Poèmes. Haïku.
Modérateur : Modérateurs
Re: Poèmes. Haïku.
Le pur amour est intemporel
Il nie le présent et il vit d'éternité
Il oublie tout le temps qui passe
Il nie le présent et il vit d'éternité
Il oublie tout le temps qui passe
Re: Poèmes. Haïku.
Quelques messages hors sujet retirés (La Modération)
Re: Poèmes. Haïku.
Je ne sais déjà plus... Hélas madame !
Le mois d'aout est déjà bien passé
Avec sa chaleur moite et ses charmes
Le mois d'aout est déjà bien passé
Avec sa chaleur moite et ses charmes
Re: Poèmes. Haïku.
Les quatre saisons passent.
L'escargot comme il peut, suit.
ça va vite dit-il.
L'escargot comme il peut, suit.
ça va vite dit-il.
Re: Poèmes. Haïku.
Mais que de questions.
Où donc se cachent les oiseaux
Cachette pour mourir.
Où donc se cachent les oiseaux
Cachette pour mourir.
Re: Poèmes. Haïku.
Sur l'arbre l'oiseau chante.
Dans le lointain une cloche tinte
Et le ciel est bleu.
Dans le lointain une cloche tinte
Et le ciel est bleu.
Re: Poèmes. Haïku.
Une fille marche, s'arrête.
Jupe, cheveux longs, talons plats.
Clic clac, une photo.
Jupe, cheveux longs, talons plats.
Clic clac, une photo.
Re: Poèmes. Haïku.
Une marche dans Paris.
Fatigue, mal aux jambes, aux pieds.
S'asseoir, hop. Massages.
Fatigue, mal aux jambes, aux pieds.
S'asseoir, hop. Massages.
Re: Poèmes. Haïku.
Ce sont les dernier feux d'aout
Cette nuit j'avais chaud et j'ai mal dormi
Ils arrivent les frimas de septembre
Cette nuit j'avais chaud et j'ai mal dormi
Ils arrivent les frimas de septembre
Re: Poèmes. Haïku.
Une place, des trottoirs.
Marcher dans un sens, un autre
Mais chacun le sien.
Marcher dans un sens, un autre
Mais chacun le sien.
Re: Poèmes. Haïku.
Soleil, il fait chaud
Mais comment donc s'habiller...
Mettre des chaussettes...
Mais comment donc s'habiller...
Mettre des chaussettes...
Re: Poèmes. Haïku.
sora ni hoshi
eien no kagayaki
tsuki ga aru
(étoile dans le ciel
brillance éternelle
la lune est là)
eien no kagayaki
tsuki ga aru
(étoile dans le ciel
brillance éternelle
la lune est là)
Re: Poèmes. Haïku.
Doucement le soir,
Un peu de vent, de fraîcheur.
Bâillement... Mais j'ai faim !
Un peu de vent, de fraîcheur.
Bâillement... Mais j'ai faim !
Re: Poèmes. Haïku.
Mais encore que dire
Quoi donc madame!
Vous parliez de Lune?
Quoi donc madame!
Vous parliez de Lune?
Re: Poèmes. Haïku.
Ce matin à la météo
Ils annonçaient 15 à 20°C à Paris
Septembre arrive très fort
Ils annonçaient 15 à 20°C à Paris
Septembre arrive très fort
Re: Poèmes. Haïku.
Le temps des berceuses.
Une voix et des yeux doux.
Une maman chante.
Une voix et des yeux doux.
Une maman chante.
Re: Poèmes. Haïku.
Doucement la Nuit
Accompagnée de la Lune
Escorte Morphée.
Accompagnée de la Lune
Escorte Morphée.
Re: Poèmes. Haïku.
La Lune sur le lac
Se baigne aux frissons de l'eau.
Le Silence regarde.
Se baigne aux frissons de l'eau.
Le Silence regarde.
Re: Poèmes. Haïku.
Couvert dans son lit
Entendre le vent sous la porte.
L'hiver est bien là.
Entendre le vent sous la porte.
L'hiver est bien là.
Re: Poèmes. Haïku.
Ce cœur qui se refroidit trop vite
Tu es devenu plutôt frileux Passant
Réchauffe-toi donc avec un amour
Il te surprendra alors peut-être
Toi ! Avec tous tes cheveux blancs
Et toutes tes pensées très sombres
Tu es devenu plutôt frileux Passant
Réchauffe-toi donc avec un amour
Il te surprendra alors peut-être
Toi ! Avec tous tes cheveux blancs
Et toutes tes pensées très sombres
Re: Poèmes. Haïku.
Victor a écrit :
Et toutes tes pensées très sombres
Il y a des moments agréables à soi lorsque dans une maison, sous un tente, bien emmitouflé dans un duvet, des couvertures, on sent la chaleur alors que dehors il fait froid, il pleut, le vent souffle, alors on se dit que l'on fait ce qu'il faut pour être bien.
Rassuré, on s'endort.
Re: Poèmes. Haïku.
Ecoute ! Un oiseau.
Ah ! Et puis encore un autre.
Maintenant, tous chantent.
Ah ! Et puis encore un autre.
Maintenant, tous chantent.
Re: Poèmes. Haïku.
Un' place pour chaque chose
Mais pour soi, quelle est sa place
Dans le brouhaha...
Mais pour soi, quelle est sa place
Dans le brouhaha...
Re: Poèmes. Haïku.
Ohé ! Un navire.
Non loin, suivant, l'albatros.
Un vieux compagnon.
Non loin, suivant, l'albatros.
Un vieux compagnon.
Re: Poèmes. Haïku.
L'homme regarde la mer
La mer, cette Mère pour lui
Dont il est sorti.
La mer, cette Mère pour lui
Dont il est sorti.