologie structurale : l'imagerie de particules uniques par laser de rayons X
Je trouve ça hyper présomptueux, sachant que j'ai déjà réfuté ta théorie moisie de moissac...papillon a écrit :Cette expérience est une utilisation intéressante d’un accélérateur de particules, et donne une validité à ma théorie de « l’Univers de Vibrations ».
viewtopic.php?p=123186#p123186
Je ne pense pas que tu puisses répondre à ce contre argumentaire.
Je te rappelle que c'est un forum de discussions scientifiques, et que toute hypothèse farfelue non argumentée n'a pas sa place ici.
De plus je ne vois pas le rapport avec la news. Donc complètement hors sujet.