À partir de 1855, un réseau ferroviaire s’est constitué autour de la ville de Caen puis de son agglomération pour former l’étoile de Caen. Certaines de ces lignes ont en partie disparues mais une bonne part des plates-formes ferroviaires se trouve préservée. On peut les distinguer sur les photos aériennes (Géoportail).
Dans le sens des aiguilles d’une montre, on peut citer les lignes suivantes :
- Caen-Dozulé-Putot ;
- Caen-Rouen-Rive-Droite, via Mézidon et Serquigny ;
- Caen-Paris, via Mézidon et Serquigny (à partir du 29 décembre 1855) ;
- Caen-Orbec, via Mézidon et Saint-Pierre-sur-Dives ;
- Caen-Tours, via Mézidon et Le Mans ;
- Caen-Falaise à voie étroite ;
- Caen-Soumont, via Mondeville (ancienne ligne de chemin de fer minier allant près de Falaise) ;
- Caen-Laval, via Flers-de-l'Orne (à partir de 1874) ;
- Caen-Vire, via Aunay-sur-Odon (à partir de 1891) Correspondance vers Granville ;
- Caen-Rennes, via Lison et Dol-de-Bretagne;
- Caen-Cherbourg, via Lison, (à partir du 17 juillet 1858) ;
- Caen-Courseulles, via Luc-sur-mer (à partir de 1875) ;
- Caen-Courseulles, via Ouistreham et Luc-sur-mer (voie étroite).
Cet ensemble de lignes dont une partie est desservie par les TER Basse-Normandie et par des rames Corail Intercités aurait pu être complêté dans l'avenir par la LGV Normandie.