Test Fat Bike Engwe EP-2 Boost: une belle mise à jour

Publié par Adrien le 04/07/2025 à 19:00
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1 - Introduction

Le vélo électrique pliant ENGWE EP-2 Boost se positionne comme un engin polyvalent, apte aussi bien aux déplacements urbains qu'au tout-terrain. Il s'agit en fait d'une évolution du modèle EP-2 Pro, repensée pour respecter strictement la réglementation européenne (moteur 250 W, bridage à 25 km/h) tout en intégrant des améliorations notables.



Au programme: un capteur de couple pour une assistance plus fluide et naturelle, un bouton “Boost” offrant des accélérations franches à la demande, et des freins à disque surdimensionnés pour la sécurité.

Le tout est proposé à un tarif compétitif compte tenu des prestations, faisant de l'EP-2 Boost un modèle très attractif sur le segment des fat bikes pliants légaux (homologués). Il est actuellement affiché à 999€ sur cette page du site officiel de la marque (lien) avec plusieurs équipements offerts.

Dans la suite de ce test, nous passons en revue tout ce qu'il faut savoir sur le nouveau fat bike d'ENGWE.


Caractéristiques techniques:
- Type: VTT électrique pliant (fat bike)
- Moteur: 250 W (brushless, moyeu arrière)
- Assistance: Capteur de couple (progressive et réactive)
- Vitesse maximale: 25 km/h (bridé, conforme UE)
- Mode Boost: 55 Nm de couple instantané sur demande
- Batterie: 48V 13 Ah (624 Wh) lithium-ion amovible
- Autonomie annoncée: 120 km max en mode éco (niveau d'assistance 1)
- Temps de charge: 6,5 h
- Pneus: 20 x 4,0 pouces (larges, tous-terrains)
- Freins: Disques mécaniques 180 mm (avant & arrière)
- Vitesses: 7 (dérailleur Shimano)
- Équipement: Écran LCD, éclairage LED avant + feu stop arrière
- Charge maximale: 150 kg (cadre renforcé, porte-bagages inclus)
- Poids du vélo: ~ 30 kg (batterie incluse)
- Dimensions déplié: 169 × 57 × 120 cm
- Dimensions plié: 99 × 55 × 75 cm

2 - Déballage et montage

Note: L'ENGWE EP-2 Boost est actuellement affiché à 999€ sur cette page du site officiel de la marque (lien) avec des équipements offerts.

L'ENGWE EP-2 Boost est livré bien protégé dans un carton rectangulaire de taille conséquente. Compte tenu du poids total d'environ 38 kg emballé, il est préférable d'être deux personnes pour le manipuler.



L'ouverture se fait simplement en retirant les sangles et agrafes, dévoilant le vélo soigneusement calé dans de la mousse de protection. Le vélo est livré partiellement assemblé et plié, optimisant la compacité pour le transport.


Quelques étapes de montage par l'utilisateur sont nécessaires :
- Installer et verrouiller la potence pliable du guidon
- Fixer la roue avant (axe rapide)
- Visser le garde-boue avant et le phare LED au niveau de la fourche
- Monter les pédales pliables (marquées gauche/droite)
- Insérer la tige de selle dans le cadre
- Visser le porte-bagages arrière (fourni, en métal robuste)

Tous les outils nécessaires sont fournis (clefs Allen, clé plate, tournevis, et même une petite pompe portative) et les étapes ne présentent pas de difficulté majeure. L'ensemble du montage a pris environ une heure, réalisé tranquillement par une personne seule.



La notice d'assemblage incluse est basique et en anglais, mais elle est extrêmement bien illustrée pour guider même un non-anglophone.

Bonne nouvelle, le chargeur est plutôt compact et pourra s'emporter facilement. Il affiche 54.6V pour 2.0A, soit une puissance de près de 110W, ce qui est dans la bonne moyenne pour ce type de vélo électrique.


Une fois assemblé, on procède aux derniers réglages: ajustement de la hauteur de selle et du guidon, pression des pneus et vérification du serrage général, ajustement des freins. La batterie est livrée déjà chargée et installée.

Pliage: il faut prendre le coup de main


Malgré le poids non négligeable de l'engin, le pliage/dépliage reste techniquement simple mais demande de la pratique. Après quelques essais on plie le vélo en une vingtaine de secondes environ.


Il est possible de tout replier: le cadre, la potence, les pédales. Attention toutefois au poids de l'ensemble, cela revient tout de même à manipuler une charge à bout de bras.



On note que le gabarit plié reste cependant assez volumineux, fat-bike oblige. Pour autant, cette possibilité de pliage est appréciable pour ranger le vélo dans un coffre de voiture ou un coin de garage, voire l'emmener dans les transports (même si son volume plié pourra gêner dans un train aux heures de pointe).

3 - Présentation générale et équipements

Note: L'ENGWE EP-2 Boost est actuellement affiché à 999€ sur cette page du site officiel de la marque (lien) avec des équipements offerts.

Esthétiquement, l'ENGWE EP-2 Boost se fait remarquer par son look de fat bike compact et robuste. Notre modèle de test arbore une peinture noire mate du plus bel effet, sobre et passe-partout. Le cadre en alliage d'aluminium 6061 présente des soudures épaisses et inspire confiance.



Grosses roues et suspensions


Les pneus larges 20″ x 4.0 donnent tout de suite le ton: ce vélo est fait pour rouler partout, aussi bien sur l'asphalte que sur les chemins de terre ou le sable. Ces gros pneus à crampons sont conçus pour une adhérence remarquable et, absorber une partie des irrégularités de la route.



Bien entendu, cette largeur implique une certaine résistance au roulement, mais grâce à l'assistance électrique, cela ne se ressent pas outre mesure en usage normal. Le vélo est équipé d'une suspension avant à fourche télescopique, pour filtrer les chocs frontaux.




Celle-ci est même dotée d'un verrouillage manuel rapide (molette sur le haut de la fourche) pour la désactiver sur sol parfaitement lisse. En complément, la selle souple est confortable et réglable en hauteur. Sur notre exemplaire, la tige de selle ne comporte pas d'amortisseur intégré (certains modèles Engwe en sont dotés), ce qui fait que l'arrière du vélo est rigide. On note toutefois la présence de petits coussinés sur la fixation de la selle.



Sur la plupart des trajets urbains ou chemins modérés, la combinaison fourche suspendue + gros pneus suffit à garantir un bon confort, d'autant que la position de conduite est assez droite et détendue.

Sur le guidon


Le poste de pilotage est bien pensé: le guidon (réglable en hauteur) accueille en son centre un écran LCD, suffisamment lisible au soleil. Ce display fournit les informations essentielles: vitesse instantanée, niveau de batterie, distance parcourue, mode d'assistance actif, etc.


À gauche du guidon se trouve la petite console de commande, permettant d'allumer le vélo (après avoir mis la clé de contact), de changer le niveau d'assistance, d'activer les phares et de naviguer dans les menus. Petite note: sur notre vélo, la sonnette d'origine gênait un peu l'accès aux deux boutons latéraux, mais il a suffi de la décaler légèrement pour tout rendre accessible.



À droite du guidon, on trouve les leviers de vitesses Shimano à 7 vitesses mécaniques. Il s'agit d'un dérailleur classique agissant uniquement sur le pédalier, le moteur étant dans le moyeu arrière. En pratique, on utilise surtout ces vitesses pour aider au démarrage ou en côte, la plus grande partie du travail étant fournie par l'assistance électrique.

Seul absent notable: il n'y a pas de poignée d'accélérateur fournie (contrairement à certains modèles précédents de la marque). Cela s'explique par la volonté de rester dans un strict cadre Pedelec légal – l'EP-2 Boost n'a pas de mode " scooter " à l'accélérateur, l'assistance ne se déclenche qu'au pédalage. En revanche, un bouton Boost vient apporter un compromis intéressant que nous détaillons plus loin.

Clés et batterie


Comme souvent sur ce type de vélo, l'allumage se fait via une clé de contact. Le barillet est situé sous le cadre principal, au niveau de la batterie. Ce n'est pas l'emplacement le plus pratique au premier abord (il faut se pencher pour insérer la clé sous le tube diagonal), mais on s'y habitue vite.



Deux clés sont fournies, servant à la fois à allumer le système et à déverrouiller la batterie amovible, selon le sens de rotation. La batterie est logée dans le tube diagonal du cadre et ne peut être retirée qu'une fois le vélo plié, en la faisant coulisser vers l'arrière.




Ce système protège bien la batterie et la rend discrète. En usage quotidien, on peut la recharger soit en la laissant dans le vélo (une prise de charge est accessible sur le flanc du cadre), soit en la retirant pour la brancher chez soi – pratique si on ne peut pas monter le vélo à son appartement, par exemple, mais il faudra plier le vélo pour la récupérer.

Eclairage complet


Terminons le tour des équipements: l'EP-2 Boost est doté de feux LED alimentés par la batterie principale. Le phare avant, fixé sur la fourche, éclaire correctement la route et reste visible même de jour.


À l'arrière, le feu rouge est intégré sous le porte-bagages et fait aussi office de feu stop: il s'illumine plus fortement dès qu'on actionne les freins, grâce à un capteur relié aux leviers. Ce dispositif renforce la sécurité en signalant clairement aux véhicules suiveurs vos décélérations.




Porte-bagages et garde-boues


Le porte-bagages en lui-même est robuste, prêt à accueillir une sacoche, et supportera 25 kg de charge (utile pour les courses ou livraisons). On trouve aussi des garde-boues, suffisamment larges pour bloquer les projections d'eau/boue des gros pneus – un accessoire indispensable sur ce type de vélo.


On le voit, l'ENGWE EP-2 Boost arrive très bien équipé d'origine, il ne lui manque qu'un éventuel rétroviseur ou un support smartphone selon vos besoins, mais toutes les bases y sont.

4 - Performances: moteur, autonomie, sécurité et confort

Note: L'ENGWE EP-2 Boost est actuellement affiché à 999€ sur cette page du site officiel de la marque (lien) avec des équipements offerts.

Après la vue d'ensemble, passons maintenant aux tests sur routes et chemins de l'ENGWE EP-2 Boost.



Premiers trajets


Dès les premiers tours de roue, on note la progressivité de l'assistance. Le nouveau capteur de couple y est pour beaucoup: l'aide électrique se dose en fonction de la force exercée sur les pédales, ce qui donne une accélération douce et naturelle. On est loin des à-coups parfois ressentis avec les capteurs de pédalage basiques.

Ici, le démarrage est franc sans être brutal, même en côte avec un cycliste d'environ 75 kg – pour tout dire, tout paraît facile avec ce vélo.


En usage urbain, on apprécie particulièrement cette réactivité maîtrisée: aux feux rouges, il suffit de presser légèrement les pédales pour que le moteur vous emmène à 25 km/h en quelques secondes, progressivement et sans dérapage intempestif. La puissance nominale de 250 W peut sembler modeste sur le papier, pourtant grâce à un contrôleur bien optimisé et un couple de 55 Nm, l'EP-2 Boost grimpe les côtes étonnamment bien.

Nos essais sur des pentes se sont avérés concluants: en lançant l'assistance au niveau max et en jouant un peu des vitesses, le vélo monte avec entrain, sans peiner. La limite se fait surtout sentir à haute vitesse (>25 km/h) où, bridé, le moteur cesse d'aider – il faut alors forcer sur les pédales pour aller plus vite, ce qui est normal.


Pour les utilisateurs cherchant plus de vitesse de pointe, il est bon de savoir qu'il existe un mode débridé (à activer en connaissance de cause, réservé aux terrains privés) qui permettrait d'atteindre environ 32 km/h. Mais d'origine, le vélo est strictement conforme aux 25 km/h légaux.

Un Boost bienvenu


La grande nouveauté de cette version Boost, c'est bien sûr le fameux bouton Boost sur le guidon. Il s'agit d'un petit bouton qui, une fois pressé, déclenche pendant quelques secondes une assistance supplémentaire très puissante. On peut le comparer à un turbo temporaire: le moteur fournit son couple maximal de 55 Nm instantanément, ce qui catapulte le vélo en avant.


Concrètement, cela permet par exemple de repartir plus vite en côte ou d'effectuer un dépassement plus facilement. Nous avons testé ce boost dans diverses situations: en démarrage en côte, il nous a propulsés de 0 à 25 km/h en un clin d'œil (là où sans boost il aurait fallu pédaler plus fort) ; en pleine circulation, il offre ce " coup de fouet " bienvenu pour s'insérer rapidement dans le trafic ou se dégager d'une situation délicate.

Attention toutefois, le Boost n'est pas un mode accélérateur indépendant: il ne fonctionne qu'en complément du pédalage et de l'assistance classique, pas question d'avancer sans pédaler en appuyant juste sur le bouton. De plus, son effet est limité dans le temps (quelques secondes par pression) afin de ne pas vider la batterie d'un coup ni surchauffer le moteur – c'est vraiment pensé comme une aide ponctuelle, à utiliser au besoin.


Au final, ce “boost mode” s'est révélé plus qu'un gadget: on y prend goût rapidement, tant il apporte de la facilité dans les moments opportuns. C'est un atout distinctif de l'EP-2 Boost par rapport à la concurrence, et un moyen astucieux de conserver un vélo aux normes tout en offrant un surplus de performance quand il faut.

Autonomie


En termes d'autonomie, l'ENGWE EP-2 Boost s'appuie sur sa batterie 13Ah / 624 Wh pour annoncer jusqu'à 120 km en mode éco (niveau d'assistance 1 sur 5). Bien entendu, cette autonomie est affichée pour des conditions idéales. Même si il ne nous a pas été possible de tester l'autonomie complète, les tests ont montré qu'un parcours mixte permettra d'effectuer vraisemblablement entre 50 et 60 km avec une charge complète.


C'est largement suffisant pour les trajets quotidiens et les balades du week-end. En sollicitant davantage le mode Boost et les hauts niveaux d'assistance, on descendra plutôt autour de 40 km d'autonomie, ce qui reste honorable pour un fat bike de 30 kg. À l'inverse, en étant économe (niveau 1 ou 2 sur terrain plat), un utilisateur léger pourrait sans doute atteindre 80 km ou plus.

On apprécie aussi la possibilité de doubler l'autonomie en emportant une batterie de rechange (vendue séparément) – une option qu'exploiteront peut-être les baroudeurs ou professionnels de la livraison ayant besoin de 100+ km par jour.

Freins surdimensionnés


Qui dit fat bike robuste dit aussi nécessité de freinage performant. De ce côté, ENGWE a bien fait les choses en équipant l'EP-2 Boost de freins à disque mécaniques de 180 mm à l'avant et à l'arrière. On trouve souvent des disques de 160 mm sur des vélos pouvant atteindre les 45 km/h. On le voit, avec 180 mm pour 25 km/h, l'EP-2 Boost est très bien équipé de ce coté.



Ces grands disques, couplés à des étriers à câble de bonne qualité, procurent une excellente puissance de freinage. Durant notre test, le vélo s'est arrêté en quelques mètres seulement depuis une vitesse de 25 km/h, sans amorce de blocage incontrôlé (merci aux gros pneus qui agrippent le sol). Le toucher de levier est bon, le freinage reste dosable.

Les capteurs sur les leviers coupent instantanément le moteur dès qu'on freine, tout en allumant le feu stop – un gage de sécurité supplémentaire. Pour un usage intensif comme sur des très longues descentes, des freins hydrauliques auraient été encore plus performants, mais pour l'usage polyvalent visé (vitesse modérée, terrain varié), les mécaniques à disque de 180 mm font déjà un très bon travail et ont l'avantage d'être faciles à entretenir soi-même.

Par ailleurs, l'adhérence fournie par les pneus fat aide beaucoup à freiner court sur les surfaces meubles (terre, gravier), là où un VTT classique chasserait de l'arrière.

Un confort au top


Du point de vue du comportement routier et du confort, l'EP-2 Boost nous a globalement convaincus. En ville, c'est un vélo amusant et rassurant. Les irrégularités des rues (petits trottoirs, pavés, nids-de-poule) sont gommées par les pneumatiques et la suspension avant.


La position haute (on domine le trafic) et la stabilité du vélo mettent en confiance. Son empattement de 114 cm et le poids bas (batterie dans le cadre) le rendent très stable. Il est toutefois un peu moins agile qu'un vélo urbain standard dans les slaloms serrés, la faute aux grosses roues et au poids, mais on s'y fait vite et on conserve de toute façon une excellente maîtrise.

Hors agglomération, nous l'avons emmené sur des sentiers forestiers: l'EP-2 Boost se comporte alors presque comme un VTT. On franchit des passages caillouteux ou sablonneux aisément, en étant limité surtout par l'absence de suspension arrière si le terrain devient vraiment accidenté. Sur des sentiers modérés, on se surprend à passer partout, assis confortablement sur la selle, avec le moteur qui compense l'inertie du vélo.


Les plus sportifs trouveront ses limites en usage tout-terrain extrême (ce n'est pas un VTT enduro, évidemment), mais pour de la balade en forêt ou en bord de mer, c'est un régal. Un point fort à souligner pour ces usages: la capacité d'emport. Avec son porte-bagages costaud et son cadre rigide, ce vélo peut transporter jusqu'à 150 kg toute charge comprise. En pratique, cela veut dire qu'un cycliste de 90 kg peut ajouter 30 kg de bagages sans soucis.

C'est donc un vélo tout indiqué pour ceux qui envisagent de petites livraisons, du camping/bivouac avec chargement, ou simplement faire ses courses et trajets du quotidien sans se priver.

5 - Conclusion

Avec l'EP-2 Boost, ENGWE propose un vélo électrique pliant qui réussit à allier conformité légale et plaisir de conduite.

On retrouve tout ce qui fait le succès des fat bikes de la marque – robustesse, polyvalence, autonomie confortable – tout en profitant des améliorations bienvenues comme le capteur de couple et le fameux Boost offrant une réserve de puissance instantanée.


Au fil de notre test, ce vélo s'est montré pratique en ville et amusant en dehors. Ses pneus larges de 20″ apportent une adhérence et une stabilité rassurantes, que ce soit sur bitume mouillé ou sur un sentier de graviers.

La combinaison du moteur 250 W bridé (atteignant ~500 W en pic) et du couple généreux donne des performances très honorables pour les déplacements courants – à tel point qu'on en vient à oublier que ce moteur est censé n'être qu'un 250 W tant il répond présent.

Surtout, l'ENGWE EP-2 Boost présente un excellent rapport qualité/prix. Pour moins de 1000 €, il offre un équipement pléthorique (éclairage complet, garde-boue, porte-bagages, etc.), un confort de roulage et une autonomie très correcte, et même des fonctionnalités uniques dans cette gamme de prix.

On cherchera en vain de vrais défauts rédhibitoires: on pourrait mentionner son poids conséquent de 30 kg qui le rend peu portable (mais c'est le lot de tous les fat bikes électriques), ou l'absence de suspension arrière qui limite le confort sur les très grosses bosses. Mais compte tenu de l'ensemble des qualités et du tarif contenu, ce ne sont pas des critiques éliminatoires, juste des points à avoir en tête selon l'usage envisagé.



En définitive, l'ENGWE EP-2 Boost s'impose comme un choix judicieux pour qui veut un vélo électrique pliant à la fois puissant, endurant et légal sur route.

Il est proposé à un tarif compétitif compte tenu des prestations, faisant de l'EP-2 Boost un modèle très attractif sur le segment des fat bikes pliants légaux. Il est actuellement affiché à 999€ sur cette page du site officiel de la marque (lien) avec plusieurs équipements offerts.
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