Ondes gravitationnelles: l'Europe et les projets spatiaux

Publié par Michel,
Source: CNRS-IN2P3Autres langues:
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À l'occasion du 9e Lisa Symposium, qui s'est tenu à Paris du 21 au 25 mai 2012, la communauté internationale rassemblée autour du programme Lisa (Laser Interferometer Space Antenna), auquel participent le CNRS (IN2P3, INSU) et le Cnes, a analysé la situation après la décision de l'ESA de choisir Juice comme prochaine grande mission du programme européen.


La mission eLISA/NGO en formation suivant la Terre sur son orbite
(vue d'artiste).
Crédit: AEI/Milde Marketing/Exozet

Bien que la mission eLisa (evolved Laser Interferometer Space Antenna, aussi connue comme NGO (New Gravitational-Wave Observatory)) n'ait pas été sélectionnée, elle a été classée, à l'unanimité du comité scientifique de l'ESA, au plus haut des priorités scientifiques de l'agence. De façon à préparer la meilleure réponse possible à la prochaine opportunité de lancement, la communauté a ainsi décidé de prolonger sa collaboration au sein du consortium européen indépendant et auto-financé eLisa.

Le consortium apportera un fort soutien à la mission Lisa Pathfinder (préfiguration de Lisa) de l'ESA, dont le lancement est prévu en 2014 et dont les technologies clefs ouvriront la voie aux futurs détecteurs d'ondes gravitationnelles et à la prochaine génération de mesures gravimétriques planétaires ou terrestres. Au Lisa Symposium, les participants américains ont exprimé leur intérêt pour une mission d'ondes gravitationnelles conduite par l'ESA. La Chine, quant à elle, pourrait envisager de collaborer à une telle mission.
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