[News] Le projet ULB l’intelligence « en essaim » (swarm intelligence)

[Isabelle]

Le projet E-SWARM de Marco Dorigo (IRIDIA-Faculté des sciences appliquées ULB) concerne l’intelligence « en essaim » (« swarm intelligence »), un volet de l’intelligence artificielle qui traite des systèmes naturels et artificiels composés de nombreux individus qui présentent des comportements collectifs grâce au contrôle décentralisé et à l’auto-organisation. Ce projet vient d'être primé par le Conseil européen de la recherche. Dans ce projet, le chercheur se concentre...

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[Sophie Dinh]

Projet très intéressant.
Le nom du robot "ASIMO" fait-il référence à la nouvelle d'Isaac Asimov "Attrapez-moi ce lapin", qui met en scène un robot "contremaître" dirigeant à distance six robots "exécutants" ? (http://fr.wikipedia.org/wiki/Attrapez-moi_ce_lapin)

Sophie Dinh

[Arcade]

Je pense pas que la photo soit liée au sujet de l'article.

ASIMO est le robot de chez Honda, entreprise privée japonaise alors que le sujet traite ici d'intelligence artificiel à multiples "entités", projet soutenu par un organisme public belge, rien avoir donc.

Je ne comprend d'ailleurs pas beaucoup le choix de la photo...

[Aldebaran]

Effectivement la photo n'a rien à voir avec l'article.

[Victor]

C'est sympathique d'imaginer un essaim de chercheurs cherchant sur l'intelligence en essaim... Pas d'autres commentaires

[Isabelle]

Afin de ne pas prêter à confusion l'illustration a été remplacée

[serdj]

Jacques Ferber avait déjà, en 1995, implémenté des "agents situés", c'est à dire disposant de "coordonnées" (qui peuvent être des coordonnées géographiques ou bien se situer dans un espace totalement virtuel et abstrait), et mobiles dans ce système de coordonnées, ce qui leur permet de trouver facilement les agents "proches" d'eux même et donc d'établir des liaisons non prévues initialement par le programmeur... L'IA en essaim n'est que la suite de ces travaux... Et pour la suite de cette suite (savoir quelle est l'architecture optimale d'un système multi-agents qui soit capable de modéliser l'environnement, de résoudre des problèmes et de faire preuve de créativité), ...

[chester]

Jacques Ferber avait déjà, en 1995, implémenté des "agents situés", c'est à dire disposant de "coordonnées" (qui peuvent être des coordonnées géographiques ou bien se situer dans un espace totalement virtuel et abstrait), et mobiles dans ce système de coordonnées, ce qui leur permet de trouver facilement les agents "proches" d'eux même et donc d'établir des liaisons non prévues initialement par le programmeur... L'IA en essaim n'est que la suite de ces travaux... Et pour la suite de cette suite (savoir quelle est l'architecture optimale d'un système multi-agents qui soit capable de modéliser l'environnement, de résoudre des problèmes et de faire preuve de créativité), ...

Je pense que c'est plutôt une amélioration des réseaux de neurones, et c'est beaucoup plus vieux que 1995, ça date d'après guerre...

Mais j'ai pas trop compris l'article, mis à part qu'il omet de parler de réseaux de neurones.

[Victor]

C'est différents d'un réseau de neurones là les unités sont déjà relativement autonomes et c'est plus les phénomène de coopération entre individus... Les réseaux de neurones c'est quasi de l' I.A. bas niveau

[chester]

C'est différents d'un réseau de neurones là les unités sont déjà relativement autonomes et c'est plus les phénomène de coopération entre individus... Les réseaux de neurones c'est quasi de l' I.A. bas niveau

Ba ça n'empêche pas que c'est le même principe, même si c'est plus évolué dans les "fonctionnalités". Les unités de réseaux de neurones sont déjà assez autonomes au sens établissement de connexions logiques avec les autres, et les réseaux de neurones c'est clairement de la coopération entre individus. C'est pour ça que je saisi mal l'article, mais j'ai surement une vue trop large du réseau de neurones.

[tristanvdb]

Bonjour,

Cela n'a rien à voir avec les réseaux de neurones. L'intelligence "en essaim" correspond à la capacité d'un grand nombre d'entité à produire un résultat cohérent en travaillant indépendamment.

Il faut arrêter de rêver avec les réseaux de neurones, il ne s'agit que d'une modélisation imparfaite de la solution utilisé par la nature.

Pour construire les fondements de cette discipline et pour développer une méthodologie appropriée, les chercheurs vont résoudre différents problèmes difficiles dans les domaines de l’optimisation, de la robotique, des réseaux et du « data mining ».

Les réseaux de neurones font partie de l'optimisation.
Les réseaux de neurones pourrait être une solution (et encore pas seule).

Tristan.

PS : J'adore les réseaux de neurones mais ils ont leurs limites.